Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte du Viêt Nam afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. Plus précisément, nous vous présentons au sein de cet article, le Viêt Nam.
Nous avons ainsi découvert le Viêt Nam et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
L’établissement du visa à Paris
Un mois avant notre départ, nous nous rendons à l’ambassade du Vietnam à Paris, afin de chercher notre visa.
Pour ce faire, nous avons simplement envoyé par la poste, une photocopie de nos passeports, ainsi qu’une fiche de renseignement. Le jour prévu, nous avons présenté nos passeports qui ont reçu à l’intérieur, le visa en un peu plus d’une heure.
Vol vers le Viêt Nam
En provenance de Macao, nous prenons la compagnie Vietnam Airlines. Nous survolons le territoire vietnamien. La ville de Hanoi, la capitale, peuplée de 3 millions d’habitants.
L’aéroport d’Hanoï
L’avion se pose après deux heures de vol.
Nous prenons un bus qui nous amène à l’intérieur de l’aéroport. Nous présentons nos visas. L’officier qui inspecte les passeports nous agrémente d’un sourire. Nous récupérons nos bagages. Et pouvons enfin quitter l’aéroport. Nous décidons de réserver un taxi pour le reste de l’après-midi, ce qui nous revient à une trentaine d’euros.
Nous quittons l’aéroport.
Route vers Hanoï
Nous nous dirigeons vers le centre ville ; les étrangers qui ne possèdent pas le permis vietnamien, n’ont pas le droit de circuler.
Hanoï
La pagode Tran Quoc
La conduite n’est pas difficile ; la circulation est fluide. Néanmoins, le nombre impressionnant de motos pose des problèmes d’insécurité routière, puisque les conducteurs ne font attention à rien. Nous dépassons une première ville. Certaines maisons sont mieux entretenues que d’autres. Nous arrivons en périphérie de la ville, à la découverte de la pagode Tran Quoc.
Elle es tsituée aux abords d’un grand lac.
Nous nous dirigeons vers l’édifice.
Nous apercevons la pagode.
Qui se situe dans un parc arboré.
Les couleurs dominantes sont claires.
Le site est entouré de sortes de douves.
A ses abords, de nombreux marchands ambulants.
Nous profitons du panorama.
Ainsi que du vent frais qui nous rafraîchit. Nous continuons notre route.
La mausolée Ho Chi Min
Nous nous arrêtons non loin du mausolée de Ho Chi Min.
Nous le rejoignons à pied. L’endroit sert de commémoration aux victimes de la guerre éponyme.
L’endroit est gardé par des militaires armés.
La température extérieure est caniculaire.
Autour du parc, de jolis bâtiments.
Ainsi qu’une interdiction de stationner.
Nous contournons le bâtiment.
Dépassons des habitations.
Et rejoignons la pagode Môt Côt. Nous reprenons notre taxi.
La cathédrale Saint-Joseph
Dans le vieux Hanoi, nous découvrons la cathédrale Saint-Joseph.
Le lac Hoan Kiem
L’endroit est assez calme. Des centaines de fils de courant ornent les rues. Nous nous dirigeons ensuite vers le lac Hoan Kiem. Un petit parc nous permet de nous abriter du soleil. Nous nous approchons du lac.
Un petit ilot contenant un temple attire notre attention.
De nombreux vietnamiens apprécient l’endroit.
Ils s’y rendent en famille.
Nous craquons pour l’endroit.
Et nous nous détendons.
Pouvant enfin prendre un repos mérité protégé en ce mois de juillet, de ce soleil de plomb.
Le centre-ville
Nous continuons notre découverte de la ville.
Dans le vieux Hanoi, la circulation est anarchique.
Une tempête de klaxons accompagne les visiteurs.
Des milliers de deux roues circulent.
Et se font entendre. Nous approchons de la place de l’opéra.
Un grand bâtiment domine l’endroit.
La circulation y est assurée par des policiers.
Et de grands immeubles administratifs sont nettoyés journellement.
Nous nous dirigeons à présent dans le centre du vieux quartier. Les deux roues sont garées de manière anarchique.
Des centaines de petites échoppes cohabitent. Ainsi que des milliers de vendeurs de rue.
Les fils électriques sont apparents. Ce qui donne à la ville un charme certain.
Les vietnamiens recherchent de l’ombre auprès de grands arbres. Les ruelles sont lugubres. Partout, de l’effervescence. Ici, un vendeur de souvenirs.
Là, un garage.
Le tout, comprimé dans peu d’espace.
Les trottoirs sont encombrés.
Sans parler de la route.
Le marché couvert
Nous arrivons au marché couvert de la ville. Et descendons au sous-sol.
Les épices…
…se mélangent aux légumes.
Non loin des porcelaines.
Et de la viande.
Au premier étage, le luxe parle de lui-même.
Mais, les allées sont désertes.
La vieille ville
A l’extérieur, nous abordons un tuk-tuk.
Qui pour moins de cinq euros se propose de nous faire un tour complet de la vieille ville.
Nous acceptons.
Il avance à une vitesse raisonnable.
Ni trop lentement.
Ni trop rapidement. Nous pouvons admirer l’art vietnamien. Ainsi que la débrouille de ses habitants.
Qui se relient astucieusement au réseau national. Sans en payer la facture. Quelques boutiques sont mieux tenues que d’autres.
Peu de magasins sont présents.
Les habitants préfèrent manger à l’extérieur.
Une soirée agréable
Pour une vingtaine d’euros la nuit, nous nous rendons à notre hôtel : Le Hanoi royal palace Hôtel.
Route vers la Baie d’Halong
Le surlendemain matin, nous avons organisé avec l’agence de voyage Sinhafe, une visite de la baie d’Ha long. Pour la modique somme de 45 dollars par personne, la journée comprend le trajet, le repas et les visites. L’agence est honnête et professionnelle ; on peut la réserver depuis la France par mail ou joindre Madame Ngos Doan au 0084 932202880.
Le voyage peut également se réserver pour quelques euros économisé, sur place, dans les rues de Hanoï. Dans le minibus, nous avons de la chance d’être installés devant.
Ce qui nous donne la possibilité de pouvoir admirer le paysage. Assez marécageux, il convient de le dire. Le trajet est long. Très long.
Le travail local
Nous arrivons après deux heures de conduite, dans un entrepôt pour touristes.
Des petites mains travaillent à la chaîne.
Pour fabriquer des tableaux hors de prix.
Puis, nous sommes appelés par un vendeur qui nous propose l’achat d’une statue, dont les prix ont été multiplié, ainsi que pour tous les objets, par 100. Nous refusons.
Nous remontons dans le minibus. Il nous faut encore deux heures de route pour nous approcher de la baie de Ha Long.
L’endroit semble fait pour accueillir les touristes.
La Baie de Ha Long
L’entrée de la Baie
Nous arrivons jusqu’à l’entrée de la baie.
Là où des milliers de touristes attendent pour embarquer.
Sur les centaines de bateaux qui patientent.
Les groupes sont appelés progressivement.
La navigation dans la Baie de Ha Long
Ils embarquent dans une danse savamment menée.
Nous dépassons un embouteillage.
Et nous éloignons de la côte.
L’endroit attire. Il faut dire qu’il est l’un des plus beaux sites au monde.
Les premières îles commencent à apparaître.
Un décor de rêve.
Nous nous enfonçons dans la baie. Le paysage change.
Au loin, quelques bateaux de pêcheurs. Desquels nous nous rapprochons.
La végétation est luxuriante.
L’homme face à la nature.
Certains bateaux sont plus gros que d’autres.
Nous arrivons à un embouteillage.
Au cœur de la baie. Notre capitaine évite ce désagrément.
Pendant ce temps, nous profitons d’un bon repas.
Et nous nous régalons de cette vue.
Nous ne regrettons en rien les touristes présents.
Il faut bien que ces merveilles soient partagées. Nous nous approchons de certaines îles.
Et prenons un bain de soleil. Le guide nous explique les détails de la visite.
Nous préférons prendre un rafraîchissement.
Nous ne nous plaignons pas des 45 degrés extérieurs. Nous avons la chance de profiter de cette baie.
Qui peut être fermée en cas de forts anticyclones.
Pour l’instant, peu de nuages à l’horizon.
Nous nous arrêtons pour faire du canoé.
Discrètement, je me baigne, en un endroit non autorisé. L’envie était trop forte.
Personne ne me voit.
Mais, en me voyant mouillé, le guide le suspecte sans rien me dire.
Nous dépassons les dernières îles. Avant de faire marche arrière. Nous avançons au milieu d’une crique.
Les îles se font plus nombreuses.
Le bateau jette l’ancre. Nous attendons que les bateaux se rangent.
Noi Quy
Une dernière manœuvre. Nous pouvons accoster. Les billets d’entrée nous sont donnés.
Nous apercevons une longue queue.
Il nous faut monter pour rejoindre des grottes assez magnifiques. Et encore patienter.
La grotte naturelle n’est cependant pas authentique.
Elle présente malgré tout certaines particularités.
Il règne à l’intérieur une température suffocante. Due aux nombreux visiteurs…
…qui la foulent des pieds.
Elle est éclairée.
Peut-être un peu trop. Nous sortons de la grotte après une vingtaine de minutes de visite.
Et retrouvons la baie de Ha Long. Des boissons fraiches sont vendues.
Mais, nous préférons nous restaurer sur le bateau.
Le retour à Hanoi
Les boissons ne sont cependant pas incluses dans la journée. Et le bateau les fait payer au prix fort.
Nous terminons ainsi cette belle visite. Le chauffeur retourne à Hanoi. Nous repassons devant les mêmes marécages. Et les mêmes champs.
Des paysages magnifiques
Le lendemain matin, encore fatigué, nous retrouvons un autre chauffeur, pour un circuit privé de 2 jours. Ce circuit privé organisé par la même agence revient à une centaine de dollars en voiture privée. Mais, la visite est plus libre. Nous descendons cette fois-ci vers le Sud. La route est plus intéressante.
Les villes, plus grandes. Certains paysages sont splendides. Nous pouvons nous y arrêter.
Et les admirer en prenant notre temps.
Route vers le Sud
Le Viet Nam est une république socialiste.
Et s’ouvre progressivement au tourisme. Le pays est encore préservé.
Et sa nature, sauvage.
Les routes sont néanmoins entretenues. Et permettent d’y circuler en sécurité.
Nous nous dirigeons vers la baie de Ha Long terrestre.
Nous retrouvons une architecture naturelle semblable à celle de la veille. Nous nous enfonçons dans la campagne. Plus authentique.
Les temples des rois Dinh et LE à Hoa Lu
Nous traversons des petits villages. Agrémentés de leurs petits commerces. Nous arrivons enfin aux temples des rois Dinh et LE à Hoa Lu.
Les temples sont entourés d’une nature sauvage.
Façonnée ainsi en des millions d’années.
Des buffles se baignent dans les rivières alentours.
Nous pouvons les approcher.
Nous avançons dans le site.
Une belle mare entoure le premier des temples
Fondu au cœur d’un beau jardin.
Nous empruntons le chemin principal.
Une femme se recueille.
Nous ne la dérangeons pas. Nous continuons notre découverte jusqu’au temple.
Toujours à proximité d’un point d’eau.
Le chemin qui mène à l’intérieur a été refait.
Des nénuphars sont fleuris.
Nous découvrons un autre temple.
D’une configuration identique au premier. La couleur dominante est le rouge. Une vieille femme tresse des tissus.
Nous nous promenons dans la cour.
Et découvrons un arbre centenaire.
Le site est bien tenu.
Et il est relié à la ville par une porte en arche.
Nous retournons à la voiture.
Sans omettre de nous faire tirer le portrait.
Des paysans patientent.
Ils attendent le touriste pour quelques sous.
A l’extérieur, des marchands ambulants nous proposent des boissons fraîches.
Reprise de la route
Nous nous laissons tenter et repartons. Nous continuons de pénétrer la campagne. Nous rejoignons la route principale. Nous retrouvons les mêmes complexes hôteliers croisés la veille.
Nous continuons notre chemin. Nous dépassons une grande porte routière.
Tam Oc
Et arrivons à Tam Oc, ou autrement appelé : Baie de Ha Long terrestre.
Le site est moins touristique que la baie de Ha Long
Des dizaines de sampan, petites barques patientent.
Nous découvrons les barques.
Ainsi que les alentours.
L’endroit est somptueux.
Malgré les touristes qui augmentent en nombre à chaque instant.
Après une photographie, nous sommes appelés.
Nous grimpons dans l ‘une des barques.
Dés le début, la végétation impressionne.
Le trajet dure un peu plus de deux heures.
Nous nous mettons à notre aise. Les premiers canards se laissent découvrir.
Ainsi que quelques habitations traditionnelles.
Le paysage est une merveille.
Nous sommes surpris. Il règne au sein de la baie, une atmosphère particulière.
Malgré les touristes croisés.
Nous avons ce sentiment d’être tranquilles. Gioc, notre capitaine nous agrémente de ses sourires. Bien qu’âgée, elle pagaye.
Seules les rames se font entendre.
Ainsi que le chant des criquets.
Ou du moins, celui des insectes présents. La végétation est sauvage.
Nous pouvons la caresser.
Tout en nous méfiant des animaux qui pourraient s’y cacher.
Nous approchons d’une grotte.
Dans laquelle nous nous engouffrons.
Les stalactites frôlent nos têtes.
Nous retrouvons après plusieurs dizaines de mètres, la lumière du jour.
Nous revenons ensuite sur nos pas.
Nous ne perdons pas une miette du spectacle.
Les îles projettent leur reflet dans l’eau.
Nous essayons au maximum de faire durer le plaisir. Soudain un orage gronde.
Nous ne sommes pas mécontents de rentrer à ce moment.
Un repos mérité
Nous nous abritons ; la pluie s’arrête.
Le chauffeur nous dépose au restaurant compris dans le prix de la journée.
Nous nous essayons à la langue.
Bonjour. Jow.
Comment allez-vous ? Kohng de kweah ?
Très bien, merci. Kweah, uhhn de gam.
Quel est votre nom ? Yi de La de theyn d’ayng ?
Mon nom est Ludovic. Ludovic de La de theyn de Thoye.
Vous êtes bienvenu. Do de sao de kohng.
Oui. Duhn.
Je ne comprends pas. Kohng thoy hee-OH.
Au revoir. Tambiet.
La cuisine vietnamienne, trés fine diffère de la cuisine chinoise éssentiellement à cause de l’emploi de nuoc mâm, une sauce brune obtenue par la fermentation de poissons salés.
Le riz est un ingrédient fondamental de la cuisine vietnamienne. Il existe trois sortes de riz :
– le riz normal avec des grains ronds et blancs ;
– le riz gluant qui présente des grains opaques ;
– et enfin le riz parfumé reconnaissable à ses longs grains.
Nous choisissons tout d’abord une soupe:
– Phở : soupe aux nouilles et à la viande, originaire du Nord.
– Miến lươn : soupe aux anguilles avec des vermicelles transparents.
– Bún thang : soupe de nouilles de riz avec un bouillon et des morceaux de poulet, d’omelette et de crevettes.
– Lẩu : pot-au-feu vietnamien ou fondue chinoise, un bouillon composé de légumes, d’herbes, de feuilles potagères et de fruits de mer.
– Mì : soupe contenant des nouilles jaunes faites avec de la farine de blé.
Ensuite, nous commandons un plat typique vietnamien.
– Nem : crêpe de riz enroulée en cylindre, contenant des petits vermicelles transparents, du crabe, des morceaux de porc, des bouts d’oignons, ainsi que des champignons de mer.
– Bánh cuốn : ravioli vietnamien fait à partir d’une pâte de riz cuite à la vapeur, farcie de porc haché et de morceaux de champignon noir.
– Chả cá : filet de poisson frit et non grillé, servi avec des vermicelles de riz, des herbes aromatiques, des cacahuètes grillées.
– Ốc nhồi : farce à base d’escargots, enveloppé dans une feuille de gingembre, et cuite à la vapeur dans une coquille.
– Chạo tôm : bâtons de canne à sucre enrobés d’une pâte de crevette, toujours grillés.
– Canh chua : soupe de poisson et de légumes à la saveur aigre-douce en raison des tamarins (fruits du tamarinier) que l’on y met pour la cuisson.
En dessert, nous choisissons une des pâtisseries vietnamiennes et confiseries que le serveur nous propose
– Bánh chưng : gâteau de riz gluant enveloppé dans des feuilles de cocotier ou de bananier.
– Bánh bao : brioche cuite à la vapeur, farcie de viande de porc, d’oignons, de champignons parfumés.
– Bánh dẻo : gâteau à base de farine de riz gluant, fourré de fruits confits, de graines de sésame, de graisse.
– Mứt : fruits confits servis à l’occasion de la fête du Tết, mais on en trouve quand même le reste de l’année.
– fruits frais.
– Chè : dessert sucré, confectionné à partir d’ingrédients très variés : haricots blancs, maïs ou même patates douces. Le tout, arrosé de lait de noix de coco.
Nous en avons pour une dizaine d’euros par personne, mais le repas était succulent.
Nous voyons une vieille femme qui travaille encore à son âge et malgré son handicap.
C’est alors qu’une tempête éclate.
Cette fois-ci, elle dure.
Route vers l’aéroport
Les rues sont impraticables. Et c’est sous ce déluge que nous retrouvons notre hôtel. Le lendemain, en fin de journée, notre chauffeur nous emmène à l’aéroport.
L’aéroport d’Hanoï
Ou du moins, nous l’espérons. Après trois heures de route, nous parvenons enfin à destination.
Nous ne sommes pas fâchés de pouvoir poser nos bagages. L’immigration passée, un bus nous emmène à notre avion de la compagnie Laos Airlines.