Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre voyage en Algérie, un pays qui se trouve dans le Nord de l’Afrique entre le Maroc et la Tunisie. Ainsi, nous avons passé un long moment à arpenter ce territoire  pour en découvrir toutes les merveilles, en particulier, pour cet article, en Algérie du Sud.

Pour les lecteurs intéressés, n’hésitez pas à vous rendre sur ces liens pour découvrir notre récit de voyage sur la partie Nord du pays, première partie de notre périple et sur la partie Est, dernière partie de notre voyage.

Le vol vers le Sud

En provenance d’Alger, nous nous rendons à Tamanrasset.

Nous prenons un vol avec la compagnie Air Alger ; nous payons 150 euros l’aller-retour ; il y a deux heures de vol.

Nous arrivons dans l’aéroport de Tamanrasset ; nous passons les contrôles sans encombre.

L’arrivée à Tamanrasset

Nous sortons en pleine nuit de l’aéroport ; immédiatement, un policier voyant que nous sommes étrangers, récupère nos passeports pour les remettre à nos escortes militaires ; il faut dire que l’endroit est considéré comme dangereux et inscrit en rouge par les différents ministères des affaires étrangères mondiaux ; pour nous rendre à Tamanrasset en tant qu’étrangers, nous devons prendre une agence de voyage, qui doit prévenir les autorités afin qu’une escorte militaire nous soit attribuée.

Notre guide arrive ; il s’agit d’une agence de voyage locale ; elle nous a mis à disposition un chauffeur touareg : Shériff. Mais avant de partir, nous réclamons nos passeports aux policiers de l’escorte ; de prime abord, ces derniers ne veulent pas, mais nous l’exigeons ; à ce qu’on sache, nous sommes encore libres de nos mouvements ; ils nous les remettent.

Il ne faut pas partir avec une agence de voyage à Tamanrasset ; elles ne sont pas sérieuses ; par contre, il est plus judicieux de contacter directement un guide touareg qui pourra concocter un périple sur mesure pour un meilleur prix ; le chauffeur que nous avons pris s’appelle Shériff ; il peut être joint au 00 213 65 95 46 226

Nous prenons la route vers le centre ville de Tamanrasset. Nous arrivons à notre hôtel : le caravanserail.

Le gérant nous invite à boire un thé ; il s’agit de Touffik. Malheureusement, cet homme et son agence qui nous ferons payer 200 euros par personne le voyage complet de trois jours ne seront pas totalement compétents ; le service touristique ne sera ainsi pas optimal et le voyage sera sauvé grâce à notre chauffeur Shériff, qui fera tout notre possible pour nous faire passer un moment inoubliable.

La préparation du départ

Le lendemain matin, nous nous levons après une courte nuit.

Pendant ce temps, Shériff prépare le matériel pour le départ.

Avant de rejoindre le désert, nous nous rendons dans le centre ville.

Sur la route, nous découvrons de nombreux migrants venus du Niger et du Mali voisins, qui attendent un entrepreneur qui accepterait de les faire travailler.

La ville de Tamanrasset est la plus grande ville du Sud algérien.

Normalement, nos repas sont compris dans le prix du voyage, mais sentant le coup fourré venir et la mauvaise qualité de la nourriture fournie, nous préférons effectuer nos propres achats. Nous commandons plusieurs kilos de viande.

Nous nous rendons ensuite au magasin voisin afin de faire le plein de victuailles diverses.

En l’attente, nous en profitons pour découvrir la ville.

Nous retournons récupérer notre commande. La viande est moins chère qu’en France, près de quatre fois moins chère.

Nous en profitons pour boire un bon thé dans un café local.

La route vers le désert

Il est temps pour nous de prendre la route.

Nous rejoignons notre escorte composée de gendarmes.

Nous prenons la route ensuite pour entrer dans le désert.

La route goudronnée se termine ici.

L’entrée dans le désert

Nous entrons sur une piste.

Il nous faudra près de huit heures pour rejoindre le massif d’Assekrem ; en trajet direct, pour couvrir les 80 kilomètres qui séparent la ville du massif, trois heures sont suffisantes.

Le parc de l’Ahaggar

Nous faisons une première halte pour découvrir le paysage du parc de l’Ahaggar.

Des rencontres variées

Nous reprenons la route.

Nous arrêtons notre avancée pour admirer un dromadaire.

En revenant à notre véhicule, nous apercevons un homme qui court dans le désert ; le guide nous explique que de nombreux travailleurs pauvres rejoignent les villages à pied, soit une distance de plusieurs kilomètres sous un soleil de plomb sans eau. Quel courage !

Nous repartons.

Nous faisons une autre halte pour faire connaissance avec un bédouin et ses dromadaires.

Nous reprenons la route pour nous diriger vers un petit village bédouin.

La piste est de plus en plus mauvaise.

Une bifurcation nous indique l’emplacement du village.

Le village nomade

Le village s’aperçoit à peine.

Une famille nous invite dans sa maison.

Route vers le massif de l’Assekrem

Nous reprenons la route vers le massif de l’Assekrem, point d’orgue de notre voyage.

Nous sommes secoués fortement.

Nous commençons à avoir faim.

Mais le paysage alentour est fantastique.

A un embranchement, le guide nous explique que nous allons manger.

Le déjeuner dans le désert

Il nous prépare un barbecue au coeur du désert.

En quelques minutes, il parvient à faire un feu.

Après le repas, il fait sa prière.

L’oasis

Nous buvons un bon thé préparé à l’algérienne et nous nous rendons dans les alentours découvrir un plan d’eau.

Une route qui s’allonge

Nous retournons à notre véhicule.

La route est chaotique.

Notre chauffeur rencontre un ami à lui.

Nous continuons notre route.

Les abords du massif de l’Assekrem

Le paysage est de plus en plus beaux. Nous faisons un stop pour découvrir les alentours.

Les formations géologiques sont impressionnantes.

Nous restons bien une heure sur place.

Quelques mètres plus, nous faisons une nouvelle halte.

La chaleur commence à retomber.

Un trajet qui se termine

Il nous reste moins d’un kilomètre pour rejoindre le massif de l’Assekrem.

Le refuge apparaît devant nous.

La montée vers l’ermitage de Charles de Foucauld

Nous effectuons immédiatement la montée vers le massif de l’Assekrem. Nous rejoignons l’ermitage de Charles de Foucauld.

La vue que nous avons est somptueuse.

Nous faisons plusieurs arrêts pour nous reposer et profiter de la vue.

L’ermitage de Charles de Foucauld

Arrivés au sommet, nous faisons connaissance avec un moins Français de 90 ans qui vit au sommet de l’Assekrem.

A cette hauteur, la vue est magique.

Nous nous dépêchons de rejoindre l’endroit où la vue sera la plus belle.

Nous assistons au coucher de soleil.

Une nuit difficile

Nous descendons alors que la nuit est tombée ; nous faisons attention de ne pas chuter. Lorsque nous nous rendons dans le refuge, nous avons la mauvaise surprise de découvrir un endroit sale.

Les lits sont maculés d’urine.

Le repas que nous prenons n’est pas mieux ; il ne donne pas envie.

La nuit est difficile. Le lendemain matin, nous nous levons, frigorifiés.

La route du retour

Nous prenons la route de bonne heure.

Nous prenons la route de Tamanrasset ; néanmoins, l’escorte que nous avons nous ralentit fortement ; suspectant un mouvement de contrebandiers, une autre escorte nous est rajoutée ; nous devons l’attendre ; en outre, le gérant de voyage nous a menti ; il avait affirmé que nous irons dans une place qui se trouve derrière nous ; lorsque nous l’appelons, il se fiche éperdument de nos doléances ; fort heureusement, notre chauffeur parvient à convaincre l’escorte de remplacer cette étape par une autre.

Un déjeuner délicieux

Après plusieurs heures de route, nous faisons une halte pour faire un barbecue ; ce petit-déjeuner est délicieux et revigorant.

Avec son savoir faire, le feu est préparé en quelques minutes.

Une autre caravane de touristes nationaux s’arrête à notre rencontre ; nous ferons la route ensemble.

Nous reprenons notre chemin.

Route vers le deuxième village nomade

Nous nous arrêtons à une bifurcation qui nous permet de rejoindre un autre village de touaregs.

Nous empruntons une piste de sable.

Le deuxième village nomade

Le décor change radicalement par rapport au désert de roche dans lequel nous avons séjourné.

Nous arrivons dans le village ; deux femmes tirent de l’eau d’un puit.

Nous les suivons jusqu’à leur habitation.

Une petite fille exige des soins ; fort heureusement, nous avons sur nous les médicaments adéquats. Nous passons une bonne heure avec la famille.

Nous visitons les environs du village.

Route vers la source naturelle

Nous partons à présent en direction d’une source d’eau naturelle et gazeuse.

Nous récupérons une piste.

La source naturelle

Nous arrivons à la source.

Nous buvons le thé en compagnie de touaregs.

Route vers Tamanrasset

Nous nous rendons dans la ville de Tamanrasset.

Sur notre chemin, nous trouvons un touareg sur son dromadaire.

Nous reprenons notre route.

Tamanrasset

Nous entrons dans la ville de Tamanrasset.

Nous arrivons devant notre hôtel ; les valises sont dans un triste état ; l’escorte qui était censée nous accompagner partout nous abandonne ; je ne sais à présent si l’escorte était essentielle.

Nous nous rendons à présent dans la ville.

Le quartier des artisans

Nous découvrons pour une première halte des artisans.

Nous repartons ensuite vers le marche africain.

Il nous faut traverser le centre ville.

La ville est une ville du désert ; les maisons sont toutes de couleurs claires.

De nombreux étals se trouvent sur notre route.

De nombreuses maisons sont en construction.

Il nous faut 15 minutes pour rejoindre le marché.

Le marché des Africains

Nous entrons dans le marché.

Nous faisons quelques achats.

Alors que nous sommes en train de prendre des photographies, je sens mon sac bouger ; je me retourne précipitamment et je vois une enfant retirer sa main ; manque de chance pour elle, je suis constamment sur mes gardes ; elle fait comme si de rien n’était. Mais elle sait que je l’ai capté.

Nous découvrons un marché coloré.

Les produits viennent essentiellement du Mali et du Niger voisins.

Les vendeurs sont tous bienveillants.

Le centre-ville

Nous quittons le marché pour découvrir le centre ville.

Les habitations comportent toutes des paraboles.

Le soleil commence à se coucher.

Nous entrons dans le centre ville commercial.

Nous nous arrêtons aux abords d’un restaurant traditionnel.

Nous mangeons pour pas cher.

Nous rentrons dans la nuit. Nous patientons dans l’hôtel plusieurs heures, le temps de nous rendre à l’aéroport.

L’aéroport de Tamanrasset

Deux heures avant le départ de notre vol pour Alger, nous nous dirigeons à l’aéroport.

Nous enregistrons nos bagages.

Le départ

Nous quittons Tamanrasset.