Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 800 photos montre intégralement notre découverte du Chili afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. Plus précisément, nous vous présentons au sein de cet article, le Chili du centre.
Nous avons ainsi découvert le Chili et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez la deuxième partie de notre voyage au Chili, grâce à notre récit sur le Chili du Nord.
Vol vers le Chili
En provenance de l’île de Pâques, nous prenons un vol vers le Chili. Nous embarquons avec la compagnie LAN Airlines. Le vol coûte 400 euros et dure 5 heures.
L’avion étant presque vide, nous en profitons pour nous allonger.
L’aéroport de Santiago
Nous arrivons tard dans la nuit, vers 22 heures. Nous avançons dans l’aéroport. Nous passons les contrôles de sécurité ; étant donné que nous possédons déjà notre visa, délivré à l’île de Pâques, notre passeport n’est pas vérifié. Nous récupérons nos bagages.
Ils apparaissent sur le tapis roulant après quelques minutes d’attente. Nous quittons l’aéroport.
Premiers pas à Santiago
Nous cherchons un chauffeur privé. Après de nombreuses recherches où les prix proposés sont prohibitifs : prés de 130 euros la journée, nous trouvons un chauffeur privé qui accepte pour la somme de 70 euros, péage compris.
Nous grimpons dans sa voiture ; il nous conduit jusqu’au centre ville de Santiago ; le prix de la course est de 15 euros.
Arrivés dans notre quartier, nous saluons le chauffeur qui s’engage à venir nous chercher le lendemain à 7 heures. En attendant, nous arpentons les rues de ce quartier populaire à la recherche de quoi nous restaurer ; nous tombons sur une échoppe colombienne qui nous prépare un hamburger fait maison.
Nous nous rendons dans l’épicerie voisine afin d’acheter à boire.
Nous avons loué une chambre à l’hôtel Nativa, un hôtel confortable pour la somme de 40 euros par nuit. Un des meilleurs rapports qualité prix de la ville.
Route vers Valparaiso
Le lendemain matin, nous sommes surpris de voir non pas le chauffeur de la veille, mais un de ses collègues accompagné de son père. Le chauffeur ne parle pas Anglais ; nous allons devoir nous débrouiller en Espagnol. Nous traversons la ville et nous nous engageons sur l’autoroute en direction de la ville de Valparaiso.
Valparaiso se situe à 120 kilomètres de Santiago. Il faut une heure de route pour s’y rendre ; le péage coûte quelques euros.
Valparaiso
La circulation est fluide et la route bien entretenue. Nous arrivons dans le centre ville. Valparaiso est une ville appréciée des touristes.
La place principale
Nous dépassons un marché qui se prépare en périphérie de la ville. Nous nous dirigeons en premier lieu vers la cathédrale.
Nous nous garons sur la place qui la borde. Nous découvrons cette place tranquille.
Des adolescents font du skate en essayant d’impressionner les jeunes filles qui les admirent.
Une belle fontaine orne sur la place.
Nous visitons la cathédrale.
Nous nous dirigeons à présent vers le port de la ville.
Le port de la ville
En cette heure matinale, les rues sont désertes. Nous arrivons aux abords du port. Nous nous garons aux abords de la direction nationale des douanes.
Nous nous dirigeons vers le port à pied.
Une belle statue de marbre orne son centre.
De nombreux va et viens se font entre la ville et les îles proches.
Les bateaux traditionnels de pêcheurs sont stationnés.
Sur les berges, des barques usagées sont laissées à l’abandon.
Le quartier économique
Nous nous dirigeons ensuite vers la place qui se trouve aux abords du port.
Face à nous, un monument commémoratif.
Le monument représente plusieurs combattants. Elle se trouve dans le quartier économique et administratif de la ville.
Face à nous, un beau bâtiment.
De nombreux bus chargés de touristes s’arrêtent en cet endroit.
Aux abords de la place, des boutiques attendent les touristes. Nous nous arrêtons boire un café.
Nous reprenons la route en direction d’un des ascenseurs de la ville.
Nous garons notre véhicule.
L’ascenseur
Nous faisons connaissance avec une belle statue. Nous nous dirigeons ensuite vers l’ascenseur.
Une grande partie de la ville se situe en hauteur ; afin de rejoindre ces quartiers, il nous faut emprunter un ascenseur.
Les hauteurs de la ville
Nous payons 1 euros pour la montée. Nous arrivons dans les hauteurs de la ville.
Le panorama est impressionnant.
Nous avons une vue dégagée sur le port.
Nous visitons le musée.
Nous continuons notre découverte avec des maisons colorées.
Toutes les façades sont différentes, ce qui fait le charme mondial de la ville. Les couleurs sont chatoyantes.
Nous décidons de redescendre à pied.
Mais avant tout, nous continuons notre immersion dans la ville.
L’alternance de couleurs est particulière.
Nous découvrons un autre panorama.
Nous redescendons.
Les personnes que nous croisons nous saluent chaleureusement.
Les murs sont recouverts de graffitis.
Les dessins semblent tous conter une histoire.
Nous apercevons alors une des plus belles vue de la ville.
Les artistes de la ville aiment s’exprimer librement, même si cette pratique n’est que tolérée par la municipalité.
Nous arrivons en contrebas.
Les déchets s’accumulent dans certaines parties de la rue.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous admirons une fresque géante.
Le marché aux puces
Nous visitons à présent le centre ville.
Nous dépassons de longs pans de rues. Nous nous engouffrons dans une sorte de favelas. Les maisons à présent sont bien mieux entretenues que celles aperçues. Il est agréable de se promener dans Valparaiso.
Nous rejoignons à présent la périphérie de la ville. Nous décidons de nous arrêter dans ce marché découvert lors de notre arrivée dans la ville. Nous parcourons les allées du marché.
Ici, tout se vend.
La nourriture côtoie les livres.
Il s’agit d’une braderie mêlée à une brocante.
La quantité de produits proposés est impressionnante.
Après quelques emplettes effectuées, nous repartons.
Route vers Santiago
Nous reprenons notre véhicule en direction de Santiago.
Le péage coûte 2 euros.
L’autoroute permet d’avoir une vue dégagée sur la Cordillère des Andes.
Santiago
La Cordillère des Andes se rapproche. Nous pénétrons dans le centre ville de Santiago. Nous nous dirigeons vers la colline de la ville.
La colline
L’entrée coûte 5 euros.
Nous suivons le chemin. Nous arrivons à notre point de panorama.
La vue est magnifique.
Un véritable bonheur à 180 degrés.
Les chiliens apprécient tout particulièrement cet endroit.
Il représente pour eux une véritable bouffée d’oxygène.
Nous reprenons la route en direction du quartier économique.
Le quartier économique
De grands immeubles modernes nous accueillent.
Le quartier est le plus moderne de la ville.
Nous devons lever nos yeux haut vers le ciel pour en apercevoir les sommets. Les tours de verre sont omniprésentes.
Nous dépassons ensuite un parc. Nous nous dirigeons vers le centre historique. Nous rejoignons la place des armes.
La place des armes
Nous nous garons à proximité de la cathédrale. La place est le quartier touristique de Santiago.
Des policiers équestres posent avec les touristes.
Les bâtiments sont de qualité.
Nous pénétrons dans la cathédrale.
Un concert est donné.
Les musiciens jouent avec entrain.
Accompagnés d’une musique céleste, nous découvrons la cathédrale.
Le plafond comporte de nombreuses dorures.
Nous nous arrêtons quelques instants face à une statue de Saint Michel. Nous quittons la cathédrale.
Nous rejoignons le coeur de la place.
De nombreux cafés accueillent les visiteurs.
A côté des cafés, des individus prient, alors qu’un prêcheur met du coeur à l’ouvrage afin de leur distiller ses idées oecuméniques.
Nous traversons un hall qui comprend de nombreux fast-foods.
Le centre-ville
Nous arpentons les alentours du centre.
Nous dépassons une église.
Nous tournons dans la rue des Agustinas.
C’est alors que notre chauffeur nous demande à être payé ; comme convenu, nous lui remettons la somme déterminée la veille avec son collègue, qui aurait normalement du être présent ; il n’est pas d’accord et nous en réclame le double. Nous refusons et restons campé sur nos positions ; il se saisit de la somme et nous abandonne en plein centre ville, maugréant au passage. Nous continuons notre visite seuls.
Nous nous dirigeons vers La Moneda.
La Moneda
Nous découvrons un bâtiment magnifique.
Le bâtiment est entouré de verdure.
Une fin de journée tranquille
Nous le quittons et retournons à la place des armes.
Nous découvrons au passage une statue de Salvador Allende. Pour raccourcir notre temps de marche, nous arrêtons un taxi.
Nous nous promenons dans un autre quartier commercial.
Nous retournons à la place des armes pour manger un morceau.
Nous rejoignons le marché central.
Un autre chauffeur nous conduit jusqu’à notre hôtel.
Non loin de notre hôtel, nous découvrons un petit restaurant japonais.
Les portions sont gargantuesques ; nous n’arriverons pas à tout finir.
Expédition vers la Cordillère des Andes
Le lendemain, tôt le matin, un chauffeur vient nous récupérer à notre hôtel.
Nous avons réservé un treck d’une journée dans la Cordillère des Andes, pour un prix de 50 euros, tout compris. Le site Internet de la société donne de nombreux renseignements.
Nous découvrons sur une carte remise par le chauffeur notre excursion à travers la Cordillère.
Nous faisons une halte dans un restaurant d’autoroute, histoire de prendre un petit déjeuner.
Les véhicules de police sont omniprésentes. Nous pénétrons dans la Cordillère des Andes. Sur le bas côté, un petit cimetière de soldats morts sous la dictature.
Nous reprenons notre route.
Nous nous trouvons encore dans la vallée.
Le tunnel
Le paysage commence à changer. Le chauffeur nous arrête aux abords d’un tunnel qu’il nous demande de traverser à pied.
Le tunnel fait plus d’une centaine de mètres de long.
Arrivés à son terme, nous découvrons un autel improvisé.
Et ce juste à la sortie du tunnel.
Il s’agit d’un hommage à un jeune garçon qui s’est suicidé il y a fort longtemps, suite à un chagrin d’amour ; l’endroit est alimenté constamment en fleurs.
Autour de l’autel, le silence est glacial, seulement entrecoupé des pâles des petites éoliennes en papier qui tournent dans le vide.
Le site est inquiétant.
Nous reprenons la route.
L’entrée dans la Cordillère des Andes
Nous nous enfonçons dans la Cordillère des Andes.
La neige rend le site austère.
Nous arrivons en direction du lac El Yeso Dam, à une chute d’eau.
De fins embruns nous sont projetés sur le visage. Le vent souffle fortement.
La Cordillère des Andes est une des plus longues chaînes de montagne du monde.
Nous reprenons la route qui se rétrécit progressivement.
Nous traversons un petit village.
Nous nous arrêtons afin de boire l’eau d’une cascade.
Quelques moutons paissent.
La ferme traditionnelle
Nous faisons une halte dans une ferme traditionnelle.
A cet instant, un aigle bleu se pose face à nous. Nous le regarderons s’envoler.
Nous allons à la rencontre de l’agriculteur.
Ce dernier nourrit ses animaux.
Nous reprenons notre route.
Les températures baissent encore.
La Cordillère des Andes
Le décor est enneigé.
Nous devons enfiler nos manteaux.
Nous garons notre véhicule en fin de piste.
Trek vers le lac El Yeso Dam
Il nous faut marcher pour rejoindre le lac El Yeso Dam.
Nous longeons une rivière.
Les voitures qui n’ont pas eu l’idée de se garer plus en avant sont bloquées.
Nous les dépassons.
Un barrage se trouve en contrebas.
Nous avançons dans la neige.
Des voyageurs transportent leurs affaires pour pique niquer dans ces hauts sommets.
Le lac El Yeso Dam
Le lac se trouve devant nous.
Les enfants jouent à faire des bonhommes de neige.
Alors que nous dégustons une bouteille de vin rouge chilien.
Avec pour vue, ce majestueux lac qui se dresse.
Nous avons atteint notre objectif.
Nous pouvons poser fièrement.
Le retour à Santiago
Nous rebroussons chemin en fin d’après midi.
Près de la voiture, un système manuel permettant de transporter l’eau des glaciers.
Nous reprenons la route.
Nous croisons un troupeau de chèvres.
Nous retrouvons la civilisation.
Nous nous réchauffons dans le véhicule qui nous transporte à Santiago.
Nous nous arrêtons à une station essence avant de retourner à notre hôtel.
Journée détente à Santiago
Le lendemain, nous arpentons le centre ville de Santiago. Nous découvrons une autre église.
Ainsi que des spectacles de rue.
La journée est agréable.
Nous dégustons des spécialités chiliennes. Le soir, un chauffeur de taxi nous conduit à notre hôtel.
En banlieue de Santiago, nous faisons la connaissance d’un cordonnier à l’ancienne. Il nous parle de son art.
Nous mangeons sur le fil un beignet local.
L’aéroport de Santiago
Nous retournons ensuite à notre hôtel. Le lendemain matin, notre escapade chilienne se termine ; un chauffeur nous conduit à l’aéroport.
L’aéroport est désert ; nous ne comprenons pas pourquoi.
La grève générale
Nous apprenons alors qu’une grève générale bloque tout le pays.
Toute la journée, le personnel navigant manifeste son amertume à travers des chants patriotiques.
La compagnie Iberia avec laquelle nous devons rentrer est totalement absente.
Tous les voyageurs des autres compagnies ont été prévenus bien en amont.
Ce qui fait que peu de voyageurs ont pris le risque de se déplacer à l’aéroport.
Une journée ennuyeuse
Je n’ai jamais vu autant d’incompétence que chez le personnel d’Iberia présent au Chili. Ces derniers se contrefichent des voyageurs ; ils ne donnent aucune information et ne seront plus visibles de la journée.
Nous nous dirigeons au sous-sol afin de déposer nos bagages à la consigne de l’aéroport.
Le prix est de 5 euros pour la journée. Nous passerons la journée à arpenter les couloirs de l’aéroport.
Nous apprenons que notre vol est programmé pour tard dans la nuit.
L’enregistrement et l’embarquement
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages.
Nous récupérons nos tickets.
Toutes les compagnies ont eu la même idée de procéder aux vols au même moment, ce qui donne des scènes de panique aux postes frontières.
Nous parvenons tant bien que mal à passer ; nous sommes épuisés de n’avoir pas dormi depuis la veille.
Mais enfin, notre vol est sur le point de démarrer ; il se fait comme prévu avec la compagnie espagnole Iberia et nous emmène à Madrid en 13 heures.
Nous effectuons quelques achats.
L’annulation du vol
Mais au moment de monter dans notre avion, nous apprenons qu’il présente un défaut technique et qu’il est repoussé de 24 heures.
La situation est sur le point de déborder ; les bagages mettent plus d’une heure avant d’être rendus à leur propriétaire.
La mauvaise gestion de l’incident
Une heure de plus pour récupérer un ticket de taxi qui nous conduira à notre hôtel. Mais devant nous, un employé arrogant tarde à nous remettre notre ticket, préférant discuter avec un couple de jolies femmes qu’il essaye de séduire. Ce qui n’est pas gagné ; il sue et transpire, si tant est qu’il préfère retourner à son comptoir.
Nous rejoignons le sous-sol.
Notre vol est prévu pour le soir. Mais cette fois-ci, la compagnie est dans l’obligation de nous accompagner et de prendre en charge notre hôtel et notre repas.
Nous attendons une heure de plus devant le comptoir de la compagnie de taxi pour obtenir une place.
Nous traversons tout Santiago pour rejoindre le Sheraton. Là nous apprenons dépités, qu’il y a eu une erreur de la compagnie et que les places sont complètes.
Nous devons retourner à l’aéroport.
Un chauffeur de taxi devant notre désarroi décide de ne pas nous faire payer la course. Il est d’une honnêteté redoutable et peut conduire en tant que chauffeur privé avec voiture à travers tout le Chili. Il s’appelle Jacob et peut être joint au 569 553 05 014.
Arrivée à l’aéroport, nous haussons le ton ; la responsable de chez Iberia passe quelques coups de téléphone et nous enjoint à retourner au Sheraton, nous assurant que des chambres venaient de se libérer.
Arrivés à nouveau au Sheraton, le directeur vient nous voir pour nous affirmer qu’il n’y a plus de chambres disponibles. Face à cette situation, il décide de nous offrir le petit-déjeuner ; ce dernier sera immangeable.
Un chauffeur est appelé en urgence pour nous conduire dans un autre hôtel de la ville que nous devons à nouveau traverser. Il est à présent 10 heures du matin. Cela fait prés de 48 heures que nous n’avons pas dormi, mais nous avons le moral.
Nous arrivons au Atton.
Le temps de nous enregistrer, nous ne pouvons que prendre une douche dans notre chambre avant de descendre pour nous restaurer avant de retourner à l’aéroport. Nous quitterons la chambre sans en avoir défait les lits.
Nous nous restaurons.
Nous retrouvons notre voiture, sans avoir le temps de prendre notre dessert ; le vol a été avancé d’une heure.
L’aéroport de Santiago
Devant le stand d’Iberia, la cohue règne.
Nous procédons à nouveau à l’enregistrement de nos bagages.
Nous nous dirigeons vers la porte d’embarquement.
Nous nous lions d’amitié avec un jeune Anglais, très sympathique.
Nous tombons de sommeil ; après près de trois jours sans dormi, les 13 heures de vol ne seront qu’une formalité. Néanmoins, l’évènement le plus grave de notre aventure se déroulera sous nos pieds. Lors du décollage, nous sentirons l’avion vibrer dans tous les sens ; pensons que le problème est lié à l’avion, nous ne nous en ferons pas.
Escale à Madrid
Arrivés à Madrid, nous regardons nos téléphones portables et découvrirons des dizaines de messages de nos proches, affolés. En effet, les vibrations que nous avions ressenties lors du décollage n’étaient en rien liées à l’avion, mais à un des plus gros tremblements de terre que le Chili a connu : un séisme de magnitude 8,3, qui a entraîné la destruction de nombreux quartiers de Valparaiso et de Santiago, des milliers de réfugiés, des morts et des centaines de blessés. L’avion que nous avons ainsi pris fut le dernier à pouvoir décoller. Nous l’avons échappé belle.
A Madrid, nous sortons quelques instants afin de prendre l’air.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages et récupérons nos tickets puisqu’à Santiago, le personnel fut dans l’incapacité de nous les remettre.
Nous courons à travers le Terminal pour rejoindre notre porte d’embarquement.
Nous dépassons les duty free sans avoir le temps de faire des achats.
Nous sommes appelés à l’embarquement au dernier moment.
Arrivée à Orly
Arrivés à Paris, nous attendons nos bagages ; nous sommes sur le fil ; nous devons traverser la ville, mais d’abord la rejoindre. Et à cette heure, le périphérique est bloqué et nous n’avons qu’un train de disponible ; nous avons quarante minutes.
La moto taxi
La seule solution est de prendre une moto taxi pour un tarif de 50 euros.
La fin du périple
A toute vitesse, mais toujours en sécurité, nous traversons le périphérique. Nous saluons notre sauveur, un pilote chevronné qui peut être joint au 06 50 28 56 90.
Nous entrons dans la gare après avoir acheté un ticket à la dernière minute. Le périple touche à sa fin.