Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte de l’île de Niue afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique.
Nous avons ainsi découvert Niue et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Vol vers Niue
En provenance de Nouvelle-Zélande, nous prenons un vol vers Niue.
Nous nous apprêtons à franchir la ligne de changement de date.
La ligne de changement de date est une ligne verticale qui traverse la terre. En nous rapprochant de cette ligne par l’Est, on possède par la France, jusqu’à 12 heures en plus. Dés son franchissement, on perd, toujours par rapport à la France, 12 heures. Ce qui fait qu’on part demain pour arriver hier.
Nous attendons patiemment le passage symbolique de cette date line qui marque la traversée complète de la terre.
Le pilote nous prévient de son franchissement.
Nous sommes à présent hier.
Nous avons encore une heure de vol pour arriver jusqu’à Niue.
Niue est un petit pays avec lequel nous avons, en France, 12 heures de décalage. L’île ne s’atteint qu’en passant par la Nouvelle Zélande. Ses côtes s’aperçoivent.
L’atterrissage à Niue
Nous atterrissons avec la compagnie Air New Zealand. Nous descendons de l’avion.
L’aéroport d’Alofi
Nous pénétrons dans l’aéroport d’Alofi, la capitale de l’île.
Nous attendons nos bagages.
Nous passons le poste frontière. Pour les Français, un visa gratuit est accordé pour une période de trente jours. Il convient néanmoins de présenter à l’accueil, un billet d’avion retour, une réservation d’hôtel strictement importante. Néanmoins, nous ne présenterons aucun de ces papiers. Nous na savions pas cependant que la preuve d’une réservation était fondamentale ; n’ayant pas procédé à cette réservation, nous devrons la faire en urgence à l’intérieur du pays.
Peu de vols atterrissent à Niue. Un atterrissage est ainsi un moment exceptionnel pour les habitants.
Alors que nous cherchons une chambre d’hôtel, nous apprenons que tous les établissements sont complets. En attendant de trouver une chambre au sein d’un parc hôtelier limité, nous cherchons un véhicule à louer.
Nous tombons sur Jane, une néo-zélandaise qui habite sur l’île depuis une dizaine d’années.
Premiers pas sur l’île
Elle décide de nous conduire jusqu’à sa société de location. Nous nous dirigeons vers la capitale : Alofi.
Jane est très agréable.
Les routes sont de mauvaises factures ; le parc automobile n’est pas assez important pour entraîner un rafraichissement du réseau routier. Une heure est nécessaire pour faire le tour complet de l’île.
Nous arrivons à Alofi rental ; la location sans dépôt de caution nous revient à 30 euros par jour. En outre, conduire un véhicule à Niue nécessite normalement l’acquisition d’un permis de conduire local qui s’obtient en payant 22 euros à la police. Nous échapperons à cette procédure.
Une fois au volant de notre véhicule, nous parvenons à réserver une chambre d’hôtel dans un hôtel de classe, pour un prix de 110 euros la nuit ; nous ne pouvons pas faire autrement.
Alofi
Le front de mer
Nous nous dirigeons vers le front de mer.
La vue est agréable.
Nous garons notre véhicule un peu plus en hauteur, dans le centre de la capitale.
La place centrale
Un petit parc représente la place centrale de la ville.
Nous laissons notre voiture et marchons jusqu’à un petit restaurant indien.
Les arbres reprennent leur floraison.
La nourriture de ce restaurant ne paye pas de mine ; elle n’est ni succulente, ni rédhibitoire.
Le centre-ville
Face à nous, le gouvernement de l’île, Niue n’ayant pas de président car faisant partie du Commonwealth.
Face au gouvernement, l’office du tourisme du pays.
Nous visitons les bureaux du gouvernement.
A leurs côtés, une église. Nous nous faisons immortaliser.
Nous pénétrons ensuite à l’intérieur de l’office du tourisme.
Sur une simple pancarte sont indiquées toutes les manifestations du pays. Nous prenons la route en direction du Nord de l’île.
Sur le chemin, un regroupement nous interpelle.
La fête chrétienne
Il s’agit d’une fête chrétienne.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Les gens nous convient à leur table ; ils sont d’une gentillesse sans faille.
Les habitants de l’île ont revêtu leurs plus beaux habits.
Tous nous réclament une photographie.
Le spectacle alterne danse et chant.
Nous faisons connaissance avec le prêtre de l’église.
Que de visages souriants.
Un homme chante et effectue ensuite un discours.
Deux femmes nous content leur amour de leur île.
Nous mangeons un morceau et saluons nos hôtes éphémères.
Route vers le Matapa Chasm
Nous reprenons la route.
Nous franchissons quelques petits villages ; il faut dire que la population de l’île est très faible : 1190 personnes.
Néanmoins, l’île étant très pieuse, chaque village comporte une église.
Les maisons quant à elles sont faîtes pour la plupart, avec de la tôle ondulée ; le pays n’est pas pauvre pour autant.
Nous reprenons la route vers le Matapa Chasm.
Nous suivons le panneau indicatif.
Le Matapa Chasm
Nous garons notre véhicule. A Niue, toutes les visites sont gratuites. Face à nous, deux chemins : le premier permet de rejoindre le Matapa Chasm, le deuxième, à droite, l’arche Tevala.
Nous marchons une vingtaine de minutes à travers la forêt.
Le décor est magnifique.
Nous arrivons à la fin du chemin.
Le Matapa Chasm se dévoile.
L’endroit est splendide.
Malgré la roche friable, nous nous sentons en sécurité.
Nous nous retenons pour ne pas nous baigner.
Nous admirons la taille de ces falaises qui entourent la place.
Un dernier regard et nous faisons demi-tour.
Nous souhaitons voir les Tavala Arches. Nous nous trompons de chemin et arrivons dans un petit village.
Nous retournons à l’endroit où nous avons garé notre véhicule.
Les Tavala Arches
Ainsi que mentionné précédemment, il fallait simplement tourner à droite avant l’entrée dans le Matapa Chasm.
Le trajet pour rejoindre l’arche est un peu plus long.
La température extérieure atteint les 35 degrés.
Nous croisons à plusieurs reprises de grosses araignées.
Nous dépassons une sorte de crique.
Nous continuons notre route.
Nous parvenons l’entrée de l’arche. Mais pour la rejoindre, nous devons traverser une grotte.
Nous faisons attention de ne pas tomber.
Nous surveillons chaque pas que nous faisons.
De nombreuses stalactites ornent l’endroit. Nous quittons la grotte par une grande ouverture qui nous fait face.
Nous avançons.
L’arche apparaît.
Façonnée par des milliers d’années.
De nombreuses stalactites se trouvent sous son plafond.
Au large, nous pouvons apercevoir nombre de baleines.
L’île est encore préservée.
Au sol, quelques coraux dans une piscine naturelle ou du moins, une sorte de cuvette.
Niue est un paradis méconnu par de nombreux touristes.
Ils loupent ainsi un spectacle formidable. Nous décidons de faire demi-tour. Sur le chemin et sur la route du retour, nous croisons de nombreux crabes.
Nous nous arrêtons sur le bord de mer pour admirer l’Océan.
Une soirée tranquille
Nous arrivons à notre hôtel : le Scenic Matavai. Nous passerons une bonne nuit de sommeil.
Route vers le Sud de l’île
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers le Sud de l’île.
Les habitations ne sont pas différentes du Nord de l’île, découvert la veille. Nous nous arrêtons pour admirer une vue d’horizon magnifique.
Nous continuons notre route. En cherchant un village abandonné, nous traversons un village de tout ce qu’il y a de plus vivant.
Nous arrivons malencontreusement à la déchetterie du pays ; il faut dire que sur les îles, le traitement des déchets est un problème majeur et lorsqu’ils ne parviennent pas à être enfouis, ils sont parqués, généralement à l’abri des regards.
La ferme de Noni
Nous nous dirigeons ensuite vers une ferme se trouvant de l’autre côté de la route principale.
Il s’agit d’une ferme de Noni, un fruit duquel est extrait un jus. Le fruit n’est vraiment mais vraiment pas bon ; il dégage une odeur de pourri et en manger un morceau se révèle être un véritable combat.
Les propriétaires des lieux nous en offrent tout de même la visite.
Plusieurs étapes sont nécessaires à la fabrication de ce jus, qui s’exporte dans toute l’Asie. Des centaines d’hectares servent à une production constante et annuelle.
Le propriétaire de la ferme nous présente le produit fini.
En continuant notre route, nous tombons sur une de ces araignées géantes dont regorge l’île.
Le village fantôme
Nous continuons notre recherche du village fantôme.
Nous nous engouffrons sur un chemin de terre interdit aux véhicules.
Nous comprenons pourquoi lorsque le véhicule patine ; il nous faut manoeuvrer la voiture pour sortir de ce bourbier.
Nous marchons jusqu’au front de mer.
Nous tombons enfin sur le village abandonné ; il est vraiment abandonné, puisque seulement pierres parsemées sur le sol dévoilent sa présence.
Nous nous asseyons quelques instants et reprenons la route.
Encore faut-il ne pas nous égarer.
Nous retrouvons après quelques minutes, la route principale.
Des chiens copulent devant nous.
Anapala Chasm
Nous nous dirigeons ensuite vers l’Anapala Chasm, une curiosité naturelle.
Nous garons notre véhicule. Le reste du parcours se fera à pied.
Une vingtaine de minutes de marche sont nécessaires.
Le paysage alentour est surprenant.
Nous pénétrons dans une sorte de caverne.
Les chasm sont une étendue d’eau entourée par des sortes de falaises.
Une mince ouverture laisse passer un filet de lumière.
L’eau est translucide.
Nous prenons quelques instants pour ressentir cette ambiance caverneuse. Nous remontons à la surface.
Nous rejoignons l’océan, déchaîné.
Les vagues sont projetées à plusieurs mètres de hauteur.
La côte est découpée.
Le spectacle est édifiant.
Les forces de la nature se déchaînent.
Le mouvement des vagues semble périodique.
Nous continuons notre route ; sur le chemin de la côte Est, de nombreux points d’intérêt.
Dont certains réservés à la présence d’un guide.
Hikulagi sculpture parc
Nous faisons une halte au Hikulagi sculpture parc. Nous garons notre véhicule.
Il s’agit de sculptures contemporaines.
Chaque visiteur peut sen faire sa propre interprétation.
Certaines sculptures sont plus majestueuses que d’autres.
Elles sont disséminées et circonscrites par les arbres.
Nous reprenons notre route. Nous décidons de retourner dans la capitale en traversant l’île en son centre.
Les tombes sont présentes devant les habitations, étant donné que l’île est partagée entre les habitants et que le gouvernement ne possède aucun droit sur les terres que les propriétaires peuvent exploiter comme bin leur semble.
La traversée de l’île d’Est en Ouest est de 14 kilomètres.
La route est de mauvaise facture.
La banlieue d’Alofi
Nous arrivons en banlieue d’Alofi.
Nous découvrons quelques habitations.
Toujours faîtes en tôles ondulées.
D’autres maisons sont construites suivant une vision occidentale.
Nous tournons dans la ville ; nous dépassons le poste de police.
Nous allons effectuer quelques achats dans un mini supermarché.
L’école
Nous nous dirigeons ensuite vers une école.
Il s’agit d’un collège dans lequel, les élèves apprennent à dessiner.
Tous s’appliquent.
L’ambiance est studieuse.
Nous mangeons ensuite des sushis dans un restaurant japonais tenu par un Chinois.
Nous reprenons notre véhicule.
Le Tomb point
Nous nous dirigeons vers le Tomb point.
Nous garons notre véhicule aux abords de la cathédrale.
Nous rejoignons le point de vue à pied.
Niue es tune île formidable pour l’observation des animaux marins. Nous dépassons une sorte de cimetière.
Nous arrivons au point de vue.
L’horizon qui se dégage est sublime.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous visitons la côte Ouest de l’île.
Nous dépassons une autre église.
Avant de nous arrêter au supermarché.
Comme sur la côte Est, de nombreux points d’intérêts sont dispersés tout au long de la côte Ouest.
Nous nous arrêtons au Peniaminas grave. L’endroit ne présentant que peu d’intérêt, nous continuons notre visite.
Grotte Ana Aitu
Nous nous arrêtons à la grotte Ana Aitu.
Nous devons marcher une dizaine de minutes pour la rejoindre.
L’endroit est escarpé.
Les parois de la grotte semblent s’effriter.
Nous pénétrons un peu plus en profondeur dans la grotte.
Des dizaines de stalactites et de stalagmites nous comblent de joie.
Nous faisons demi-tour.
Grottes Avaiki
Nous nous arrêtons cette fois-ci aux grottes Avaiki.
Face à nous, un panneau alerte Tsunami qui indique la direction à suivre lors d’un de ces évènements climatiques extrêmes. Nous avançons sur un chemin balisé.
Nous pénétrons dans la grotte.
Nous nous tenons à une corde placée là par les autorités.
Nous descendons un escalier de bois.
Nous admirons chaque paroi.
Mais la merveille à découvrir dans cet endroit n’est pas la grotte que nous venons de traverser.
La merveille se situe derrière ces gros rochers…
Il s’agit d’une grotte magnifique.
Une sorte de grotte sous-marine.
L’endroit est magique.
Nous nous asseyons et profitons de la vue qui nous est offerte.
Nous quittons cet endroit à contre coeur.
Grotte Palaha
Nous reprenons notre voiture et parvenons jusqu’à la grotte Palaha.
Il s’agit d’une autre grotte renommée de l’île.
Nous la rejoignons par un escalier de bois.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Une fine ouverture laisse passer un filet de lumière qui illumine l’endroit.
L’endroit est mystérieux.
Mais aucun risque de se perdre : le chemin est unique.
A l’intérieur, le décor nous sidère.
La grotte, peu visitée étant donné le peu de touristes de l’île est préservée.
Nous ne perdons pas une miette du spectacle.
Nous traversons la grotte et parvenons jusqu’à l’océan. Nous mettons nos pieds dans l’eau.
Le vent qui s’engouffre dans la caverne crée un souffle rauque et tonitruant.
Nous en profitons pleinement.
Un couple d’amoureux nous a rejoint.
Ils se trouvent en voyage de noce.
Peu à l’aise sur ces sols glissants, ils préfèrent rebrousser chemin, alors que nous nous enfonçons dans les profondeurs de la grotte.
Limu Pools
Nous rejoignons notre véhicule. Nous nous dirigeons à présent vers la piscine naturelle Limu.
Nous garons notre véhicule.
Une pluie fine commence à tomber.
Nous attendons que l’averse se termine.
Face à nous, un des meilleurs spots de plongée de l’île.
Les coraux s’aperçoivent de la terre ferme.
Il existe une autre piscine naturelle un peu à l’écart.
Nous en rejoignons l’endroit.
Nous faisons demi-tour.
Route vers Taue i Fupiu
Nous rejoignons l’extrême Nord de l’île.
Il nous faut 20 minutes de route pour y parvenir.
Taue i Fupiu
Les différents endroits sont relativement bien indiqués. Nous nous arrêtons face au panneau Taue i Fupiu, un des sites historiques de l’île.
Nous sommes accostés par un chien qui ne va plus nous lâcher et qui va même éloigner d’autres congénères un peu menaçant.
Nous avançons sur ce qui ressemble à un chemin balisé.
Une plaque commémorative indique l’endroit où se trouvait une des premières forteresses de l’île.
Les noix de coco tombées sur le sol commencent à germer. L’endroit est silencieux.
Nous ne parvenons par à lire ce langage que nous ne comprenons pas.
Mais, nous profitons tout de même du site.
Nous retournons à l’hôtel.
Détente méritée
Le soleil commence à se coucher. Nous dépassons un bar que nous n’avions jamais vu jusqu’à présent. Arrivés à l’hôtel, nous assistons à un ballet de baleines.
Les animaux semblent danser devant nous.
Nous dînons en compagnie d’amis rencontrés la veille : il s’agit de deux néozélandaises enseignantes qui viennent souvent sur Niue, aimant la tranquillité de l’île.
La nage avec les baleines et les dauphins
Le lendemain matin, nous rejoignons notre instructeur de plongée que nous avons surnommé affectueusement : Moumoute, surnom du à la forme de ses cheveux, naturels il convient de le préciser.
Moumoute est le mari de notre loueuse de voiture ; il est l’expert reconnu de l’île et son excursion permet de nager avec des baleines et des dauphins pour une somme de 50 euros, soit prés de la moitié moins cher que ses concurrents. Il nous remet sa carte. Il est joignable au 00683 6737, par mail ou sur le site Internet de l’établissement Magical Niue.
Moumoute nous fournit le matériel nécessaire. Le Zodiac qui va nous servir à nous transporter est descendu du bateau.
Puis, il est placé dans l’eau.
Nous sommes invités à grimper à l’intérieur.
Nous faisons connaissance avec les autres participants de l’expédition.
L’océan est agité.
C’est alors que nous croisons des dauphins sauvages. Nous plongeons. Le spectacle est magique.
Un véritable bonheur de les voir.
Nous nageons avec eux. Ils effectuent un ballet devant nous. Nous remontons sur le bateau.
C’est alors que nous croisons des baleines et nageons avec elles.
Pour mieux les apercevoir, je m’éloigne du groupe, l’instructeur ayant déconseillé de s’approcher à mois de 20 mètres de ces monstres des mers ; en nageant avec fluidité, je peux m’approcher à 5 mètres, tout en gardant mes distances.
Malgré leur taille, les baleines s’éloignent rapidement.
Moumoute décide de ne pas me tenir rigueur de ma désobéissance et il me prête un scooter des mers afin de vivre une expérience de plongée surprenante.
L’engin comporte 3 vitesses et il est facilement négociable.
C’est alors que je m’approche un peu trop près d’un cobra des mers, une des espèces les plus venimeuses du monde. Je croyais qu’il s’agissait d’un serpent inoffensif. Fort heureusement, l’instructeur qui a vu la scène m’éloigne de l’animal.
Je continue ensuite ma découverte des fonds marins. Les coraux sont omniprésents. Ils sont également préservés. Je manie de mieux en mieux le scooter des mers.
L’expérience est époustouflante.
Je profite de chaque instant dans cet endroit qui recèle les fonds les plus beaux au monde.
Je ne perds pas une miette du spectacle.
La difficulté en snorkelling est cependant de descendre, tout en se débouchant les oreilles qui en subissent la pression.
Je peux me diriger où bon me semble. Je termine mon expérience, enjoué.
L’entraînement sportif
Nous saluons notre instructeur et reprenons la route vers Alofi. Nous assistons à un entraînement sportif.
Une fin de journée détente à l’hôtel
Nous rejoignons notre hôtel et faisons un petit somme pour nous reposer de l’expédition du matin.
Le soir, après avoir admiré un beau soleil couchant, nous rejoignons le restaurant pour assister à une soirée spéciale.
Le spectacle de feu
Les gens se sont vêtus sur leur 31. Tous attendent le spectacle de feu qui va commencer.
En attendant, tous patientent en écoutant un orchestre local jouer.
L’organisateur du spectacle arrive.
Les danseurs sont vêtus de leurs habits traditionnels. Le spectacle commence.
La dextérité des artistes est sensationnelle. Malheureusement, le spectacle est bien trop court.
Suite à un problème technique, les artistes cessent leur jeu et préfèrent noyer leur chagrin au bar de l’hôtel.
Nous profitons d’un temps agréable pour nous promener autour de l’hôtel.
L’enregistrement à l’aéroport
Le lendemain matin, nous accompagnons nos deux amies néozélandaises à l’aéroport ; le vol est prévu pour 13 h 00, mais l’enregistrement dans le pays se fait à 09 h 00.
Nous arrivons à l’aéroport.
Un des douaniers est très sympathique.
Détente et attente
Nous retournons au centre ville et nous en profitons pour déguster un bon café.
Nous en profitons ensuite pour arpenter le front de mer.
A l’office du tourisme, nous en profitons pour développer nos connaissances sur l’île.
Dont, les arts traditionnels.
Nous quittons l’office du tourisme. Nous nous dirigeons vers la place qui accueille le marché, située juste à côté du siège du gouvernement.
Nous rejoignons ensuite le front de mer.
L’endroit est relaxant.
Nous assistons à une pêche traditionnelle.
Nous déposons ensuite notre véhicule.
Route vers l’aéroport
Nous retournons à l’hôtel, nous restaurer avant de prendre notre vol. Un bus de l’hôtel nous conduit à l’aéroport.
Le trajet dure 15 minutes.
L’aéroport d’Alofi
Nous procédons au départ.
Une somme de 20 euros est à payer pour partir, une sorte de taxe de départ.
Nous patientons.
Nous sommes autorisés à embarquer.
Nous quittons ainsi Niue, un pays formidable et très peu connu.