Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 300 photos montre intégralement notre découverte de Hong Kong afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. 

Nous avons ainsi découvert le pays et nous vous en présentons ses trésors touristiques.

L’aéroport de Hong Kong

Après deux heures de vol en provenance de Manille, dans les Philippines, nous survolons l’espace aérien de Hong Kong.

Afin de préparer notre voyage, nous avons contacté l’équipe de l’office du tourisme de Hong Kong basée sur Paris, qui nous a délivré de précieux conseils qui nous ont permis de maîtriser notre voyage, dans son intégralité. Les premiers bateaux apparaissent. Ainsi que les chantiers de construction. L’avion se pose sur le tarmac. Nous empruntons un tapis roulant automatique.

Et présentons nos papiers à l’officier d’immigration, qui nous agrémente d’une autorisation de trente jours, sans avoir besoin de prendre un visa.

Train vers le centre

Nous nous trouvons sur l’île de Lantau et afin de rejoindre le centre ville, devons prendre un train express pour la somme de 20 dollars. Le train circule à grande vitesse.

Le centre-ville

Le paysage défile jusqu’à ce que nous arrivions à la gare de central. La température extérieure est de 45 degrés. Nous prenons un taxi.

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La camera que je possède ne peut être utilisée en l’état ; à cause de la trop grande différence de température entre la climatisation de l’intérieur du taxi et l’extérieur, de la buée se forme sur l’objectif.

Je suis obligé de réchauffer l’objectif pour l’utiliser de manière optimale. Nous traversons la ville dans les bouchons. Fort heureusement, l’avenue des stars vers laquelle nous convergeons ne se trouve pas trop éloignée de la gare.

Nous descendons du taxi que nous saluons.

Nous sommes entourés par de hauts immeubles.

Et découvrons le musée des arts de la ville.

Reconnaissable entre mille grâce aux constructions futuristes du space musée qui se trouve à côté.

La ville est en chantier ; les nouvelles constructions croissent en nombre.

L’avenue des stars

Nous dépassons le musée des arts. Et longeons l’avenue des stars, une avenue étoilée qui laisse immédiatement à penser à celle de Los Angeles. C’est à cet endroit que nous avons une des plus belles vues au monde.

Une vue dégagée sur la baie de Hong Kong.

Ou autrement, le quartier de central.

Une photographie s’impose.

Nous patientons jusqu’à la tombée de la nuit.

C’est emmitouflée d’une robe sombre, que la ville révèle tout son potentiel.

Elle brille de mille feux.

Caressée par les nombreux bateaux qui effectuent l’aller-retour entre les deux rives.

Des milliers de touristes se pressent pour avoir le meilleure vue.

Le coeur de la ville

Nous goûtons une spécialité faîte à base de poisson. Et découvrons les constructions grandioses de la ville. Nous longeons l’avenue.

Quel que soit l’endroit duquel nous nous trouvons, la vue est toujours aussi surprenante.

Face à nous, une tour émerge.

Une sorte de grande horloge, toujours à l’heure.

La traversée en ferry

Nous nous dirigeons vers le ferry, tout en nous trompant dans un premier temps.

Nous patientons pour rien devant la file pour acheter une croisière.

Ce n’est qu’en voyant le prix de la prestation que nous prenons conscience de notre erreur.

Nous continuons notre chemin. Cinq dollars la traversée, nous sommes au bon guichet.

Le centre des congrès est notre destination.

Nous grimpons dans le bateau.

Une courte nuit

Nous traversons avec l’aide d’un taxi, le quartier des affaires.

Et après une dizaine de minutes de conduite, nous rejoignons notre hôtel : Le Butterfly on waterfront, un hôtel quatre étoiles que nous avons pour approximativement 80 euros la nuit. Bien moins cher que ses concurrents.

L’accueil est cordial et la nuit est courte.

Le centre historique

Le lendemain matin, après quelques heures de sommeil, nous quittons l’hôtel. Nous traversons à pied de grandes avenues et nous dirigeons vers le temple Man Mo. Nous circulons sur la rue Victoria.

Et arrivons devant le temple.

Nous arpentons Hollywood road.

Ainsi, disons voir, d’habitations plus typiques.

Hong Kong est une ville partagée entre ancienneté.

Et modernité.

Ferry vers l’île de Lantau

Nous retrouvons notre guide : Koko Law, joignable au 852 908 11 252 ou sur son mail. Nous devons dire, qu’il fut l’un des guides les plus charmants, professionnels et attachants que nous avons rencontré dans notre vie. A appeler absolument, pour visiter la ville dans les moindres détails et en Français, puisqu’entre ses multiples qualité, il est francophone. Nous prenons les tickets de ferry, qui nous permettent de quitter le quartier de central et nous rendre vers l’île de Lantau, l’île la plus intéressante du pays.

Les îles commencent à apparaître. Quelques bateaux voguent tranquillement.

Dans le bateau, à cette heure matinale, le calme règne.

Le décor semble paradisiaque.

Une légère brise agrémente notre voyage.

L’arrivée sur l’île de Lantau

Nous préparons notre accostage. Et descendons sur le quai de débarquement.

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Nous sommes de retour sur l’île de Lantau que nous avions quitté la veille, lors de notre arrivée en avion.

Bus vers le village de Tai O

Nous nous dirigeons vers le quai des bus. Nous patientons une dizaine de minutes.

Le bue en direction du village de Tai O arrive enfin.

Nous grimpons à l’intérieur.

Le chauffeur termine les vérifications de tickets.

Nous nous engouffrons dans les terres.

Le bus est un des moyens principaux de transport sur l’île. Nous faisons connaissance avec les maisons de l’île. Ainsi qu’avec sa verdure. Omniprésente. Ses plages.

Sa maison d’arrêt. Et ses paysages fantastiques. Voire, surprenants.

Hong Kong 80

Le village de Tai O

Nous arrivons après une heure de route, dans ce village traditionnel.

Qui contient un petit port.

Duquel arrivent les pêcheurs du matin et leurs prises.

Qu’ils ferons sécher, afin d’optimiser leur conservation.

La ville est authentique.

Parcourue par de nombreux petits ponts.

Elle est un repère de retraités, qui aspirent à un repos paisible.

Avec une vue panoramique sur les montagnes.

Les maisons sont construites pour la plupart sur pilotis.

Quelques temples sont présents.

Le tout, baigné par la mer de Chine méridionale.

Tai o est un village de pêcheurs.

Qui a su conserver son mode de vie.

Encore méconnu des touristes, le village…

…se laisse bercer par une douce mélancolie.

Tous dans le village se connaissent.

Et les portes des habitations en sont jamais fermées.

Les habitants circulent majoritairement en bateau.

Et vivent du produit de leur pêche.

Quelques rues asphaltées ne dénaturent en rien l’aspect conservateur de l’endroit.

Et après une longue promenade vivifiante, nous rejoignons l’arrêt de bus.

Lui-aussi entouré par une végétation luxuriante.

Et des montagnes qui s’étendent…

…à perte de vue.

Un dernier regard sur le petit port.

Le monastère de Po Lin

Nous parvenons en quelques minutes au site du monastère de Po Lin. Dont une arche géante marque l’entrée.

Surveillée par le bouddha géant. Nous pénétrons gratuitement dans le sanctuaire.

Le bouddha se rapproche.

Sur le chemin, des statues représentatives des signes du zodiac chinois.

Une belle allée dégagée.

A notre droite, le bouddha géant.

Au centre, une autre arche.

Au loin, les montagnes.

Au centre, un promontoire.

Nous nous dirigeons vers de hauts escaliers. Nous dépassons une stèle. La montée dure prés de vingt minutes. Sous une chaleur étouffante, chaque marche est un challenge.

Le bouddha est tourné vers la ville de Pékin.

Face à des montagnes brumeuses.

L’endroit est sacré pour les bouddhistes.

Une vue sur le monastère est une récompense.

Une ambiance particulière règne au sommet.

Une quiétude qui nous laisse seuls au monde.

Les arbres se dressent fièrement.

Et les statues égayent notre découverte.

Chacune représentant un sacré de la religion. Nous redescendons après une trentaine de minutes.

Le monastère est libre d’entrée. Nous le visitons, quand bien même il est en réfection.

Nous joignons ensuite la ville nouvelle construite.

Le téléphérique

Afin de rejoindre le téléphérique.

L’entrée coûte moins de dix dollars.

Et elle permet d’obtenir une des plus belles vues de l’île.

Au sol, un petit cimetière sort de nulle part. Le guide nous explique qu’il s’agit d’une famille richissime qui en a obtenu le droit. Seul le bruit des moteurs du téléphérique perturbe le velouté ambiant.

Les premières constructions apparaissent après une vingtaine de minutes. Ainsi que la baie de l’île.

Le ciel est dégagé.

Nous continuons notre descente.

Nous retrouvons l’effervescence de la ville.

Route vers le port des ferrys

Et souffrons de cette attente en pleine chaleur de ces touristes qui n’ont pas fait le choix de se lever tôt pour découvrir le monastère, en partance du quartier central. Nous prenons un métro.

Afin de rejoindre plus rapidement le ferry qui nous mènera à Macao.

Le ticket coûte une vingtaine d’euros par personne.

Les séparations sont déchirantes.

Nous faisons connaissance avec Connie, la responsable de l’office du tourisme de la ville : à l’égal de Koko, elle est une femme formidable, d’une gentillesse rare. Une des plus belles rencontres de ce voyage.

Nous prenons le temps de nous essayer à la langue : le cantonais.

Bonjour. Hou Néih.
Comment allez-vous? Néih Hou ma?
Quel est votre nom? Néih giu māt’yéh mèhng un?
Mon nom est Ludovic. NGOH aller Meng giu Ludovic.
Ravi de vous rencontrer. Hahng’wúih.
S’il vous plaît. Ching.
Merci. Mh’gōi.
Soyez le bienvenu. Mh’sái Haak-hei.
Excusez-moi. Mh’hóu yisi
Je ne peux pas parler le cantonais. NGOH mh’sīk Gong Gwóngdōngwá.
Parlez-vous anglais? Mh-de-sik Néih Gong Yīngmán un?
Y at-il quelqu’un ici qui parle anglais? nī douh yáuh Mouh Yahn Sik Gong Yīngmán un?
Désolé. Deui-mh-jyuh.
Je ne comprends pas. Mh’mìhng Ngoh.
Au revoir. Bāaibaai.

Nous nous asseyons à la table d’un des 10 000 restaurants de la ville ; d’après les dires, ils seraient plutôt 30 000. Nous avons le choix entre :

Les fruits de mer ;
Le canard laqué ;
Les légumes coupés en rondelles ;
Les raviolis aux crevettes ;
Les fondues ;
Les Xiao long bao, des beignets fourrés à la viande ;
Les Siu Mai, d’autres beignets cuits à la vapeur ;
La soupe de nouille aux Won Ton, des petites friandises à la viande ;
Les viandes en sauce accompagnées de riz ;
Le cheung fen, des crêpes fourrées à la viande ;
Le barbecue chinois, constitué de viande de porc, d’oie ou de bœuf.

En dessert, nous pouvons choisir :

La soupe de haricots rouges sucrés ;
Le pudding au tofu ;
Le Tangyuan ; sorte de boulettes de riz soufflé ;
Le pudding à la mangue ;
Le dessert au Durian, saveur importée d’Asie.

Le départ de Hong Kong

Nous nous en sortons pour une dizaine d’euros par personne. Le ferry va bientôt partir.

Nous nous pressons à l’immigration ; la file d’attente est longue. Nous n’avons pas le temps de patienter. Nous quittons Hong Kong, et nous devons le dire, un pays magnifique, formidable, qui révèle ses véritables trésors, lorsque nous prenons le temps de les découvrir ; une véritable destination de vacance, qui permet à la fois de passer de la tradition à la modernité, peuplée de gens agréables et sympathiques. Un objectif pour tout voyageur qui se respecte.