Nous nous dirigeons vers le port de Honiara.
Nous nous trouvons sur l’île de Guadalcanal, au coeur des îles Salomon.
Nous recherchons une embarcation pour nous diriger sur l’île de Savo.
Alors que tous les pêcheurs nous demandent une somme astronomique, nous faisons la connaissance de Zaccheus Sepo, qui nous propose de nous emmener pour le prix modique de 15 euros par personne ; il est joignable au 006777477657 ou sur le zacsepo@gmail.com
Nous avons obtenu ce contact grâce à notre guide Mark Bero, un guide formidable qui connaît l’archipel comme sa poche, joignable au 006778780588 ou sur le beromark@gmail.com
Nous embarquons.
De nombreux passagers nous rejoignent.
Les gens sont d’une gentillesse sans borne.
Nous quittons le port d’Honiara.
Les côtes de l’île de Guadalcanal s’éloignent.
Le co-pilote est un jeune homme d’une vingtaine d’années.
Le pilote quant à lui maîtrise son bateau depuis plus de vingt ans.
Le trajet dure prés de 3 heures.
Un jeune enfant commence à sentir une grande fatigue.
Il faut dire que nous sommes bercés par les roulements des vagues.
Chacun patiente comme il peut.
Cela fait à présent plus d’une heure que nous naviguons.
Le jeune garçon est tombé de sommeil.
Au loin, une première île apparaît.
Ainsi que plusieurs autres.
Les côtes escarpées de l’île de Savo apparaissent.
Le trajet touche à son terme.
Nous avons hâte de poser les pieds sur le sol.
Une multitude de petits îlots nous entourent.
La plage se trouve à présent devant nous.
Le bateau ralentit.
Nous débarquons enfin ; nous rejoignons notre hôtel.
Le cadre est idyllique.
Nous en profitons pour nous restaurer.
Les pieds dans l’eau, nous profitons de la vie.
Nous n’hésitons pas à prendre une multitude de photos.
Ce n’est pas tous les jours que nous nous retrouvons sur une île paradisiaque.
Nous posons nos affaires dans notre chambre.
Mark nous emmène faire le tour de l’île.
Nous croisons quelques enfants.
Nous longeons le bord de plage.
Une famille nous demande d’où nous venons.
Nous entrons dans un village.
Une petite clairière est en train d’être construite.
Nous visitons le village.
Les habitants de l’île vivent essentiellement de la pêche.
Certaines maisons sont construites en hauteur.
Il nous est surprenant de découvrir de la pelouse bien taillée sur cette île.
Les enfants font leur devoir.
Une famille nous appelle afin de prendre une photo.
Les gens sont généreux et souriants.
Pourtant, ils manquent de tout.
Les enfants jouent comme ils peuvent.
Une autre famille souhaite faire notre connaissance.
Nous traversons le village pour rejoindre le front de mer.
L’eau n’est pas profonde.
Dans un autre village, nous découvrons un bras d’eau dans lequel les habitants pêchent.
Les habitants nous invitent à faire connaissance avec le chef du village.
Nous partons à sa rencontre.
Il n’es tpas encore là ; ils nous demandent de patienter.
Pour tuer le temps, nous avançons parmi le corail pour nous rapprocher des eaux turquoises qui nous font tant envie.
Le fonds marin se voit depuis la surface.
Nous retournons sur les berges.
Nous assistons à un conseil de village.
En quittant le village, les habitants viennent nous saluer.
Ils ont de la chance de vivre dans cet endroit, coupé du reste du monde.
Nous aussi, nous profitons à notre manière de cette joie de vivre.
Un groupe d’enfants nous accompagne.
En retournant à notre hôtel, nous croisons un crabe des cocotiers, un des crabes les plus grands au monde.
Après une nuit de sommeil réparatrice, le lendemain matin, nous nous réveillons les pieds dans l’eau.
Le corail se trouve sous nos pieds.
La plage est déserte ; aucun touriste ne s’est encore levé.
La température de l’eau est idéale.
Sur le sable, une pieuvre.
Nous sortons nos palmes et nos tubas pour une séance de snorkelling.
Le fond marin est époustouflant.
Les couleurs sont vives.
Un beau poisson vient nager prés de nous.
Il semble espiègle et farceur.
Nous nous éloignons du bord.
Le fond est encore plus spectaculaire.
Durant des heures, nous nous adonnons à ce plaisir sincère.
Nous découvrons chaque recoin du fond marin.
Des milliers de poissons nous entourent.
Il est déjà l’heure de rentrer sur l’île de Guadalcanal. Nous en profitons pour nous amuser encore un peu.
Après trois heures de trajet, nous arrivons sur l’île principale des îles Salomon.
Nous saluons notre capitaine qui ne nous a jamais fait défaut.
