Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 400 photos montre intégralement notre découverte de la Zambie afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique.
Nous avons ainsi découvert la Zambie du Sud et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
La frontière avec le Zimbabwe
En provenance du Zimbabwe, nous franchissons la frontière à pied.
Nous avançons sur le pont.
Nous pénétrons en Zambie après la traversée d’un pont de deux kilomètres en bordure des chutes Victoria.
De nombreux camions patientent, avant d’obtenir le précieux sésame qui leur permettra de continuer leur route. Sur le bord de la route, nous pouvons apercevoir de gros singes.
Nous arrivons au poste d’immigration.
En tant que Français, nous pouvons faire le visa sur place pour la somme de 40 euros pour trois mois en entrée simple.
Il existe aussi un visa journalier qui coûte 25 euros. Mais, nous prenons le visa normal. Nous avons loué un véhicule de location, mais nous le laissons au Zimbabwe étant donné que c’est plus simple pour nous de retourner ensuite au Zimbabwe pour continuer notre route vers le Botswana.
Sur le sol zambien, nous sommes abordés par un chauffeur de taxi, également transporteur. Il s’agit de Terry, un véritable guide qui possède une société de transport. Pour 35 euros par jour, il nous transporte à travers tout le pays, qu’il connaît comme sa poche. Il peut se joindre au 00 260 977 427 465, 00260 966 427 465 ou sur son adresse mail.
Le fleuve Zambèze
Immédiatement, il nous emmène sur les rives du fleuve Zambèze.
Les jeux de lumière sont fascinants.
Le ciel semble comme déchiré. Nous profitons de ce spectacle.
La teinte jaune donne lieu à des découvertes surprenantes. En quelques instants, le fleuve passe du jaune au vert.
Des habitants en profitent pour faire leur toilette.
Nous arpentons les berges du fleuve.
Nous en croisons ses affluents.
Nous ne nous lassons pas du spectacle.
Livingstone
La place centrale
Nous continuons notre voyage vers Livingstone. Nous faisons une halte sur une place commerciale.
En ce dimanche, le centre est désert.
Ou du moins, presque vide.
Quelques enfants profitent des attractions proposées. Leurs rires emplissent l’endroit.
Le train éternel
Nous partons à la découverte de la ville. Nous croisons un train stationné pour l’éternité.
Il est devenu une sorte de musée.
Nous découvrons certains quartiers de la ville. Nous dépassons une église fermée en cette heure tardive.
Nous nous arrêtons à une autre place commerciale afin de faire des emplettes.
Et surtout nous restaurer.
Nous séjournons au Lilamwond lodge, pour la somme de 40 euros la nuit. Le lodge est confortable et comprend le petit-déjeuner.
Nous nous protégeons des moustiques en utilisant la moustiquaire prévue à cet effet dans la chambre.
Le centre-ville
Le lendemain matin, nous arpentons les rues de la ville. Le centre est désert.
Nous garons notre véhicule.
Les commerces sont encore fermés.
Nous dépassons un parc contenu dans la ville.
Livingstone est une ville agréable.
Elle porte le nom du célèbre explorateur qui a découvert les chutes sous-jacentes à la municipalité.
Nous nous dirigeons vers la place du marché.
Nous circulons le long de la rue principale.
Le soleil s’élève dans le ciel. Les Zambiens sont encore couchés.
Les travailleurs attendent les transports en commun.
Nous nous dirigeons en proche banlieue. Nous garons notre véhicule sur une place en terre battue.
Un marché se prépare.
L’endroit est agréable.
Les voitures commencent à arriver.
Le marché local
Les marchands déballent leurs étals. Le marché est traditionnel.
Il se trouve à proximité de la bibliothèque de la ville.
Les Zambiens sont des gens formidables.
Ils sont tout sourire avec les étrangers.
De la musique commence à s’échapper des voitures, fenêtres ouvertes.
Nous visitons le marché durant prés d’une heure. Nous faisons la connaissance avec ses habitants.
Nous décidons de faire quelques achats.
Nous prenons la route vers le centre du pays.
Le chauffeur nous arrête quelques minutes à un parc, qui promeut l’art contemporain.
Nous pénétrons dans la première église de la ville.
L’église
L’église est un mémorial dédié à Livingstone.
Elle sert également de salle de classe.
Sur les murs, des écriteaux retracent la vie du célèbre aventurier.
De nombreuses chaises sont disséminées à travers la pièce principale. L’école sent bon le savoir.
A l’extérieur, elle est accolée à un pensionnat.
Les enfants portent encore l’uniforme.
Nous rejoignons un autre secteur de la ville.
Le drapeau zambien flotte fièrement dans le ciel.
Le Mosi Oa Tunya Square
Nous nous arrêtons au Mosi Oa Tunya square.
Il se trouve à proximité d’une autre église catholique.
Nous assistons à une messe.
Les zambiens sont très croyants.
Nous nous arrêtons à une station service.
Nous nous dirigeons vers le centre du pays.
La route est de bonne facture.
L’arbre séculaire
Le chauffeur nous arrête à un arbre. Ce dernier est séculaire.
Il sert de refuge aux enfants les Week-end.
Une plate forme permet une vue étendue sur la région.
Route vers le parc Big fives
Nous empruntons ensuite une piste.
Nous la longeons durant quelques kilomètres.
Elle peut s’emprunter avec une voiture traditionnelle.
Le parc Big Fives
Nous arrivons à l’entrée du parc. Il s’agit du parc Big fives, qui comprend les espèces les plus représentatives de la savane.
Malheureusement, les animaux sont en captivité et l’intérêt de ce parc est ainsi amoindri.
Nous faisons marche arrière.
Sur le chemin, nous nous arrêtons.
Nous observons derrière des buissons, de petits lionceaux. De beaux souvenirs de notre enfance nous apparaissent.
Simba du dessin animé : Le roi lion n’est pas loin.
Non loin d’eux, des rangers les amusent.
Les lionceaux sont taquins et espiègles.
Mais, ils se lassent assez rapidement de la présence de l’homme.
Route vers Mazabuka
Nous partons en direction de Mazabuka.
Nous avons une vue dégagée sur les chutes.
Nous continuons notre route.
Après quelques dizaines de kilomètres, nous nous arrêtons dans un village traditionnel.
Le village traditionnel
Les maisons sont construites manuellement. Nous arpentons les ruelles du village.
La terre goudronnée s’efface progressivement.
Nous sommes à présent au cœur du village. L’endroit est très pauvre.
Mais, les habitants semblent ne manquer de rien.
Les maisons sont rudimentaires.
Mais, une bonne ambiance se dégage de ces maisons rustiques.
La vie suit son cours.
Nous assistons à la construction d’une maison.
Puis, nous nous dirigeons vers une famille, heureuse de nous voir.
Une femme d’un certain âge prépare le repas.
Elle nous invite chez elle.
Elle est fière de nous présenter sa literie.
Il s’agit de son seul bien.
A ses côtés, une dame âgée cultive la terre.
Pendant que des enfants s’amusent dans les arbres dans lesquels, ils grimpent avec aisance.
Les habitants partagent leurs terres avec leurs animaux domestiques.
Une petite fille nous observe, curieuse.
Sa mère, lave le linge avec une grande dextérité.
De nouvelles maisons sont construites.
Un guide nous accompagne.
Nous quittons le village pour nous rendre sur un marché proche.
Les produits sont entreposés sur des tables de fortune.
Au milieu des stands, un arbre tombé récemment.
La vie y est agréable.
L’ambiance est festive ; tous les habitants ont le sourire.
Nous reprenons la route en direction de Livingstone.
Le royal Livingstone
Nous rejoignons notre hôtel : le royal Livingstone. L’hôtel est luxueux et onéreux.
La chambre coûte 400 euros par nuit, petit déjeuner inclus.
Il marie avec goût ; le luxe à l’africaine.
Il permet en outre d’avoir un accès illimité aux chutes.
La salle à manger est un voyage à elle seule.
La propreté y est irréprochable.
Une piscine accueille les visiteurs à l’année.
Il surplombe le fleuve Zambèze.
L’excursion vers les chutes Victoria
Pour 80 euros, nous réservons une excursion vers les chutes.
Nous empruntons un bateau privatif.
Nous naviguons sur le fleuve.
L’entrée des chutes coûte normalement 40 euros. L’excursion n’est pas onéreuse ; elle comprend un petit déjeuner sur l’île qui permet de manière privative d’avoir accès aux chutes et surtout à Devil’s pool, la seule piscine naturelle au monde qui permet de se baigner au haut de ces merveilles de la nature.
Mais, le capitaine de l’embarcation tient bon la barre.
Un autre bateau rapide nous dépasse.
La balade est exceptionnelle. Le vrombissement de l’eau se fait plus fort. Le grondement donne un bruit sourd inquiétant.
La découverte d’une île
Nous posons pied à terre sur l’île.
Plusieurs rangers en surveillent les accès.
Dont Justice, notre guide attitré.
Des touristes allemandes se remettent de leurs émotions.
L’île est verdoyante. Elle permet de rejoindre les chutes.
La végétation y est luxuriante. Une petite cabane attire notre attention.
Il s’agit de toilettes de tout ce qu’il y a de plus banal. Les chutes s’aperçoivent enfin.
Un autre guide nous salut.
Les chutes Victoria
Nous arrivons aux chutes Victoria. L’attente était trop longue.
La première partie des chutes laisse s’écouler un mince filet d’eau.
Mais, la rivière en contrebas donne la mesure de la puissance de l’eau.
Nous nous faisons immortaliser au cœur de cette merveille du monde naturelle.
A une certaine période de l’année, ce secteur est impraticable, tant le fleuve charrie des mètres cubes d’eau.
Nous nous dirigeons vers la chute principale.
Un arc en ciel se forme en contrebas.
Le bruit est intenable.
Nous apercevons la devil’s pool.
Pour la rejoindre, il faut être accompagné.
Le guide nous montre l’endroit de la piscine du diable dans laquelle nous allons nous baigner.
La Devil’s pool
Nous plongeons sans hésiter. Nous pouvons sentir le courant qui nous attire vers le bord.
Nous nous en approchons précautionneusement.
Le circuit qui permet de l’atteindre est strictement encadré.
Il nous faut traverser une partie du fleuve à un endroit délimité.
Il nous est interdit de nous éloigner de ce cordon de vie.
Sous peine de finir noyés.
La sécurité y est maximale.
Pour des sensations extrêmes.
Les remous sont terriblement forts.
Nous retournons dans la piscine.
Nous nous approchons du bord dangereusement.
Un dernier regard, et nous rebroussons chemin.
Le retour à l’hôtel
Nous pouvons prendre un petit déjeuner bien mérité.
Nous retraversons l’île.
Nous sommes fatigués par tant d’émotions.
Nous reprenons le bateau sur le fleuve Zambèze.
Le vent caresse nos cheveux, qui sèchent instantanément.
Nous apercevons les berges de la rive. Nous l’atteignons en quelques instants.
Un autre groupe arrive en même temps que nous.
Alors qu’un autre s’apprête à partir.
Le parc animalier de l’hôtel
Le royal hôtel comprend également un parc animalier, dans lequel nous nous engouffrons.
Un chauffeur nous guide à l’intérieur dans une petite voiture électrique. Nous longeons les chambres des appartements du complexe. En quelques mètres, toute trace de civilisation disparaît.
Les premiers impalas apparaissent.
Nous ne faisons pas de bruit.
Les animaux ont l’habitude de côtoyer les touristes.
Nous apercevons également des zèbres.
L’animal est docile.
Il est bientôt rejoint par un autre membre de sa famille.
Nous l’admirons sous toutes les coutures.
Route vers la frontière avec le Zimbabwe
Nous retournons après plusieurs heures à la réception de l’hôtel. Quelques jours plus tard, après un repos bien mérité, nous quittons le pays.
Notre chauffeur nous emmène à la frontière.
L’officier de l’immigration nous questionne sur l’attrait du pays.
Nous lui dévoilons notre enchantement.
Il nous appose notre tampon de sortie, alors que nous rejoignons le pont emprunté auparavant.
Nous retournons au Zimbabwe.
Nous dépassons sur deux kilomètres, les nombreux chauffeurs poids-lourds qui patientent encore depuis notre arrivée : la temporisation à l’africaine : vivre en prenant son temps : un adage agréable pour un pays qui l’est tout autant.