En provenance de Metz, nous nous rendons à la gare TGV de Louvigny.
Nous patientons l’arrivée de notre train.
Il est annoncé sans retard.
Arrivés à l’aéroport Charles de Gaulle, nous prenons une navette gratuite pour rejoindre le Terminal 3.
Arrivés au terminal 3, des contrôleurs vérifient nos billets. Nous procédons ensuite à l’enregistrement de nos bagages ; l’enregistrement avec la compagnie Srilanka airlines se fait au travers de guichets automatiques ; nous avons réservé tous nos vols avec la compagnie anglaise Travel nation, une des compagnies les plus sérieuses et les plus fiables au monde ; leurs tarifs sont imbattables et Lien, notre chargé de dossier s’est montrée particulièrement à la hauteur.
Nous embarquons pour un vol d’une durée de 10 heures ; le billet coûte 350 euros.
L’avion n(‘est pas plein, ce qui nous permettra de dormir avant notre arrivée.
Nous survolons l’Europe.
Le soleil se couchant, nous en profitons pour dormir.
Nous nous réveillerons après avoir atterri sur le sol srilankais.
Nous passons les postes de l’immigration ; aucun billet retour ne nous est demandé ; l’obtention du visa se fait sur place après avoir procédé à la récupération de notre Esta, c’est à dire notre autorisation de voyage depuis la France ; le visa coûte prés de 40 euros pour un mois. IL se paye en avance depuis le site Internet de la réception de l’autorisation électronique.
Nous traversons un couloir qui comprend plusieurs boutiques de duty free.
Nous rejoignons le hall dans lequel, notre chauffeur et guide nous attend pour toute la durée de notre voyage.
A l’extérieur, de nombreuses personnes attendent un proche.
Nous grimpons dans notre véhicule et quittons l’aéroport.
Notre chauffeur est agréable et très professionnel ; à travers les forums, il est un des chauffeurs les plus appréciés du pays.
Il demande 80 euros par jour, tout compris, c’est à dire la voiture, l’essence, les parkings et le kilométrage illimité. Il s’appelle Ravindra et peut être joint au 00 94 77 473 8580 ou sur le 00 94 77 207 9376. Son email est le ravindratours@yahoo.com et son facebook, Ravi Ravindra. Il parle Anglais et maîtrise la route en toute sécurité. Il connaît tout le Sri Lanka et se révèlera indispensable.
Il s’arrête afin de faire le plein du véhicule.
Nous nous arrêtons ensuite dans une boulangerie afin de nous restaurer.
Nous prenons la route en direction de Dambulla.
Il n’y a pas d’autoroute qui permette de rejoindre le Nord du pays.
Nous traversons de beaux paysages.
La campagne srilankaise est exceptionnelle.
Les maisons sont dispersées le long du chemin.
Nous traversons quelques villes.
La route est longue, car chargée.
Il nous faudra bien 4 heures pour rejoindre la ville de Dambulla.
A plusieurs reprises, nous nous arrêtons pour découvrir le coeur du pays.
Les fruits exposés à la vente sur le bord de la route sont appétissants.
Les nombreux virages rencontrés rendent la route encore plus difficile à supporter.
Nous sommes obligés de nous arrêter pour éviter la nausée due aux mouvements dans la voiture.
Il n’y a pas d’autres possibilités pour rejoindre le centre du pays.
Certains hommes ont des accoutrements traditionnels.
La culture du riz est omniprésente.
Les bus sont bariolés à souhait.
Nous traversons une autre ville.
La conduite est difficile ; les routes sont surchargées.
Nous nous rapprochons de notre objectif.
Nous prenons la direction de Kurunegala.
Nous traversons une voie ferrée.
Les cocotiers nous accompagnent tout au long de notre voyage.
Nous faisons une halte dans une petite ville afin de boire un café.
Les champs sont partout autour de nous.
Sur le bas côté, une cimetière.
De tous côtés, des arbres.
Nous dépassons une université.
L’objectif se rapproche.
Nous traversons une dernière ville.
Nous apercevons le temple de Dambulla, face à nous.
Après nous être garés, nous continuons à pied.
Nous payons l’entrée quelques euros.
Le templs d’or est un des temples boudhistes les plus célèbres du pays.
Nous pouvons apercevoir un grand bouddha doré.
L’or est omniprésent.
Les pèlerins se recueillent en nombre.
La ferveur présente fait chaud au coeur.
Face à nous, un arbre qui possède de gros fruits que nous suspectons être des durians.
Nous découvrons le bouddha doré.
Nous devons monter à de nombreux escaliers pour rejoindre les temples perchés dans la montagne.
Le panorama est époustouflant.
De nombreux petits vendeurs nous proposent des fleurs à offrir à Bouddha.
Un grand lampadaire orne une place.
Nous continuons notre avancée.
Le panorama devient de plus en plus beau.
C’est alors que nous faisons la connaissance des singes sacrés du temple.
Ces derniers n’hésitent pas à sauter sur les visiteurs pour leur arracher les fleurs qu’ils tiennent.
Nous ne les caressons pas, ces animaux étant porteurs de nombreuses maladies.
Nous arrivons au sommet.
Le temple se trouve devant nous.
Nous avançons vers lui.
Nous en profitons pour admirer le paysage.
Nous devons laisser sur place nos chaussures et continuer en chaussettes.
Nous découvrons ce temple particulier.
Nous découvrons dans une des salles, le bouddha couché.
Il possède la même position que le bouddha doré de Bangkok.
Les gens arrivent par dizaine, les bras chargés d’offrandes.
Nous admirons la beauté de l’architecture.
Nous sortons et continuons notre visite.
C’est alors que dans une pièce, les gens se pressent pour prier avec un homme.
Nous ne les dérangeons pas et nous nous dirigeons vers une autre salle du temple.
Dans la salle, des dizaines de statues.
L’ambiance est mystique.
Devant chaque statue, des pèlerins prient.
Nous prenons le temps de nous ressourcer.
Nous admirons patiemment la beauté des lieux.
Les gens sont d’une gentillesse et d’une douceur à toute épreuve.
Nous croisons des moines vêtus de leurs habits traditionnels.
Nous quittons ensuite le temple.
Nous reprenons la route.
Nous nous dirigeons à présent vers Sigirîya, le rocher sacré du pays.
La ville est distante de trente kilomètres de la ville de Dambulla.
Le rocher est une des plus belles découvertes du Sri Lanka.
Les panneaux indiquant la direction du monument sont partout.
De nombreux stands proposent aux touristes des activités.
Nous arrivons au rocher.
Nous garons notre véhicule ; la sortie s’effectuera de l’autre côté du site.
La première partie du site est verdoyante.
Nous avançons sur un chemin de terre.
Nous payons notre ticket pour une somme de 20 euros par personne ; le tarif pour les locaux est moins cher.
Sur le chemin menant au rocher, de nombreuses statues.
Sur les côtés, des monticules de terre sur lesquels, il est interdit de marcher.
Il faut bien 20 minutes de marche pour rejoindre l’entrée principale du site.
Nous découvrons un cours d’eau.
Le décor change.
De tous côtés, des monticules de terre représentent des tombes sacrées.
Le paysage est somptueux.
Les inscriptions sont faîtes dans la langue locale.
Nous nous référons aux guides que le caissier nous a remis à l’entrée.
La température extérieure est de 35 degrés.
Nous apercevons enfin le rocher.
Pour le rejoindre, il faut monter prés de 1000 marches.
Mais, il nous donne l’impression d’être inaccessible.
Nous devons beaucoup nous hydrater.
Nous commençons l’ascension.
Plus que 999 marches.
L’ascension prend prés de 2 heures.
De tout le pays, les visiteurs se pressent à tout âge pour effectuer ce pèlerinage.
Chaque regard vers les hauteurs nous prouvent à quel point la montée va être difficile.
Néanmoins, le panorama vaut le coup d’oeil.
Les travaux permettent de maintenir la structure.
Nous arrivons à une grotte qui comprend de nombreuses peintures.
Nous devons redescendre par des escaliers abrupts.
Nous reprenons la montée.
Le panorama est de plus en plus spectaculaire.
La fatigue nous guette.
Nous avons atteint le dernier palier avant le sommet.
Encore un effort en compagnie de Rachid, un jeune Français expatrié à Dubai et avec qui nous avons lié connaissance.
Nous arrivons enfin au sommet.
Nous sommes heureux d’avoir atteint notre objectif.
Le vent souffle fortement.
Nous découvrons les constructions du sommet.
Un lézard apparaît devant nous.
Mais, le plus beau reste à venir. Une des plus belles vues du pays.
Il est déjà l’heure de redescendre.
Nous nous trompons de chemin de sortie.
Il nous faut rejoindre le parking en passant devant des stands qui proposent des rafraîchissements. Ce qui tombe à point nommé.
Nous reprenons la route en direction de Kandy.
Mais avant, le chauffeur nous arrête dans un village traditionnel.
Le village est situé au coeur de la forêt.
Il s’agit, ne nous le cachons pas, d’un village pour touristes.
Néanmoins, il nous donne un aperçu de la vie srilankaise.
Un homme nous explique comment fabriquer de la liqueur de coco.
Il faut dire que les cocotiers sont omniprésents.
La végétation est luxuriante. Il faut dire que le taux d’humidité élevé est idéal pour les plantes et les arbres.
Un travailleur manuel s’affaire à la restauration du toit du restaurant dans lequel nous nous rendons.
Nous nous restaurons.
Nous nous dirigeons vers le Nord du village.
Le village est très agréable.
Nous faisons connaissance avec des travailleurs qui fabriquent de l’huile et des gélules à base de plantes médicinales.
Les travailleurs manuels sont légions dans le pays.
L’homme fait chauffer des plantes qu’il compactera plus tard.
La femme remplie manuellement des bouteilles d’huile.
L’homme continue de fabriquer ses sortes de pilules.
Nous reprenons notre découverte.
Un homme grimpe manuellement au sommet d’un cocotier.
Nous quittons le village.
Nous reprenons notre route.
Sur le chemin, les paysans vendent leur production sans intermédiaire.
Nous faisons une halte dans un petit village.
Le riz est cultivé partout dans le pays.
Sur la route, de nombreux restaurants et pensions accueillent les visiteurs.
Les habitants du Sri Lanka sont pieux.
Les représentations divines sont présentes en nombre.
Nous traversons une ville, dans laquelle nous découvrons un beau temple hindou : le Temple Sri Muthu Mariamman Thevasthanam Matale.
Les couleurs sont vives.
L’entrée est de 2 euros.
Le temple est désert.
Nous l’admirons de l’extérieur.
Il est magnifique.
Nous faisons la connaissance d’un garde qui nous demande une petite obole ; nous lui remettons quelques pièces.
Nous croisons une sorte de moine.
Nous retournons dans le temple continuer notre visite.
Nous reprenons la route vers Kandy.
La ville se rapproche.
Les routes sont de plus en plus engorgées au fur et à mesure que nous nous approchons de la ville.
Nous entrons dans la ville.
Nous nous garons à côté du lac.
Les bâtiments sont d’un point de vue architectural, intéressants.
Ils font face au lac de la ville.
Ce dernier permet d’avoir une vue sur les hauteurs de l’autre rive.
Nous visitons à présent la ville.
La ville est très touristique.
Nous mangeons rapidement dans un fast food.
Nous nous dirigeons ensuite vers le temple de Kandy.
Il s’agit d’un site majeur pour la religion bouddhiste.
Le temple comprend la dent de Bouddha.
Le soleil commence à se coucher.
Une grande procession est sur le point de commencer.
L’entrée du temple est gratuite.
Une ferveur s’empare de nous.
Des musiciens traditionnels nous entraînent dans l’ambiance.
Des centaines de personnes prient.
Nous suivons le mouvement de la foule qui se dirige en masse vers l’entrée d’une petite pièce.
Celle-ci comporte la dent de Bouddha, une relique sacrée.
Nous entrons dans une autre pièce.
Tous se recueillent.
Dehors, il fait nuit noire.
Des parchemins sacrés sont entreposés dans des vitrines.
Un autre musicien souffle dans un instrument à vent ; la musique est hypnotisante.
A l’extérieur, des centaines de bougies sont brûlées.
Nous quittons tard le soir, cette ferveur populaire.
Le lendemain matin, après une nuit de sommeil, nous reprenons la route. Un accident nous montre la dangerosité des routes.
Nous gagnons les hauteurs de la ville.
Nous allons visiter un temple bouddhiste.
La vue sur la ville est splendide.
Nous continuons notre route.
Nous payons quelques euros pour entrer dans le temple.
Une grande statue nous accueille.
Nous pouvons pénétrer où bon nous semble.
Les statues de Bouddha sont dispersées dans le site.
Un moine nous autorise à le suivre dans les prières et bénédictions qu’il délivre à ses fidèles.
Nous quittons le temple en direction du Sud du pays.
Le paysage change.
Les temples sont disséminés sur le côté de la route.
A la demande de notre chauffeur, nous récupérons ses enfants pour les déposer dans une ville voisine.
Après une dizaine de minutes de route, nous déposons sa famille.
Notre chauffeur nous présente le travail de son frère, metteur en scène de spectacle.
Nous reprenons la route.
Nous découvrons la campagne srilankaise.
Le paysage est somptueux.
Les champs de thé sont partout.
Il faut dire que la culture du thé est une des sources principales de revenus du pays.
Les compagnies qui exploitent l’or vert communiquent beaucoup sur leur présence.
Après une bonne nuit de sommeil, nous reprenons notre route.
Nous découvrons au coeur des montagnes srilankaises, une chute d’eau.
Une maison traditionnelle nous ouvre ses portes.
La chute d’eau voisine sert aux automobilistes à laver leur voiture ou leur car.
Dans une maison située à proximité, une petite fille pleure ; elle vient de se faire engueuler par sa mère.
Nous découvrons une autre chute d’eau en nous dirigeant vers le pic d’Adam, une des montagnes les plus importantes du pays.
Nous traversons d’autre champs de thé.
Les cultures sont situées sur des petites collines.
Nous nous arrêtons ensuite sur le chemin, afin de découvrir un des plus beaux panoramas du pays.
L’endroit est tout simplement magique.
De longues chutes d’eau alimentent les bassins situés en contrebas.
Les champs de thé en profitent pour se développer.
Notre guide qui se repose un peu de se conduite constante nous adresse un salut sincère.
Nous ne perdons pas une miette de ce spectacle.
Nous continuons notre route et découvrons plusieurs autres chutes d’eau.
Nous aimerions nous baigner, mais le temps nous fait défaut.
A côté de la chute d’eau, un petit temple contient une statue de bouddha.
Une femme s’approche de notre véhicule garé sur le bas côté, pour nous quémander une petite pièce.
Nous nous arrêtons à présent dans une usine à thé.
Elle fait face à plusieurs hectares de cet or vert.
Nous sommes conviés par le directeur à en découvrir l’intérieur.
Les feuilles de thé sont posées sur l’eau d’un bassin de stockage.
Une femme les tri à la main.
Les feuilles de thé arrivent pas sac entier ; les femmes qui les cueillent sont payées au poids.
Les ouvrières, surprises de notre présence nous saluent.
Les bacs pèsent chacun une vingtaine de kilos.
Au sous-sol, le thé est séché et transformé pour être commercialisé.
Empaqueté, il sera vendu dans les pays occidentaux sous l’appellation d’un thé Ceylan.
Nous reprenons la route pour cette fois-ci, visiter un véritable champ de thé.
Nous arpentons le champ.
Nous franchissons un ruisseau et rejoignons les cueilleuses.
Les femmes travaillent d’arrache pied pour une dizaine d’euros par jour.
Elles remplissent les gros sacs qu’elles portent sur le dos.
Un chef d’équipe nous demande de cesser de prendre des photos ; nous nous détournons de son regard pour continuer de partager ce moment de simplicité avec ces ouvrières qui nous agrémentent de sourire.
Durant plus d’une heure, nous les regardons travailler sans se plaindre.
Le chauffeur nous remet sa carte pour ne pas qu’on l’oublie ; il faut dire qu’il a effectué un travail de grande qualité, le tout en totale sécurité.
Nous reprenons la route en direction de Colombo, la capitale.
Nous faisons cependant un détour pour découvrir les Dewon falls, les chutes d’eau les plus fameuses du pays.
Juste avant les chutes Dewon, une autre chute d’eau attire notre attention.
Elle se trouve au coeur d’une vallée magnifique.
Nous continuons notre route.
Nous nous arrêtons dans un restaurant sur le bord de la route pour nous restaurer.
Nous continuons en direction des chutes Dewon.
Le paysage vient encore de changer alors que nous venons d’arriver sur le site.
Quelques cafés se trouvent en face des chutes.
Nous profitons de ces chutes au haut débit.
Nous ne pouvons descendre, aucun chemin n’y étant prévu.
Mais, de notre point de vue, le spectacle est magnifique.
Ravindra nous conseille alors que nous nous approchons de la white river, de pratiquer du rafting, qui est proposé à un prix imbattable de 20 euros par personne.
Nous acquiesçons.
Sur la route, de nombreux stands proposent cette activité parmi tant d’autres. Nous payons 20 euros par personne et nous nous équipons.
Un tuk tuk nous emmène à l’entrée de la rivière.
Nous devons descendre à travers des villages locaux.
Nous arrivons aux pieds de la rivière.
Le chemin est glissant et nous sommes pieds nus.
Les rapides semblent nous attendre.
Nous nous engouffrons à bord de notre embarcation.
A plusieurs reprises, nous manquons de tomber à l’eau.
Après cette expérience intéressante, nous reprenons la route en direction de Colombo.
Nous nous arrêtons à une pizzeria afin de nous restaurer.
Nous arrivons dans Colombo, tard dans la nuit, après 5 heures de trajet.
Nous découvrons la banlieue de la ville.
Nous arrivons devant un beau monument.
Les routes sont désertes.
Un grand bâtiment nous fait face.
Nous immortalisons ce moment.
Nous nous engouffrons à l’intérieur de la ville.
Un tuk tuk est réparé de manière manuelle.
Nous nous trouvons face au parlement.
Il surplombe un grand parc.
Nous nous dirigeons ensuite vers le temple bouddhiste le plus connu de la ville.
Il est encore ouvert à cette heure tardive.
Nous nous dirigeons à présent vers le temple sur l’eau.
Le site est magique.
De nombreux fidèles prient.
Le temple se trouve au coeur d’une sorte d’estrade.
Illuminé ainsi, il brille de mille feux.
Face à lui, le quartier économique.
Nous saluons le gardien des lieux.
Nous nous rendons sur le bord de mer.
Les habitants aiment s’y retrouver jusqu’à pas d’heure.
Des marchands proposent aux enfants des jouets aquatiques.
Nous profitons de ce moment de détente.
Nous découvrons ensuite la cathédrale de la ville.
Il est temps pour nous de rejoindre l’aéroport.
Nous embrassons chaleureusement notre chauffeur.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages avec la compagnie Sri Lanka airlines, en direction de Singapour ; le vol est prévu pour 1 heure du matin.
Nous passons les contrôles de sécurité.
Nous patientons en essayant de nous informer sur le pays.
Notre vol est appelé.
Un bus nous emmène jusqu’au tarmac.
Le trajet dure moins de 10 minutes.
Nous grimpons dans notre avion.