Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 400 photos montre intégralement notre traversée du Japon du Sud, d’Ouest en Est afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. 

Nous avons ainsi découvert le pays et nous vous en présentons ses trésors touristiques.

Pour les lecteurs intéressés, découvrez la première partie de notre second séjour dans le pays grâce à notre récit de voyage sur le Nord du Japon et notre rencontre avec les moines Yamabushis.

Vous pouvez également découvrir la deuxième partie de notre second séjour dans le pays grâce à notre autre récit de voyage dans le Nord du Japon.

Vous pouvez également lire notre récit de voyage sur Tokyo et l’île d’Enoshima.

Vol vers le Japon

Nous survolons le Japon en provenance de Inchéon, en Corée du Sud avec la compagnie à bas coût Peach.

L’aéroport d’Osaka

Nous arrivons après deux heures de vol en région d’Osaka. Le ciel étant clément, nous nous posons sans encombre.

Nous rejoignons l’aéroport. Etant ressortissant Français, le visa n’est pas obligatoire.

Trajet vers Osaka

Nous rejoignons l’extérieur du terminal 1. Et prenons un bus afin de nous diriger vers le terminal 2.

Le bus est bondé, mais les Japonais, respectueux ne se bousculent pas.

Vue globale sur Osaka

Avant de retourner sur nos pas et revenir dans la ville d’Osaka. L’autoroute est très belle, même si la conduite à gauche avec le volant à droite est quelque peu déroutante. La ville d’Osaka apparaît enfin.

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Osaka est une des plus grandes villes du pays. Il faut bien deux heures pour atteindre le centre ville. Et voir le soleil se coucher au fur et à mesure de notre avancée.

Ce qui nous laisse découvrir un foisonnement de lumières.

Nous en profitons pour nous restaurer dans un self d’autoroute.

Route vers Nagoya

Ce qui nous donne un emplacement magnifique d’où admirer la ville. Ainsi que le port, un des plus grands du pays. Nous reprenons notre véhicule en direction de Nagoya.

Nagoya by night

Nous franchissons plusieurs tunnels. La ville de Nagoya apparaît au bout de trois heures de conduite. Elle est magnifiquement éclairée.

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Et ressemble aux grandes métropoles occidentales.

Nous nous perdons, malgré le GPS.

Mais parvenons tout de même à trouver notre hôtel : le royal Nagoya, un hôtel de grande classe à une cinquantaine d’euros la nuit : abordable.

Nous nous restaurons à moindre coût dans un magasin qui se trouve dans l’hôtel.

Les produits sont variés.

Et typiquement japonais.

Mis à part le spa de l’hôtel, qui propose une source d’eau à 50 degrés, les toilettes restent l’autre grande attraction de l’établissement : elles comprennent des fonctionnalités, dont nous ne pouvons même pas suspecter l’utilité.

La ville de Nagoya

Le centre-ville

Le lendemain matin, après un copieux petit déjeuner, nous visitons la ville.

Qui semble encore endormie. De grandes avenues desservent de plus petites ruelles.

Le château de Nagoya

Jusqu’à ce que nous trouvions le château de Nagoya.

Nous tournons autour une bonne dizaine de minutes afin de nous garer.

Nous stationnons à proximité d’un parc vert. Nous avons une vue magnifique sur l’édifice.

Nous en faisons le tour.

Et immortalisons notre passage.

Nous quittons cet endroit magique.

La tour de Nagoya

Nous découvrons à présent la tour de Nagoya, la plus haute de la ville.

Le centre

Nous nous dirigeons vers le marché couvert de la ville.

Qui nous protège d’une légère pluie fine.

Les commerçants commencent leur journée.

Nous continuons notre découverte de la ville.

Dépassons plusieurs arches.

Et nous perdons dans les dédales de la ville.

Une grande roue attire notre regard.

Nous parvenons à nous garer à une place interdite.

Le temple Asu Kannon

Et nous nous dirigeons vers le temple Asu Kannon.

Japon 53

Un pêcheur prie devant une statue de bouddha.

Nous entrons dans le temple principal.

Ainsi que dans un des bâtiments secondaires.

Des centaines de petites statuettes dorées sont disposées en alignement.

Entourant un bouddha d’or central.

L’endroit est magnifique, surprenant.

Nous recroisons le bouddha central.

Jetons un dernier regard sur ce premier temple japonais visité.

Route vers Tokyo

Et reprenons notre route. Au moment de prendre le péage, un japonais d’un certain âge émerge brusquement de sa cabine ; il ressemble à un robot tout droit sorti d’un manga dont le pays a le secret.

Il nous faut bien deux heures pour quitter la ville. Toujours situés sur une autoroute très cher ; nous en aurons pour prés de 400 euros pour un trajet aller Osaka – Tokyo. Nous regrettons ainsi de ne pas avoir pris le train, pour une somme modique d’une centaine d’euros par personne. Nous traversons une petite ville. Et faisons le plein d’essence, pour un prix équivalent à la France.

Nous continuons notre route. Nous découvrons un temple un peu différent de ceux que nous avons vu jusqu’à présent. Il présente plusieurs tourelles dorées.

Nous traversons une autre petite ville.

La ville de Yaizuz

La campagne environnante commence à changer. Une légère pluie retombe à nouveau. Alors que nous arrivons dans la ville de Yaizuz, petite ville côtière du pacifique.

Nous rejoignons son port en une dizaine de minutes.

Avant de nous arrêter pour la première fois face à l’océan pacifique.

L’océan est calme.

Quelques bateaux ont jeté l’ancre.

Nous décidons de prendre de la hauteur.

Nous surplombons les toits des maisons de la ville. Et méritons ce panorama qui se dégage devant nos yeux.

Pour la première fois, nous découvrons cet océan du bout du monde, pleinement.

Le ciel s’entredéchire.

Ce qui donne lieu à l’apparition d’un brouillard dense.

Reprise de la route

C’est alors qu’une tempête survient. Nous plions bagage. Nous continuons notre route, accompagné d’un paysage brumeux.

Duquel se détache une atmosphère mystérieuse. Les montagnes commencent à apparaître. Les villes se traversent rapidement.

Une détente méritée

Et après une longue plaine, nous nous arrêtons dans une petite ville.

Afin de nous reposer.

C’est à pied que nous la parcourons.

Kawaguchiko

Après plus de 300 kilomètres depuis la ville de Nagoya, nous arrivons à destination.

Nous arrivons dans la région des grands lacs. Entourant la ville de Kawaguchiko. Les lacs nous entourent. Et nous nous arrêtons à proximité du plus grand d’entre eux.

Sur le parking d’un hôtel. Nous avons une vue panoramique sur la ville.

Et surtout, sur le mont Fuji, quelque peu recouvert.

Le Mont Fuji

Le paysage est sensationnel.

Nous laissons libre court à notre imagination.

Nous continuons notre route

Nous pénétrons dans le parc national qui entoure le mont Fuji.

En ce mois de juillet, nous devons laisser la voiture stationner sur un parking prévu à cet effet.

Route vers Tokyo

Et après une belle promenade sur ce mont séculaire, nous repartons en direction de la capitale : Tokyo.

L’arrivée à Tokyo

Nous retrouvons notre maison, loué par le biais de l’agence vivre le Japon, qui s’est occupée de tout, avec un professionnalisme avéré.

La maison se retrouve entourée par des centaines d’autres ; chaque espace géographique est rentabilisé.

Tokyo

Premiers pas dans la ville

Le lendemain matin, nous retrouvons notre guide au coût vraiment minime : Laetitia Da Costa, joignable sur son mail ou sur le 08042308748.

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Nous découvrons une rue animée.

Ainsi que des carrefours déserts.

Nous rejoignons une station de métro.

Le métro japonais

Dans laquelle nous nous engouffrons. L’usager japonais est plutôt réservé ; à l’instar de Paris, il fait la tête, mais à la japonaise.

Néanmoins, il ne fait pas de vague et ne se prive pas de laisser sa place assise à une personne âgée.

La mairie de Tokyo

Nous prenons la sortie de la mairie de Tokyo.

La mairie se trouve au milieu de hauts buildings.

Qui surplombent de nombreux arbres.

La vue est édifiante.

L’immeuble semble toucher le ciel.

Le décor est futuriste.

Et d’une propreté inégalée. Les bureaux ne sont pas encore ouverts.

Le quartier des affaires

Ce qui nous laisse du temps pour bien découvrir l’endroit. Loin, du tumulte habituel de la ville, Tokyo étant la ville la plus peuplée au monde. Nous dépassons trois immeubles qui surpassent tous les autres.

Et traversons le quartier des affaires.

Le temple Maiji Jingu

Afin de rejoindre le temple Meiji Jingu, ou du moins le sanctuaire éponyme.

Il se trouve à l’intérieur d’un vaste parc.

Dans lequel, nous nous promenons. De belles allées bien vastes accueillent les visiteurs.

Et quelques autochtones pratiquent de bon matin, leur sport favoris : la marche. Nous apercevons le parc.

Tout de bois vêtu.

Il contient une vaste cour.

Ainsi que plusieurs entrées.

Nous nous dirigeons vers le temple principal. L’extérieur est entretenu à la japonaise.

De nombreux mariages s’y déroulent à l’intérieur.

Nous prenons notre temps au sein de cet havre de paix.

Nous effectuons une dernière entrée dans le temple.

Avant à notre tour, de nous diriger vers la sortie. Tout en avouant nous perdre un peu face à l’immensité de l’endroit.

Fort heureusement, notre guide veille sur nous. Nous rejoignons une des artères les plus commerçantes de la ville.

Le quartier commerçant

Les couleurs des magasins sont aussi bariolées que les vêtements de leurs acheteurs.

Un savant équilibre entre denrées périssables Et biens de consommations courantes. La rue est bondée de monde. Essentiellement des jeunes.

Mondialisation oblige, un Mac Donald japonais se trouve bien en évidence.

Nous prenons ensuite le métro.

Shibuya

Afin de nous rendre à Shibuya.

Le carrefour est désert.

Mais, en un instant.

Il devient noir de monde. Avec ses nombreux passages piétons. Il est l’un des passages obligés de la ville.

Les gens ressemblent à des fourmis dociles.

En tous sens, ils se déplacent. Ce ballet ne dure néanmoins qu’un temps. Et progressivement, les feux deviennent rouges pour les piétons. Les voitures font de même, avec un peu plus d’organisation.

Nous pratiquons la langue. Le japonais n’est parlé qu’au Japon. Le japonais appartient à la famille isolée des langues japoniques. Son vocabulaire s’est notablement enrichi, au cours de l’Histoire, par divers emprunts : à la langue chinoise ou anglaise.

Bonjour. Konnichiwa. (conne-ni-tchi-wa)
Comment allez-vous ? O genki desu ka? (o génki desse ka ?)
Très bien, merci. Hai, okage-sama de. (hay o kagé sama dé)
Quel est votre nom ? O-namae ha nan desu ka? (O namaé wa nane déss ka)
Mon nom est Ludovic. Watashi no namae wa Ludovic desu. (watachi no namaé wa Ludovic dèss)
Heureux de vous rencontrer. Hajimemashite. (hadjimémachté)
S.v.p. O-negai shimasu. (onégaã shimass)
Merci. Arigato. (arigato)
Il ny a pas de quoi. Dozo.
Oui. Hai hay.
Je ne parle pas japonais. Nihongo wo hanasemasen. (nihon go o hanasemasénne)
Parlez-vous français ? Furansugo wo hanashimasu ka? (foulanssgo o hanashimasska ?)
Y a il quelqu’un qui parle français ici ? Koko ni dareka furansugo wo hanaseru hito ha imasu ka?(kokoni daléka foulanssgo o hanasèle hitowa imasska)
Je ne comprend pas. wakarimasen. (wakalimasénn)
Excusez-moi. Sumimasen. (soumimassène)
Je suis désolé. Gomen’nasai. (gommen nassaille)
Au revoir. Sayounara. (sayonara)

Nous nous rendons dans un restaurant traditionnel avec les plats préparés devant nous et leur arrivée sur une chaîne motorisée.

La cuisine japonaise est un art. Elle est constituée principalement de riz, de pâtes, de thé et de soja. Depuis la contamination de Fukushima, un vaste programme de surveillance a été mis en place.

La cuisine japonaise est servie avec l’accompagnement de plusieurs épices :

– Wasabi : épice très piquante assez connue. Sorte de crème de couleur verte assez vive, plutôt jolie d’aspect. Son goût est très fort. On la retrouve notamment en couche épaisse dans les sushis.
– La racine de raifort râpée qui a une saveur très forte, piquante et poivrée. C’est également l’ingrédient principal du wasabi.
– Le Gingembre (shôga) : rhizome de couleur rose utilisé frais, sous forme de jus ou mariné. On le retrouve dans de nombreux plats, par exemple avec les sushis ou les sashimis.
– Soja : ingrédient indispensable à la cuisine japonaise, le soja est utilisé sous diverses formes. La farine de soja, le lait de soja, le tôfu (sorte de fromage), le natto (fabriqué à partir de graines fermentées à la consistance gluante), le miso (fabriqué à partir d’une pâte de soja fermentée

Un large choix s’offre à nous :

– Le bœuf de Kobe, viande extrêmement délicate, très réputée pour sa tendreté et sa texture persillée.
– Les crustacés, les coquillages et les algues.
– Les sushis : préparation à base de riz vinaigré. Il existe deux sortes de sushis : les nigiri, petits canapés de riz vinaigré couverts le plus souvent de poisson cru, et les norimaki, paupiettes de riz fourrées de poisson cru ou de légumes et enrobées d’une feuille d’algue séchée.
– Les sashimis : tranches de poisson cru.
– L’anguille : préparée sous différentes formes. L’unajû est une des préparations, la plus populaire : du riz est disposé dans une boîte en bois laqué et l’on y place des brochettes de filet d’anguille cuites au feu de bois. Malheureusement, du fait de son fort taux de contamination, elle est désormais interdite à la consommation.
– Les algues : ramassées au large ou cultivées délicatement dans des criques abritées. Très riches en protéines, vitamines et sels minéraux, elles sont particulièrement appréciées. Vous en découvrirez dans de nombreux plats.
– Sukiyaki : plat qui ressemble au pot-au-feu. On plonge des morceaux de viande (bœuf, porc, poulet…) bouillis dans un fond de sauce assaisonné, puis on les trempe dans un jaune d’œuf battu.
– Okonomyaki (spécialité d’Osaka) et monjayaki (spécialité de Tokyo) : sortes de crêpes aux ingrédients variés (bœuf, fruits de mer, légumes…) que l’on prépare soi-même sur une plaque au milieu de la table.
– Râmen : pâtes (n’importe quelle variété) dans un bouillon, servies dans un grand bol et pouvant être accompagnées de légumes, de viande…
– Soba : nouilles de sarrasin, faites à la main. Les pâtes sont ensuite coupées et servies chaudes ou froides.
– Mochi : gâteau de riz gluant moulé sous différentes formes, traditionnellement servi pour la nouvelle année. Il est écrasé au mortier et généralement grillé.
– Kaiseki Ryori : type de nourriture servie durant les cérémonies du thé. Ne sont utilisés que des ingrédients frais de la saison.
– Les yakitori : brochettes de viande ou de légumes divers.
– La fleur de chrysanthème (shungiku).
– Les fondues, principalement composées de bœuf mijoté et de légumes comme le shabu-shabu et le sukiyaki.
-Les tempura :beignets de crevettes frits.

Les desserts, il convient de le préciser ne sont pas en reste.

– Le kaki : petit fruit orange servi traditionnellement lors des fêtes.
– La poire japonaise (nashi) : qui a l’apparence et la texture d’une pomme, de couleur jaune à brun.
– La prune (ume) : réputée pour faciliter la digestion et nettoyer les intestins.
– La noix de ginkgo (ginnan) : ingrédient de luxe que les Japonais ajoutent à des plats à la vapeur, grillés ou frits. Cette petite noix blanche provient de l’arbre appelé « ginkgo » et ressemble, en goût, aux pignons de pin.
– Le citron japonais (yuzu) :
– Les châtaignes : il en existe deux variétés que les Japonais utilisent dans les desserts ou simplement grillées.
– Tofu : cette pâte de soja ne contient aucune graisse animale. Tout est végétal et diététique.

Comme tout japonais qui se respecte, nous accompagnons notre repas de vin, de bière et nous terminons par un thé et un saké, sorte d’alcool de riz.

Nous en avons pour une vingtaine d’euros par personne. Mais, le repas était délicieux, constitué avec soin.

La tour de Tokyo

Nous prenons le métro central afin de nous rendre à la tour de Tokyo.

Elle s’aperçoit au loin. Nous nous rapprochons d’elle.

Une voiture bariolée de couleurs nous surprend.

Ce qui ne nous départ pas de notre chemin.

Le temple de Zojoji

Aux pieds de la tour, un petit parc boisé.

Et à ses côtés, un temple magnifique : le temple de Zojoji.

Qui permet d’obtenir une vue contrastée entre tradition et modernité. Le temple principal se trouve non loin.

Aux abords d’un petit cimetière. Nous pénétrons dans le temple principal.

Aux abords, des petites statuettes représentant des enfants sont habillés de toutes sortes ; un symbole de protection pour les Japonais.

La baie de Tokyo

Nous jetons un dernier regard sur ce temple et nous appelons un taxi. Qui nous dépose à la baie de Tokyo.

Qui offre une vue formidable sur la ville.

Le pont principal de la ville se dégage. Et à ses côtés, les bâtiments du quartier des affaires.

Un vent frais rafraîchit les 40 degrés extérieurs.

Le train aérien

Nous nous engageons ensuite dans le train aérien qui traverse la ville. La vue est dégagée.

Nous patientons en compagnie d’autres voyageurs japonais.

Les gratte-ciels nous semblent enfin accessibles.

Plus besoin de lever la tête vers le ciel.

Nous prenons un autre métro pour nous rendre en gare centrale.

Elle est d’inspiration européenne, ou du moins anglaise.

Le sanctuaire de Kokyo

Nous arrivons au sanctuaire de Kokyo. Prés duquel se trouvait anciennement le château Edo.

Les douves contiennent une eau de couleur verte.

Les arbres perdent leur reflet dans cette étendue.

Nous avançons à la découverte du château présent.

Le sanctuaire se trouve entourée par de hautes barres d’immeubles.

Le soleil cogne fort.

Le site est bien entretenu ; il permet une belle découverte. Nous pouvons apercevoir la résidence de l’empereur.

Après une heure de visite, nous rejoignons le centre ville.

Le temple Senso Ji

Nous arrivons aux pieds du temple Senso Ji.

Le temple est constitué ainsi que les autres sites japonais, de plusieurs édifices.

Plusieurs bouddhas ornent les allées.

Ainsi que plusieurs personnages inquiétants, recouverts par un grillage.

Des deux côtés du chemin menant au temple principal, se trouvent plusieurs édifices lui ressemblant étrangement.

L’ensemble reste très intéressant. Il est apprécié de tous.

Des centaines de pèlerins affluent de toutes parts. Ils se pressent vers le temple principal. Les costumes traditionnels se mêlent à la foule.

Tous se pressent vers une source d’eau purificatrice.

Nous entrons dans le temple.

Le marché couvert

Puis, nous rejoignons le marché couvert.

Nous protégeant ainsi de la pluie qui tombe.

Nous rejoignons un quartier commerçant. En traversant de petites ruelles. Une effervescence règne dans les rues.

La Sky Tower

C’est ainsi accompagnés que nous nous rendons à la Sky Tower.

La plus haute tour de la ville. Qui règne sur un panorama dégagée.

Aux abords de l’immeuble doré du principal fournisseur de boissons du pays, celles que l’on retrouve dans les distributeurs, omniprésents au Japon.

Tokyo by night

Nous nous rendons à un festival de nuit. Interrompu plus tôt que prévu à cause de la pluie qui tombe à grande cordées.

Route vers le Pacifique

Le lendemain matin, nous quittons la ville de Tokyo. Nous rejoignons après deux heures de route la campagne japonaise. Et ses rizières à perte de vue. Une petite rivière attire notre attention.

Nous arrivons finalement à la côte Est.

L’océan Pacifique

Et pouvons redécouvrir l’océan pacifique.

L’air est agréable. La plage est bien propre.

Nous nous baignons pour la première fois de notre vie dans cet océan du bout du monde. A midi, nous mangeons sur le bord de plage.

Nous repartons ensuite.

Les rizières

En remontant vers le Nord, nous visitons des rizières.

Accompagné par un paysan qui nous en explique le fonctionnement. Le riz a été importé de Chine.

Et il es aujourd’hui, le principal accompagnement des plats.

Nous rejoignons ensuite l’aéroport.

L’aéroport de Narita

Nous pénétrons dans le site aérien. Mais, sommes dans l’obligation de faire demi-tour, le service de réception du véhicule loué se trouvant à l’extérieur. Un chauffeur du loueur nous emmène à l’aéroport, dés la restitution du véhicule.

Nous déposons nos bagages.

Un lit se trouve au milieu des comptoirs d’enregistrement.

Nous dépassons les services de l’immigration qui nous saluent d’un large sourire.

Japon 261

Nous grimpons dans notre avion de la Philippine airlines. L’avion décolle avec 5 minutes de retard. Le Japon est à présent derrière nous. Nous le regretterons, tant il fut une surprise agréable.