En provenance des Fidji, nous embarquons en direction du royaume des Tonga.
Nous embarquons avec la compagnie Air Fidji ; le vol dure 3 heures et coûte 250 euros.
Les Tonga est le seul royaume du Pacifique ; nous en apercevons le sol.
Nous préparons l’atterrissage.
L’avion atterrit ; le sol se rapproche.
L’avion se pose sur le sol.
Nous rejoignons l’aéroport.
Nous passons les contrôles de l’immigration ; en tant que Français, nous bénéficions d’un visa gratuit ; nous devons être cependant titulaires d’un billet retour. Ce dernier ne nous sera pas demandé.
Nous rejoignons l’extérieur de l’aéroport.
Nous découvrons la carte de l’île.
Une société internationale propose des locations de voiture ; néanmoins, ces locations sont chères, plus de 100 euros par jour.
Pour le prix, nous faisons la rencontre d’un chauffeur qui nous servira de transporteur pour 60 euros tout compris. Nous louerons un véhicule le lendemain en plein coeur de Nuku’alofa pour un prix dérisoire.
Notre chauffeur peut être joint au 00 676 77 66 555.
Nous nous dirigeons vers le Sud de l’île.
Nous traversons nombre de petits villages.
Les cochons sauvages se promènent librement sur le bord du chemin.
Nous visitons un petit village.
Nous continuons notre route.
Nous nous dirigeons vers la Hina cave.
À l’intérieur du site qui est gratuit, nous faisons la connaissance avec des cueilleurs d’ananas.
La patronne du Beach hôtel nous accueille.
Nous rejoignons le bord de plage.
La vue est magnifique.
Nous suivons notre chauffeur à l’intérieur de ce qui semble être un restaurant de mer.
En réalité la cave se trouve à l’intérieur ; un homme nous remet la clef qui permet d’ouvrir la porte et pénétrer à l’intérieur.
La cave réceptionne souvent des spectacles traditionnels.
Nous rejoignons le parking et le véhicule de notre chauffeur.
Nous repartons.
Nous roulons pendant 20 minutes.
Les villages que nous traversons sont intéressants.
Nous arrivons à la grotte Anahulu ; l’entrée coûte 5 euros.
Devant nous, le responsable de la cave prépare du poisson frais à la manière tongaise.
Nous nous dirigeons vers la cave.
Pour y pénétrer à l’intérieur, nous devons rejoindre le bord de plage.
La grotte se trouve devant nous.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Le site est splendide.
Des centaines de chauve-souris tournoient autour de nous.
Nous nous baignons.
L’eau est froide.
Mais le site majestueux vaut bien quelques claquements de dents.
A la surface, gratuitement, le responsable de la cave nous invite à manger du poisson frais.
Nous remercions notre hôte en lui remettant un petit cadeau et nous reprenons notre route vers le Nord de la côte Est.
Nous croisons nombre de cimetières.
Nous nous arrêtons à quelques reprises pour faire quelques achats.
Nous visitons une belle église ancienne.
Nous arrivons sur le site des tombes of Mu’a.
Il s’agit des tombes sacrées d’anciens chefs.
L’endroit inspire au recueillement.
Nous reprenons notre route.
Nous arrivons sur le site de Ha’amonga.
Il s’agit également d’un site historique et sacré.
Les vendeuses de souvenirs se reposent.
Pendant ce temps, nous découvrons le site.
Un guide nous explique les origines de la pierre qui servait de calendrier solaire.
Nous loin de là, nous visitons une école.
Les enfants enjoués de nous voir sont studieux.
Accrochés au plafond, les devoirs effectués.
Nous reprenons la route en longeant la côte.
Nous faisons une halte pour découvrir cet océan qui s’étire à perte de vue.
Face à nous, l’île d’Eua.
D’autres petites îles sont présentes.
Un homme revient de la pêche.
Pendant que sa femme travaille à préparer des fanions qui servirons lors de la traditionnelle visite du roi.
La baie recèle d’autres surprises : elle comprend des cochons sauvages chercheurs de poisson, les seuls au monde.
Nous continuons sur quelques mètres.
Un groupe de femmes attire notre attention.
Les femmes d’une grande gentillesse nous invite à découvrir leur métier.
Elles sont d’une gentillesse paroxysmique.
Nous continuons à présent en direction de l’extrême opposé : la côte Ouest.
Nous faisons le plein de carburant.
Le tabac est banni de l’île. Il est autorisé, mais mal vu.
Nous arrivons sur le site de Houma blowholes.
Il s’agit d’un lieu où les vagues se fracassent contre les rochers et se transforment en déferlantes de plusieurs mètres de hauteur.
Il faut cependant attendre quelques instants pour que les vagues surgissent.
Et surtout attendre le bon moment pour en prendre une photo.
Le site est splendide comme tous les autres.
Le royaume des Tonga recèle de véritables trésors naturels.
Nous nous régalons du spectacle.
Nous n’en perdons pas une miette.
Les éléments se déchaînent ensuite.
Nous repartons, mais découvrons que nous avons oublié une camera Gopro sur le site ; nous revenons après une vingtaine de minutes, sans grande conviction quant à sa découverte ; c’est sans compter sur la gentillesse et l’honnêteté des Tongais ; une femme l’a retrouvée et l’a mise de côté pour nous la remettre ; nous lui remettons un beau pourboire et la saluons chaleureusement.
Nous reprenons la route en direction de Nuku’alofa, la capitale.
Nous découvrons le château du roi qu’il est interdit de photographier.
Dans la capitale, face à une église royale, les tombes des anciens rois.
Nous arrivons à notre hôtel : Noah guest house ; le responsable s’appelle Mote Liava’a ; une nuit coûte 50 euros la nuit. Le petit déjeuner est compris dans le prix. Il s’agit du meilleur rapport qualité prix de l’île ; Noah est un homme exceptionnel, d’une grande gentillesse ; il n’hésitera pas à nous aider tout au long de notre séjour et son personnel est tout simplement adorable. Le site de l’hôtel est le www.noaenterprises.com et son téléphone, le 00 676 21 810 ; son mobile est le 00 676 874 7282
Notre chauffeur qui en attendant es tallé récupérer sa famille nous dépose dans un des grands restaurants de l’île.
Nous saluons notre chauffeur et le quittons ; le lendemain, nous récupérerons notre voiture de location réservé par Noah le patron de notre hôtel.
Le repas gastronomique nous coûte 15 euros.
Nous allons ensuite nous coucher ; pour ce faire, nous traversons une partie de la ville à pied.
Le lendemain matin, après un solide petit-déjeuner, nous sommes appelés à l’extérieur.
A notre demande, Noah nous a réservé une sortie en pleine mer afin de nager avec les baleines, une expérience inoubliable.
Le patron de l’agence nous conduit jusqu’au port.
Nous traversons une partie de la capitale.
La compagnie s’appelle Deep Blue cruises.
Nous payons les 130 euros que demande la sortie, puis 50 euros pour effectuer une plongée bouteille en plus du prix.
Nous embarquons après avoir récupéré notre matériel.
Le port de l’île de Tongatapu s’éloigne.
Nous faisons la connaissance de Grégory Liechti, le meilleur instructeur de plongée avec lequel nous avons travaillé ; il est également moniteur de ski au Japon durant l’hivers ; il est Suisse et peut être joint sur le greg4848@hormail.com ; son site Internet est le www.thrugregslens.com
En cours de chemin, nous effectuons notre plongée bouteille.
Le fond marin est riche.
Nous descendons à 15 mètres.
Nous nous régalons.
Nous sommes entourés par une faune riche.
Nous n’en perdons pas une miette.
Certaines espèces de poissons sont surprenantes.
La plongée se passe merveilleusement bien.
Greg nous fait signe qu’il est l’heure de remonter.
Nous aimerions rester des heures dans le coeur de l’océan.
Nous admirons une dernière fois les coraux.
Nous remontons à la surface.
En découvrant malgré nous la trace de l’homme jusqu’au fond des océans.
Mais le spectacle n’est pas encore terminé.
Un poisson espiègle s’amuse avec nous.
Nous remontons après avoir effectué les paliers de décompression exigés.
A la surface, la fille du patron qui est également monitrice de plongée nous attend.
Nous reprenons la mer.
C’est alors que le capitaine arrête les moteurs.
Face à nous, les baleines apparaissent.
Elles s’éloignent rapidement.
Nous nous jetons à l’eau.
Elles ont déjà disparu.
Les instructeurs scrutent l’horizon.
Elles réapparaissent devant le bateau.
Nous plongeons avec masque et tubas. Le spectacle est édifiant.
Nous remontons sur le bateau.
Nous plongeons une seconde fois ; alors que la monitrice nous demande de rester derrière elle, nous ne tenons pas ne place et nous nous rapprochons de la baleine ; nous nous rapprochons à quelques mètres ; nous sommes seuls avec l’animal.
Le mammifère est majestueux.
Il s’agit d’un véritable rêve éveillé.
La baleine tourne autour de nous.
Nous remontons sur le bateau.
Un groupe de baleines apparaît ensuite devant nous.
La monitrice de plongée nous apprend que nous allons retourner dans l’eau, mais que cette fois-ci, nous devons rester à une distance réglementaire de 20 mètres avec l’animal.
Nous écoutons, mais cette fois-ci, ce sont les baleines qui jouent avec nous en s’approchant.
La monitrice ne peut rien nous dire ; elle acquiesce et profite également du spectacle.
Nous retournons en fin de journée au port.
Accompagné de Grégory, nous mangeons pour quelques euros dans une sorte de restaurant rapide.
Nous faisons ensuite le tour des bars.
Le lendemain, nous découvrons la capitale : Nuku’alofa.
Nous nous dirigeons vers notre société de location de voiture afin d’en réserver une pour une trentaine d’euros par jour.
Nous retirons un peu de liquide.
Nous découvrons la ville.
Nous en visitons la cathédrale.
Le pays n’est pas très peuplé.
Les bâtiments sont traditionnels.
Nous longeons le bord de mer.
La ville se traverse rapidement.
Plusieurs ministères se trouvent dans des bâtiments qui ne payent pas de mine.
Dans une boulangerie, nous achetons quelques croissants.
Nous retournons dans le centre ville.
Nous nous arrêtons dans un café.
Nous nous dirigeons ensuite vers le marché central.
Dés l’entrée, les senteurs emplissent nos narines.
Les couleurs sont chatoyantes.
Les produits sont frais.
Et les sourires nombreux.
Les prix ne sont pas excessifs pour une île perdue au coeur du Pacifique.
Nous profitons de cette rencontre avec les habitants.
Nous goûtons quelques spécialités locales.
Nous nous éloignons de la capitale en nous dirigeant vers le centre de l’île.
L’île se parcourt en moins de 2 heures.
Sur la route, un attroupement nous interpelle.
Nous assistons à une compétition sportive entre filles.
Il s’agit d’une sorte de jeu de balle.
Nous reprenons la route.
Notre chemin nous mène sur la côte Ouest.
Nous traversons nombre de petits villages.
La route reste de bonne facture.
Nous faisons la connaissance d’un paysan manuel.
Il travaille avec ses enfants et sa femme.
Nous arrivons sur le site de Hufangalupe.
Nous garons notre véhicule.
Nous nous trouvons au bord de hautes falaises.
Derrière nous, le site de Hufangalupe.
Nous prenons de belles photos.
Nous nous dirigeons vers le site.
Quelques touristes sont présents.
Le site est une arche magnifique sous laquelle, l’océan vient s’engouffrer.
Le tout, dans un fracas assourdissant.
Un dernier regard.
Nous reprenons la route cette fois-ci à nouveau en direction des blowholes de Houma.
Nous y étions déjà arrivés lors de notre premier jour sur l’île.
Mais le site nous avais tellement plus qu’il méritait bien une deuxième visite.
En outre, l’océan étant déchaîné, les vagues se projettent à plusieurs mètres de hauteur.
Le spectacle est grandiose.
Nous nous trouvons au coeur de la nature.
Au coeur des éléments.
Nous quittons le site et continuons un peu vers l’Ouest.
Nous arrivons sur le site de Vaotu’u.
Nous arrivons dans le village qui comprend le site.
Nous garons notre véhicule.
Il s’agit de plusieurs piscines naturelles dans lesquelles nous pouvons nous baigner.
Quelques adolescentes s’y trouvent déjà.
Nous profitons de ce moment de détente.
Le rire des enfants est agréable à entendre.
Nous passons plus d’une heure à nous relaxer.
En reprenant notre route, nous nous arrêtons dans une sorte de complexe.
Nous visitons l’endroit, quand la famille de propriétaires, originaires de Nouvelle-Zélande nous invite à déjeuner.
En attendant que le déjeuner soit prêt, nous découvrons le site magnifique qui entoure l’hôtel.
Un véritable havre de paix.
La famille est d’une extrême générosité.
Il s’agit du White Sands Beach Resort, joignable aux numéros indiqués ci-dessous.
Nous reprenons la route.
Sur le chemin, nous nous arrêtons à une belle plage.
Le décor ressemble à celui d’une carte postale.
Nous arrivons enfin à l’extrême Nord de l’île.
Il contient plusieurs sites secondaires peu touristiques, mais au combien intéressants.
Nous retournons à Nuku’alofa.
Accompagné de Greg, nous achetons quelques bières.
Nous mangeons ensuite une pizza immense.
Le lendemain, nous nous dirigeons vers le port de Nuku’alofa afin de prendre quelques jours de repos sur l’île de Fafa.
Nous revenons de Fafa island et nous nous dirigeons vers un cyber café.
Nous faisons connaissance avec un pêcheur.
Quelques jours de farniente plus tard, nous saluons Noah, le patron de notre hôtel.
Nous rendons notre véhicule à la compagnie de location de véhicule.
Nous traversons à pied la ville pour nous rendre à la gare des bus.
Nous ne payons pas le transport ; le chauffeur nous emmène gratuitement à l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages en direction des Fidji avec la compagnie Fidji airlines.
Nous patientons dans l’aéroport.
Notre avion vient de se poser sur la piste.
Nous passons les contrôles de sécurité.
Un bus nous conduit sur la piste à notre avion.
Nous quittons le royaume des Tonga.