Attention, ce récit photographique n’est pas un article, mais une photothèque qui reprend de manière chronologique l’intégralité de notre découverte de la Guyane française, un département français qui se situe en Amérique du Sud.

Pour découvrir la première partie de notre séjour en Guyane française, n’hésitez pas à vous rendre sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/guyane-francaise-partie-1-2-de-cayenne-a-kourou/

Alors que nous venons de nous installer à l’hôtel des Roches, nous prenons le temps de nous baigner.

Nous prenons ensuite la route vers la ville de Kourou afin de manger au restaurant : le mille pâtes qui se trouve 11, Avenue de Prefontaine, Kourou, Guyane française ; les réservations peuvent se faire au 00 594 594 32 32 13 ou sur le https://www.millepates-guyane.com/reservation

Le restaurant qui fait partie d’une chaîne se trouve dans le bowling de la ville.

Les plats que nous commandons sont de bonne qualité.

Nous passons la nuit à nous reposer à l’hôtel des Roches.

Le lendemain, de bonne heure, nous arpentons les plages qui font face à l’hôtel.

Les plages sont magnifiques.

Nous rejoignons le restaurant de l’hôtel.

Nous prenons un solide petit-déjeuner. Nous digérons en continuant notre découverte de l’hôtel.

Nous prenons la route vers l’embarcadère qui nous permet de rejoindre les îles du Salut.

Nous embarquons avec la compagnie Promaritime Guyane ; l’embarcadère se trouve dans le vieux bourg de la ville,  au lieu dit embarcadère des Balourous ; le siège social de l’entreprise se trouve quant à lui au centre Commercial Katoury, 16 Rocade de Zéphir, Cayenne 97300, Guyane française ; il est joignable au 00 594 594 28 42 36 ou sur le site https://www.promaritimeguyane.fr/

L’aller et le retour coûtent 45 euros par personne ; le bateau met 1 h 30 pour rejoindre l’île royale. Trois îles constituent les îles du Salut, mais seules deux d’entre elles peuvent être visitées : l’île royale sur laquelle le débarquement se fait ainsi que l’île Saint Joseph.

Nous rejoignons le bateau.

Nous embarquons.

Nous quittons la terre ferme.

Le vent caresse nos cheveux.

Les passagers s’occupent comme ils peuvent.

Les îles se rapprochent.

Nous pouvons apercevoir l’île Royale et l’île Saint-Joseph qui se trouve sur la droite.

Nous admirons l’île Saint Joseph.

Mais le débarquement se fait sur l’île Royale.

Alors que nous débarquons sur l’île royale, nous avons la chance de faire la rencontre d’un plaisancier qui accepte de nous emmener sur l’île Saint Joseph.

Nous embarquons sur un petit bateau.

Nous débarquons alors que des enfants se baignent.

L’île Saint Joseph est l’île la mieux préservée et la plus authentique.

Nous suivons le seul chemin de l’île.

A un moment, nous tournons à droite pour rejoindre le bagne qui a gardé toute son authenticité.

Nous sommes seuls face à la dureté de l’histoire.

Le bagne de Saint Joseph n’a pas été réhabilité.

Durant près d’une heure, nous découvrons l’histoire et les vestiges du bagne.

Nous retournons sur le chemin.

Nous découvrons une plage magnifique.

Sur le chemin, nous visitons le cimetière de l’île.

L’endroit est bien conservé.

Nous retournons à l’embarcadère.

Notre capitaine nous emmène sur l’île royale.

De l’océan, l’île ressemble à un paradis.

Nous débarquons.

Nous rejoignons le chemin de l’île qui nous mène vers le sommet sur lequel a été construit une auberge ainsi qu’un restaurant.

Sous un soleil de plomb, nous commençons notre ascension.

Le bagne de l’île Royale a été réhabilité par les autorités.

Mais le bagne dans son ensemble se trouve au sommet, là où a été construit l’auberge.

Après vingt minutes de marche, nous parvenons au sommet.

Immédiatement, nous nous rendons au restaurant où un buffet est proposé pour la somme de 29 euros.

Du restaurant, nous avons une vue sur l’île du diable qui a réceptionné Alfred Dreyfus.

Nous profitons de ce moment de détente.

Nous faisons la connaissance de serge Collin, le guide officiel de la mémoire du bagne.

En sa compagnie, nous visitons les vestiges du bagne, qui à la différence de l’île Saint Joseph ont été totalement réaménagés.

Nous visitons l’église.

Nous continuons notre découverte des lieux.

Le soleil est agréable.

Nous nous rendons dans les cellules.

Nous retournons à l’auberge.

Un paon nous attend.

Nous décidons de rejoindre la jetée abritée qui se trouve en contrebas. Il s’agit d’un endroit dans lequel les gens se baignent, mais le site n’est pas aménagé ni sécurisé.

Nous nous baignons.

Juste avant de partir, nous faisons la connaissance d’un pêcheur.

L’océan est déchaîné.

A 18 heures, le bateau doit nous emmener à Kourou ; étant donné qu’il y a deux retours : 15 heures et 18 heures, nous ne devons pas louper ce départ, sous peine de devoir rester sur l’île.

En attendant le bateau, nous assistons à un magnifique coucher de soleil.

Des bateaux privatifs font la navette entre l’île et Kourou.

Nous pouvons quitter l’île royale.

Nous nous rendons immédiatement au restaurant de l’hôtel des roches.

Le repas que nous commandons est succulent.

Le lendemain matin, après une courte nuit, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous quittons l’hôtel des Roches pour vivre une immersion dans la forêt guyanaise. Pour ce faire, nous rejoignons le camp amérindien visité durant le début de notre séjour, camp que nous devons dépasser pour rejoindre le parking de l’embarcadère. Nous avons réservé notre séjour de deux jours dans la jungle avec une association méritante et professionnelle : l’association Papakai, qui est géré par les saramacas, une éthnie du territoire qui fait partie de la culture des Bushinengue.

L’association est joignable sur le site : https://asso-papakai.com Nous arrivons à l’embarcadère dans lequel attendent de nombreux touristes ; plusieurs camps accueillent les touristes.

Nous rejoignons le fleuve Kourou dans lequel des mouvements incessants montrent la frénésie des lieux.

Nous faisons connaissance avec les touristes qui vont nous accompagner.

Nous sommes rejoints par des danseuses Saramacas.

Nous sommes appelés à l’embarquement.

Nous pouvons enfin partir pour 3 heures de pirogue, le camp de l’association proposant le concept le plus immersif dans la forêt guyanaise.

Etant donné que le niveau de l’eau est bas, nous devons circuler plus doucement.

A plusieurs reprises, nous sommes obligés de ralentir.

Certains passages sont difficiles.

Après une heure de pirogue, nous faisons une halte sur la berge.

Nous repartons après un arrêt pipi.

Le trajet est agréable.

Nous arrivons enfin à destination.

Nous découvrons le camp Saut Léodate.

Nous sommes placés dans carbet au fond du camp ; nous demandons un matelas que Sonia, la gérante nous offre, alors que la majorité des couchages sont des hamacs.

Nous rejoignons les cuisines.

Ainsi que le restaurant.

Un verre de bienvenue nous est offert.

En attendant le repas, certains se donnent à des activités diverses.

Nous sommes appelés pour manger.

Après le repas, nous décidons de nous baigner.

D’autres invités décident quant à eux de faire du canoë.

Nous retournons dans le camp où de l’eau est chauffée avec des plantes de la forêt. Un bain revigorant est proposé aux clients.

Sonia nous accompagne pour une balade dans la forêt guyanaise.

Un guide saramaca nous accompagne et nous explique les spécificités de la forêt.

Nous nous enfonçons dans la forêt.

En retournant au camp, nous assistons à une danse saramaca.

Pendant ce temps, la préparation pour le bain se termine.

Nous pouvons utiliser le temps qui nous reste avant le repas du soir comme bon nous semble.

Nous rejoignons les autres invités pour un repas en groupe.

La soirée festive débute après le repas.

Nous rejoignons notre carbet tard dans la nuit.

Le lendemain matin, alors que le camp est désert, nous rejoignons le petit-déjeuner.

Nous sommes appelés à l’embarquement.

Après deux heures de trajet, nous sommes débarqués. Nous rejoignons l’hôtel des roches pour prendre un bon café.

Un moment de détente nous fait du bien.

Nous prenons la route ensuite vers Cayenne.

Sur la route, nous mangeons dans un petit restaurant.

Nous effectuons quelques achats.

Nous prenons la route vers Roura.

Nous entrons dans la ville.

Nous rejoignons le restaurant de Wayki village, qui propose de belles balades en pirogue ; l’agence peut être contactée sur son site Internet : http://www.waykivillage.fr/ ou sur le  05 94 28 01 04 ; un email peut être également envoyé au waykivillage@orange.fr

De Roura, nous prenons la route pour nous rendre aux marais de Kaw.

Nous arrivons à l’embarcadère ; pour filmer en toute tranquillité, nous avons effectué une demande de tournage à la DEAL qui nous a répondu positivement près de deux semaines plus tard. Pour effectuer notre séjour dans les marais, qui représentent une zone protégée, nous avons fait appel à la société JAL voyages, qui se trouve 26 avenue du Général de Gaulle, Cayenne 97300, Guyane française ; l’agence peut être contactée au 00 594 594 31 68 20 ou sur le http://jal-voyages.com

Nous rejoignons l’embarcadère.

Nous pénétrons dans les marais.

Le site est un paradis pour les oiseaux.

Nous en profitons pleinement.

Deux prestataires sont en mesure d’accueillir les visiteurs dans des équipements insolites et  flottant.

Des touristes patientent pour observer l’oiseau rare qu’ils pourront photographier.

Il faut trente minutes de pirogue pour rejoindre l’habitation flottante proposée par JAL voyages, ce prestataire étant qualitatif.

Alors que nous nous trouvons toujours sur la pirogue, nous assistons à un coucher de soleil flamboyant.

Les couleurs explosent dans le ciel.

Nous arrivons à l’habitation.

Nous découvrons notre table.

Nous nous trouvons au coeur des marais.

Nous sommes appelés pour manger.

Alors que les touristes sont invités à effectuer une découverte de nuit des caïmans, nous préférons rejoindre la seule suite qui nous a été attribuée.

Nous en profitons pour nous détendre.

La suite se trouve au sommet du lodge.

Mis à part la suite, l’habitation flottante est constituée de petites chambres et de hamacs.

Après une merveilleuse nuit, nous nous réveillons entourés par une brume épaisse.

Nous en profitons pour prendre notre petit-déjeuner.

Nous quittons les marais de Kaw.

Nous profitons du retour pour observer les oiseaux, bien plus nombreux à l’aube qu’en soirée.

A nouveau, trente minutes de pirogue sont nécessaires pour retourner à l’embarcadère.

Nous prenons la route vers la ville de Roura.

Nous décidons de visiter le camp Roura, appelé également Lodge Oyack qui appartient également à JAL voyages. Le camp se trouve aux bords de l’Oyack ROURA, 97311, Guyane française ; ls réservations peuvent se faire au 00 594 594 31 68 20.

Nous visitons un pavillon.

Les pavillons sont nichés dans un écrin de verdure.

Une petite voiturette est mise à disposition des usagers. Tout comme des vélos électriques.

Nous prenons ensuite la route vers Cayenne.

Nous faisons un arrêt dans une boulangerie locale.

Nous rejoignons notre hôtel : l’hôtel Montjoyeux Les vagues, que nous avons réservé pour une journée, afin de nous détendre avant notre départ du soir. L’hôtel se trouve au Chemin Grant, Cayenne 97300 ; il est joignable au 05 94 30 20 20 ou sur le site Internet : http://www.montjoyeuxlesvagues.com

Nous visitons en premier l’hôtel.

L’hôtel se trouve face à l’océan.

Nous profitons un peu de la piscine.

Puis, nous découvrons notre chambre.

Ainsi que la suite de l’hôtel.

Nous n’avons pas le temps de nous reposer que nous rejoignons le restaurant Le Cosy, dans lequel nous avons un rendez-vous professionnel avec Alex Bathilde,le Directeur des Services du Comité du Tourisme de la Guyane.

Le restaurant se trouve  29 rue Docteur Gabriel Devèze, dans le centre de Cayenne.

Les plats commandés sont excellents.

Nous passons un agréable moment et terminons ainsi notre découverte de la Guyane.