Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 700 photos montre intégralement notre découverte de la Guadeloupe afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. Plus précisément, nous vous présentons au sein de cet article, l’île de Marie-Galante.
Nous avons ainsi découvert le territoire et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez la première partie de notre voyage en Guadeloupe, grâce à notre récit sur l’île principale.
Découvrez également notre récit de voyage sur l’archipel des Saintes.
Vol vers Marie-Galante
Après un vol privé, nous nous dirigeons vers Marie Galante. Nous nous trouvons toujours en compagnie de Axel, notre pilote. Le vol dure 20 minutes.
Nous apercevons les côtes de marie Galante ; le pays est ancré dans la collectivité de la Guadeloupe ; de ce fait, en tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa.


Atterrissage à Marie-Galante
Nous atterrissons à l’aéroport de l’île, ou du moins son aérodrome.


Nous faisons connaissance avec Alex, notre chauffeur pour la journée ; Alex est le meilleur chauffeur de l’île. Agé de 70 ans, il est en pleine forme et lorsqu’il ne conduit pas les gens à travers cette île qu’il aime tant, il travaille dans ses champs en tant qu’agriculteur. Il est joignable au 06 90 50 87 41.

Route vers l’écomusée Murat
Nous prenons la route en direction de la capitale de l’île : Grand-Bourg.



De toutes les îles de Guadeloupe, l’île de Marie Galante en est la plus traditionnelle.




Nous n’entrons pas dans la ville et tournons la première à droite en direction de l’habitation Murat, une ancienne distillerie conservée et entretenue qui sert de lieu touristique pour les voyageurs.


Il nous faut rouler quelques mètres.

L’écomusée Murat
L’habitation Murat comporte également un musée.





Les vieilles pierres ont été magnifiquement rénovées.







Le site fait partie du patrimoine classé.


Route vers Grand-Bourg
Nous reprenons ensuite la route en direction de Grand-Bourg.





Grand-Bourg
La ville est agréable.


Les maisons sont traditionnelles.




Calme et volupté sont les maîtres mots de cette vie de farniente, rendue possible par l’éloignement de l’île.



De l’avis de tous, l’île ressemble à la Guadeloupe d’il y a 20 ans.


Nous nous promenons tranquillement sur la place qui borde l’église.




Route vers la plage de la Feuillère
Nous nous dirigeons ensuite vers la plage de la Feuillère.




Mais avant de rejoindre la plage, nous faisons une halte à la distillerie Poisson.



La distillerie Poisson
La distillerie est une des plus fameuses de l’île.



Le soleil cogne en ce début d’après-midi. Nous nous abritons en-dessous d’un porche.



Sur le parking, nous remarquons la présence d’un restaurant gastronomique ; nous décidons de manger un morceau.

Après avoir pris un déjeuner copieux, nous décidons d’accompagner un agriculteur dans son champ. Nous resterons en sa compagnie une bonne trentaine de minutes.




Nous visitons ensuite la distillerie.




Celle-ci est à l’arrêt pour l’après-midi, repos hebdomadaire oblige, ce qui ne nous empêche pas de la visiter.




Alex, notre chauffeur nous fait profiter de son savoir.




Il nous explique qu’il doit se rendre dans un champ pour récupérer de la canne à sucre ; nous l’accompagnons.




Reprise de la route
Une fois les morceaux de canne à sucre déposés sur le bord de la route, nous continuons notre route en direction de la plage de la Feuillère.



Sur le chemin, nous nous arrêtons à plusieurs reprises pour découvrir le paysage ambiant.

Dont quelques belles plages.

Nous reprenons la route en direction de la plage de la Feuillère. Pour ce faire, nous traversons la ville de Saint-Louis.



La ville est de taille moyenne.





Nous reprenons la route nationale qui longe les côtes de l’île.

La plage de la Feuillère
Nous nous arrêtons aux abords de la plage, qui est magnifique. Pour nous, une des plus belles des Caraïbes.






Route vers le gouffre Grand gueule
Après nous être baignés, nous reprenons la route en direction du gouffre Grand gueule.

Tout autour de nous, des champs de canne à sucre.



Ainsi que des maisons de style créole.


Le site du gouffre est gratuit.


Le gouffre Grand Gueule
Nous garons notre véhicule.



Nous nous approchons, en faisant très attention, du gouffre, étant donné qu’une barrière empêche l’accès plus en aval.




Le spectacle que nous découvrons est de toute beauté.


Nous nous sentons petits face à cette immensité.




La mer des Caraïbes nous entoure.


Route vers Capesterre
Nous reprenons notre route en direction de Capesterre. La route est splendide ; elle donne lieu à des découvertes naturelles fantastiques.


Les champs de canne à sucre s’étendent à perte de vue.


Quelques troupeaux somnolent sous un soleil de plomb.

Nous découvrons le moulin de Bézard.

Nous faisons une halte dans une petite épicerie.


A côté de nous, une femme épluche ce qui s’apparente à des haricots.


Nous reprenons la route en direction de Capesterre.
Nous entrons dans la ville.

Nous nous rendons à la plage des galets.


Capesterre est une petite ville agréable.

Mais le spectacle le plus intéressant se trouve en sortie de ville.



Pour atteindre la plage, il nous faut rouler quelques minutes.



La plage des galets
Nous garons notre véhicule.

Nous faisons la connaissance de deux pêcheurs.




La plage des galets comprend des récifs et des côtes escarpées.




Les vagues viennent s’y fracasser.




Nous profitons au maximum du spectacle.






Nous faisons attention de ne pas trop nous approcher du bord.

Route vers l’aéroport
Nous prenons ensuite la route en direction de l’aéroport.


Le départ de l’île
Nous grimpons dans notre avion afin de retourner en Guadeloupe.



Nous survolons à présent l’île de Marie Galante.
