Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte de l’Est des Etats-Unis afin que vous puissiez voir le vrai visage de cette partie du pays.
Nous avons ainsi découvert le territoire de Buffalo à New-York en passant par Washington, Philadelphie, Baltimore et Centralia et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, voici les liens vers l’intégralité de notre road trip dans le Grand Ouest américain :
Pour découvrir en première partie notre voyage dans le Nevada, rendez-vous sur le lien suivant.
Pour découvrir en deuxième partie notre voyage en Californie, rendez-vous ici.
Pour découvrir en troisième partie notre voyage en Arizona, consultez notre récit de voyage.
Pour découvrir en quatrième partie notre voyage en Utah, rendez-vous sur le lien suivant.
Pour découvrir les merveilles du Wyoming avec Yellowstone, c’est ici que ça se passe.
Voici également un lien pour découvrir l’Illinois avec la ville de Chicago.
Pour finir, nous vous donnons le lien pour lire notre article écrit sur les incontournables du Nevada.
L’entrée aux Etats-Unis
Très tôt le matin, nous nous arrêtons à la frontière avec les Etats-Unis.
Nous traversons le rainbow bridge. Il n’y a pas de contrôle de sortie de la part du Canada. Nous nous arrêtons à une sorte de péage dans lequel, un officier de l’immigration américaine, après avoir vérifié nos passeports, nous enjoint de garer notre véhicule quelques mètres en amont, puis de revenir nous faire établir les modalités de notre entrée sur le sol des Etats-Unis.
Nous sommes les seuls touristes, à cette heure matinale. Plusieurs officiers de l’immigration nous accueillent ; nos passeports sont contrôlés. Mis à part une femme qui a le sourire, aucun des officiers de plaisante. Tous ont le regard dur, professionnel. Ils noue demandent la preuve de notre logement le premier soir. Ils demandent également à voir notre billet de retour. Ils nous remettent trois cartes vertes que nous devons remplir. Sur cette carte, un questionnaire de six questions : Voulons nous travailler aux Etats-Unis ? Avons-nous été condamnés ? Avons-nous été condamnés pour des actes relatifs à la seconde guerre mondiale ? Bien entendu, nous répondons non à toutes les questions ; une réponse positive entraînerait l’expulsion immédiate du pays. Nous payons ensuite 6 dollars par carte et les officiels nous tamponnent les passeports en nous gratifiant d’un : bienvenue aux Etats-Unis d’Amérique. Nous pénétrons dans la ville de Niagara falls, dans l’état de New York.
Niagara falls
La ville est déserte ; elle semble moins animée que sa voisine canadienne. Qui en porte par ailleurs le même nom.
Nous nous dirigeons vers les chutes du Niagara.
De nombreux feux de signalisation nous obligent à nous arrêter à plusieurs reprises. Nous nous rendons au parking des chutes.
Nous remarquons que nous nous trouvons juste à l’arrière du poste frontière. Nous avons la chance de pénétrer assez tôt sur le parking, ce qui nous fait économiser une dizaine de dollars de stationnement.
Les chutes du Niagara
Les chutes américaines se trouvent dans un parc verdoyant.
Nous devons traverser le parc pour rejoindre les chutes.
Le parc est désert.
Un grand bâtiment comprend des toilettes.
Et des caisses qui permettent de mai à octobre, voire novembre, de monter sur le bateau Maid of the mist afin de se rapprocher au plus prés des chutes.
Nous continuons notre promenade.
Nous sommes happés par le bruit assourdissant des chutes.
Nous arrivons à leurs pieds.
La vue sur le Canada est splendide.
A notre droite, le bâtiment qui permet de rejoindre les bateaux Maid of the mist.
A notre gauche, les chutes que nous pouvons découvrir de prés.
Une légère brume enveloppe le site. Ce qui donne au lieu, un côté mystérieux. Le débit des chutes est impressionnant.
Nous sommes fascinés par ce spectacle.
Les chutes ont une hauteur de 51 mètres. Une photographie souvenir s’impose.
Face à nous, la tour skylon.
Nous longeons les chutes américaines. Les chutes du Niagara sont composées de trois chutes pouvant être découvertes dans une sorte de cuvette, du côté canadien ; elles ne sont distantes que de quelques mètres les unes des autres.
Nous nous engouffrons dans le parc.
Avec une nouvelle perspective, les chutes sont encore plus impressionnantes. Sur le fleuve, de gros morceaux de glace.
Le fleuve est en furie.
Nous nous dirigeons vers un pont qui permet de rejoindre les chutes canadiennes et les chutes du voile de la mariée.
Nous surplombons le fleuve.
Nous nous trouvons au coeur de l’action.
Pendant de longues minutes, nous admirons ce spectacle grandiose.
Pour profiter au mieux du spectacle, nous enjambons une partie du pont difficile d’accès, mais tout en étant en sécurité.
Tomber dans le fleuve signifierait une mort inéluctable.
Nous avons un panorama de toute la zone.
Nous quittons les chutes, après avoir découvert les chutes du voile de la mariée. Il faut préciser qu’à proximité des chutes du voile de la mariée, il existe une possibilité de descendre par une caverne, pour une somme de 20 dollars et de se retrouver au plus près des chutes. Mais, afin d’éviter d’être trempé, nous ne tenterons pas l’expérience.
Route vers Buffalo
Nous reprenons notre véhicule.
Nous nous dirigeons en direction de la ville de Buffalo, située à trente kilomètres. Nous empruntons la route nationale, afin de découvrir les Etats-Unis en leur coeur.
Les villes américaines sont très étendues, même des villes à taille humaine comme celle de Niagara falls. Les routes sont de bonnes factures. Elles sont limitées à 50 miles par heure, soit environ 80km/h. Nous traversons notre première petite ville. Les maisons sont traditionnelles.
Tout comme les feux de signalisation.
Les maisons sont construites pour la plupart en bois.
Il s’agit d’une petite ville résidentielle.
Les maisons sont de tailles spacieuses. Ces petites villes peuplent les campagnes des Etats-Unis. Nous continuons notre route. La qualité de la route se dégrade à certains endroits. Nous découvrons un paysage surprenant.
Nous continuons sur une nationale à deux voies.
Le GPS que nous avons loué nous est indispensable. Les routes sont désertes. A plusieurs endroits de la nationale, des feux de signalisation. Nous traversons une autre petite ville. Les maisons sont placées juste aux abords de la nationale. Nous nous enfonçons dans la campagne américaine. Il n’y a pas, contrairement à ce que nous aurions pu penser, de policiers sur la route.
Les champs sont nombreux. La chaussée se rétrécit. Nous arrivons dans une autre ville.
Les boîtes aux lettres sont disposées de telles sortes à faciliter le travail des facteurs. Devant chaque maison, une ou deux voitures sont garées.
L’équipement téléphonique est désuet. Nous parcourons la ville à pied. La route n’est pas entretenue.
Après la ville, nous arrivons dans une banlieue commerciale.
A chaque endroit de la route, des enseignes de restauration rapide. Dont le non moins célèbre Burger King. Nous rejoignons l’autoroute.
Nous nous approchons de la ville de Buffalo. Nous sommes irrémédiablement attirés par le spectacle se déroulant sur le bas côté.
Sur une sorte de fleuve, de gros morceaux de glace fondent doucement.
Des canoéistes s’adonnent à leur sport.
Un pont au loin nous donne l’occasion de bénéficier d’une vue sublime.
Buffalo
Nous entrons ensuite dans la ville. L’hôtel de ville s’aperçoit au loin.
Il nous sert de point de vision. Nous croisons de grands bâtiments modernes.
Nous contournons l’hôtel de ville par la gauche. Nous arrivons au square qui se trouve à ses pieds.
Nous garons notre véhicule.
Le square est l’endroit phare de la ville.
Il mêle les bâtiments anciens faits de briques rouges.
Et les oeuvres d’art plus contemporaines.
Le bâtiment ressemble aux grands édifices construits par la ville de Moscou.
Nous nous baladons autour du square Lafayette. En son centre, le monument Mc Kinley.
Il s’agit du centre névralgique de la ville. A nos pieds, une capsule construite pour les 150 ans de la ville. Cette capsule contient divers objets et ne pourra être ouverte que dans de nombreuses années, une sorte de mémoire du passé pour les habitants du futur qui la découvriront.
Nous faisons un tour de la ville. Un sentiment de grandeur nous anime. Les bâtiments administratifs partagent l’espace public… Avec de grands bureaux. Certains américains en profitent pour faire du sport avant d’aller travailler.
Certains quartiers de la ville sont plus modernes.
La ville est agréable.
Elle est à taille humaine. Nous dépassons le planing mill.
Nous continuons notre chemin. Un beau bâtiment blanc attire notre attention. Il s’agit de l’électric tower.
Il est majestueux.
Nous visitons ensuite une belle église.
Avant de rejoindre notre hôtel : le Lafayette hôtel, un hôtel agréable pour une somme de 60 dollars la nuit.
Le lendemain matin, nous quittons la ville.
Nous nous arrêtons quelques instants au stade de la ville.
Route vers Centralia
Nous rejoignons la ville de Centralia, située à 450 kilomètres. Mais, dans le GPS, il convient d’écrire Ashland, car la ville de Centralia n’existe plus.
Nous traversons la banlieue de Buffalo. Nous nous arrêtons dans un fast-food afin de petit-déjeuner.
Il est situé au coeur d’une petite ville.
A l’intérieur, il partage le comptoir avec l’enseigne KFC.
Mais, l’endroit ne nous attire pas. Une odeur étrange nous coupe l’appétit. Nous décidons d’aller ailleurs.
Non loin de là, un mac Donald’s, l’original.
Nous entrons à l’intérieur.
Jusqu’à 11 heures, il ne sert que de petits déjeuners. Les prix sont identiques à ceux de la France ; les portions sont plus grandes, les cafés sont impressionnants, ainsi que les jus d’orange. Trois gros pancakes sont servis avec de grosses doses de sirop d’érable.
Nous nous asseyons. A nos côtés, nous constatons la présence de quelques personnes de taille corpulente, mais sur la côte Est, cette obésité dont les médias nous en font l’écho n’est pas omniprésente.
Nous reprenons la route. De grandes éoliennes assurent l’apport énergétique de l’état.
De vastes étendues de champs remplissent le décor.
Ainsi que d’autres paysages plus surprenants.
Des grands parcs aux milieux desquels coulent des fleuves aux eaux turquoises.
Les Etats-Unis essayent tant que possible de s’adapter aux exigences climatiques. Le coeur des Etats-Unis n’est pas peuplé. Il n’est par ailleurs que peu touristique.
Nous devons nous ravitailler en essence. Un gallon comprend à peu près trois litres et il se paye aux alentours des trois dollars.
Nous reprenons la route. Le drapeau américain est omniprésent. Les fermes sont immenses.
Les petits villages se ressemblent tous. Nous arrivons dans la ville de Warsaw. Il s’agit d’une petite ville agréable.
Nous la franchissons en quelques minutes. Nous traversons une autre ville. Nous dépassons un aérogare de la société Fedex. Les colis partent d’ici à travers le monde. La route commence à devenir longue.
L’entrée en Pennsylvanie
Nous prenons la direction de Williamsport. Nous pénétrons en Pennsylvanie.
Le décor change. Les forêts ont remplacé les grands champs.
Quelques petites surprises égayent notre route.
Des petites villes aux abords d’un fleuve. Une ville typiquement américaine.
Nous reprenons notre chemin.
Nous prenons la direction de Lewisburg. Nous nous trompons de chemin. Nous faisons demi-tour. Nous nous arrêtons dans une petite ville pour nous restaurer. Devant nous, le drapeau américain flotte fièrement.
La région de Centralia
Nous quittons la nationale. Nous arrivons dans la région de Centralia. Les américains affectionnent également les caravanes avec lesquelles ils se déplacent dans tout le pays.
Il faut dire que les distances étant tellement grandes et les hôtels tant chers, que la caravane reste un bon compromis au voyage.
Nous pénétrons au coeur d’un vaste ensemble de forêts. Le décor est lugubre.
En ce mois d’avril, les arbres décharnés renforcent le côté glauque de l’endroit. Nous longeons une route en ligne droite.
Il nous reste encore une vingtaine de kilomètres à parcourir.
Nous demandons notre chemin à une femme qui nous guide gentiment. Nous abandonnons la forêt un court instant. Nous y retournons tout aussi rapidement. C’est alors que nous arrivons à Centralia.
Centralia
Centralia est ce qu’on appelle une ville fantôme. Petite bourgade prometteuse dans les années 1970, elle fut progressivement abandonnée au fil des années, pour se voir retirer l’appellation de ville dans les années 2000.
Sur la route principale, alors que la ville a perdu son code postal, une dizaine d’habitants continuent d’y vivre, malgré les mises en garde des autorités.
Il faut dire que la ville est dangereuse. Il y a quarante ans, un violent incendie s’est propagé dans la mine qui faisait vivre la ville. Depuis ce temps, le feu couve toujours dans le sol et il est parti pour durer prés de 250 ans. La ville a une atmosphère polluée et seuls les touristes viennent chercher en son sein, les frissons nécessaires résultants d’une découverte d’un lieu mystérieux et abandonné.
La mine Coal
Nous nous dirigeons vers la mine Coal. La ville a également inspiré le film : Silent Hill, essentiellement due à son côté obscur et sibyllin. En outre, tout au long de l’année, des fumées sortent du sol chaud, consumé par le feu qui couve en profondeur.
Afin de réduire l’afflux de touristes, tous les accès à la mine ont été clos. Nous nous approchons au maximum de la mine.
Nous garons notre voiture. Le reste du chemin se fera à pied.
Au loin, nous apercevons l’église du village, seul vestige du temps passé.
Nous longeons un petit chemin.
Contrairement à ce que nous pensions, le décor n’est pas si différent de celui que nous avons traversé pour venir jusque dans la ville.
En outre, nous avons beau chercher, nous ne trouvons pas de fumée sortant du sol.
Devant nous la mine.
Le cimetière
Nous faisons marche arrière. Nous découvrons le petit cimetière.
La grille d’entrée est fermée. Plus personne ne se fait enterrer dans le cimetière depuis l’évacuation de la ville. Nous immortalisons notre présence.
L’endroit est calme.
Les tombes sont disposées à l’américaine, elles sont différentes des cimetières européens.
Le cimetière se situe derrière un cimetière plus grand, dans lequel des visiteurs rendent grâce à leurs proches disparus.
L’ancienne route
Un habitant d’Ashland sur son Quad nous explique que les fumées sortent du sol seulement en cas de pluie ou de grands froid. Mais, que la ville de Centralia n’est pas que célèbre pour sa mine abandonnée, ses quelques maisons aperçues, mais pour sa route fermée. Nous le suivons. Nous devons dépasser le cimetière et garer notre véhicule.
Nous découvrons l’ancienne route qui permettait de rejoindre la ville : une partie de la route 61 menant à Ashland. Une nouvelle portion de route en parallèle a été construite afin de la remplacer.
La route est aujourd’hui une attraction touristique.
Elle comporte de nombreuses inscriptions. Les américains en profite pour écrire à la bombe de peinture sur le sol.
Une façon pour eux d’immortaliser l’endroit.
Les écritures ne sont pas des oeuvres d’art. Mais elles permettent à certains anciens habitants d’expier leurs démons.
Le sol est fracturé à de nombreux endroits.
Une chaleur se dégage de ces fissures.
La route est complètement détruite sous l’effet du feu qui couve dans le sol.
Les crevasses mesurent plusieurs centimètres de profondeur.
Nous en profitons pour faire une belle balade.
Le centre-ville
Nous retournons au centre ville.
Les habitations restantes sont en bon état.
Nous quittons la ville.
Route vers Washington
Nous prenons la direction de Washington, située à 250 kilomètres. Nous dépassons certaines villes situées sur les rives opposées d’un fleuve que nous longeons.
Les premiers bouchons font leur apparition.
Nous en profitons pour nous arrêter dans une aire commerciale.
Les magasins américains comportent les pharmacies à côté des rayons d’alimentation.
Les médicaments, un produit comme un autre…
Nous arrivons à proximité d’une grande université. Elle est située au mont Saint Mary. Une véritable ville. Nous continuons notre route.
Nous nous dirigeons vers le Sud de Washington. La circulation y est plus dense.
Nous apercevons de grands buildings.
L’arrivée de nuit à Washington
Se loger à Washington coûte extrêmement cher. Les hôtels proposent des prix en moyenne de 200 euros. Pour cette raison, nous avons trouvé un hôtel dans la ville de Vienna, à vingt minutes de la capitale, pour la somme modique de 60 euros, petit-déjeuner compris.
Nous sommes exténués et après avoir mangé un morceau dans un restaurant mexicain, nous allons nous coucher. Les hôtels américains sont particuliers ; les chambres sont grandes et il est habituel de trouver deux lits king size sans supplément de prix.
Washington
Le lendemain matin, nous prenons un petit déjeuner copieux et nous nous dirigeons vers la capitale. Quand bien même le prix du petit déjeuner est compris dans celui de la chambre, nous laissons un pourboire au serveur. Tous les plats au restaurant aux Etats-Unis sont pourboire non inclus. Les serveurs sont pour beaucoup d’entre eux, uniquement rémunérés au pourboire ; il est ainsi d’usage de laisser un pourboire de 10 à 15 % du prix de la note.
Après une vingtaine de minutes de route, nous arrivons dans le coeur de la ville de Washington.
Nous apercevons au loin le capitole ; il sera notre point de vision pour nous en approcher.
L’avenue que nous empruntons est magnifique ; elle comporte de nombreux lieux de pouvoir. Ainsi que d’autres bâtiments administratifs.
Le drapeau canadien flotte majestueusement grâce à une petite brise. Nous nous rapprochons du capitole.
Par chance, nous trouvons une place inoccupée située non loin du bâtiment.
Le capitole
Nous pénétrons dans le parc qui se situe à notre droite accessible gratuitement et qui se nomme : le national Mall. En quelques secondes, il apparaît sous nos yeux.
A cette heure matinale, le site est désert.
Nous le découvrons enfin.
Il est situé en face du Washington monument.
Son toit est en réfection.
Nous en profitons pour faire de nombreuses photos, mais un policier nous indique cordialement que le trépied n’est pas autorisé. Nous nous débrouillerons autrement pour effectuer tous nos plans. En l’attente, nous immortalisons notre présence.
Nous ne nous lassons pas de découvrir ce bâtiment mythique.
Le capitole est situé à l’extrémité d’un site qui comporte en ses points cardinaux, tant de lieux mythiques.
Tout est regroupé dans un même lieu : du Lincoln mémorial situé à l’extrême opposé au Jefferson mémorial ; le Washington monument se trouve en son centre.
De nombreuses statues permettent d’égayer la balade.
Il faut préciser que pour rejoindre du capitole, le Washington monument, une marche de trente minutes est nécessaire : les grandeurs à l’américaine en sont la cause. Nous arrivons aux abords d’un bassin.
Il permet au Washington monument de voir son image projetée sur l’eau.
Le coeur politique
A notre gauche, de nombreux bâtiments administratifs. Le Washington monument se rapproche.
Il a été construit en 1848 et sa construction a duré prés de 40 ans.
De tous côtés, nos regards s’émerveillent.
Avec cette perspective, le capitole est encore plus surprenant.
Et dire que nous l’avons aperçu, notre vie durant, au cinéma et à la télévision.
La réfection du toit va durer de nombreux mois.
A son sol, une fontaine.
Nous nous éloignons du bâtiment. Les lampadaires viennent de s’éteindre.
Chaque perspective donne un regard nouveau sur l’édifice.
Nous pouvons enfin utiliser notre trépied.
Les rues sont propres.
Il faut dire que le site est particulièrement bien protégé.
Il symbolise la puissance des Etats-Unis.
Nous faisons connaissance avec l’architecture de la ville.
Les statues sont soignées.
Nous quittons le capitole.
Nous rencontrons des manifestants qui prônent une redistribution équitable des richesses.
Un seul mot en nous retournant : magique. Nous saluons les manifestants et continuons notre chemin.
La marche est longue.
Nous traversons une nouvelle route.
A notre gauche, un musée.
A notre droite, le building des arts et des industries.
Le bâtiment s’étend sur plusieurs dizaines de mètres de largeur.
Nous continuons notre route. Un autre bâtiment attire notre attention. Nous traversons une autre rue.
Les directions des différents monuments sont bien indiquées.
Les édifices se succèdent.
A gauche, à droite.
Nous ne savons plus où donner la tête. Tous sont plus imposants les uns que les autres.
Les allées sont désertes.
Nous nous arrêtons face à un autre musée.
Qui se trouve à l’opposé d’un autre.
La place centrale du national Mall est en travaux.
Les travaux durent depuis quelques semaines.
Washington est une ville surprenante.
La fatigue commence à se faire sentir.
Cela fait une demi-heure que nous marchons.
Devant nous, des coureurs du dimanche font leur sport.
Nous rencontrons d’autres portions du parc en travaux.
Nous arrivons aux abords du Washington monument.
Une énième rue à traverser.
Il apparaît devant nous. Et se dévoile enfin.
Un autre musée se trouve sur le côté gauche.
Nous sommes à ses pieds.
L’aéroport de la ville se trouve non loin de là. Nous avançons.
Encore des travaux.
Nous traversons la route. Nous nous trouvons à présent au coeur du national Mall.
Des tentes sont installées aux pieds du monument ; un spectacle va être donné le lendemain.
Nous profitons de cet instant que nous avions profondément désiré depuis longtemps. Un autre avion s’envole dans le ciel.
Le National Monument
Dire que nous avons vu ce monument dans tant de films.
Un chemin en dur entoure l’édifice.
Pour une dizaine de dollars, les visiteurs peuvent grimper à l’intérieur.
Des ascenseurs mènent jusqu’au sommet. Le monument est situé sur une petite colline. Le monument fait face au Capitole.
Ainsi qu’au Lincoln mémorial.
Nous nous asseyons quelques instants et accompagnons le lever du soleil. Nous reprenons ensuite notre route.
Le War II memorial
Nous arrivons au monument dédié à la deuxième guerre mondiale : le War II mémorial. Le mémorial est un hommage aux possessions des Etats-Unis et leur implication dans la deuxième guerre mondiale. Ainsi qu’au 4000 vétérans tombés au combat.
Le mémorial de teinte grise est discret.
Du côté droit, les territoires et états situés du côté de l’Atlantique.
A gauche, les possessions situées dans le Pacifique.
Le mémorial est situé à un carrefour stratégique.
Nous découvrons une autre statue.
Sur une stèle, une explication sur la portée du monument.
Face à nous, le Lincoln mémorial.
Nous en profitons pour découvrir le Jefferson mémorial.
En revenant au War II mémorial, nous nous asseyons quelques instants.
Nous contournons le mémorial.
Nous parcourons un chemin végétal.
A notre droite, le bassin Lincoln, qui n’est en cette basse saison pas encore rempli. Sur les bancs, nous découvrons des écureuils.
Le mémorial de la guerre de Corée
Avant de nous diriger vers le mémorial de Lincoln, nous nous rendons sur notre gauche.
Nous y découvrons le mémorial destinée à la guerre de Corée
Il s’agit d’un ensemble de plusieurs statues dispersées dans une sorte d’herbes représentant un sous-bois.
Sur le mur gauche de l’oeuvre, une citation : « La liberté n’est pas gratuite »
Face à nous, l’oeuvre révèle toute sa splendeur.
Sur le mur droit, une sorte de vision holographique de soldats.
Les gerbes de fleurs sont continuellement déposées par les touristes coréens de passage.
Les soldats ont les regards vides.
Ils sont figés pour l’éternité, sous la bannière étoilée.
Le Lincoln memorial
Nous nous dirigeons à présent au Lincoln mémorial distant de quelques mètres.
Face à nous, le Washington monument face à la piscine Lincoln, qui permet normalement, lorsque la dite piscine est remplie d’eau, de voir le monument se refléter à l’intérieur et de susciter de la part des touristes, émerveillement et surprise.
La piscine est remplie à partir du mois de mai.
Nous nous dirigeons ensuite vers le Lincoln mémorial.
Sous nos pieds, une stèle informative.
De nombreux touristes se pressent pour apercevoir la statue d’Abraham Lincoln.
Le monument est un des plus hauts lieux touristiques de la ville. Une fois les photos d’usage effectuées, nous nous pressons à l’intérieur.
De grands piliers soutiennent l’ensemble.
Abraham Lincoln pointe son nez.
Il se dévoile enfin à nous.
Sur le mur, un long texte reprend une partie de ses discours.
Il faut dire que l’ancien président a beaucoup oeuvré pour l’union et la pérennité du pays.
Nous admirons l’endroit.
Le site a également été à de nombreuses reprises immortalisés au cinéma.
Le centre-ville
Nous arrêtons un chauffeur de taxi afin que ce dernier nous conduise à la maison blanche.
Nous découvrons une autre facette de la ville.
De beaux bâtiments administratifs côtoient…
…des bâtiments plus anciens.
Nous payons la cours un peu moins de 8 dollars.
Nous arrivons dans un petit parc qui contient en son milieu, une statue. Le parc est bien entretenu.
La Maison blanche
Les passants apprécient l’endroit. Il faut dire que face à nous, se trouve la maison blanche.
Le symbole de la puissance du pays.
Le coeur politique des Etats-Unis d’Amérique.
Tout un symbole.
Sur le toit, nous apercevons des snipers, présents quotidiennement.
Nous contemplons une dernière fois la statue qui se trouve dans le parc.
Nous nous approchons de la maison blanche et sommes surpris de découvrir un manifestant.
Les Etats-Unis protègent la liberté d’expression. Ce droit est inscrit dans la constitution. Dans de nombreux autres pays, même en France, le manifestant aurait déjà été expulsé sans ménagement.
Nous faisons connaissance avec un agent des services secrets.
La pelouse ressemble à un green anglais.
Le sniper vient de changer de position.
L’allée qui entoure la maison présidentielle est surveillée continuellement.
Nous rencontrons un autre manifestant.
Nous jetons un dernier regard sur le bâtiment.
Nous continuons notre route.
Nous appelons un autre chauffeur de taxi.
Nous allons pouvoir prendre le temps de visiter une autre partie de la ville, le temps de retourner à notre véhicule.
L’Avenue de Pennsylvanie
Nous empruntons l’avenue de Pennsylvanie.
Nous découvrons une grande banque. Elle se trouve en face du département du trésor.
La place est le secteur économique de la ville.
Les rues sont bien dégagées.
Et d’une propreté sans égal.
Le chauffeur de taxi nous conte l’histoire de la ville.
Nous ne perdons pas une miette du spectacle.
L’avenue est parsemée de bâtiments tout aussi célèbres les uns que les autres.
Quelques petits enclos de verdure parsèment l’avenue.
Les édifices se succèdent.
Face à nous, le Capitole.
Au sein de ces complexes, se jouent les politiques mondiales économiques. Les bureaux sont calfeutrés et le seul mot d’ordre est la discrétion. Il faut dire que les immeubles sont imposants. Nous découvrons le siège du FBI.
Ainsi que les archives nationales.
Nous nous arrêtons devant le Newseum, un musée consacrée au journalisme. Le bâtiment est moderne.
Nous continuons notre route. Chaque lieu est hautement symbolique.
Départ de la ville
Nous récupérons notre véhicule et saluons notre chauffeur. Nous nous dirigeons vers un autre quartier de Washington. Les quartiers changent, mais pas les édifices. Ils semblent, pour nombre d’entre eux, tous avoir été travaillés dans le même moule. Nous arrivons dans un quartier résidentiel.
Avant de rejoindre à nouveau un quartier administratif.
Face à nous, des immeubles administratifs.
Les caméras de sécurité sont omniprésentes.
Certains buildings attirent le regard plus que d’autres. Quelques arbres sont présents. Mais, ils sont noyés au milieu de la pierre. La ville reste surprenante.
Nous découvrons une vieille église. Ses couleurs sont magnifiques. Nous continuons notre route. Nous apercevons une cathédrale dans laquelle une messe est donnée.
Nous décidons de sortir de la ville.
Nous rejoignons la banlieue de la ville.
Les maisons sont typiques.
Route vers Baltimore
Nous rejoignons la direction de la ville de Baltimore. Dans les villes américaines, les banlieues sont généralement habitées par la classe aisée, à la différence des centres villes. Les habitations sont mitoyennes. Fabriquées suivant le même moule.
En continuant notre chemin, nous apercevons le cimetière Arlington. Il s’étend sur plusieurs hectares. En ce dimanche, de nombreux promeneurs s’y rendent. Nous décidons de nous arrêter après avoir dépassé la banlieue de la capitale. Nous nous arrêtons au Mc Donald’s. Nous reprenons la route en direction de Baltimore, à une cinquantaine de kilomètres de là. Nous empruntons un tunnel. C’est alors qu’après quelques instants, la ville de Baltimore apparaît. Nous franchissons un pont.
Baltimore
Nous prenons la direction du centre ville.
Premiers pas dans la ville
Un stade de base ball se trouve sur notre gauche. La ville de Baltimore se dévoile. Toujours sur notre gauche, un grand bâtiment de brique rouge qui nous laisse à penser à une distillerie.
Nous remarquons des feux rouges qui ne sont pas accrochés à un fil.
Nous contournons le centre des conventions.
Nous longeons une voie en direction de la basilique Notre Dame de la paix.
La population de Baltimore est constituée en majorité d’Afro-Américain.
Nous laissons passer le tramway.
La route est en mauvais état.
Nous nous trouvons dans une sorte de banlieue, mais en plein coeur de la ville. Nous nous engouffrons dans des petites ruelles.
La rue Franklin
Nous empruntons la rue Franklin. Le quartier comprend essentiellement des bureaux. Ainsi que quelques petits commerces.
Nous découvrons la basilique, la première basilique catholique du pays ayant été construite.
La basilique est constituée de plusieurs tours.
La rue est calme.
Nous entrons à l’intérieur de la basilique.
Nous assistons à une messe catholique.
L’intérieur est sobre.
Quelques fresques magnifiques se trouvent au plafond.
Nous retournons à notre véhicule.
Les bus de la ville fonctionnent au diesel et à l’électricité.
Le centre-ville
Nous rejoignons ensuite le coeur de la ville. Les buildings datent pour la plupart des années 1980.
Nous apercevons au passage, quelques statues. En nous dirigeant vers le centre commercial, les bâtiments semblent plus modernes.
Une grande avenue permet de rejoindre le centre.
Les buildings sont également plus hauts.
Ils cachent de leur imposante forme, la vue d’ensemble sur la ville.
Nous arrivons au centre commercial de la ville.
La vue est typique des grandes villes américaines.
Un haut bâtiment attire notre attention sur notre gauche.
Nous tournons à droite.
Nous garons notre véhicule.
C’est à pied que nous parcourons le centre ville.
La ville est célèbre pour son port.
Qui peut être rejoint facilement du centre.
Au coeur de la place, de nombreux commerces.
Une belle fontaine permet aux visiteurs de profiter du calme ambiant.
Le fort Mc Henry
Nous prenons notre véhicule pour rejoindre le fort Mc Henry. Sur le chemin, nous découvrons une belle petite église traditionnelle.
Nous arrivons au fort.
Nous nous garons sur le parking. Par chance, nous n’avons pas besoin de payer le parking. Nous traversons la route. Nous découvrons le fort, qui est classé aux monuments nationaux.
Le drapeau des Etats-Unis flotte fièrement.
L’endroit est magnifique.
A la droite du fort, une statue monumentale.
Nous quittons ensuite le fort.
Le Waterfront
Nous rejoignons le Waterfront, qui offre la plus belle vue de la ville.
Les immeubles en arrière plan s’admirent dans leur globalité.
Le site est l’occasion de faire de belles promenades.
Une légère brise nous caresse le visage.
Les touristes en profitent également pour louer des circuits en bateau autour de la ville.
Nous admirons les lieux.
Face au Waterfront, un petit manège enchante les petits.
Route vers Philadelphie
Nous quittons à présent la ville de Baltimore.
Nous apprendrons que le soir même, des émeutes éclateront.
Ces émeutes, faisant suite à l’assassinat d’un jeune noir par des policiers blancs embraseront la ville. Le chaos s’installera durablement durant plus d’une semaine.
Nous nous dirigeons à présent vers la ville de Philadelphie. La ville se situe à deux heures de route.
L’autoroute gratuite est de bonne facture.
Nous arrivons aux abords de la ville.
Philadelphie
Nous traversons un pont. Nous pénétrons dans le périphérique. La ville apparaît enfin.
Nous choisissons de dormir dans un hôtel pas cher. Le lendemain matin, après un copieux petit-déjeuner, nous nous dirigeons en priorité vers les Rocky steps, les marches empruntés par Sylvester Stallone dans son film Rocky. Nous effectuons le tour du rond point.
Le parking qui se trouve en son centre exige un paiement de 12 dollars. Nous décidons de trouver une autre place.
C’est chose faîte, après avoir fait le tour du rond point. A côté d’un petit stade, les emplacements sont gratuits, à même pas quelques mètres du parking payant.
Le match de cross
Nous avons en plus la chance d’assister à un match de cross.
Une sorte de jeu où les sportifs doivent s’emparer d’une petite balle, grâce à une crosse.
Les marches de Rocky
Nous nous dirigeons ensuite vers les marches de Rocky.
A notre droite, une petite église.
Face à nous, une belle statue.
Sur le site, quelques oeuvres contemporaines. La statue qui surplombe en réalité, non pas les marches, mais le musée d’art contemporain est imposante.
Finement travaillée, elle représente un indien et ses animaux.
Le tout, dans un décor belliqueux. Nous traversons la route.
Nous nous dirigeons vers la droite du musée.
La statue de Rocky, orne, imposante, l’endroit.
Tant de souvenirs cinématographiques remontent dans nos mémoires.
Nous grimpons les marches.
Le moment est solennel.
Nous admirons chaque recoin.
De gauche à droite, nos sens sont en éveil.
Nous découvrons avec précision l’envers du décor.
Ce que nous n’avions pas pu voir en regardant le film.
Nous nous retournons face à la ville. Elle se dresse, devant nous.
Nous venons de vivre un rêve d’enfant.
Le centre-ville
Nous redescendons et retournons à notre véhicule. Nous nous dirigeons vers le centre ville. La ville de Philadelphie a été rénovée entièrement.
Elle ne ressemble plus aux faubourgs sales présentés dans le film Rocky. Aujourd’hui, elle une ville touristique.
Qui laisse la part belle aux gratte-ciels. Nos regards se portent vers les hauteurs. Une alternance de bâtiments anciens et modernes.
Les tours sont impressionnantes.
Nous décidons de nous garer dans une petite ruelle à proximité de la mairie.
Il faut dire que la demi-heure de stationnement coûte 10 dollars.
C’est à pied que nous parcourons la ville.
Certaines tours sont plus hautes que d’autres.
Face à nous, nous découvrons la mairie.
Elle est entourée de petites ruelles. Ces ruelles elles mêmes disparaissent sous le poids des nouvelles constructions.
Le centre historique
Constructions, réalisées avec soin. Un véritable régal pour les yeux. Nous n’en apercevons même pas le sommet. Ou du moins, avec difficulté. Nous nous approchons ensuite de la mairie. Elle se situe au coeur de la ville.
Elle est entourée de statue contemporaine.
Elle se trouve également dans le coeur financier de la ville.
Nous admirons ce bâtiment, seul vestige du passé.
Le lieu est très touristique.
Plusieurs jets d’eau agrémentent la visite.
Nous nous dirigeons vers la gauche de la mairie.
Nous découvrons une autre facette de la ville.
Une splendide cathédrale orne le site.
Ainsi que plusieurs bâtiments classés.
Les chaînes de télévision sont sur le qui vive.
Nous prenons ensuite notre véhicule et rejoignons le hall de l’indépendance.
Il nous faut pour cela traverser la ville. Nous découvrons un hôpital spécialisé dans les neuros-sciences.
Puis, nous découvrons un musée.
Face à nous, l’immeuble Guardian.
L’avenue que nous traversons comporte de nombreux commerces.
Nous parvenons également à garer notre véhicule gratuitement dans une petite ruelle.
Nous nous baladons dans le centre ville.
Nous arrivons à notre destination.
A notre gauche, le musée de la Shoah.
Nous traversons la route. Nous découvrons l’immeuble de la Wells Fargo, l’ancienne banque du Far West qui a su perdurer.
Sur notre droite, un beau bâtiment sert d’office du tourisme.
Le hall de l’indépendance
L’office du tourisme se trouve juste en face du hall de l’indépendance.
Nous découvrons derrière des enfants qui jouent, une stèle.
Le hall de l’indépendance se trouve devant nous.
Nous nous en approchons.
Nous découvrons à sa droite, la liberty bell, qui se trouve dans une pièce fermée.
Route vers New-York
Nous prenons la direction de New-York.
Nous quittons la ville.
Mais suite à un mauvais réglage initial du GPS, ce dernier nous abandonne ; nous devons nous débrouiller seuls.
L’entrée dans New York de nuit
Nous quittons l’autoroute et nous profitons pour nous restaurer. Nous décidons ensuite de remonter vers le Nord. Tous les chemins menant à…New York. C’est alors qu’à proximité du pont de Brooklyn, le GPS fonctionne à nouveau. Nous empruntons un autre pont. Nous pénétrons dans la ville de New York.
Nous arrivons à Brooklyn.
Il nous faut néanmoins deux heures pour rejoindre le quartier de Manhattan.
35 kilomètres nous séparent de notre hôtel.
Nous grillons sans faire exprès un feu rouge. Nous devons être plus attentifs. Nous avons la chance de ne pas avoir de gros bouchons.
La ville de New York est composée de 5 quartiers : Manhattan, Brooklyn, le Queen, le Bronx et Staten Island. Manhattan est le coeur historique, commercial et touristique de la ville.
La ville ne comporte pas de noms de rue. Elle est quadrillée du Nord au Sud par des avenues et d’Est en Ouest par des rues. Pour rejoindre un monument, il faut se repérer à l’avenue empruntée, puis avancer jusqu’à atteindre la rue adéquate.
Nous arrivons dans Manhattan.
Les gratte ciels sont plus imposants.
Le waterfront by night
C’est alors que nous nous arrêtons face au Waterfront.
La vue est splendide.
Nous vivons nos premiers moments d’émerveillement.
La ville vit 24 h sur 24.
Toutes ces lumières font tourner la tête.
Chaque tour est illuminée.
Une photo s’impose dans ce lieu féérique.
Time square by night
Nous reprenons la route en direction de notre hôtel, sur Time square.
Nous passons devant l’immeuble du New York Times.
Nous arrivons à notre hôtel : le Fairfield inn Mariott Time Square. Normalement, les hôtels à Time Square sont excessivement onéreux. Mais, nous avons la chance, en fouillant sur Internet, de trouver une chambre à 100 dollars, soit 8 fois moins que le prix de base exigé.
C’est à pied que nous rejoignons Time square, le coeur de la ville.
Nous nous trouvons à 400 mètres du site. Dés notre avancée, les lumières nous éblouissent. L’endroit nous fait rêver.
Il fait jour en pleine nuit.
Les spots sont partout.
Il n’y a pas un recoin de pénombre.
Et dire que nous ne sommes pas encore à Time square.
Sur les façades, des spectacles…des publicités…
Partout, du monde.
Des promeneurs, des touristes, des hommes d’affaire.
Personne ne dort. Les spectacles durent jusqu’au bout de la nuit.
Nous vivons un rêve éveillé.
Nous continuons d’avancer.
En nous rapprochant de Time square, les lumières se font de plus en plus vives.
Etre présents ici est un fantasme qui se réalise. Time square est le coeur du marketing mondial.
Nous nous trouvons dans la 7 ème avenue.
Nous arrivons à Time square. Les panneaux et les écrans de télévision sont encore plus nombreux.
Toutes les minutes, pendant quelques instants, une lumière aveuglante éclaire la rue. Une lumière encore plus puissante que la lumière naturelle en plein jour.
La frénésie est totale.
Les bureaux qui se situent ici, en ce coeur du commerce mondial sont payés une fortune.
Time square est célèbre pour être situé à l’intersection de deux avenues. Sur certains écrans, les cours de la bourse sont affichés. Face à nous, un autre spectacle : hard rock.
Nous profitons de chaque moment passé en ce lieu magique.
Nous faisons attention aux moindres détails. Sur un autre écran, le drapeau du pays.
Les émissions d’information se succèdent.
Fox, CNN, toutes les plus grandes chaînes sont représentées.
Nous entrons dans quelques boutiques.
Une photo s’impose dans ce lieu.
Derrière nous, l’avenue s’étend à perte de vue.
Toutes les grandes marques au monde possèdent en ce lieu une boutique. Un attroupement attire notre regard.
Nous nous en approchons. Nous remarquons que les touristes cherchent à apparaître sur un des écrans de Time Square.
Nous tentons notre chance et nous nous découvrons sur un des écrans.
L’Empire State Building by night
Nous buvons ensuite un thé au Starbuck café. Un taxi nous emmène ensuite à l’Empire State Building.
La journée, un temps d’attente de trois heures est nécessaire. Mais, entre 22 heures et 02 heures du matin, il n’y a pas de queue.
Nous entrons dans ce bâtiment mythique. Nous payons la somme de 32 dollars.
Nous sommes fouillés. Notre trépied nous est confisqué le temps de la visite.
Nous avançons dans un dédale de chemin.
Nous décidons de monter jusqu’au86 èm étage. Nous pouvons pour 15 dollars supplémentaires, grimper et dépasser le 100 èm étage, mais la vue n’est pas différente et une cloche de verre protège de chutes éventuelles, ce qui dénature la vue.
Nous aurions pu prendre également au guichet, un pass qui donne accès à une multitude de visites de monuments de la ville, mais nombre d’entre elles ne nous intéressaient pas. Nous avons donc fait le choix de payer nos visites au cas par cas.
Nous continuons notre avancée.
Sur le chemin, de nombreuses notices explicatives.
Nous rejoignons les ascenseurs.
Nous suivons la file d’attente.
La sécurité est omniprésente.
Nous empruntons un premier ascenseur.
Il nous mène jusqu’au 80 èm étage. Nous reprenons un autre ascenseur qui nous mène jusqu’au 86 èm étage.
Nous traversons une galerie.
Nous sentons un vent froid parcourir notre corps.
Nous sortons à l’extérieur.
New York de hauteur de nuit
Nous avançons au milieu de la foule, nombreuse qui brave le vent et le froid pour découvrir la ville sous une autre facette. Nous cherchons un endroit un peu plus calme. Nous sommes silencieux.
Tétanisés par cette merveille qui se dresse devant nous.
L’homme et ses constructions.
A perte de vue, la ville s’étend.
Une ville monde.
Nous sommes stupéfaits.
Nous découvrons peut-être une des plus belles vues du monde.
Chaque parcelle de la ville est illuminée.
Nous ne savons plus où donner la tête.
Nous faisons le tour du bâtiment.
Chaque secteur de vue nous réserve des surprises.
Pendant plus de deux heures, nous bravons le froid.
Mais le jeu en vaut la chandelle.
L’endroit est magique.
New York est magique.
Nous nous protégeons un peu du vent qui souffle.
Nous essayons de reconnaître les buildings.
Nous pourrions passer des heures en cet endroit.
A la différence d’un autre building, plus haut : le Top of the world, la vue sur l’Empire state building est la plus belle et la plus magique.
Elle seule donne l’occasion d’admirer la ville sous toutes les coutures.
A notre gauche, Wall street. Non loin, Chinatown.
Central park est sur notre gauche.
A nos pieds, Time square.
Nous rentrons ensuite.
Nous refaisons marche arrière.
Une galerie de portraits nous pousse vers la sortie.
Du sol, le bâtiment est encore plus majestueux. Il est le seul, l’unique.
New-York
Le lendemain, nous avons décidé de passer une journée de pure détente sans sortir nos appareils à photo. Au programme dégustation et flânerie. Le surlendemain matin, nous continuons donc notre visite de la ville.
Nous nous dirigeons vers Central park.
Les buildings sont impressionnants.
Une grosse pluie tombe.
Nous longeons la quatrième avenue.
Abords de Central park
Nous approchons de Central park.
Quelques rues sont notées. Du moins, les plus importantes.
Nous sommes entourés de buildings.
Certains immeubles datent des années 1970.
Ils ont su garder leur charme d’antan.
D’autres, par contre sont récents.
La cinquième avenue
Nous arrivons sur la cinquième avenue.
Certaines façades sont sombres.
Elles font face au parc. Nous avons des difficultés pour nous garer. Nous rejoignons la cinquième avenue. Nous garons notre véhicule.
Nous buvons un café dans un petit bistrot. Nous parcourons la cinquième avenue.
La pluie ne désarme pas.
Nous arrivons à Madison avenue, une avenue célèbre pour ses commerces.
L’avenue est chic.
Nous nous abritons à nouveau dans un café. Certains bâtiments attirent notre attention.
Nous reprenons notre route. Nous trouvons une place aux abords d’un haut building d’habitation.
Nous rejoignons à pied Central parc. Nous avançons le long de la rue.
Central park
Nous pénétrons dans le parc. A cause de la pluie, il est vide.
Ce qui ne nous dérange pas.
Armés d’un parapluie, nous découvrons ce parc. Une bouée d’oxygène au coeur de la ville la plus bétonnée au monde. Tout au long des chemins, des bancs publics accueillent les visiteurs.
A certains endroits, de gros cailloux changent la teneur du paysage ambiant.
Nous essayons de nous rapprocher du lac de Central parc.
Nous trouvons une place où stationner.
Un petit chemin nous permet de rejoindre le lac. Le lac nous permet d’avoir une belle vue sur la ville. La vue est sublime. Il s’agit d’un endroit phare du parc.
L’été, les touristes peuvent naviguer sur le lac.
Nous retournons à notre véhicule.
Le quartier d’Upper East Side
Nous rejoignons ensuite le quartier branché d’Upper East Side.
Il s’agit d’un quartier tranquille.
Il comprend un musée. Qui se trouve face à de hauts immeubles de résidences.
Les commerces ne sont pas nombreux.
Lorsqu’il fait beau, les adolescents se retrouvent sur les marches du musée.
L’ambiance y est agréable.
Nous nous dirigeons à présent vers la cathédrale gothique de New York.
La cathédrale gothique
Nous parvenons à trouver une place dans un quartier résidentiel. La cathédrale se dresse fièrement devant nous.
Elle se trouve aux abords d’un petit parc.
A ses côtés, un petit cimetière. L’entrée coûte normalement 6 dollars, mais nous sommes surpris de ne pas payer.
Nous rejoignons l’allée centrale.
La cathédrale est magnifique.
Elle est haute sous plafond. Nous approchons du coeur de la cathédrale.
L’ambiance y est particulière. Les vitraux sont immensément grands.
Tout comme la voute.
Sur le sol, quelques emblèmes de l’endroit.
Broadway
Nous nous aidons des guides papiers présents à l’entrée. Nous reprenons notre visite de la ville. Nous nous dirigeons sur Broadway. L’avenue est mythique. Les hauts gratte-ciels commencent à apparaître dés que nous nous approchons de Wall street. Mais, en amont de l’avenue, les immeubles sont encore constitués de briques rouges.
Les arbres commencent à fleurir.
Le secteur est agréable.
Wall street
Nous apercevons nos premières salles de spectacle. Nous approchons de Wall street. Wall street est le quartier de la finance de la ville. Et du monde, le coeur du système monétaire et économique capitaliste.
Là où tout s’achète, tout se vend. Là où les fortunes se font et se défont. Là où la réalité devient virtuelle. Et c’est pour loger tout ce beau monde…
…que les tours atteignent le ciel.
Le vrai visage de la ville. Ou du moins, son symbole.
Il s’agit d’un petit quartier dans lequel sont regroupés la majeure partie des hauts buildings de la ville.
Nous ne pouvons pas marcher les yeux baissés vers le sol.
Le haut est attractif.
Nous avons l’impression d’être tout petits. Et la brume qui recouvre la ville lui donne ce côté angoissant. Le ciel et la terre ne font plus qu’un.
Nous repartons en direction de notre hôtel et après une bonne nuit réparatrice, nous nous réveillons de bonne heure.
Nous nous dirigeons vers Chinatown.
Chinatown se trouve non loin de Wall street.
Et assez près de Little Italie.
Le quartier ne ressemble à aucun autre.
Chinatown
Il pleut toujours autant.
Nous garons le véhicule et arpentons les rues.
Les façades sont écrites en chinois. Le quartier s’est peuplé de populations asiatiques depuis de nombreuses années. La pluie redouble d’intensité.
Certains monuments n’ont rien d’asiatique.
De grands immeubles abritent les familles asiatiques.
Tous les magasins ont une devanture qui ne laisse pas de doute quant à son origine.
Néanmoins, le quartier est agréable.
Il nous transporte en quelques instants à l’autre bout du monde.
Nous parcourons les ruelles à pied.
Nous entrons dans les commerces ; beaucoup des habitants ne parlent pas Anglais.
Les prix au mètre carré sont raisonnables.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous nous dirigeons à présent vers le ferry de Staten Island. Nous longeons pour cela la baie de New York.
Ferry vers Staten island
Les places sont rares. Nous devons trouver un parking souterrain.
La statue de la liberté se trouve sur Liberty island. Mais prendre un ferry pour l’île revient à 18 dollars. En outre, visiter la statue et le musée qui se trouve dans son socle coûte 30 dollars, une somme agrémenté de 20 dollars si le visiteurs souhaite monter au haut de la statue. En outre, un temps d’attente et de fouille de 2 heures au minimum rendent difficile cette excursion.
Pour cette raison, nous décidons de prendre le ferry qui permet aux visiteurs de se rendre à Staten island.
Le ferry est gratuit et il permet d’avoir une des plus belles vues sur la statue de la liberté, une vue bien meilleure que le bateau payant de liberty island.
Nous garons notre véhicule ; deux heures nous couteront 40 dollars. Nous pénétrons ensuite dans le bâtiment duquel prendre le ferry. Nous empruntons des escalators.
Au haut des escalators, nous apprenons que le ferry vient de partir et qu’il nous faut attendre le prochain bateau.
Nous en profitons pour nous balader dans la galerie marchande. Nous parcourons les lieux. Le hall d’accueil est désert.
Il y a des bateaux toutes les demi-heures.
Nous découvrons également une carte de l’île de Staten. La sécurité est de niveau 1. Autrement dit, peu de contrôles à la différence de l’accès à Liberty island où les contrôles sont continus.
Nous en profitons pour manger une pizza.
Nous entendons l’arrivée du ferry. Nous nous précipitons.
Nous nous dirigeons vers la droite du ferry, car c’est de ce côté que la vue sur la statue de la liberté est efficace. Il croise de nombreux autres bateaux.
L’endroit est brumeux.
Le ferry démarre. La vue sur Manhattan est magnifique. Nous avons la chance de nous trouver à l’extérieur du bateau.
Manhattan se dévoile avec la perspective nécessaire.
Manhattan s’éloigne.
Manhattan disparaît. Nous nous plaçons au devant du ferry, toujours sur le côté droit.
Baie de New York
Nous découvrons une autre île.
Et non loin d’elle, la statue de la liberté. Elle est magnifique.
Un peu moins grande que dans nos rêves.
Mais c’est un plaisir que de la découvrir.
Nous la regardons s’éloigner.
Nous immortalisons ce moment. Nous croisons des plates formes.
Le travail ne manque pas sur la baie de New York.
Les bateaux transportant des matières premières se croisent.
Nous apercevons Staten island.
Il s’agit d’une autre partie de la ville.
Un peu excentrée, c’est pour cette raison que la municipalité a mis en place ces ferry. Et gratuitement.
Ainsi, la municipalité considère que personne n’est lésé.
Nous visitons un peu l’île, sans nous y engouffrer.
Nous reprenons le ferry du retour.
Cette fois-ci, il convient de se placer à gauche, ou sur la proue du bateau.
Nous revoyons la statue de la liberté.
Pour notre plus grand bonheur.
Et nous apercevons Manhattan sous une brume épaisse.
Au loin, le pont de Brooklyn.
L’image est exceptionnelle.
New York revêt un côté mystérieux.
Nous pénétrons dans cette brume épaisse.
Un dernier regard en arrière.
Nous rejoignons notre véhicule.
La pluie n’a pas cessé.
World Trade Center
Nous nous stationnons non loin de là.
Nous découvrons le quartier du World Trade Center. Là où étaient situées les deux tours jumelles, avant l’attentat de 2001.
Quand bien même la zone a subi de profondes réfections, elle est toujours en travaux. Certaines tours ont été reconstruites. D’autres, simplement rénovées. L’endroit revêt une atmosphère particulière.
Le site est continuellement surveillé.
Les zones en travaux sont interdites d’accès.
L’endroit est un lieu de recueillement.
Départ vers le Canada
Nous quittons la ville de New York.
La pluie n’a toujours pas cessé.
Il nous faut bien deux heures pour sortir de Manhattan.
Nous découvrons la palace Trump.
Nous quittons Manhattan. Nous passons devant un haut pont. Nous arrivons dans le Bronx, un autre quartier de New York.
Nous passons sous un autre pont. Le Bronx se trouve sur notre gauche. Nous quittons à présent la périphérie de New York.
Nous empruntons un péage. Nous payons 5 dollars.
Nous prenons la route vers le Canada. Nous nous arrêtons après une centaine de kilomètres pour nous restaurer.
Nous reprenons un péage.
La route est monotone.
C’est alors que sans le faire exprès, nous dépassons la vitesse autorisée. La monotonie, la fatigue aidant, nous n’avons pas remarqué qu’à cause des travaux, l’autoroute était limitée à 50 mph. Toute sirène hurlante, un shérif d’état sort de nulle part, gyrophares rouge en action. Nous nous garons sur le bas côté. Il arrive vers nous, main sur le pistolet, chapeau sur la tête et regard intraitable. Toujours comme dans les films. Tout y est. Nous ouvrons la fenêtre et le saluons. Nous remarquons qu’il gesticule bizarrement. Il doit souffrir de TOC. L’image est insolite : nous sommes arrêtés dans l’état de New York alors que nous avons dépassé la vitesse autorisée de 25 mph, soit prés de 40 km/h ; le seul shérif avec des gesticulations étranges des Etats-Unis nous arrête. Nous pouvons perdre notre permis et payer une forte amende, car en ce qui concerne les excès de vitesse, les shérifs sont intraitables. Par ailleurs, cette tolérance zéro était indiquée sur de nombreux panneaux. Nous ne savons pas à quelle sauve nous allons être mangée. C’est alors que le shérif nous interroge sur notre parcours. Nous lui expliquons que nous sommes Français, que nous avons visité son pays et que nous nous dirigeons vers le Canada pour rejoindre la ville de Québec. Il s’étonne d’un si long chemin réalisé d’un trait. Il sourit, nous conseille de boire un café et de partir. Nous lui présentons nos excuses pour un tel excès. Il nous laisse partir, sans nous avoir mis une amende. Il était en réalité d’une gentillesse paroxysmique. Qui plus est, nous étions en tort.
Nous continuons notre route en faisant bien attention de ne pas dépasser la vitesse autorisée.
En approchant du Canada, le décor commence à changer. C’est alors qu’après 600 kilomètres, nous arrivons à la frontière. Nous avons beau chercher, nous ne trouvons pas de poste de sortie du pays.
Seuls les officiers de l’immigration canadienne nous accueille. Nous devons leur remettre notre carte verte ; ils la remettront à qui de droit. C’est ainsi que nous quittons ce merveilleux pays, forts de nos souvenirs et de nos rencontres avec ses habitants.