En provenance de Tromso, nous nous rendons au Svalbard.

Le vol avec la compagnie SAS dure 2 heures et coute 400 euros aller-retour.

Nous survolons les montagnes de l’île.

Le spectacle est somptueux.

Nous survolons la ville de Longyearbyen, la capitale du Spitzberg, l’île principale de l’archipel.

Nous atterrissons.

Nous récupérons nos bagages.

Nous rejoignons l’extérieur de l’aéroport.

Nous découvrons une sorte de pilier comprenant des dizaines de panneaux indiquant les villes les plus importantes de la planète et leurs distances avec la place où nous nous trouvons.

Nous sommes attendus par un membre du personnel de l’office du tourisme du Svalbard.

Nous prenons la route vers la ville de Longyearbyen, la capitale.

Etant donné que nous nous trouvons en été, le jour est perpétuel ; le soleil ne se couche jamais.

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous prenons la direction du centre.

La ville comporte de nombreux hôtels.

Nous nous rendons à l’office du tourisme grâce auquel, nous organisons notre programme de visite durant les prochains jours.

Nous nous dirigeons ensuite vers notre hôtel qui se trouve à quelques minutes à pied.

Nous en profitons pour visiter un peu la ville ; il faut savoir que la majeure partie des gens se déplacent à pied ; les locations de voiture sont inexistantes ; la voiture est nécessaire pour se déplacer à l’extérieur ; des chauffeurs de taxi proposent leur service aux voyageurs ; en hivers, le meilleur moyen de se déplacer reste les chiens de traineaux ou les motoneiges.

Nous avons réservé une chambre au Basecamp explorer ; la chambre coûte 180 euros, mais nous sommes parvenus à négocier la chambre avec le petit-déjeuner à 90 euros.

Nous découvrons notre chambre.

Nous prenons ensuite un café à la réception.

Nous en profitons ensuite pour visiter la ville.

La ville est la capitale du Svalbard ; elle se trouve sur l’île Spitzberg qui est l’île principale de l’archipel.

La ville a été construite de toute pièce par les Norvégiens ; elle est récente et ne possède pas d’histoire propre. La plupart des gens qui vivent sur l’île sont des travailleurs ou des voyageurs.

Nous faisons la connaissance avec Jung, un norvégien qui habite sur place depuis quelques mois.

Au coeur de l’avenue principale se trouve une statue.

Des enfants en profitent pour jouer avec leur vélo.

Nous continuons notre découverte des lieux.

Nous mangeons un morceau dans une boulangerie.

Nous nous rendons ensuite dans le supermarché local.

Les produits sont tous importés du continent. Les prix sont assez élevés, quand bien même ils sont moins excessifs qu’en Norvège.

Nous rejoignons ensuite la périphérie de la ville.

Face à nous, sur les hauteurs, une belle église.

L’air est tout de même frais, quand bien même nous nous trouvons en été. Il ne fait pas plus de 4 degrés.

Nous dépassons la maison  de la culture.

Nous continuons notre route dans la banlieue de la ville.

Nous décidons de retourner à notre hôtel.

Nous faisons une halte sur un terrain de chantier.

Un bateau arrive au loin.

La ville n’est pas grande ; en deux heures, le tour y est fait.

La ville comporte plusieurs musées, dont le national musée.

Nous nous dirigeons vers le secteur d’habitations.

Les maisons sont très colorées.

Nous nous rendons dans un restaurant afin de manger un morceau ; nous n’avons pas regardé l’heure ; il est près de minuit.

Nous allons ensuite nous coucher.

Le lendemain matin, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Le lendemain dans la soirée, après une excursion à Pyramiden, nous retournons dans la ville de Longyearbyen.

 

Pour les deux nuits qui suivent, nous avons réservé à l’hôtel Radisson Blue, l’hôtel de luxe le plus au Nord de la planète ; la chambre normalement coûte 200 euros, mais en négociant nous l’avons eue à 90, petit déjeuner compris.

Nous découvrons l’hôtel. Il est magnifique.

L’hôtel comporte un jacuzzi.

Notre chambre est luxueuse.

Nous retournons à la réception.

Le soir, nous mangeons au restaurant de l’hôtel ou du moins à sa brasserie.

Nous nous réveillons le lendemain avec une vue dégagée sur les montagnes alentours.

Nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous décidons de visiter la ville en profondeur.

Nous nous rendons dans un café.

Nous visitons différents magasins.

Le magasin vend des ours blancs empaillés.

Les prix sont élevés : un ours coûte près de 5000 dollars.

Nous arpentons les rues du centre ville.

Nous visitons la galerie marchande.

Nous nous rendons ensuite à la bibliothèque de la ville.

La bibliothèque est en libre accès.

Dehors, nous faisons connaissance avec un chien magnifique.

Un restaurant de sushis est même présent dans la ville.

Nous retournons au supermarché pour acheter quelques provisions.

A midi, nous mangeons dans un restaurant local.

Nous avons rendez-vous avec Susanna de l’office du tourisme qui accepte de nous faire visiter les alentours de la ville.

Nous prenons avec nous deux auto-stoppeurs qui se dirigent vers le camping de l’île, duquel ils partiront en canoë découvrir les alentours.

Nous déposons nos deux campeurs ; nous continuons notre route vers l’Est.

Nous croisons quelques petites maisons ; chacune d’entre elles vaut près de 100 000 euros ; le gouvernement a interdit d’autres constructions ; seuls les chalets existants peuvent se revendre.

Ici, le calme règne en maître.

Nous arrivons au bout du chemin.

Nous visitons le secteur ; normalement, nous devrions avoir en permanence avec nous un fusil pour nous protéger d’éventuels ours polaires, mais nous l’avons oublié en ville ; il nous faut être prudents.

Nous profitons de chaque instant en cette place.

La vue est magnifique.

Il est temps pour nous de repartir.

Nous faisons une halte pour faire la connaissance d’un habitant local.

Nous reprenons ensuite la route vers le grenier à grain du monde.

Il nous faut monter dans les hauteurs de l’île.

Le grenier à grain est une place dans laquelle sont stockées toutes les graines végétales de la planète ; situées en sous-sol, les graines seraient même protégées en cas d’attaque nucléaire.

Nous décidons de nous rendre vers l’Ouest.

Nous retraversons la banlieue de Longyearbyen.

Nous nous arrêtons dans un chenil à la sortie de la ville.

Nous avons la chance de partager un moment de tendresse avec les chiens polaires.

Ces derniers sont fougueux et joueurs.

Mais ces animaux sont d’une générosité rare.

Nous nous régalons.

Les chiens sentant que nous sommes étrangers veulent tous nous approcher.

Il est temps pour nous de continuer notre route vers l’Ouest.

Nous devons rejoindre une mine qui se trouve dans les hauteurs.

Nous nous garons ; le froid est tenace.

Mais la vue est unique.

Nous repartons après une heure passée en hauteur.

Sur la route, nous nous arrêtons pour admirer les chiens de traineaux.

Nous retournons dans la capitale afin de visiter le musée national.

Nous entrons dans le musée national ; l’entrée coûte un peu moins de dix euros.

Après avoir regardé de nombreux panneaux, la visite peut commencer.

Le musée est intéressant.

Il permet d’en connaître davantage sur l’archipel.

Nous décidons de gouter à la nourriture japonaise.

Ayant encore faim, nous nous rendons dans un autre restaurant.

Nous commandons une bonne pizza.

Nous continuons notre visite de la ville.

Tard dans la nuit, après nous être reposés dans notre hôtel, Susanna nous emmène jusqu’à l’aéroport.

Ce dernier est encore fermé ; nous patientons dans l’entrée.

Nous assistons à l’ouverture de l’aéroport.

Avant que l’aéroport soit opérationnel, nous avons le temps de faire une petite balade.

Des bus font la navette entre l’aéroport et la ville plusieurs fois par jour.

Le personnel de l’aéroport arrive vers deux heures du matin.

Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages.

Nous passons rapidement les contrôles de sécurité.

Nous embarquons.

Nous quittons le Svalbard.