Attention, ce récit photographique n’est pas un article, mais une photothèque qui reprend de manière chronologique l’intégralité de notre découverte du Nord du Japon.

Pour effectuer ce voyage, nous avons été beaucoup aidés par Nicolas Tchoukine de l’agence de voyage au concept unique : Odysway, joignable au 01 85 44 05 88, sur le contact@odysway.com ou sur le site Internet : https://odysway.com

Nous avons été accompagnés durant tout notre voyage par Hiro San, le réceptif local japonais de l’agence Odysway.

Pour découvrir la suite de notre voyage dans le Nord du japon, n’hésitez pas à vous rendre sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/japon-nord-partie-2-2-de-tsuruoka-a-sakata/

En provenance de France, nous nous rendons à Bruxelles afin de prendre notre vol vers Tokyo ; sur la route, nous faisons une escale dans une station service.

Nous arrivons en périphérie de Bruxelles.

Nous nous garons sur le parking de l’aéroport.

Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages avec la compagnie Emirates. Le vol pour Tokyo est décomposé en deux étapes et coûte 400 euros. Un premier vol nous emmène à Abu Dahbi, puis un autre vers Tokyo.

Après avoir passé les contrôles de sécurité, nous découvrons le hall d’embarquement qui comporte de nombreuses boutiques.

Nous embarquons.

Nous décollons.

Le vol est agréable.

Après 7 heures de vol, nous atterrissons à Abu Dahbi.

Un bus nous conduit dans le hall central de l’aéroport.

Nous avons trois heures d’escale.

Nous en profitons pour manger un morceau.

Nous visitons l’aéroport.

Nous rejoignons le hall d’embarquement.

Nous décollons et effectuons un autre vol agréable d’une durée de 10 heures.

Nous arrivons à l’aéroport Narita.

Les contrôles de l’immigration se passent en moins de dix minutes, efficacité japonaise oblige.

Nous rejoignons le hall de l’aéroport que nous visitons un peu.

A l’extérieur, fumer est interdit presque partout ; des emplacements réservés sont disponibles. La température extérieure est de 30 degrés ; pas un papier ne traîne sur le sol.

Nous retournons à l’intérieur de l’aéroport pour effectuer le change de notre monnaie ainsi que pour acheter un billet de bus avec la compagnie Bus limousine pour rejoindre l’aéroport d’Haneda pour prendre un vol vers le Nord du pays.

Le ticket vers l’aéroport d’Haneda coûte 35 euros ; le trajet dure 1 heure et 30 minutes.

Nous patientons à l’extérieur devant la borne 3.

Le bus arrive à l’heure.

Le trajet peut commencer ; nous en profitons pour nous détendre ou profiter d’une Wifi de bonne qualité, gratuite.

Nous arrivons à l’aéroport d’Haneda.

Etant donné que notre vol s’effectue en début de soirée, nous avons le temps de découvrir l’aéroport.

L’aéroport comprend un grand centre commercial. Mais, dans le hall, les nombreuses boutiques présentes démontrent le côté commercial des japonais qui adorent effectuer des emplettes.

Alors que notre vol avec la compagnie nationale ANA est dans près de 8 heures, nous pouvons quand même enregistrer nos bagages au travers des bornes automatiques.

Délester des poids de nos bagages, nous pouvons découvrir l’aéroport.

Le centre commercial s’étend sur plusieurs étages.

De nombreux restaurants sont disponibles dans le centre commercial. Mais, les prix des repas restent élevés.

A l’étage, nous pouvons sortir pour découvrir la piste.

Nous décidons de manger au restaurant Numazu Uogashizushi group.

Le restaurant est correct.

Après avoir payé les 12 euros du repas, assez frugal, il convient de le préciser, nous continuons notre découverte de l’aéroport.

Nous sommes appelés à l’embarquement.  Au moment de passer les contrôles, nous sommes appelés par un membre de la compagnie qui a décelé la présence de briquets dans notre sac ; il faut savoir qu’au Japon, transporter des briquets en soute est interdit ; seul un briquet sur soi est autorisé. Nous devons abandonner les briquets supplémentaires. En outre, il est interdit de prendre avec soi un trépied ou un parapluie ; pour transporter sans risque notre trépied, la compagnie nous met à disposition gratuitement une grosse boîte ; le trépied est enroulé dans plusieurs couches de plastique protecteur. Par contre, durant les vols domestiques, une bouteille d’eau d’une capacité supérieure à 100 ml est autorisé en cabine.

Nous patientons dans le hall d’embarquement.

Nous sommes appelés à l’embarquement.

Le vol vers Shonai dure 1 heure et 30 minutes ; pour les étranger, la compagnie nationale a mis en place des tickets bien moins chers que pour les nationaux ; le billet coûte 49 euros aller.

Nous atterrissons à l’heure.

Nous rejoignons le hall central de l’aéroport.

Nous sortons de l’aéroport.

Nous sommes rejoints par notre guide local : Hiroaki Yabushita, de l’agence Shoko travel, mandaté par l’agence française Odysway.

Nous arrivons tard dans la nuit dans notre hôtel : Dai Ichi, un hôtel quatre étoiles dont le prix des chambres est de 100 euros la nuitée. L’hôtel se trouve 2-10 錦町 Tsuruoka, Yamagata 997-0031, Japon et peut être joint au 00 81 235 24 7611 ou sur le site : http://www.tdh-tsuruoka.co.jp

Nous découvrons une chambre agréable.

Hiro San, décide de nous emmener tard dans la nuit dans un restaurant traditionnel : le Banya Seijiro.

Nous découvrons le chef dans ses cuisines.

Nous pouvons enfin manger.

Le patron du restaurant nous offre plusieurs verres de Saké.

Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner.

A l’heure prévue, Hiro San vient nous récupérer.

En sa compagnie, nous prenons la route vers la gare centrale de la ville.

Nous nous garons sur le parking de la gare.

Nous achetons un billet aller-retour pour la ville de Murakami. Le trajet coûte une vingtaine d’euros.

Nous grimpons dans le train.

Un peu plus d’une heure de train est nécessaire pour rejoindre cette ville traditionnelle.

Le trajet nous permet de découvrir des paysages magnifiques.

Nous arrivons à l’heure à Murakami.

Nous rejoignons la place centrale qui se trouve aux abords de la gare.

Nous nous rendons ensuite à l’office de tourisme qui se trouve face à la gare. L’office est joignable au 00 81 2 54 53 23 47 ou sur le katano@sake3.com

Nous découvrons les alentours de la gare.

En compagnie du directeur, nous nous rendons dans le centre-ville.

Etant donné que nous avons besoin d’acheter un adaptateur secteur, nous nous rendons dans un magasin d’électronique.

Pour fumer à l’extérieur, le directeur utilise un cendrier.

Nous retournons dans le centre.

Nous faisons une halte pour découvrir le marché local de fruits et de légumes.

Le marché est étonnamment calme, chaque acheteur étant vraiment respectueux de l’endroit.

Les produits sont locaux.

Nous nous rendons dans le restaurant traditionnel réservé par l’office.

Le restaurant situé dans le centre historique de la ville est un restaurant traditionnel de saumon.

Nous sommes conduits à notre place.

Nous nous asseyons.

Des entrées nous sont offertes.

Puis vient le plat principal, une sorte de barbecue traditionnel.

Nous nous constituons ensuite notre propre soupe.

Le repas est exceptionnel.

Nous continuons notre découverte de la ville.

Nous arrivons aux thermes Senami onsen qui se trouvent à Murakami 958-0037, Niigata Prefecture ; le site est joignable au 00 81 254-52-2656 ou sur le site : http://www.senami.or.jp

Nous nous changeons ou du moins, nous nous déshabillons entièrement, les onsen ayant interdit tout port du maillot de bain ; par contre, ils ne sont pas mixtes.

Le site est magnifique.

Nous nous trouvons face à la mer.

Deux bassins sont disponibles.

A l’intérieur, tout est offert aux clients : des savons aux lotions diverses.

Nous préférons nous baigner à l’extérieur en profitant des sources encore plus chaudes.

Nous profitons d’un bon moment de détente.

Nous retournons dans le centre.

Nous arrivons au musée du saumon. Le musée se trouve Iyoboya Kaikan13-34 Shiomachi , Murakami 958-0876.

Nous pouvons observer des saumons dans des aquariums.

La visite est agréable.

Dans le musée, une vitre permet de découvrir en temps réel la vie au coeur d’une rivière.

Nous terminons notre visite par quelques explications sur la place du saumon dans la société japonaise.

Nous retournons dans le centre-ville.

Nous nous rendons ensuite à l’usine Kikkawa qui se trouve 1-20 Omachi, Murakami, Niigata 958-0842, Japon ; l’usine de fabrique de saumons séchés possède également une boutique et un restaurant et peut être jointe au 00 81 254 53 2213. Le site Internet est le : https://www.murakamisake.com

Nous dépassons la boutique.

Nous découvrons des centaines de saumons séchant au plafond.

Nous quittons l’usine pour visiter une artisane qui travaille la soie.

Nous arrivons à la boutique Asahi-mura Mayu no Hana no Kai ; la patronne qui travaille avec sa collaboratrice nous explique les ficelles de son métier. La boutique se trouve 1215 Sarusawa Murakami-shi 958 0261 Japon. La boutique est joignable au 00 81 2 54 72 03 87 ou sur le info@mayuhana.com ; le site Internet est lewww.mayuhana.com

Les boules en forme de cocon qui arrivent de Chine sont chauffées ; un léger fil en est extirpé.

Nous retournons à la gare.

Nous sommes appelés à l’embarquement.

Le trajet retour est tout aussi agréable que le trajet aller.

Arrivés à l’hôtel Dai Ichi, nous profitons d’un moment de détente aux Onsens de l’hôtel.

Le soir, nous nous rendons au bar restaurant Saiyo Kabre Crazy western culture mania qui se trouve  dans la ville de Tsuruoka.

Nous commandons plusieurs plats internationaux.

Les plats sont succulents, surprenant pour un bar qui reçoit majoritairement des étudiants.

Après une courte nuit, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous sommes ensuite rejoints par Sarah, une française travaillant à l’office de tourisme de la ville ; à la demande d’Hiro San, elle nous accompagne durant cette journée de visite exceptionnelle qui va nous permettre de vivre en immersion avec les moines Yamabushis.

Nous prenons la route vers le mont Yudono.

Nous faisons une halte au Temple Churenji. Le temple se trouve sur la ligne de bus qui relie Tsuruoka à Yudono-san . Pour le rejoindre, il convient de descendre à l’arrêt de bus Oami (大 網), où Churenji se rejoint en 20 minutes. Il y a cinq allers-retours par jour. Le trajet aller simple entre la gare de Tsuruoka et Oami prend 45 minutes et coûte environ 1030 yens.

Le temple est magnifique.

Le temple comporte une momie.

Nous découvrons les salles arrières du temple.

Nous reprenons la route.

En pleine campagne, nous faisons une halte pour découvrir les rizières du pays.

Les tiges de riz sont séchés sur des poteaux.

Nous faisons la connaissance avec une agricultrice qui cueille des haricots.

Nous reprenons la route.

Nous faisons une autre halte pour découvrir le travail des agriculteurs qui ramassent le riz séché sur les poteaux aperçus auparavant.

Nous suivons les agriculteurs en train de travailler.

Juste en face, nous décidons de visiter le temple Dainichi-bo. Il se trouve Nyudo-11 Oami, Tsuruoka, Yamagata 997-0531, Japon ; il est joignable au 00 81 235 54 6301 ou sur le site Internet : http://dainichibou.or.jp

Le temple est un des plus beaux de la préfecture de Yamagata.

Nous découvrons également une momie exposée.

Notre groupe participe à une prière privée.

Le moine responsable du temple décide de nous ouvrir une partie du temple interdite au public.

Nous reprenons la route vers le mont Yudono.

Nous entrons sur le site sacré des moines Yamabushis.

Nous rejoignons le Yudono Sanrojo lodge, dans lequel nous dormirons le soir même. Mt. Yudono n’est pas desservi par les transports en commun réguliers. La méthode de visite la plus souvent préférée consiste à utiliser une voiture personnelle ou une voiture de location.Ce site est situé à plus d’une heure de la gare de Tsuruoka et dans les hauteurs de la montagne.

Plus d’informations peuvent être demandés sur le site : https://www.yudonosan-stay.com/access/

En arrivant sur les lieux, avant de rejoindre le lodge, nous assistons à une prière bouddhiste.

Les membres d’un groupe sont appelés chacun leur tour pour prier.

Le silence est de rigueur.

La scène est très forte.

Nous découvrons les alentours.

Nous entrons dans le lodge.

Une carte du site nous est remise.

Nous découvrons une chambre typique, qui ne ferme pas à clef.

La vue sur la montagne est sublime.

Nous rejoignons la prêtresse Yamabushi qui va nous accompagner toute la journée et nous permettre d’entrer dans le sanctuaire sacré.

Un repas de groupe est donné dans la salle du rez de chaussé.

La guide qui est une prêtresse Yamabushi : Masayo Ueno peut être jointe au 00 81 23 641 2160 ou sur le info@ise-dewa.jp 

La guide peut également être jointe au 00 81 90 65650662 ou sur le masayoun@gmail.com 

Elle nous donne  des kimonos que nous devront mettre pour rejoindre le sanctuaire.

En attendant la montée, nous décidons de manger dans un des restaurants qui se trouvent sur le site.

Des militaires qui s’entraînent non loin décident également de manger un morceau.

Les plats servis sont de qualité.

De retour au lodge, nous enfilons nos kimonos.

Nous sommes prêts pour les deux heures de trek jusqu’au sommet du sanctuaire.

Nous suivons une route goudronnée.

Le territoire est sublime.

A chaque stèle, la prêtresse prie.

De nombreuses chutes d’eau sont présentes le long du chemin.

La pente est assez ardue par moment.

Nous quittons la route goudronnée pour emprunter un chemin de terre qui longe la rivière.

Les pierres sont glissantes.

Nous nous régalons du spectacle.

Le chemin se termine par une haute cascade.

La prêtresse prie sous la cascade.

Nous devons parcourir une longue échelle.

Nous retrouvons la forêt.

Nous découvrons le sanctuaire.

Le sanctuaire est le lieu le plus sacré pour les moines Yamabushis.

Les photos sont strictement interdites ; par respect pour la prêtresse, nous n’en prendrons pas de la déesse, qui est selon les Yamabushis, située dans le coeur d’un cône de roche duquel s’écoule une source chaude.

Après une longue prière et un rituel qui nous a fait passer sur un chemin entourant la déesse, nous pouvons quitter le sanctuaire.

Nous reprenons notre avancée et rejoignons la route goudronnée.

Nous devons cependant continuer un peu notre ascension.

Un bus nous emmène jusqu’au lodge.

Nous laissons nos affaires au lodge et retournons avec Hiro San à Tsuruoka pour déposer Sarah.

Hiro San me présente la gare de bus.

Nous achetons une clef USB dans un magasin d’électronique.

Nous rejoignons ensuite un grand centre commercial.

Nous effectuons quelques achats souvenirs.

Les produits sont variés.

Les produits nous donnent envie.

Nous payons à la caisse une vingtaine d’euros, mais pour ne pas gêner les clients, nous devons les emballer un peu plus loin.

Nous faisons le plein d’essence.

Nous achetons d’autres affaires dans un autre magasin.

Nous arrivons tard dans la nuit au lodge.

Nous mangeons dans le restaurant du lodge.

Nous dormons ensuite, tout en protégeant comme nous le pouvons nos affaires d’une porte qui ne se ferme pas.

Le lendemain matin, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous faisons également un petit tour dans les onsens de l’hôtel.

Nous assistons à une prière matinale.

Un chauffeur de taxi vient nous récupérer.

Nous prenons la route vers le mont Gassan, la deuxième montagne sacrée des moines Yamabushis.

Nous nous dirigeons vers le Gyokusenji temple and Japanese garden, un temple magnifique du secteur.

Il nous faut une heure pour rejoindre  le temple.

Nous nous garons aux abords du temple Gyokusenji temple and Japanese garden qui se trouve amagawa-35 Haguromachi Tamagawa, Tsuruoka, Yamagata 997-0121, Japon ; il est joignable sur le 00 81 235 62 2746 ou sur le site : https://www.gyokusenji.or.jp

Le temple est surtout célèbre pour son jardin.

Nous entrons dans le temple.

Nous visitons le jardin qui se trouve à l’entrée.

Nous découvrons ensuite le temple de l’intérieur.

A plusieurs endroits, nous découvrons le jardin qui se trouve derrière le temple.

Nous continuons notre découverte des lieux.

Nous assistons à une prière.

Dans l’arrière salle se trouvent de nombreuses statues bouddhistes.

Il est temps pour nous de partir.

Nous prenons la route vers le mont Gassan.

Une heure de route est nécessaire pour rejoindre les abords de la montagne sacrée.

Nous nous garons sur le parking.

Nous découvrons un site merveilleux.

Les couleurs sont sublimes.

Nous effectuons une petite promenade.

A chaque endroit, la vue est unique.

Nous retournons à Tsuruoka.

Nous retournons à l’hôtel Dai Ichi.

Hiro San décide de nous faire visiter un centre commercial prisé par les habitants.

Les boutiques sont nombreuses.

Nous nous essayons également aux jeux d’un game center.

De nombreuses friandises sont à gagner.

Nous visitons d’autres boutiques plus traditionnelles.

Nous faisons la rencontre de collégiennes fort sympathiques.

Nous dégustons également une bonne glace.

Nous retournons nous détendre à l’hôtel.

Puis, nous nous rendons dans un véritable bar à sushis.

Le principe est simple ; nous nous asseyons ; un tapis roulant propose des sushis ; on se sert au passage ; à la fin, les assiettes sont comptabilisées pour effectuer le paiement. Des commandes manuelles sont également possibles.

Nous nous régalons.

Le lendemain matin, après un petit-déjeuner rapide, nous prenons la route vers le sanctuaire d’Haguro.

Situé au pied du mont Haguro, le musée présente aux visiteurs le monde des pratiques ascétiques. Le musée offre également aux visiteurs l’occasion de se familiariser avec les pratiques ascétiques des yamabushi (prêtres des montagnes).

Nous visitons le musée, que nous trouvons fort intéressant.

Juste en face du musée, nous découvrons le sanctuaire d’Haguro, la troisième montagne sacrée des moines Yamabushis.

L’entrée du sanctuaire est gratuite.

Nous descendons plusieurs dizaines de marches.

De petits temples nous réceptionnent.

Nous traversons ensuite un pont.

Nous rejoignons un autre temple.

Le paysage qui nous entoure est sublime.

Nous nous enfonçons dans la forêt.

Face à nous, un chêne plusieurs fois séculaire.

Près de 1000 marches permettent de monter jusqu’au sommet de la montagne.

Accompagnés de Derek, notre guide, nous prenons un bon café.

Derek est un guide formidable ; il est joignable au 00 81 70 11 43 01 72 ou sur le derek.yamashita@thehiddenjapan.com

Nous continuons notre découverte du territoire.

Nous arrivons dans le restaurant traditionnel : Fujinoya cafe appelé également Kominka Cafe Fujinoie qui se trouve 28 Fujishima, Tsuruoka 999-7601 Yamagata Prefecture

Le restaurant comporte un beau jardin extérieur.

Les plats proposés sont faits maison.

Nous décidons de visiter un peu les alentours. Les maisons sont traditionnelles.

Nous avons la chance d’assister à la construction d’une maison en bois.

Nous passons le reste de la journée à nous détendre. Nous apprenons également que le lendemain, le chef culinaire Takeshi Suda, un des plus grands chefs sushis du monde accepte que nous le filmions en train de travailler. Grâce à Derek qui nous a mis en relation. De sa bouche, il nous réserve une surprise de taille.

Le lendemain matin, après un petit déjeuner copieux, nous prenons la route vers Kamo aquarium.

Nous faisons une halte au marché aux poissons de Tsuruoka.

Juste à côté du marché aux poissons se trouve le marché local, dans lequel nous nous rendons.

De nombreux produits sont proposés.

Il est temps de prendre la route vers le Kamo aquarium.

L’aquarium, un des plus célèbres au monde pour les méduses se trouve au Okubo-657-1 Imaizumi, Tsuruoka, Yamagata 997-1206, Japon ; il est joignable au 00 81 235 33 3036 ou sur le site Internet : https://kamo-kurage.jp
Mais, le restaurant est célèbre pour accueillir le restaurant de Takeshi Suda, un des plus grands chefs sashimis du monde. C’est avec lui que nous avons rendez-vous pour assister à une découpe exceptionnelle de poissons rares.

Avant notre rendez-vous, nous en profitons pour découvrir l’aquarium.

Les aquariums sont exceptionnels.

Nous en prenons plein les yeux.

Nous arrivons au restaurant du chef. Pour joindre le chef, qui propose également des cours uniques de cuisine, il convient de rejoindre le Kamo Aquarium, dans lequel se trouve le restaurant Gyosho Dining Okimizuki ; le chef est joignable au 00 81 90 73 23 95 93 ou sur l’email : sudatakeshi1130@yahoo.co.jp

Devant nous, il tue un poisson rare. Un poisson Tai (Japanese Sea Bream)

La préparation est minutieuse.

Même découpé, nous entendons encore le coeur du poisson battre.

Le rituel de préparation est surprenant.

La découpe est précise.

L’assemblage est une oeuvre d’art.

Il nous dévoile ensuite la surprise : il va nous cuisiner du Fugu, le poisson le plus toxique du monde, qui s’il n’est pas bien préparé donne la mort en moins de 24 heures.Le poisson en question est un Tigger Pufferfish, dont le prix d’achat dépasse les 400 euros, tant sa qualité est exceptionnelle. Le Tora Fugu est un des poissons Fugu les plus rares et les plus onéreux du Japon. Il fait partie de la famille des Pufferfish.

Armé de son gant en métal, il découpe le poisson en prenant bien soin de retirer les organes et la chair contaminée.

Les organes dangereux sont placés dans une autre assiette.

Une fois les organes mortels retirés, il peut s’atteler à préparer la chair qu’il retire à l’aide d’un autre couteau.

La chair est soigneusement lavée.

La découpe au millimètre peut commencer.

Un cygne prend forme dans l’assiette.

Au final, ce sont trois Fugu que le chef prépare pour nous.

Le cygne, véritable oeuvre d’art est recouvert de paillettes d’or.

Le chef nous invite ensuite à passer à la dégustation.

Quand bien même j’ai un peu peur, je me lance.  L’expérience est unique et je ne pourrai plus la revivre, le prix du Fugu étant trop élevé.

Le goût est exceptionnel, indescriptible, peut être un des meilleurs met mangé dans ma vie.

Pendant ce temps, le chef nous prépare un autre poisson rare pour nous le cuisiner bouilli.

Nous nous régalons ; cette découverte culinaire est un véritable rêve.

Nous alternons trois sortes de poissons.

Mais le meilleur reste le Fugu.

Nous pouvons après avoir salué le chef, visiter l’aquarium.

Des centaines d’espèces sont représentées.

Nous découvrons des milliers de méduses.

Le site est ergonomique.

Nous nous régalons.

En outre, les japonais étant respectueux, ils ne s’agglutinent pas et laissent rapidement leur place.

Nous terminons cette découverte et quittons l’aquarium.