Le road trip en van aménagé : une liberté totale

Si les voyages en caravanes et en camping-cars possédant leurs propres logistiques furent longtemps l’apanage d’une niche de vacanciers, force est de constater qu’ils séduisent de plus en plus de conducteurs qui en apprécient la liberté offerte de pouvoir se mouvoir à leur guise en totale autonomie. Mais depuis quelques années, ces véhicules se voient concurrencer ou du moins, compléter par des vans ou fourgons aménagés, qui présentent l’avantage ergonomique d’être moins soumis aux contraintes d’une taille imposante limitant leur circulation sur des axes routiers principaux. Une sorte de fusion parfaite entre un véhicule léger et une maison.

D’une manière générale, deux types de voyageurs existent. D’un côté, les voyageurs qui sans prendre en considération leur moyen de transport, vont avoir tendance à se diriger vers des restaurants pour se restaurer et des locations temporaires pour dormir. Que ce soit dans leur pays d’habitation ou à l’étranger, ils s’adressent à des professionnels pour satisfaire leurs besoins et doivent dans ce cas de figure, outre les rémunérer pour les prestations effectuées, les trouver, ce qui nécessite en amont, un travail préparatoire ou du moins une recherche fugace.

De l’autre, se trouvent les voyageurs qui choisissent la liberté comme étendard de leur voyage. Ces voyageurs sont adeptes des camping-cars, des caravanes ou des vans aménagés. Totalement indépendants, ils effectuent un peu comme à leur habitude quotidienne, leurs achats dans des supermarchés, provisions qu’ils stockent dans leur véhicule. Pour le repos, situation identique, puisque ces véhicules qui contiennent leur couchage leur évite d’avoir besoin d’effectuer la réservation d’une chambre d’hôtel ou d’un appartement.

En plus, ils peuvent choisir réellement l’endroit dans lequel ils souhaitent s’établir pour une ou plusieurs nuits, ce qui leur offre outre les économies substantielles réalisées, une véritable possibilité de se coucher dans des endroits sauvages, à la nature luxuriante, totalement coupés du monde.

Néanmoins, en ce qui concerne les camping-cars et les caravanes, une problématique nécessite une attention particulière : l’obligation de ne pas pouvoir emprunter certaines routes interdites à leur circulation, voire l’obligation de séjourner dans des endroits définis par la réglementation. Problèmes que ne possèdent pas les vanlifers, puisqu’ils conduisent des véhicules utilitaires ou fourgons classiques, qui ne sont pas soumis à ces réglementations. Qui plus est, ces vans aménagés n’étant majoritairement pas dotés d’évacuations d’eau, ils n’ont pas besoin de se raccorder aux réseaux, ni de vider leurs sanitaires.

1. Le van ou fourgon aménagé, une catégorie particulière de véhicule

Existant depuis plus de 70 ans et ayant pour ancêtres les premiers combi Volswagen, le van aménagé conduit par des vanlifers, sans en avoir porté forcément ce nom générique constitué en traduction littéraire de van et de life, autrement dit : de gens vivant dans un van, a subi un tournant dans les années 2000 avec sa généralisation. Moins contraignants qu’un camping-car et plus autonomes qu’une voiture, les vans ou fourgons aménagés se sont progressivement démocratisés pour toucher un public exponentiellement plus large.

Dans les dernières tendances, près d’1 Français sur 3 avait ainsi pour projet de passer à la vanlife, la majorité pour atteindre une vie plus libre (40%) et près de 25 % pour des raisons purement économiques.

Donnant ainsi concomitamment la possibilité à leur conducteur d’être campeur et voyageur, le van aménagé a pour avantage de donner à son conducteur d’être libre de se déplacer selon ses envies et de ne pas être obligé de rechercher un restaurant ou un hôtel dans lequel passer la nuit. Ce qui signifie également optimiser ses dépenses, puisque le véhicule possédant le couchage et une petite cuisine dans laquelle se nourrir, il permet de satisfaire les postes fondamentaux les plus dispendieux d’un voyage.

Il convient de le préciser : les camping-cars ou les caravanes offrent ces mêmes possibilités. A la différence près qu’ils présentent l’inconvénient dans un premier temps d’être limités dans leur utilisation, pouvant être soumis à une circulation sur des axes réservés, dans un second temps, de ne pas pouvoir stationner partout au travers de l’augmentation des restrictions de stationnement décidées par les municipalités et dans un troisième temps, d’être plus onéreux aussi bien au travers de la consommation de carburant ou dans le paiement des péages.

Le van aménagé est un peu un passe-partout routier qui se fond dans son environnement. Un véhicule qui de l’extérieur laisse à penser qu’il n’est que ce qu’il est. Toutefois, cette spécificité va de pair avec un autre attrait apprécié des vanlifers : le minimalisme et l’écartement d’un consumérisme de masse. On ne garde que ce dont on a vraiment besoin. L’espace à l’intérieur est bien trop petit pour que l’on s’encombre d’objets matériels superficiels ou de bagages personnels.

Si certains sportifs : surfeurs, randonneurs, cyclistes, l’utilisent lors de leurs excursions et si minoritairement, des conducteurs l’ont choisi pour habitation principale, la majeure partie des adeptes le choisissent et adoptent ce style de vie pendant un temps restreint, en transformant ce moyen de déplacement en véritable maison roulante pour leurs vacances, cette recherche d’indépendance étant couplée depuis 2020 à une obligation de limiter les contacts avec d’autres personnes du fait de la pandémie de Covid 19.

2.Les vans aménagés, des véhicules soumis à une réglementation stricte

Un van ou un fourgon sont considérés de manière générale comme des véhicules utilitaires ou des camionnettes soumis cependant à une réglementation particulière lorsqu’ils sont aménagés. Cette réglementation va différer selon que le véhicule sera ou non homologué.

Un van aménagé est non homologué lorsque l’aménagement réalisé à l’intérieur est démontable en peu de temps. Aucun système de gaz n’est installé et aucune modification majeure n’a été apportée sur la structure du véhicule. Dans ce cas, il n’est pas obligatoire d’homologuer ce véhicule. Il conserve donc sa carte grise initiale.

Quand le van est aménagé avec un compartiment habitable composé d’éléments inamovibles, il doit obligatoirement être homologué et être immatriculé avec la mention « véhicule automobile spécifique », autocaravane de PTAC inférieur ou égal à 3,5 tonnes. Sans cette homologation, ces véhicules aménagés de manière permanente sont refusés au nouveau contrôle technique.

Pour homologuer un van aménagé, une procédure complexe existe. Dans un premier temps, il est nécessaire de remplir le dossier : « Fiche de constitution d’un dossier de Réception à Titre Isolé de véhicule en application du Code de la Route : Aménagement en auto-caravane » sur le site de la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL). Une fois le dossier constitué, le véhicule devra être présenté à un professionnel qui se chargera de vérifier que les normes sont parfaitement respectées.

Un professionnel Qualigaz ou issu du bureau Veritas inspectera quant à lui les branchements gaz si le véhicule en possède. Enfin, l’inspection par la DREAL permettra de finaliser l’homologation, condition sine qua none pour obtenir la carte grise du véhicule après acquittement des taxes inhérentes à son établissement permettant sa circulation.

Ces démarches coûteuses, puisque intégrant le prix du véhicule initial sont possiblement évitables lors d’une location, puisque toutes ces démarches ont été effectuées par le loueur. Plusieurs compagnies se sont positionnées sur ce marché depuis quelques années, mais de l’avis général, Evasia semble se positionner parmi les plus qualitatives et les plus performantes, une compagnie qui permet de louer nombre de véhicules dédiés au voyage en liberté : camping-cars ou vans aménagés. Grâce à leur site ergonomique et facile d’accès, il est possible de louer un van pour 4 personnes chez Evasia.

3.La découverte du van : un Ford Transit Custom Nugget

Alors que nous avons toujours pris l’habitude de voyager, à l’instar de nombreux vacanciers, avec un véhicule léger et indéniablement, effectués les locations d’hébergement au travers de moyens dits conventionnels, devant la frénésie ressentie par les utilisateurs de camping-cars ou de vans aménagés, nous avons voulu nous aussi connaître, voire tester ce moyen de locomotion.

Par chance, au sein de nos relations, un ami à nous, véritable afficionado de ce mode de villégiature nous avait déjà proposé de nous prêter son véhicule : un Ford Transit Custom Nugget, développé en partenariat avec le spécialiste allemand du camping-car et de la caravane Westfalia.

Résidant à moins de 50 kilomètres de son lieu de domicile, nous nous rendons chez lui et durant un barbecue organisé en notre faveur, il nous remet les clefs de son engin : le Nugget compact, un véhicule de 182 chevaux qui dispose d’un peu moins de rangement que son grand frère : le  Nugget Plus.

Prévu pour quatre personnes et propulsé par un moteur diesel de pointe Ford EcoBlue de 2,0 litres, le van est selon lui : « idéal pour tous les projets de voyage » De primes abords, en le découvrant au travers de son blanc immaculé, il ne nous semble pas si différent des fourgons professionnels utilisés par les artisans pour se rendre sur leur chantier. Mais, en ouvrant la porte latérale qui coulisse, nous découvrons avec stupeur un environnement dont nous n’aurions jamais soupçonné l’existence :  1 lit double formé à partir des sièges avant réversibles, 1 coin salon avec une table à manger pliable, 1 toit ouverture avec un second lit double, 1 cuisine en L séparé de la zone de couchage, 1 réfrigérateur, 1 cuisinière à gaz de 2 plaques, des espaces de rangement et une sorte de petite douchette qui se prend à l’extérieur avec un réservoir d’une capacité de 42 litres. Néanmoins, avec moins de 10 degrés en température moyenne en ce mois de mars assez frais, il s’agit d’une fonctionnalité que nous n’utiliserons pas durant les 3 jours de notre road-trip qui nous emmènera dans les Vosges, un département montagnard proche.

Avant de nous laisser partir, les yeux un peu anxieux, il nous explique que nous disposons d’une multitude de prises qu’il a lui-même rajouté afin de brancher nos appareils.

4.Les premières impressions concernant le van

Immédiatement en domptant la bête, les premières sensations m’envahissent. Le véhicule est agréable, un peu comme une camionnette ou un fourgon classique. Les commandes répondent facilement et je me sens au volant comme un escargot qui transporte sa coquille sur le dos.

Les enfants bien attachés à l’arrière, je prends la route de la maison afin de récupérer les affaires nécessaires pour ce petit road trip au cœur des Vosges. En roulant, les yeux attentifs rivés sur la route, les quelques mouvements de la vaisselle dans leurs armoires me stressent, la peur d’effectuer une fausse manœuvre qui tel un tremblement de terre verrait l’intégralité de notre habitation à la renverse. Mais cette peur n’est qu’une sensation ; rien ne bouge réellement, solidement placé dans son compartiment.

Après quelques kilomètres, mon stress retombe ; je me détends et je me prends même à me galvaniser sur ma conduite, une sorte d’autosatisfaction qui enjoue le corps et l’âme lorsqu’une maîtrise d’un élément nouveau apparaît dans son existence.

Arrivés à la maison, nous prenons nos valises, ainsi qu’un peu de nourritures. Mais, à peine les valises posées dans le van que nous prenons conscience de la nécessaire organisation d’une vie à quatre, réduite dans quelques mètres carrés. Il nous faut déposer le superflu, soit près de 80 % de nos bagages, sous peine de ne pas parvenir à emporter avec nous le café.

Finalement, après une heure de rangement en Tetris et de tergiversations en tout genre avec les enfants pour qu’ils se délestent d’une grande partie de leurs affaires, l’heure du départ sonne.

5.Le Road trip en van

  1. Le départ et la première nuit dans le van

Rasséréné par le premier trajet effectué, je me lance vers notre première grande aventure en van aménagé…ou du moins, de la première tout simplement dans ce type de véhicule. Alors que les enfants regardent leur tablette numérique, je me concentre sur la route et me détend, les chansons diffusées à la radio accompagnant mes pensées.

Volontairement, nous tentons de faire de notre trajet, une part entière de notre séjour. Pour cette raison, nous n’empruntons pas les grands axes : routes nationales et autoroutes, pour nous focaliser sur les départementales et les communales essentiellement.

Après deux heures de conduite, nous décidons de faire une pause. Nous nous garons sur un petit parking et nous nous préparons un café avec la machine emmenée pour l’occasion. Dehors, il fait un peu froid, mais l’air extérieur nous fait du bien. Les enfants se détendent et de notre côté, nous en profitons pour visualiser le reste de la route et la centaine de kilomètres qu’il nous reste à parcourir.

Alors que le décor change et blanchit, nous entrons dans le département des Vosges et prenons la direction d’un petit lac dont nous venons d’apercevoir le panneau à moitié illisible. Arrivés sur place, la nature ambiante nous appelle de tout son être et nous décidons sans attendre, de nous y installer pour la nuit.

Le côté positif avec le van aménagé : sa facilité de stationnement, adaptable à tout endroit et bien moins visible qu’un camping-car aux dimensions supérieures. Assis à la table qui se trouve dans la pièce à vivre, je regarde par la fenêtre et nous imagine bien ne plus rentrer à la maison et retrouver le confort de notre habitation, mais également tout le stress et les obligations qui en découlent : charges, impôts locaux, entretien…pour ne citer qu’eux.

Le côté positif avec la vanlife est de pouvoir changer d’emplacement tous les soirs, à sa guise. Si, de plus en plus d’applications recensent les endroits où il est légal et gratuit de séjourner la nuit, il y a toujours d’autres solutions pour dormir dans son van. Un chemin forestier, une allée, une place de parking, un jardin…les places ne manquent pas.

Installés confortablement, avec le regard constamment tourné vers l’extérieur pour en admirer la moindre parcelle de blanc qui nous entoure, le repas que nous prenons est sublimé. Si dans l’habitacle, le froid commence à poindre le bout de son nez, c’est bien emmitouflés que nous nous endormons, les enfants ayant souhaité le lit amovible du dessus, une sorte de tourelle avec une vue à près de 180 degrés. Les flocons de neige qui frappent contre la carlingue de notre véhicule aident à nous endormir.

  1. Une journée de découverte en van au cœur des Vosges

Le lendemain matin, après une nuit exquise, nous nous réveillons et humons l’air extérieur ; la neige a cessé de tomber et revigorés par ce sommeil ayant rechargé nos batteries, nous petit-déjeunons, après une toilette rapide essentiellement concentré sur les visages.

J’en profite pour réfléchir sur cette vie à long terme. Si ce modèle d’habitation permet de faire des économies, il nécessite une organisation bien minutieuse ; à la différence d’un camping-car qui comprend un coin sanitaire, effectuer une toilette complète dans un van aménagé requiert des efforts. Néanmoins, en été comme en hivers, quand bien même les températures basses obligent à plus de débrouillardise, de nombreuses solutions existent pour se laver, faire sa lessive et aller aux toilettes.

Pour se laver : douche solaire, gant de toilette et bassines, lingettes pour bébé, douche publique, douche de station, piscine municipale, douche de campings ou au bord d’une rivière, tout dépend de son état d’esprit et de sa capacité d’adaptation.

Pour aller aux toilettes : WC publics, WC de grandes surfaces, de restaurants, de bars ou à l’ancienne, en pleine nature avec une pelle et du PQ.

Pour faire sa lessive : cours d’eau, lavomatiques publics, bassine.

Je m’extirpe de mes pensées, obligé par les enfants qui ne tiennent plus en place et souhaitent découvrir le secteur de La Bresse.

De bonne heure, nous nous rendons à la confiserie Bressaude, une des confiseries les plus réputées de l’Est de la France. Nous avons la chance de pouvoir assister à un atelier de fabrication de bonbons. Avec une minutie et un savoir-faire sans pareil, l’employé tend et détend une pâte qui progressivement se durcit. Avant de la placer dans une sorte d’appareil de tortures qui qui lui donne sa forme finale. Nous passons un long moment dans le magasin de la confiserie, afin de procéder à des achats purement maîtrisés…Non, en réalité, nous achetons tout ce que nous voyons et nous achetons tant que nous avons des difficultés à stocker les sachets dans le van…et des complications à expliquer à notre banquier pourquoi nous venons de dépenser un quasi Smig  dans des bonbons. Enfin, nous ne vivons qu’une fois !

Quelques kilomètres plus loin, nous nous rendons dans un élevage de lama, le seul et l’unique du département…et je dirai même…d’un peu plus loin. Les enfants peuvent, sous la tutelle du propriétaire, un homme charmant d’une cinquantaine d’années, les caresser, ce qui les amuse fortement. En ce qui nous concerne, réminiscences obliges, nous nous en méfions. Dans un des épisodes de : « Tintin », nous nous souvenons encore du crachat assumé qu’un de ces animaux avait lancé violemment au visage du Capitaine Hadock…et les noms d’oiseaux qui en avaient découlé.

A midi, nous décidons de nous arrêter aux abords d’un champ, afin de déjeuner. Cette liberté totale de nos mouvements est vraiment appréciable. Plus besoin de rechercher un restaurant.  Chaque instant de la journée est différent du précédent.

En outre, nous commençons à prendre nos aises et des réflexes de vie apparaissent. Il nous suffit simplement de bien organiser notre espace et de prendre notre temps.

Tout compte fait, il nous serait agréable de vivre dans un van aménagé. Travailler en tant que saisonnier, photographe, Web designer ou nomade digital, nombre sont les métiers qui existent pour autofinancer son existence et la rendre mémorable.

Dans l’après-midi, après une petite sieste, nous rejoignons la station de ski du secteur, afin de nous aérer et de nous oxygéner aussi bien le corps que l’esprit.

Nous grimpons tous sur un télésiège et pouvons nous adonner à une découverte du domaine. Une journée bien riche qui comprend son lot de surprises et d’ébahissements. Une vie de vanlifer en somme.

  1. Dernière nuit dans le van et fin du road trip

En début de soirée, alors que nous circulons sur des petites routes de campagne, nous stationnons aux abords d’une ferme qui semble abandonnée. De légers flocons commencent à tomber et tandis que nous préparons le repas, les enfants peuvent en profiter pour courir en totale liberté.

Une fois le repas terminé : des pâtes à la bolognaise et en dessert, une douceur fromagère à base de munster achetée le matin-même, un peu à l’instar de la veille, nous en profitons pour admirer la nature dans toute sa splendeur. La température extérieure étant négative, nous effectuons une toilette rapide et nous nous endormons rapidement.

Le lendemain matin, après une légère grasse matinée, nous levons le camp et prenons la route du retour. Le road trip se termine alors que nous laissons derrière nous les sommets enneigés des Vosges et le regret que ce voyage soit si court.

Conclusion

Pour la première fois de notre vie, conduire un van aménagé nous a permis de goûter à notre tour à ce sentiment total de liberté. Bénéficier ainsi d’une mobilité et d’une flexibilité quant au choix de la destination, économiser de l’argent tout en vivant agréablement et nous retrouver dans des endroits coupés du monde.

Mais au-delà de ces considérations plus pratiques, quel enivrement de pouvoir nous réveiller avec une vue imprenable et incroyable sur une nature sauvage environnante, un réveil du bon pied, rendu possible par ce mode de déplacement qui nous a permis d’en profiter pleinement de manière optimale.

Néanmoins, le choix du véhicule dans ce mode de vacances est essentiel ; si vous n’êtes pas bricoleurs et si vous souhaitez simplement bénéficier d’un van quelques semaines par an ou lors d’occasions spécifiques, la location reste la formule la plus adaptée. Ainsi, parmi les sites ou compagnies spécialisées dans ce domaine, Evasia possède une longueur d’avance. En plus de pratiquer des prix raisonnables, la compagnie offre toute l’assistance requise. Le site ergonomique est facilement accessible et en un clic, la location du van sera à portée de main. Le début d’un road trip en France ou en Europe qui s’avèrera inoubliable. Toute la magie du van aménagé.