En provenance de Marseille, sur un bateau de croisière, nous arrivons au port de Malaga.
Nous assistons au lever du soleil.
La ville se dresse devant nous.
De bonne heure, le port est en effervescence. Les grues face à nous sont en mouvement.
Nous rejoignons l’extérieur du bateau.
Nous traversons un hall dans lequel se trouvent de nombreux petits commerces.
A notre sortie du hall, de nombreux chauffeurs de taxi proposent des visites à la journée ; les prix sont excessifs.
Nous prenons une navette qui nous emmène au centre ville pour la somme de 5 euros aller-retour.
Nous demandons à descendre à l’entrée de l’esplanade du port.
Nous empruntons la promenade du port.
En ce jour, une course à pied a lieu dans la ville ; nous y assistons.
Nous rejoignons la place de la marine.
Nous faisons la connaissance de notre guide : Francisco Aguilar ; l’homme est exceptionnel ; il parle Français et est joignable au 0034 654 547 885 ou sur le info@malagadiscovery.com Nous nous rendons au jardin botanique qui jouxte la place de la marine.
Nous nous rendons dans le centre ville.
Nous découvrons l’extérieur de l’Alcazaba.
Nous entrons à l’intérieur du bâtiment ; l’entrée coûte quelques euros par personne.
Nous assistons à un concert improvisé de guitare.
Nous reprenons notre visite de l’Alcazaba.
Le site est splendide.
La visite permet de retourner dans le passé.
Nous quittons le site pour retourner au centre-ville.
Nous profitons d’un moment de détente au El Pimpi, un café traditionnel de la ville.
Le café comprend de nombreuses signatures de personnalités locales.
Malaga possède de nombreuses ruelles piétonnes.
Nous nous rendons à la cathédrale.
Nous la visitons.
Nous rejoignons l’extérieur.
Nous rejoignons la partie commerciale de la ville.
Nous nous dirigeons vers la maison natale de Picasso.
Nous arrivons à un parc qui jouxte l’entrée de la maison natale de l’artiste.
Nous entrons dans la maison natale.
De nombreux objets ayant appartenu à la famille de l’artiste sont à découvrir.
Il est temps pour nous de manger.
Nous nous rendons dans le meilleur restaurant de paella de la ville.
Il s’agit du El Patio.
Nous avons l’autorisation unique de découvrir sa préparation.
Nous pouvons la déguster.
A la différence des nombreux plats congelés de la ville, les plats proposés par le restaurant sont frais et fabriqués sur place ; par ailleurs, un conseil ; pour manger une paella fraîche, il est nécessaire d’attendre vingt minutes ; ce temps est simplement le temps de cuisson des différents ingrédients ; une paella servie plus rapidement signifie une préparation simplifiée par simple réchauffement.
Nous rejoignons ensuite le musée interactif de la musique.
La visite est très intéressante ; elle permet d’essayer de nombreux instruments.
Les pièces possédées par le musée sont nombreuses.
Mais le clou de la visite est un spectacle de Flamenco, qui se déroule tous les jours à 14 heures.
Durant près d’une heure, nous sommes ébahis par la ferveur des danseurs.
Nous rejoignons le centre ville ; nous retournons à la place de la marina.
Nous décidons d’emprunter le bus touristique qui parcourt la ville ; les tickets coûtent vingt euros.
Une fois la visite effectuée, nous retournons au port.
Face à nous, en contrebas, un petit marché artisanal.
Nous contournons le cube d’une succursale du musée Pompidou.
Nous découvrons le marché.
L’ambiance est estivale.
Nous reprenons le shuttle.
Nous demandons à descendre aux abords du phare.
Nous rejoignons la plage.
Nous nous détendons sur la plage.
Il est temps pour nous de retourner au bateau.
Nous entrons dans le hall central.
Nous quittons Malaga, une ville surprenante.
Quelques années auparavant, nous avions déjà visité l’Espagne du Sud Est ; en voici le récit de voyage.
Après une éclipse vers le Maroc, le Sahara occidental et Gibraltar, nous retrouvons l’Espagne en direction de la ville de Malaga.
Nous découvrons la ville de Malaga.
Nous en traversons la banlieue.
De grands immeubles s’y dressent.
Nous nous promenons à travers les ruelles de la vieille ville.
Les décorations y sont légères.
Et avons la chance de nous détendre dans la piscine d’un des hôtels de la ville.
Nous garons notre véhicule à proximité de la place centrale de la ville. Aux abords directs de la cathédrale.
Le bâtiment religieux est magnifique d’austérité.
Et ses abords révèlent son charme.
Nous nous dirigeons ensuite vers le château et garons à nouveau notre véhicule prés d’une rue dans laquelle nous nous engouffrons.
Les ruelles alentours sont piétonnes.
Mais, il est intéressant de découvrir la ville qui s’offre à nous.
Nous avons une vue directe sur le château et les remparts.
Sur les remparts, une belle verdure.
Nous arrivons à l’ancien théâtre.
Qui est entouré d’un vaste parc fleuri.
Situé juste en dessous du château.
Et non loin du musée Picasso.
D’ensemble la vue est attractive.
Le panoramique accentue encore un peu plus cette impression de globalité.
Nous repartons ensuite.
Quelques églises accompagnent notre sortie de ville.
Nous ne nous en lassons pas.
Nous dépassons le stade de Malaga, signe de notre départ pour la ville de Granada, à une centaine de kilomètres plus au Nord.
Nous nous arrêtons au cœur de l’Andalousie, dans une station service.
Nous pouvons découvrir tranquillement le décor autour de nous.
Un paysage à mi-chemin entre les plaines et la montagne.
Nous arrivons dans la ville de Granada.
Nous garons notre véhicule à l’extérieur de la vieille ville étant donné qu’elle est à sens unique.
Nous continuons à pied.
Granada est une ville typique espagnole.
Elle a su garder un certain goût pour le traditionnel.
Tout en étant tournée vers l’avenir.
Dans la rue se mélange pêle-mêle les petites églises.
Aux édifices plus gigantesques dont la cathédrale.
Avec sa célèbre tour.
Située aux abords de places commerciales.
Les températures sont descendues.
Ce qui ne nous déplaît pas.
Nous découvrons un autre édifice religieux.
Avant de retourner à notre véhicule.
Et de prendre le chemin de l’Alhambra, un palais somptueux qui figurait parmi les derniers candidats en lice pour l’élection des sept nouvelles merveilles du monde.
Après avoir roulé plusieurs minutes, nous parvenons enfin au palais.
Nous l’entrapercevons.
Il faut dire que nous avons de la chance de le visiter.
Les jardins sont ouverts à tous pour quelques euros.
Mais, le palais, doit être réservé par téléphone ou par internet en avance, car le nombre de visiteurs est limité journellement.
Nous traversons l’entrée.
Et nous approchons d’une longue file de touristes.
Dépassons un bâtiment.
Puis le musée.
Nous patientons.
Avec une vue dégagée sur la ville de Granada en contrebas.
Nous avons le temps de nous faire immortaliser dans cet endroit.
Nos billets coûtant 14 euros par personne, avec inscription de l’heure de la visite, dans les poches, nous suivons le rythme de la file d’attente qui avance rapidement.
Un dernier coup d’œil à gauche, à droite.
Les arbres sont bien taillés. Viennent enfin nos tours.
Dés l’entrée, la qualité est de mise.
Le palais ayant appartenu à un sultan, lorsque l’Espagne était sous domination arabe est fastueux.
Les détails sont travaillés à la perfection.
Chaque mur a été pensé avec exactitude.
Et de la fenêtre, la vue est sublime.
Les plafonds ne sont pas en reste.
Nous sortons à l’extérieur.
Le décor est hollywoodien.
Lawrence d’Arabie n’est pas loin.
La visite se poursuit.
Nous sortons une nouvelle fois à l’extérieur.
Et découvrons un nouveau bassin de jardin.
De l’endroit où nous regardons, les gravures changent.
Allant de pair avec les plafonds que nous ne pouvons toucher.
Un luxe bien trop inaccessible pour nous, pauvres hères.
Ainsi, pour s’approcher au plus près de ce décor de cinéma, le palais a recréé des morceaux de palais.
Mais, rien ne vaut l’original.
Surtout lorsqu’il nous émerveille.
Et il y a de quoi.
Au milieu de la cour, se trouvent des statues portant un bac à eau.
Nous pénétrons une nouvelle fois à l’intérieur de l’édifice.
De la fenêtre, nous apercevons un autre jardin.
Comme tous les autres, il est magnifiquement entretenu.
Une autre fenêtre nous donne une vue sur la ville de Granada, que nous pouvons découvrir en tout endroit du palais.
Un autre palais est sous-jacent au complexe.
Nous nous promenons à travers le jardin.
Nous nous éloignons du palais.
Et quittons l’Alhambra. De l’extérieur, à moins de quarante kilomètres, se trouvent la Sierra Nevada, les montagnes espagnoles. Elles sont un refuge pour les skieurs patentés.
Nous quittons l’autoroute et prenons la direction d’un village troglodyte.
Sa particularité est d’être construit au cœur même de la montagne.
Les habitations creusées dans la roche sont petites, mais elles disposent de tout le confort moderne.
La vue est cependant magnifique.
Une petite place orne le centre du village.
Assis sur un banc, nous pouvons admirer l’étendue de cette vue qui se perd à l’horizon.