En provenance du Salvador, nous entrons au Guatemala.
Le poste d’immigration se trouve après le pont que nous devons traverser en compagnie de deux amis de notre hôte au Salvador ; ainsi pour nous rendre à Guatemala city, nous n’aurons pas besoin de prendre un taxi ou un bus.
Nous nous arrêtons au poste frontière.
En tant que ressortissant Français, nous n’avons pas besoin de visa ; nous présentons simplement nos passeports. Les démarches administratives prennent 5 minutes.
Nous faisons route vers Guatemala city.
La route que nous empruntons est en mauvais état.
Nous faisons une halte dans un petit village afin de nous reposer quelques instants.
Nous reprenons la route.
Il nous faut près de 3 heures pour rejoindre Guatemala city.
Le temps se couvre.
Nous traversons la campagne du pays.
Les villes dans lesquelles nous passons sont dynamiques.
Nous arrivons sous une pluie fine aux alentours de la capitale.
Nous empruntons une sorte de rocade.
Nous sommes alors pris dans les bouchons.
Nous faisons une heure pour parcourir quelques kilomètres.
Ce n’est qu’après quatre heures que nous parvenons jusqu’à l’aéroport.
Nous nous renseignons sur le prix d’une voiture de location : près de 60 euros la journée, sans compter une caution de 800 dollars.
Nous décidons de nous renseigner sur le coût d’un taxi pour nous rendre à Antigua. 25 dollars.
Nous payons le guichet des réservations ; ils nous mettent en relation avec un chauffeur.
Le conducteur Rony Alvarez propose des tours complets du pays, pour la somme de 60 euros par jour, essence comprise ; nous organisons avec lui une excursion dans les 3 jours pour visiter Guatemala city ; étant donné que la ville est considérée comme dangereuse, il vaut mieux être accompagné.
Nous faisons une halte dans un fast food.
Nous arrivons après une heure de route à Antigua.
Nous séjournons à l’hôtel Casa del Parque. Nous avons réservé la nuit à 50 euros avec petit déjeuner compris.
Le lendemain matin nous nous réveillons avec un cadre agréable.
Nous commençons la visite de la ville.
Nous rejoignons la place centrale.
Nous nous dirigeons ensuite vers la porte d’Antigua, là où se trouvent plusieurs agences qui proposent des excursions.
Nous visitons sur le chemin un marché artisanal.
Nous continuons d’avancer sur une rue pavée.
Nous découvrons derrière une grille, de magnifiques statues chrétiennes.
Nous entrons dans l’agence Aviatur, afin de réserver une excursion le lendemain sur le volcan Pacaya ; nous payons 30 euros par personne.
Nous continuons notre route en faisant cependant un léger demi-tour pour découvrir à nouveau les statues aperçues auparavant.
Le centre s’anime progressivement.
Nous arrivons à l’église Y convento.
Sur le chemin du retour, nous faisons une halte dans une bijouterie afin de découvrir le travail d’orfèvre d’un bijoutier.
Nous décidons de retourner à la place de la cathédrale.
Nous avons une légère accroche avec un vendeur qui essaye de nous réclamer de l’argent soi disant pour une photographie que nous aurions pris d’une dame ; en quelques instants, la dame pris en photo ainsi que plusieurs habitants lui tombent dessus en l’enjoignant de ne plus nous adresser la parole ; il s’exécute.
Nous continuons notre visite de la ville.
Les habitants sont adorables ; ils sont tous très souriants.
De nombreuses femmes portent leurs habits traditionnels.
Nous nous avançons vers la cathédrale.
En attendant, nous visitons la cathédrale.
Nous retournons à l’extérieur.
Juste en face, se trouvent de nombreux taxis ; nous négocions une sortie avec l’un d’eux autour de la ville, pour la somme de 50 euros la journée.
En nous rendant au marché municipal, nous arpentons les ruelles excentrées de la ville ; nous trouvons alors nombre de marques américaines proposer leurs produits dans des bâtiments à l’ancienne.
Nous rejoignons un monument archéologique de la ville.
Nous nous rendons ensuite au marché municipal.
Nous passons quelques moments avec une artisane qui nous explique son art.
Nous faisons un détour pour nous rendre au marché artisanal.
Le marché propose de nombreux produits locaux.
Nous retournons ensuite au marché municipal.
Les locaux se rejoignent afin d’acheter des produits quotidiens.
Nous faisons la rencontre d’un autre artisan.
Nous nous rendons ensuite au musée du chocolat.
Le musée permet de voir de nombreux produits à base de cacao.
Nous nous rendons ensuite dans un supermarché, faire quelques achats.
Le lendemain matin, nous retrouvons notre chauffeur de taxi avec lequel nous devons partir en excursion.
Nous faisons une halte dans un café de la ville afin de faire connaissance.
Nous nous dirigeons vers certains quartiers de la ville plus excentrés.
Le chauffeur est agréable.
Nous quittons la ville.
Il faut une dizaine de minutes pour sortir de la ville.
Nous avons organisé avec le conducteur, une visite de plusieurs villes qui se trouvent dans la région ; les agences proposent ce périple avec moins de ville, pour la somme de 50 euros par personne ; il vaut mieux ainsi prendre soi même un conducteur et effectuer cette excursion par ses propres moyens.
Nous nous dirigeons vers le ville de San Juan des Obispo.
La ville se trouve à 25 minutes de route de la ville d’Antigua.
Nous entrons dans la ville.
Nous pouvons découvrir une belle place située face à une église traditionnelle.
Nous repartons ensuite.
Nous entrons ensuite dans la ville de San Pedro Los Huertas.
La ville comprend un lavoir à l’ancienne.
Pour le rejoindre, nous devons nous garer face à l’église de la ville.
De nombreuses femmes nettoient leur linge dans un bassin prévu à cet effet.
Durant des heures, les femmes frottent leurs vêtements avec du savon.
Nous continuons notre excursion.
Nous entrons dans une autre petite ville.
Nous en découvrons une autre église.
Nous arrivons ensuite dans la ville de Vieja.
Les rues se ressemblent toutes : des habitations, une lavanderie, un petit magasin.
Nous nous garons aux abords de l’église.
Nous visitons l’édifice religieux.
Puis, à l’extérieur, un orchestre propose son savoir auditif.
Nous reprenons la route en direction des champs de noix de macadamia.
Il faut dire que la région est un des premiers pays producteurs de noix de macadamias du monde.
Les noix poussent dans des arbres.
Le site peut se visiter.
De nombreux produits y sont ainsi vendus.
La noix est utilisée dans des préparations culinaires, mais également en tant que crème hydratante.
Nous faisons ainsi connaissance avec le propriétaire des lieux, qui affirme être le véritable créateur de la formule anti-âge vendu par la firme française : l’Oréal.
Il nous autorise d’assister à la cueillette des noix et à leur traitement.
Les noix sont passées dans une machine dans laquelle, elles sont expurgées de leurs coquilles.
Nous repartons ensuite après avoir mangé un morceau dans le restaurant du site.
Nous nous dirigeons vers la ville de San Antonio Agua Calientes.
La ville se trouve à 30 minutes de route.
Nous nous rendons au parc central.
Nous garons notre véhicule.
Le marché artisanal a fermé depuis quelques mois, lorsqu’un incendie criminel a détruit le local qui l’acceptait.
Nous nous résignons donc à visiter le parc central.
Puis, une femme qui fabrique artisanalement des habits attire notre attention.
Cette dernière est d’une gentillesse ineffable ; elle nous autorise à suivre l’intégralité de son travail.
Elle nous habille également des habits traditionnels, une chance unique de porter ces vêtements colorés réservés aux habitantes locales.
Nous jetons un coup d’oeil au marché artisanal qui est en train d’être rénové, avant de quitter la ville.
Le chauffeur nous remet son numéro de téléphone ainsi que celui de son fils ; il s’agit de deux conducteurs professionnels qui proposent des immersions dans le pays comme peu peuvent en proposer.
Nous décidons après être retourné dans la ville, de rejoindre un autre hôtel : et ce afin de pouvoir tester d’autres produits hôteliers : nous réservons une chambre à l’hôtel Meson del Valle pour la somme de 40 euros la nuit.
Le lendemain matin, le minibus que nous avions réservé pour une excursion au volcan Pacaya se trouve à l’heure exacte devant notre hôtel.
Après une halte rapide dans une boulangerie, nous continuons notre route vers le volcan Pacaya.
Nous devons rejoindre tout d’abord la ville de Pacaya.
De nombreux volcans peuvent être visités autour de la ville d’Antigua ; néanmoins, le volcan Pacaya est le plus accessible.
Le volcan est bien indiqué.
Nous entrons dans la ville.
Il nous faut la traverser pour rejoindre l’accès au volcan.
Le minibus se gare sur le parking du site.
Nous payons l’entrée 10 euros ; aux abords du guichet d’où se vendent les tickets, des dizaines de cavaliers proposent leurs services pour éviter de monter à pied.
Le prix des cavaliers est de 15 dollars la montée.
Nous acceptons d’effectuer une montée à cheval.
L’avancée du cheval, maintenu par son propriétaire est dangereuse.
La pente est prononcée ; nous ne sommes pas rassurés.
Nous faisons une halte à un mirador pour en bénéficier du point de vue.
Nous repartons ensuite.
La propriétaire de nos chevaux se fait houspiller par une touriste, qui lui reproche d’épuiser les animaux ; un autre touriste intervient pour rappeler à la contestataire que son amie profite également de la montée sur un cheval ; la contestataire se tait devant l’évidence de son illégitimité.
Nous arrivons au sommet après une demi-heure d’équitation.
Nous pouvons admirer plusieurs volcans qui nous font face.
Nous saluons la propriétaire des chevaux à qui nous confirmons que nous effectuerons la descente à pied.
Nous profitons de la vue étendue.
Le site est magnifique.
Nous descendons pour rejoindre les pieds du volcan, dont les fumerolles s’échappent du cratère.
Nous faisons le tour du site.
Une petite cabane se trouve sur notre chemin ; elle propose de l’art manuel effectué avec la lave du secteur.
Nous suivons le groupe ; la guide sort alors des bonbons moelleux qu’elle fait cuire grâce à la chaleur du sol.
Nous versons de l’eau sur le sol afin de voir la chaleur effective des pierres.
Nous retournons ensuite au sommet du site.
La descente est plus rapide que la montée.
Il faut faire cependant attention à ne pas chuter.
Nous achetons à boire à l’entrée du site dans une petite épicerie.
Nous attendons le retour de tout le groupe.
Nous retournons ensuite à Antigua.
Le soir, nous mangeons rapidement un sandwich dans une épicerie de la ville.
Le lendemain matin, le chauffeur rencontré à Guatemala city vient nous chercher comme prévu.
Nous nous rendons vers le centre ville.
De nombreuses publicités pour des marques américaines sont présentes sur la route.
Afin d’acheter nos billets pour Flores, nous demandons au chauffeur de nous conduire à l’aéroport.
Nous parvenons de bonne heure à éviter les embouteillages.
La ville est très grande ; elle se compose en 18 districts : le 18 èm district, ainsi que le centre ville sont à éviter, car ils comprennent de nombreux membres de gangs.
Nous traversons un quartier assez pauvre.
Les maisons ont des façades décrépies.
Nous sommes pris dans un embouteillage.
En nous approchant de l’aéroport, nous découvrons un quartier rénové, avec de beaux hôtels.
A l’aéroport, nous réservons un vol pour Flores, afin de décoller le soir même.
Nous repartons ensuite avec notre chauffeur.
Nous nous rendons dans le secteur touristique de la ville.
Le secteur touristique comprend de nombreux centres commerciaux.
Il ne s’agit pas du centre historique, que nous découvrirons plus tard dans la journée.
La zone touristique est une zone bien achalandée.
Le quartier est sûr.
Nous découvrons un centre commercial dernier cri.
Nous quittons ensuite la zone touristique pour nous rendre dans le centre historique.
Il nous faut vingt minutes pour changer de décor.
Nous dépassons les derniers immeubles modernes.
Nous entrons dans le coeur de la ville.
Le quartier est antique.
Les maisons et les habitations sont plus ternes.
Des graffitis recouvrent de nombreux murs.
L’endroit, selon les dires du chauffeur est dangereux.
Nous pénétrons dans le coeur historique de la ville.
Il y a peu de touriste.
Nous nous garons aux abords de la place centrale.
Nous assistons en direct à l’arrestation d’un membre du gang des marras.
Les bâtiments sont intéressants.
Les habitants sont peu habitués à voir des touristes.
La place est surtout constituée de locaux.
Nous reprenons la route en direction de la zone 15, une zone entièrement construite il y a peu.
Nous traversons un quartier dangereux.
Le quartier est très populaire.
Nous empruntons une certaine rocade.
Nous arrivons au Paseo Cayala.
Le quartier semble sortir de nulle part.
Il est immaculé de blanc.
Il s’agit pourtant d’une partie de la ville de Guatemala city.
En fin d’après-midi, nous retournons à l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages.
L’aéroport est beau et moderne.
Nous sommes enfin après 1 heure d’attente, appelés à l’embarquement.