En provenance du Koweit, nous prenons un vol vers le sultanat de Bahrein.
Le vol qui s’effectue avec la compagnie Jazeera coûte 120 euros et dure 1 heure.
L’avion presque vide est secoué de toutes parts durant le vol.
Après avoir atterri, nous rejoignons l’aéroport ; en tant que Français, le visa se fait directement au poste de l’immigration.
Nous remplissons la carte d’embarquement et contrairement à ce que nous avons appris avant de poser nos pieds sur le sol, le visa est de 60 euros par personne.
Nous récupérons nos bagages et passons les contrôles de sécurité.
A l’extérieur, nous cherchons notre loueur, qui ne possède pas d’agence fixe ; il s’agit de la compagnie Budget, qui propose les tarifs les moins chers de tout l’aéroport.
Pour faire appeler notre loueur, nous nous adressons à la compagnie Dadabhai travel qui se trouve dans le hall d’arrivée.
En compagnie du loueur, nous rejoignons l’extérieur de l’aéroport.
Nous nous dirigeons ensuite vers notre hôtel Eiffel qui se trouve dans une tour : Eiffel tower. Il propose les prix les plus compétitifs du pays, un peu moins de 50 euros la nuit.
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers le centre ville.
La pluie qui est tombée la nuit durant rend certaines routes impraticables.
Nous rejoignons la corniche de la ville.
Nous garons notre véhicule à proximité.
Nous avons une vue splendide sur le quartier des affaires de la ville.
Nous nous dirigeons ensuite vers la ville de Al Muharraq.
La ville plus traditionnelle est située à moins de 20 minutes de la capitale.
Nous garons notre voiture pour rejoindre à pied le souk.
Les vendeurs sont déjà à l’oeuvre.
Le souk est situé dans de nombreuses petites ruelles.
Les gens sont tous chaleureux.
Nous nous enfonçons dans la ville.
Nous reprenons notre voiture en direction du port de la ville.
En attendant, nous en profitons pour découvrir la ville.
Les bâtiments sont anciens.
Nous croisons de nombreux étrangers, essentiellement du Bangladesh et de l’Inde.
La ville est assez grande.
Après une demi-heure de chemins sinueux, nous parvenons jusqu’au port.
De nombreux pêcheurs sont des chercheurs de perles.
Nous faisons connaissance avec Rachid, un pêcheur qui accepte de nous prendre à bord.
Il nous explique que le pays s’est fait une spécialité de la recherche de perles blanches.
Les bateaux dans le port sont nombreux.
Ils sont magnifiques et traditionnels.
La pêche est une des activités principales du pays.
Après plus de deux heures de balade, nous retournons à quai.
Nous saluons chaleureusement notre hôte et continuons de découvrir le port et ses nombreuses activités.
Nous prenons ensuite la direction du fort Arad.
Nous en profitons pour nous arrêter quelques instants pour déguster une légère collation.
Nous continuons notre route.
Pour admirer le fort en toute tranquillité, la meilleure solution consiste à se garer au centre commercial : le Seef mall situé à proximité ; le parking est gratuit et il permet en outre d’effectuer une belle visite de l’intérieur.
Toutes les boutiques de luxe sont représentées.
Nous en profitons pour nous restaurer et faire quelques achats.
Nous prenons la sortie principale.
Nous nous retrouvons face au fort.
Nous payons l’entrée du fort : 2 euros par personne.
Peu de touristes, ce qui nous laisse la possibilité d’avoir le fort pour nous.
Le fort est merveilleusement bien entretenu.
Nous ne faisons d’abord le tour.
Puis, nous pénétrons à l’intérieur.
Les murs ont été solidifiés.
Nous pouvons grimper dans les hauteurs.
Nous avons une vue dégagée sur tout le complexe.
L’argent récolté pour les entrées sert à sa restauration.
Les touristes aiment également découvrir la vue sur la ville de Manama, la capitale.
Un appel à la prière résonne.
Nous décidons d’effectuer quelques achats basiques en retournant dans le centre commercial.
Puis, nous prenons la route vers la capitale.
Nous découvrons de belles mosquées.
Nous arrivons aux abords du centre économique.
Nous découvrons le World Trade Center de la ville.
Le quartier est en pleine rénovation.
Les tours rivalisent d’ingéniosité.
Nous décidons de nous rendre dans la construction la plus spectaculaire : le World Trade Center.
Nous garons notre véhicule sur le parking prévu à cet effet.
Les tours sont immenses.
L’intérieur des tours comprend des bureaux et des magasins.
Nous entrons à l’intérieur.
Nous décidons de faire un tour en ville.
Le vieux Manama se dessine devant nous.
Nous garons notre véhicule et parcourons la ville à pied.
Nous entrons à l’intérieur d’une mosquée.
L’imam nous autorise à prendre des photographies.
Les musulmans sont très pieux.
Ils prient cinq fois par jour.
Nous quittons la mosquée et nous nous dirigeons vers Bal Al Bahrein, une sorte de petite ville dans la ville.
La ville comprend également le souk de Manama.
Nous découvrons de petites ruelles fort chaleureuses.
Nous garons notre véhicule et parcourons la ville à pied.
Nous croisons de belles mosquées.
Ainsi que des habitations traditionnelles.
Plusieurs mosquées se trouvent côte à côte.
Nous les visitons.
Nous nous dirigeons vers le centre commercial.
Mais, sur la route, nous nous arrêtons à plusieurs reprises chez des vendeurs sympathiques.
Nous arrivons à une mosquée plus moderne.
Elle semble fermée.
Nous continuons notre découverte du souk.
Les produits sont de qualité.
Nous arrivons au mall, le centre commercial moderne.
Nous pénétrons à l’intérieur.
L’endroit est très touristique.
Nous retournons ensuite à notre voiture.
Nous devons pour cela, retraverser le mall.
Comme dans de nombreux souks, ici tout se vend, même les contrefaçons.
Nous longeons le palais du sultan.
Le lendemain, nous découvrons à nouveau le ville. Des parcs, des mosquées. Vers l’après midi, nous décidons de visiter le site archéologique Qual’at Al Bahrein.
Pour ce faire, nous devons retraverser la ville.
Nous arrivons dans un quartier qui se situe à l’extérieur de la ville.
Le site est désert ; pour le trouver il nous a fallu questionner les habitants du quartier.
L’endroit semble laissé à l’abandon.
L’entrée est gratuite.
Nous le découvrons à notre grès.
En fin d’après midi, nous décidons de nous diriger vers la chaussée du roi Fahd, ou autrement appelé le pont qui mène à l’Arabie Saoudite.
Nous quittons le site et en profitons pour découvrir ce quartier non touristique dans lequel il est situé.
Dans le quartier, point de gratte-ciels, mais des maisons qui arborent fièrement le drapeau islamique ; le quartier semble fortement religieux.
Nous prenons la route ; de nombreux bouchons nous ralentissent.
Nous payons 2 euros et empruntons le pont ; il nous faut bien 20 minutes de route pour rejoindre le poste frontière.
Nous faisons ensuite demi-tour.
Nous retournons vers le Bahrein.
Nous arrivons tard dans la nuit dans le centre ville de Manama.
Nous découvrons la ville de nuit.
Nous arrivons dans une rue commerçante.
Elle comprend de nombreux restaurants.
Nous en essayons plusieurs d’entre eux.
Les marques américaines sont bien représentées.
Nous terminons notre soirée par un restaurant Burger King.
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers la ville de Saar.
Il nous fait une heure pour rejoindre la ville de Saar.
Nous entrons dans une ville plus traditionnelle que Manama.
Les rues sont propres ; pas un papier ne traîne sur le sol.
Nous nous dirigeons vers le site archéologique qui se trouve à l’extérieur de la ville.
Nous garons notre véhicule.
L’entrée du site est gratuite.
Le site est merveilleusement bien conservé.
Nous faisons connaissance avec des archéologues qui restaurent les anciennes fondations de cette ville antique.
Les archéologues nous font partager leur passion pour les pierres anciennes.
Nous pouvons nous balader sur le site à notre guise.
Chaque brèche est colmatée.
Les archéologues nous transmettent leur savoir.
Nous quittons le site.
Nous nous dirigeons vers la ville de Riffa.
Il nous faut une heure de route.
Nous arrivons aux abords de la ville.
Nous prenons la direction du tree of life.
Nous faisons une halte pour nous restaurer.
Nous continuons notre route.
Le tree of life est bien indiqué.
Pour rejoindre, nous devons traverser un site après la ville de Riffa qui comprend de nombreuses usines d’extractions de gaz, de pétrole ainsi que des entreprises diverses ; nous nous trouvons au coeur industriel du pays.
Les photographies sont interdites.
Le décor est sublime.
Nous quittons l’autoroute.
Nous pénétrons dans une sorte de désert.
A l’intérieur, de nombreuses petites cabanes d’ouvriers ou de militaires.
L’arbre de la vie apparaît devant nous.
Nous garons notre véhicule.
L’arbre est surprenant ; il est le seul arbre du désert, et ce depuis plus de 400 ans.
Autour du site, des antennes relais sont construites.
L’arbre semble en pleine santé.
Des enfants arrivent ; la scène est magnifique.
Nous quittons le site.
Nous retournons sur nos pas.
Nous faisons une halte aux abords d’un puit d’extraction de pétrole.
Sur le chemin qui nous mène à Durrat al Bahrein, nous pouvons apercevoir des tuyaux servant à transporter le pétrole.
Nous reprenons l’autoroute en direction du Sud du pays.
Durrat al Bahrein est un îlot privatif de luxe, dans lequel résident des gens fortunés ; son accès est réglementé.
Pour l’admirer en toute tranquillité, il nous faut contourner l’entrée principale.
L’eau claire nous laisse penser à un lagon.
En retournant sur la ville de Riffa, nous avons la chance d’être autorisés à visiter une usine d’extraction de gaz.
La flamme qui brûle continuellement empêche toute explosion.
Le gaz en surplus peut ainsi s’échapper en toute sécurité.
Nous visitons un autre puis de pétrole ; normalement, les photos sont interdites.
Nous nous dirigeons ensuite vers le circuit de Formule 1.
Sur la route, nous mangeons un morceau.
Nous faisons également le plein pour quelques euros.
Nous pénétrons sur le site du circuit.
L’entrée est gratuite ; il existe à certaines heures de la journée, des visites privatives de l’intégralité du parcours.
Le circuit est immense.
Nous découvrons le fonctionnement de cette formidable industrie.
Un bateau à l’extérieur sert de jeux pour les enfants.
Des milliers de personnes peuvent s’asseoir lors des courses.
Le tout, en sécurité totale puisque les filets de métal permettent de servir de bouclier entre la piste et les gradins.
Nous quittons le circuit.
Un peu plus au Nord du complexe, un circuit de karting permet à partir de 16 heures de piloter sur une partie aménagée du site.
En une heure de route, nous nous dirigeons au Parc Adhari.
Le parc est l’un des seuls du pays.
Il égaye les petits et les grands.
De nombreux personnages occidentaux y sont représentés.
L’entrée est gratuite ; seule est payante une carte avec quelques crédits qui permet d’avoir accès aux manèges jusqu’à l’épuisement des dits crédits.
Les manèges sont cependant assez anciens.
Le parc est adapté pour les tout petits.
Nous prenons la route de l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages avec la compagnie British airways.
La sécurité de l’aéroport procède à plusieurs fouilles, se comportant avec excès tout en étant désagréable et sûrs de leur bon droit.
Venir au Bahrein signifie se soumettre à un contrôle précis de ses bagages ; de nombreux biens sont tout bonnement interdits alors que d’autres doivent impérativement être déclarés.
Nous parvenons à passer les contrôles de sécurité sans encombre.
Nous patientons ; de nombreuses femmes portent le voile intégrale.
Paradoxe, alors que les produits de beauté mettant la femme en valeur se vendent comme des petits pains.
Nous sommes appelés à l’embarquement vers le Quatar.
L’aéroport est assez grand pour un pays si petit que le Bahrein.
Nous nous dirigeons vers la port d’embarquement.
Nous avons uniquement le temps de nous restaurer ; nous grimpons ensuite dans l’avion.