En provenance de Singapour, nous passons le poste frontière à pied.
En tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa ; un simple tampon est adossé à notre passeport, avec le sourire des policiers de l’immigration ; nous passons ensuite les contrôles bagages ; la Malaisie est intraitable pour toute entrée non déclarée de tabac sur son territoire ; en ce qui concerne les individus désireux de passer de la drogue, la sentence peut aller jusqu’à la mort. Les douaniers ne nous contrôlent pas. Nous quittons le hall de la frontière.
Nous rejoignons l’extérieur.
Nous nous retrouvons dans la ville de Johor ; nous essayons de trouver un chauffeur privé, mais la mission s’avère impossible.
Nous décidons alors de prendre un chauffeur de taxi qui nous conduit au centre ville.
La ville ne présente que peu d’intérêt.
Nous en faisons rapidement le tour. Nous nous dirigeons après quelques heures dans la gare des bus ; nous achetons deux tickets pour un trajet jusqu’à Kuala Lumpur ; à y réfléchir de plus près, nous aurions du de Singapour, prendre un train qui nous aurait mené directement dans la capitale malaisienne.
Le bus est tout confort ; il faudra cinq heures de route pour rejoindre Kuala Lumpur. Nous payons les tickets 10 euros chacun.
Nous démarrons.
Le trajet est long.
Nous nous arrêtons en cours de route dans une sorte de station service pour touristes.
Ce n’est que tard dans la nuit que nous arrivons dans la capitale.
Nous arrivons à la gare centrale des bus.
Pour rejoindre notre hôtel : l’ arenaa mount batten , il nous faut prendre un autre taxi.
Le taxi nous coûte également une dizaine d’euros.
Le lendemain matin, nous réservons pour une semaine un chauffeur de taxi qui couvre de grandes distances ; il se nomme Rashid et il est également guide anglophone ; il peut être joint au 0060193135066 ou sur le rashidmohamed@yahoo.com
En sa compagnie, nous nous rendons aux grottes Batu.
Nous arrivons sur place en vingt minutes.
Malheureusement, arrivés sur place, nous remarquons que nous avons oublié des affaires importantes dans notre chambre ; nous devons faire demi-tour.
Nous retournons dans le centre de Kuala Lumpur.
Nous pouvons repartir vers les grottes de Batu.
Les grottes sont les plus célèbres du pays.
Nous garons notre véhicule.
Aux abords des grottes, des milliers de pigeons qui attendent un geste de partage des touristes.
Une grande statue dorée orne l’entrée.
Nous l’admirons.
Nous commençons la montée des nombreuses marches menant jusqu’aux grottes.
La montée est épuisante.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Les grottes sont un lieu de pèlerinage pour les croyants.
Le site est constitué de plusieurs grottes reliées entre elles.
De nombreux moines prient.
Nous parvenons jusqu’à la dernière salle.
Les touristes sont purifiés.
Une ferveur générale émane du site.
Nous reprenons la route de la sortie.
De nombreux marchands proposent des souvenirs pieux.
En redescendant les marches manant à la grotte, d’autres cavités peuvent être visitées.
Mais, le spectacle intéressant se déroule en contrebas.
Face à une sorte de petit jardin aménagé, un singe dévore un Durian, un de ces fruits laiteux qui sont cultivés dans le pays.
Nous quittons les grottes et faisons une halte dans une station service.
Nous prenons ensuite la route vers les Cameron Highlands ; nous aurions pu prendre une excursion proposée par un tour opérateur et dont les nombreux prospectus inondent les hôtels, mais le circuit ne nous aurait pas permis de faire des haltes sur le chemin ; en outre, nous aurions été dans un bus au milieu de touristes, ce qui n’aurait pas égayé notre voyage ; à la surcharge, nous préférons l’indépendance ; en ce qui concerne le tarif, prendre une voiture indépendante avec un chauffeur est meilleur marché que payer pour chaque membre du groupe, une excursion.
Nous empruntons une autoroute qui nous mène vers le Nord du pays.
Il faut 2 heures de route pour rejoindre les Cameron Highlands.
La route est longiligne ; les panneaux indicateurs sont bien répartis.
Nous quittons l’autoroute.
Nous nous arrêtons aux abords d’un village.
Nous rencontrons plusieurs habitants qui nous autorisent à visiter l’intérieur de leur maison.
Le village est construit sur pilotis.
Les maisons sont fabriquées avec les moyens du bord.
Nous reprenons la route vers les Cameron Highlands.
Nous pénétrons dans une jungle dense.
Nous faisons une halte afin de goûter le durian, le fruit typique de la région ; la chair du fruit est laiteuse.
Nous continuons notre route.
Nous nous arrêtons aux chutes Selamat Datang.
Le site est magnifique.
Il est apprécié des touristes et des locaux qui viennent en famille s’y baigner.
Nous nous détendons dans cet havre de tranquillité.
Nous continuons notre route ; Les Cameron Highlands sont constitués de quatre étages ; nous entrons dans le premier niveau.
La nature est omniprésente.
De nombreuses petites chutes d’eau accompagnent notre périple.
Nous pénétrons dans une petite ville.
Nous la traversons.
Nous nous dirigeons vers une ferme d’abeilles qui se trouve non loin de champs de fraises.
Nous découvrons les nombreuses cultures de la région.
Plusieurs dizaines de ruches produisent un miel apprécié dans le monde entier.
Nous découvrons plusieurs types d’abeilles.
Nous reprenons ensuite la route.
Nous nous dirigeons vers les champs de thé en terrasse.
Nous arrivons au niveau 2. Nous garons notre véhicule sur le parking de Cameron Valley.
Nous entrons dans une sorte de bar restaurant.
Nous avons une vue magnifique sur les champs de thé.
Notre regard se perd dans ces champs qui s’étendent à perte de vue.
Le spectacle est magnifique.
De nombreux voyageurs arrivent.
Nous nous régalons de ce spectacle.
Nous reprenons ensuite la route et nous pénétrons dans le niveau 3. Le chemin est indiqué.
Nous traversons une autre petite ville.
Nous visitons des champs de fleurs.
La traversée d’une énième ville nous fait entrer dans le niveau 4.
Nous garons notre véhicule aux abords d’un autre champ de thé ; nous nous y promenons à travers.
Les feuilles de thé sont ramassées manuellement par des ouvrières, qui travaillent surtout le matin.
Nous terminons notre visite des Cameron Highlands. Nous nous arrêtons dans un marché local afin de faire quelques emplettes.
Nous achetons des produits traditionnels.
Le tout, pour un prix assez bas.
Nous mangeons sur place.
Nous faisons une halte aux abords d’une jungle que nous rencontrons sur notre chemin.
Plusieurs pêcheurs s’affairent.
Sur la route, nous faisons une halte dans une station service.
Nous arrivons tard dans la nuit à Kuala Lumpur. La ville est assez moderne. Nous en profitons pour découvrir les tours Petronas de nuit.
Les tours sont illuminés.
Elles sont les tours les plus connues au monde.
Les tours se trouvent dans le quartier économique de la ville.
Nous retournons à notre hôtel. Le lendemain après une courte nuit de sommeil, notre chauffeur se présente à nous à une heure matinale ; nous avons beaucoup de chemin à parcourir pour nous rendre au Teman Negara, un parc qui permet de découvrir la jungle malaisienne ; 200 kilomètres nous séparent de l’endroit.
Nous prenons une autre autoroute.
Nous roulons à présent depuis prés de 2 heures.
C’est alors que la voiture de Rashid stoppe. L’analyse du moteur ne laisse planer aucun doute : elle ne peut plus démarrer ; le radiateur vient de lâcher. Sans se démonter, Rashid arrête un bus qui effectue la liaison Kuala Lumpur Teman Negara ; il demande au chauffeur de nous prendre à son bord ; il nous récupèrera le lendemain.
Nous faisons une halte dans un magasin d’alimentation.
Le trajet dure une trentaine de minutes.
Nous arrivons à l’entrée du parc national.
Nous devons cependant continuer notre route.
Ce n’est que quelques kilomètres plus loin, que nous parvenons jusqu’aux bureaux de compagnie Han, qui s’occupe majoritairement des excursions dans le Teman Negara.
Nous payons pour la journée, 40 euros par personne. Nous reprenons ensuite un bus qui nous emmène jusqu’à l’embarcadère qui permet de rejoindre la jungle.
Il nous faut encore parcourir une trentaine de kilomètres. Nous arrivons à la ville de Kuala Tahan.
De nombreuses excursions sont proposées : la route permet aux particuliers ayant loué des véhicules de se rendre seuls jusqu’à ce point.
Les bateaux vont et viennent par intermittence à une haute fréquence.
Nous embarquons sur une pirogue à moteur.
Nous pénétrons dans le coeur de la jungle.
Nous sommes secoués à l’intérieur de l’embarcation.
Nous faisons une première halte.
Nous pénétrons dans la jungle ; le taux d’humidité est très élevé.
Nous devons marcher une vingtaine de minutes.
Nous arrivons à une petite maisonnée.
Nous allons effectuer une balade dans les arbres.
Une sorte de parcours accro-branches.
Nous nous trouvons à près de 10 mètres au-dessus du sol.
Il ne faut pas avoir le vertige.
Nous nous trouvons au coeur de la jungle.
Il nous faut bien trente minutes pour en faire le tour.
Nous suons à grosses gouttes, tant le taux d’humidité est important.
Dans des toilettes de fortune, sur le sol, des fourmis géantes avancent nonchalamment.
Nous rejoignons les rives du fleuve.
Des ouvriers embarquent à plusieurs sur une petite pirogue.
Nous patientons que notre pirogue vienne nous récupérer.
Nus grimpons à l’intérieur en direction d’un petit village au coeur de la jungle.
La pirogue avance rapidement.
Après avoir franchi plusieurs rapides, la guide d’une pirogue concurrente nous mouille fortement avec sa rame qu’elle place à la lisière de l’eau ; je parviens à lui attraper la rame et à lui rendre la pareille devant l’admiration générale de notre groupe.
Nous parvenons aux abords du village.
Nous découvrons la jungle qui nous entoure.
Nous entrons ensuite dans le village.
Le village est particulier ; il est fait pour accueillir des touristes, mais certains villageois ne sont pas de cet avis ; ils tournent le dos à la vue des étrangers et ne souhaitent pas discuter avec eux.
Nous parvenons à quitter le groupe.
En nombre restreint, les villageois nous accueillent plus facilement.
Nous sommes autorisés à visiter leurs huttes traditionnelles.
Nous continuons notre découverte des lieux.
Nous nous enfonçons dans la jungle.
Nous en profitons pour ensuite nous baigner dans le fleuve Teman Negara.
Nous reprenons en fin d’après-midi, la route du retour.
Nous arrivons à la station de départ.
La société Han travel qui propose des excursions propose de nombreuses excursions ; elle est sérieuse et fiable.
C’est d’ailleurs le responsable de Han travel qui nous emmène jusqu’à l’hôtel dans lequel nous passerons la nuit.
Le lendemain, nous retournerons sur le Teman Negara pour une journée de détente ; en fin d’après-midi, Kit, le responsable d’Han travel nous explique que pour se rendre au Teman Negara, il est plus judicieux de faire appel à sa société qui propose des prix imbattables pour toute sorte de formule, mais que la formule 3 jours est la plus intéressante. Aussi intéressante qu’une excursion d’une journée. Kit est un jeune homme formidable ; il peut être joint au 006 0162196908 ou sur le eukeat@gmail.com
A grande vitesse dans son 4/4 flamboyant, nous parvenons à retrouver Rashid, avec lequel nous retournons sur Kuala Lumpur.
Il a du changer le radiateur. Arrivés à Kuala Lumpur, nous libérons Rashid pour les deux jours qui suivront étant donné que nous visiterons la capitale à pied. Nous en profitons pour nous restaurer.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel, un 4 étoiles pour la somme de 40 euros par nuit. Il s’agit de l’hôtel Arenaa Mount Batten, situé dans le coeur de la ville.
A la réception, se trouvent de nombreux prospectus proposant les excursions de la société Han travel.
Le lendemain matin, nous rejoignons le centre ville de Kuala Lumpur.
Nous nous dirigeons en premier lieu vers la mosquée Masjid.
Nous devons mettre une sorte de pagne pour la visiter afin de cacher nos jambes découvertes.
Nous nous dirigeons ensuite vers le centre.
Face à nous, une belle place.
Nous nous y rendons.
Nous découvrons aux abords de la place, une belle fontaine.
Ainsi que de nombreuses mosaïques.
Nous visitons une galerie.
Nous continuons notre visite de la ville.
Nous découvrons des petits commerces.
Quelques églises sont disséminées dans la ville.
Nous apercevons au loin, la Menara, la plus haute tour de la ville.
Nous longeons plusieurs bâtiments administratifs.
Nous traversons un petit parc.
La Menara guide nos pas.
Quelques maisons se trouvent dans un piteux état.
Nous entrons dans le quartier économique de Kuala Lumpur.
Pour rejoindre la Menara, nous devons monter une côte.
Il nous fait approximativement trente minutes de marche pour rejoindre la tour.
Nous aurions pu prendre un taxi, mais nous préférons découvrir la ville plus en profondeur.
Nous nous rapprochons de notre objectif.
Un dernier effort.
La Menara se trouve devant nous.
Nous pénétrons à l’intérieur.
L’entrée coûte une dizaine d’euros, un peu plus pour ceux qui désirent se rendre au dernier étage.
L’intérieur est très luxueux.
Il nous faut prendre deux ascenseurs.
Nous arrivons à l’étage panoramique.
Nous avons une vue dégagée sur la ville.
Nous profitons du spectacle.
A l’intérieur de la tour, sur les murs, plusieurs gravures des tours les plus hautes du monde.
Nous découvrons pendant plus d’une heure les moindres recoins de la tour.
Nous descendons ensuite. A l’extérieur, plusieurs sites proposent aux voyageurs, des activités de découverte.
Dont un arbre sacré pour les locaux.
Nous visitons ensuite l’aquarium qui se trouve aux pieds de la tour.
Il comporte de nombreux poissons de la région.
Il n’est pas grand, ce qui rend la visite rapide.
Nous décidons ensuite de manger un morceau.
Les tours Petronas sont facilement identifiables.
Leur taille nous permet de nous diriger avec facilité.
Nous arrivons aux abords des tours.
Elles sont plus visibles de jour que de nuit.
Nous découvrons les alentours.
Nous sommes attirés irrémédiablement par ce spectacle. Elles présentent un caractère spécial qui les rend unique.
Nous pénétrons dans la première tour.
A l’intérieur se trouve une galerie commerciale.
Un spectacle y est donné en contrebas.
Les boutiques les plus luxueuses y sont représentées.
Nous pénétrons ensuite dans la deuxième tour.
La deuxième tour comprend des bureaux.
Nous faisons appel à un chauffeur qui nous conduit à notre hôtel. Le lendemain matin, nous faisons appel à Rashid pour nous conduire au palais Istana Negara.
Une pluie terrible tombe subitement.
Nous faisons une halte à la grande mosquée de la ville.
Nous arrivons au palais Istana Negara.
Seul l’extérieur se visite.
Nous arrivons ensuite dans la ville de Putrajaya.
Il s’agit de la nouvelle capitale administrative du pays.
La ville est neuve.
Les rues sont d’une propreté irrérochable.
Nous nous dirigeons vers le palais royal.
Il se trouve en toute fin de la rue principale.
La route qui mène au palais est magnifique.
Nous garons notre véhicule.
Le palais se trouve face à nous.
A sa gauche, la grande mosquée de la ville.
Nous la visitons.
Aux abords de la mosquée, une vue étendue sur la ville.
Notre chauffeur nous emmène ensuite à notre hôtel : le Concorde Inn, situé prés de l’aéroport international ; l’hôtel est agréable et comprend une belle piscine extérieure, le tout pour une cinquantaine d’euros la nuit.
Le lendemain matin, un bus de l’hôtel nous conduit à l’aéroport.
Nous arrivons à l’aéroport à une heure matinale.
Nous embarquons vers le sultanat de Brunei.
Plusieurs jours plus tard, nous revenons de Brunei à Kuala Lumpur ; nous restons cependant dans le Terminal en attendant notre vol vers Bali.
Nous découvrons en profondeur l’aéroport.
Nous effectuons quelques achats.
Nous quittons définitivement la Malaisie.
Quelques années plus tard, en provenance de Bangkok, nous nous rendons en Malaisie.
Nous survolons à présent après 3 heures de vol, la ville de Kuala Lumpur.
Nous atterrissons avec la compagnie Air Asia.
Il nous faut trente minutes de marche pour rejoindre le poste de l’immigration, tant l’aéroport est grand.
En tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa ; cela tombe bien, car nous restons dans le pays seulement pour une escale d’une journée.
Nous sortons de l’aéroport, mais nous ne trouvons pas de taxi ; il nous faut pour cela rejoindre une autre sortie.
Nous devons prendre un ticket de réservation de taxi au compteur et non par forfait.
Nous trouvons finalement un chauffeur avec lequel nous allons effectuer une visite de la capitale. Nous l’avions déjà visité quelques années plus tôt, mais nous n’avions pas eu le temps de visiter les marchés populaires de la ville.
Nous prenons l’autoroute afin dans un premier temps de rejoindre les tours Petronas.
Il nous faut une heure pour rejoindre les tours.
Nous entrons dans la ville.
Nous nous rendons au quartier financier.
Une circulation dense nous ralentit.
Les tours sont toujours aussi hautes.
Nous nous rapprochons des tours Petronas.
Nous nous garons aux abords des tours.
Les tours sont le monument le plus visité du pays.
Il s’agit pour les malaysiens d’une fierté nationale.
Nous avons toujours cette impression de nanisme face à elles.
Nous ne nous lassons pas de les admirer.
Nous nous promenons un peu dans le petit parc vert qui se trouve devant les tours.
Une classe est en sortie scolaire.
Nous admirons les tours une dernière fois.
Nous reprenons la voiture ne direction des quartiers populaires.
Nous nous arrêtons aux abords d’un marché.
Nous faisons quelques emplettes dans un magasin.
Nous arpentons les allées du marché.
Ici, le poisson frais arrive tous les jours de l’océan.
Nous prenons la route en direction d’un autre marché.
Nous arrivons au marché Jalan Pataling.
Nous passons des heures à en arpenter les stands.
Nous retrouvons notre chauffeur ; il s’agit d’Abdul Mushin, qui propose également des excursions dans tout le pays.
En une heure, nous retournons à l’aéroport.
Nous avons déjà nos billets avec la compagnie Air Asia ; nous pouvons donc directement rejoindre les contrôles de sécurité.
L’aéroport est encore plus grand lorsqu’il faut rejoindre les portes d’embarquement.
Nous nous promenons dans les allées de la zone internationale.
Etant donné que nous sommes fatigués, nous décidons de rejoindre notre porte d’embarquement.
La salle d’attente commence à se remplir de monde.
Nous pénétrons dans l’avion à l’heure prévue.
Nous quittons la Malaisie pour les Maldives.