Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 300 photos montre intégralement notre découverte d’Oman, un petit pays au coeur du Moyen-Orient afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. 

Nous avons ainsi découvert le pays et nous vous en présentons ses trésors touristiques.

L’aéroport d’Oman

Nous nous posons sur la piste après 4 h 30 de vol. Les portes de l’avion s’ouvrent enfin. Un bus vient nous chercher sur le tarmac. Nous pénétrons dans l’aéroport et achetons pour 12 euros, nos visas qui nous donnent droit à 30 jours sur place.

Nous passons la barrière de l’immigration ; la douanier nous agrémente d’un sourire.

Nous louons une voiture avec la société Budget ; nous en avons pour 60 euros par jour pour la location d’un 4/4. A l’extérieur, en ce mois d’août, il fait 45 degrés.

Route vers le désert

Nous effectuons les vérifications d’usage et sortons de l’aéroport. L’autoroute est de bonne qualité. Autour de nous, le désert ou du moins, un paysage désertique.

Nous circulons en direction du Sud Ouest. Il n’y a presque personne sur les routes. Le paysage devient lunaire. De hautes montagnes nous entourent. La chaleur devient de plus en plus intense. Nous nous arrêtons dans une ville déserte. Les rues semblent abandonnées. Nous ne pouvons rester que quelques minutes à l’extérieur.

Et devons remonter dans notre véhicule. La climatisation est poussée à l’extrême.

Seule solution pour ne pas ressentir les désagréments de la chaleur.

Des paysages magnifiques

Puis, une ville nichée au cœur d’une vallée.

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En contrebas, un petit cours d’eau accueille des enfants.

Mais, le décor ressemble plus à un mirage.

Nous continuons notre chemin.

Le paysage devient rouge.

L’autoroute est d’excellente facture.

Elle pénètre à l’intérieur de ce paysage qui nous accompagne.

Les montagnes s’étendent à perte de vue.

Nous nous en approchons. Sur les flancs de certaines montagnes, des forts.

La petite ville

Nous nous arrêtons dans une autre ville pour acheter de l’eau.

Nous visitons une petite mosquée.

Nous reprenons la route ; le paysage change à nouveau. Nous approchons du désert de Wahiba sands. Quelques arbres parviennent à pousser au sein de cette fournaise.

Nous nous trompons de direction.

Nous avons réservé une nuit au milieu du désert dans des tentes de luxe. Mais, nous ne parvenons pas à trouver l’entrée du site.

Bidiyah

Nous pénétrons dans la ville de Bidiyah. Nous découvrons son fort.

Nous continuons tout droit. Nous dépassons le musée et décidons de manger un morceau.

Nous nous asseyons afin de parfaire notre connaissance du pays, avec un omanais sympathique, la langue parlée étant l’arabe littéraire.

Bonjour /marħaban
Salut ! Que la paix soit avec vous/ as salam ʕlɛikum
Comment allez-vous ?/ kɛjf ɛlhal
Très bien /bixɛjr
Quel est votre nom ? /ma ‘smuka
Mon nom est Ludovic/ismi Ludovic
Heureux de vous rencontrer/ sourirtou bi likaika
Merci /ʃukran
Il n’y a pas de quoi /ʕfwan/
Je ne comprends pas/ la afhamou
Parlez-vous français ? / Halta ta kil l’ami l’ouradir francia??
Non / kalla
Je ne parle pas le Français/la atakallamou francia
Y a il quelqu’un qui parle français ici ? / hal min ahad yatakallamou al firancia ?
Excusez-moi / ʕðran
Au revoir / maa ‘salama

Nous nous asseyons à la table d’un restaurant. La cuisine omanaise est influencée par la cuisine indienne. Les viandes et les poissons sont préparés à la mode tandoori, masala ou tikka sur la plupart des cartes des restaurants.

Mais, il existe d’autres spécialités typiquement omanaises.

Le biryani, plat composé de riz épicé au poulet, à l’agneau ou au poisson.
Le kabsa ou makbous, riz épicé au poulet agrémenté d’une sauce tomate.
Les brochettes de viande.
Le Chawarma.
Le Mezze
Le kebab.
Le Falafel

Nous en avons pour une dizaine d’euros par personne. En sortant, nous rencontrons un chauffeur de taxi, qui accepte d’appeler pour nous l’hôtel.

Nous patientons durant la conversation à laquelle nous ne comprenons rien. Autour de nous, nous découvrons deux dromadaires en liberté.

Ou du moins, seuls leurs pieds de devant sont attachés.

Le chauffeur de taxi nous emmène dans une station essence, dans laquelle nous attendons un des responsables du desert night camp.

Nous suivons le conducteur qui arrive après cinq minutes d’attente.

L’excursion dans le désert de Wahiba sands

Nous quittons la ville. Nous circulons sur une piste. Très rapidement, les dernières maisons sont derrière nous. Nous nous retrouvons au milieu de nulle part. Il faut bien rouler trois kilomètres pour atteindre le désert. Les premières dunes apparaissent. Heureusement que nous avons loué une jeep. La circulation est difficile. Les roues ont tendance à chasser. Nous arrivons après une dizaine de kilomètres au milieu de nulle part. L’homme nous propose de boire le thé.

Le désert night camp coûte une centaine d’euros par nuit. Il comprend tous les repas ainsi que des activités.

Le sol est très rouge.

Quelques arbres donnent un côté africain à l’endroit. Les dunes font une vingtaine de mètres de hauteur. Il n’y a plus de route. Nous suivons une piste aplatie suite au mouvement des 4/4.

Il nous faut rouler encore cinq kilomètres pour apercevoir le camp. Les tentes sont luxueuses.

Chacune possède la climatisation.

La température extérieure est de 40 degrés.

Nous apercevons atout autour de nous, des dunes. Nous sommes seuls au monde.

Le dépaysement est total. Une jeep nous emmène au haut des dunes.

Après une montée de quelques minutes.

Nous retrouvons sur les hauteurs, les autres résidents du camp.

Les boissons nous sont offertes. Nous nous asseyons sur le sable. Et profitons de chaque instant.

Le vent nous projette des grains dans les yeux. Nous ne devons pas faire l’erreur de nous les essuyer. Le soleil se couche à l’horizon.

Et avec son départ, les températures baissent. Nous décidons de ne pas trop nous éloigner. Au loin, il n’y a que le désert. Pas un bruit ne se fait entendre. Le sable encore chaud de la journée nous fait du bien. Nous retournons à l’entrée du désert. La jeep nous emmène en contrebas. Nous admirons encore une fois ce panorama.

Et nous le quittons pour retrouver le camp. Après, une bonne douche, le diner, puis une bonne nuit réparatrice. Le lendemain matin, nous nous levons avec pour seule vue, le désert. Les couleurs dans le ciel donnent un côté majestueux à l’endroit. Le ciel semble déchiré par quelques nuages qui se profilent.

Rapidement, la luminosité devient optimale. Il fait déjà 35 degrés.

Nous éteignons la climatisation.

Nous prenons notre petit déjeuner.

A l’extérieur, nous découvrons les deux dromadaires du camp. Le camp nous offre une petite balade.

La montée sur l’animal est difficile. Mais une fois dessus, nous avons une vue d’ensemble sur le camp.

La découverte du désert en indépendant

Accompagnés par notre guide, qui nous emmène sur les dunes. Nous quittons le camp.

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Nous nous aventurons dans le désert par nos propres moyens.

Nous traversons des dunes.

Et arrivons dans un endroit dans lequel il n’y a que nous.

Le sable semble s’être fait ratisser par le vent.

Et le soleil grimpe à son zénith. Nous croisons une caravane de dromadaires sauvages. Puis, un peu plus loin, un troupeau de chèvres.

Qui se sauve dés notre arrivée.

En quelques instants, elles disparaissent.

Sur notre route, nous découvrons une oasis.

Nous nous y abritons du soleil.

Nous dégustons sur les palmiers, des dattes.

Nous vivons le film Lawrence d’Arabie.

Les dattes sont de plusieurs couleurs.

Seules les dattes de couleur foncée se mangent.

Nous nous adonnons à un repos mérité. A l’extérieur, la température augmente encore.

Oman 140

Au cœur de l’oasis, une petite mare d’eau nous permet de nous rafraichir.

Nous n’en buvons cependant pas l’eau.

Route vers Sûr

Nous retrouvons la civilisation et faisons le plein du 4×4 pour 8 euros.

Le prix du litre de super est de 30 centimes d’euros. Nous continuons notre route en direction de la ville de Sûr. A une distance de 130 kilomètres. Nous retrouvons les paysages montagneux. Et arides des jours précédents. Nous quittons l’autoroute.

Nous dépassons une dernière petite ville.

L’arrivée à Sûr

Nous parvenons jusqu’à la ville de Sûr. Nous découvrons sa mosquée.

La mer d’Arabie

Nous nous dirigeons vers la mer d’Arabie.

Oman 158

Et parvenons enfin à nos fins. Nous arpentons le bord de plage.

Nous faisons connaissance avec des pêcheurs locaux.

Nous nous baignons. L’eau est chaude.

Le véritable bonheur.

Durant plus de deux heures, nous restons dans l’eau.

Nous nous rhabillons ensuite et repartons.

Un peu à l’écart, des femmes vêtues de leur habit traditionnel.

Le centre de Sûr

Nous nous dirigeons vers le centre ville.

Nous visitons une petite mosquée.

Non loin de la rue commerçante. Puis, nous découvrons une autre mosquée. Bien plus grande.

Nous nous promenons le long de la côte. Avec une vue dégagée sur la ville.

Prés d’un centre commercial, nous découvrons la château de la ville. Qui s’étend majestueusement.

Nous nous en éloignons.

Pour découvrir le centre commercial. Il est bien fourni.

Et présente des prix totalement attractifs.

Route vers Mascate

Nous quittons la ville de Sûr. Nous prenons la route en direction de Mascate, la capitale. Sur le chemin, nous nous arrêtons. Afin de découvrir les falaises qui longent le bord de mer. Les falaises sont abruptes.

La mer est déchaînée.

Quelques ilots rocheux donnent du charme à l’endroit.

Nous longeons la mer.

Toujours le même paysage rocheux.

Nous nous égarons dans les montagnes.

Avant de retrouver l’autoroute. Nous faisons attention aux nombreux radars que nous croisons. La route reste tout de même monotone.

Quelques petites villes sur les côtés. Mais, le pays est relativement désert.

La journée, les habitants restent chez eux. En arrivant aux abords de Mascate, après 230 kilomètres de route, nous dépassons un endroit stratégique du pays : un relais de télécommunication. La capitale est nichée au cœur des montagnes. La circulation est un peu plus chargée que dans le reste du pays.

Mascate

Le centre-ville

Il fait maintenant 45 degrés. Nous entrons dans la capitale.

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Quelques immeubles apparaissent. Nous pénétrons dans le centre ville. Nous déposons nos affaires à l’hôtel : Al Falaj, un quatre étoiles pour une cinquantaine d’euros.

Nous nous dirigeons ensuite vers le véritable centre ville. Nous dépassons le quartier des affaires. Et empruntons une rocade. Qui nous conduit à travers un quartier résidentiel.

Nous dépassons des bâtiments administratifs.

Avant d’emprunter une route entourée de belles statues.

Il nous faut suivre ce chemin.

Bien dégagé.

Pour dépasser le siège d’un ministère.

Les hauteurs de la ville

Et arriver à un point de vue qui nous permette de découvrir la marina de la ville.

Nous continuons notre visite.

Les maisons semblent plus luxueuses.

Nous faisons connaissance avec un habitant.

Le palais royal

Qui nous indique le chemin pour nous rendre vers le palais royal.

Il se dresse devant nous.

Entourée par de nombreux bâtiments.

La place est propre.

Non loin, se trouve un fort de couleur sable.

Au loin, la tourelle d’un autre fort ;

Nous nous approchons de la mer.

Le palais royal y fait face.

La vue est agréable. Nous franchissons une porte. Et arrivons à une autre partie du site du palais. La vue sur le fort à l’horizon se précise.

Le palais a une vue directe sur les montagnes. Il semble niché au cœur d’une crique, à côté de grands châteaux. Qui eux-mêmes semblent percher sur des petites îles.

Nous quittons le palais. Pour nous diriger vers le véritable centre de la ville. Nous dépassons une autre porte.

Le front de mer

Et parvenons jusqu’au bord de mer. Nous découvrons une petite place sur laquelle, les familles viennent se promener.

Avec une vue magique sur le port. Le soleil qui se couche sublime l’endroit.

Le souk

Nous garons notre véhicule.

Et nous nous dirigeons vers le souk.

Il est à moitié couvert. Il y règne une ambiance agréable.

Au milieu des senteurs d’Orient. Nous y faisons des bonnes affaires. Les gens que nous croisons sont amicaux.

Nous nous perdons dans un dédale de ruelles. Le souk est bariolé de couleurs. Nous faisons de bonnes affaires.

Les prix sont attractifs.

Nous traversons le souk.

Et retournons dans la rue.

Les hommes portent l’habit traditionnel du golfe.

Le port semble étrangement calme.

Une nuit tranquille

Après une longue promenade, nous retournons à l’hôtel.

Oman 261

La grande Mosquee de Mascate

Le lendemain matin, nous quittons la capitale.

Nous nous dirigeons vers la ville de Nakhal. Nous quittons à un moment l’autoroute. Pour nous diriger vers la grande mosquée de Mascate. La mosquée se trouve à l’extérieur de la ville.

Elle est magnifique.

Nous la visitons.

Nous devons pour cela, nous recouvrir les jambes.

Elle est située au cœur d’un parc. Qui entoure plusieurs parkings.

Nous quittons l’endroit. De loin, la mosquée semble encore plus impressionnante. Il ne semble y avoir qu’elle.

Route vers Nakhal

Nous nous en éloignons. La route menant vers Nakhal est droite.

Nakhal

Le centre-ville

Nous quittons l’autoroute après une cinquantaine de kilomètres. Nous arrivons après cinquante kilomètres de routes nationales dans la ville. La ville est célèbre pour son fort. Que nous admirons de l’extérieur.

Nous continuons notre route. La ville en elle-même ne présente pas un grand intérêt.

Si ce n’est pour ses maisons typiques.

Nous dépassons une sorte d’oasis.

Dans laquelle, les palmiers offrent leurs dattes.

Les sources d’eau chaude

Nous arrivons au but de notre voyage : les sources d’eau chaude.

Il existe juste à l’extérieur de la ville.

Une rivière dont l’eau est à plus de quarante degrés.

Le site est agréable.

Nous nous y baignons.

Quand bien même, certains détritus jonchent le sol.

Nous y passons plusieurs heures.

Et pouvons même nous détendre dans un grand bassin.

Ou nous placer sous une petite cascade.

Nous quittons ce décor.

Route vers le Golfe d’Oman

Nous nous dirigeons ensuite vers le golfe d’Oman. Nous évitons une nouvelle fois de nombreux radars. Nous arrivons à proximité de la ville d’As Sib. Nous nous dirigeons vers notre hôtel : Ramee dream resort, pour une cinquantaine d’euros.

Une fois, nos affaires posées, nous nous dirigeons vers la mer.

Le Golfe d’Oman

La plage sur laquelle nous nous rendons est déserte.

L’eau est très chaude.

La température extérieure, également.

La chaleur est telle qu’une sorte de buée nous enveloppe. Nous n’attendons plus et nous nous jetons à l’eau.

Nous arpentons le bord de mer. La chaleur est étouffante.

Nous ne pouvons que rester dans l’eau. Dans la ville, peu de monde.

Vers la fin de l’après midi, les gens commencent à arriver.

Mais, très peu de femmes. Néanmoins, le nombre d’arrivée diffère du nombre de touristes sur la côte d’Azur.

La chaleur, en cette fin d’après-midi commence à retomber. Nous pouvons nous sécher.

Du moins, naturellement en moins de trois minutes. Au loin, des garçons jouent au football.

Plus prés de nous, deux hommes trempent leur pied.

Les habitants sont étonnés de voir des touristes en cette saison.

Ils nous expliquent que vers les mois de novembre, les températures sont plus clémentes. Nous saluons nos connaissances et découvrons un peu plus la plage.

Et ses quelques complexes hôteliers. Nous nous dirigeons ensuite vers la ville qui commence à revivre.

Les magasins ouvrent tardivement.

Nous nous asseyons à la terrasse d’un restaurant et profitons de la vue.

L’aéroport international d’Oman

La nuit tombe rapidement. Nous continuons notre promenade et rentrons à l’hôtel. Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers l’aéroport. Nous rejoignons le terminal d’arrivée afin de rendre le véhicule loué. Nous rejoignons ensuite le terminal des départs. Nous passons l’immigration.

Oman 330

Et patientons jusqu’à l’embarquement.

Un bus vient à nouveau nous chercher.

Nous montons dans notre avion.

Nous quittons le sultanat d’Oman, un pays magnifique et à la population généreuse et accueillante.