En provenance du Guyana, nous entrons au Brésil.
Nous passons les contrôles à la frontière en quelques minutes ; en tant que ressortissant Français, les visas ne sont pas nécessaires. Nous circulons en direction de la ville de Boa Vista. Nous entrons dans la ville tard dans la nuit. Nous faisons quelques courses dans un supermarché.
Nous louons une chambre à l’hôtel Ferrari pour une somme de 50 euros.
Face à nous, nous découvrons une église : l’Assemblée de Dieu ; l’église est assez critiquée dans le pays, car suivant les dires de certains, elle quémande de nombreux dons aux plus pauvres.
Nous quittons la ferveur des croyants pour manger un morceau en pleine rue.
Nous retournons dans l’église ; nous assistons à la transe de certains croyants.
Le lendemain matin, nous prenons un petit déjeuner.
Nous partons ensuite en direction de la frontière avec le Vénézuela.
Mais avant de reprendre la route, nous décidons de visiter la ville de Boa vista.
Nous nous rendons dans un premier temps sur la place centrale.
La place comporte de nombreux monuments.
Nous prenons ensuite la route en direction des berges du fleuve.
Nous pouvons parcourir en ce sens, la ville.
Nous nous garons aux abords du Orla Taumanan, l’entrée du fleuve pour les touristes. Nous découvrons un grand monument.
Nous entrons sur une sorte de Malecon.
Nous avons une vue étendue sur le fleuve.
Nous décidons ensuite de quitter la ville.
Nous faisons le plein du véhicule.
Il nous faut près de 1 heure pour sortir de la ville.
250 kilomètres nous séparent da la ville frontalière : Pacaraima.
Nous rejoignons les territoires du Nord.
Nous traversons plusieurs villages amérindiens.
Nous faisons une halte dans un petit village.
Nous reprenons la route.
Nous en visitons un autre.
Le paysage est intéressant.
La route est de bonne qualité.
Nous nous arrêtons dans un petit village ; nous assistons à la découpe d’une viande encore fraîche.
Puis, juste ne face du boucher artisanal, nous visitons une école amérindienne.
Nous repartons ensuite.
En arrivant dans la ville frontalière, nous tombons en panne ; deux policiers, après nous avoir fouillé décident de nous aider à trouver un garagiste fiable.
Ils nous assistent en prévenant le garagiste qu’il répondra de ses actes devant eux s’il nous arrivait un problème quelconque.
Nus en profitons pour découvrir la ville, lieu de tous les trafics.
Nous quittons le Brésil pour nous rendre vers le Vénézuela.
Après plusieurs jours, nous entrons à nouveau au Brésil en passant la frontière avec le Vénézuela. Nous parvenons à passer la frontière qui était sur le point de fermer en demandant avec insistance à la femme officier de l’immigration ; exceptionnellement, cette dernière nous autorise à entrer dans le bureau, mais nous accorde seulement 10 jours ; nous serons dans l’obligation de faire une demande d’extension à Manaus.
Nous prenons la route vers Boa Vista.
Nous mettons près de 2 heures à rejoindre la ville. Nous dormons dans le même hôtel que nous avions pris lors de notre précédent séjour.
Le lendemain, nous prenons la route en direction de la ville de Manaus.
Nous commençons à pénétrer dans la région de l’Amazonie.
Nous nus dirigeons vers la ville de Manaus.
Nous pénétrons dans la campagne brésilienne.
Nous entrons dans les terres indigènes.
Mais, avant de pénétrer dans cette réserve protégée, nous faisons une halte au monument qui symbolise le passage de l’équateur.
Nous reprenons notre route.
Nous entrons dans la réserve indigène.
La route mesure près de 150 kilomètres.
De nombreux panneaux indiquent une interdiction de s’arrêter ou de prendre des photographies.
En outre, nous devons faire attention aux animaux, nombreux dans le secteur.
Contrairement à ce que nous pensions, l’Amazonie est remplie de marécages.
Nous continuons notre route.
Le décor est magnifique.
La forêt alterne sa place avec les marécages.
Une pluie fine tombe.
Nous faisons une halte sur la route dans une station service.
Nous repartons ensuite.
Nous approchons de la périphérie de Manaus.
Nous entrons dans la ville.
La pluie cesse de tomber.
Nous rejoignons le centre ville.
Nous faisons la connaissance d’un motard, qui décide de nous guider dans cette grande ville.
Nous marquons un arrêt pour assister à une grande fête populaire.
Nous partageons la liesse des habitants, tous accueillants.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel : le park suite hôtel, un 5 étoiles pour la somme de 50 euros la nuit. Un très bon rapport qualité prix.
Nous faisons connaissance d’un ami brésilien avec qui nous partageons un moment de convivialité.
Le soir, à la réception, nous faisons appel à une agence pour nous organiser une excursion dans la jungle. La responsable s’appelle Maristela Arauje ; elle est joignable à la réception de l’hôtel et peut être joint au 0055 92 994181995. Deux types d’excursion existent : une première excursion de plusieurs jours qui donnent la possibilité de découvrir la forêt amazonienne côté Est en circulant sur l’Amazone et une excursion côté Ouest, qui permet en une journée de découvrir les merveilles de l’Amazonie en naviguant sur le Rio Negro. Nous choisissons les 2 excursions ; nous payons 100 euros l’excursion de plusieurs jours dans la jungle et 30 euros l’excursion d’une journée.
Nous prenons un solide petit déjeuner.
Le lendemain matin, nous rejoignons Maristela.
Maristela, qui nous aidera grandement dans notre périple amazonien, nous emmène à l’agence pour laquelle elle est sous-traitante.
Nous traversons une partie de la ville.
Nous nous dirigeons vers la place centrale.
Sur les murs, nous découvrons de nombreux dessins.
Nous arrivons à l’agence ; nous remettons les clefs de notre voiture à Maristela, qui va s’occuper de nous trouver un garage, le temps que nous serons absents. Il faut dire que depuis quelques temps, notre voiture a de plus en plus de mal à rouler ; elle s’arrête de manière intempestive.
Accompagné d’un guide de l’agence, nous nous rendons au port de la ville.
Nous découvrons ainsi de cette manière l’immensité de la ville.
Il nous faut circuler 20 minutes pour rejoindre le port.
Nous rejoignons la périphérie de la ville.
Nous faisons une halte dans un distributeur.
Nous arrivons au port dans lequel nous découvrons un marché aux poissons.
Le poisson qui est vendu provient de la région.
Afin de rejoindre l’Amazonie, il est nécessaire de traverser le fleuve et de passer par la Rencontre des eaux, une des particularités hydrauliques les plus impressionnantes.
Nous sommes appelés à l’embarquement.
Nous embarquons dans un bateau taxi.
Nous naviguons sur les eaux bleues du Rio Négro.
Nous apercevons les eaux sombres de l’Amazone.
Les deux fleuves ayant une densité différente, leur eau ne se mélange pas.
Nous parvenons à prendre une photo dans l’eau du fleuve Amazone.
Le site est remarquable.
Nous rejoignons la berge opposée en traversant l’Amazone.
Le bateau ralentit.
Sur l’autre berge, nous attendons notre chauffeur.
Nous circulons tout d’abord sur une route goudronnée.
Il s’agit de la porte d’entrée dans la forêt amazonienne.
Nous empruntons à présent un chemin de terre.
Nous sommes secoués.
A plusieurs endroits, la route est en mauvais état.
Nous arrivons jusqu’à la fin de la route.
Nous embarquons dans une barque rapide à moteur.
Nous nous dirigeons vers notre lodge.
Le bateau tombe plusieurs fois en panne.
Nous pénétrons au coeur de l’Amazonie.
Nous arrivons à notre lodge.
Nous nous baignons et profitons du fleuve, infesté de piranhas ; mais étant de taille trop petite, ils ne sont pas dangereux.
Nous profitons de la quiétude de l’endroit.
Le lendemain matin, nous nous réveillons au coeur de la forêt amazonienne.
Notre guide nous attend.
Avec lui, nous partons au coeur de l’Amazonie.
L’Amazonie est en réalité très humide.
De nombreux cours d’eau parcourent la forêt.
Nous traversons plusieurs mangroves.
Nous sommes attaqués par les moustiques.
Nous profitons de ce moment.
Le guide décide de nous apprendre à pêcher le piranhas.
Après en avoir attrapé plusieurs, nous partons.
Nous continuons notre découverte des lieux.
Nous découvrons les installations précaires des habitants de la forêt.
Face à nous, un petit cimetière.
Nous nous rendons ensuite dans une épicerie flottante.
Les produits servent à tous les villages alentours.
Mais contrairement à ce que nous pourrions penser, il n’y a pas d’Indiens dans cette partie de la jungle.
Le guide souhaite ensuite nous présenter des singes sauvages.
Nous rentrons au lodge.
Nous assistons à un coucher de soleil magnifique.
Mais, le plus intéressant est d’assister au crépuscule.
Le lendemain, après une journée de farniente, nous sommes appelés le soir pour participer à une chasse aux caïmans.
Nous partons tard dans la nuit.
Nous retournons ensuite dans notre chambre.
Nous nous réveillons, un peu fatigués.
Le guide nous emmène ensuite découvrir la forêt amazonienne.
Après 2 heures de bateau, nous arrivons sur place.
Nous partons pour une excursion qui durera la journée.
Le guide nous apprend à reconnaître les plantes qui peuvent nous donner de l’eau.
Nous mangeons des larves.
Nous rejoignons ensuite un petit village.
Les habitants vivent traditionnellement.
Nous les saluons.
Nous prenons quand même le temps de boire le thé en leur compagnie.
Nous retournons ensuite au lodge.
Un bateau rapide nous emmène ensuite à notre point d’entrée dans l’Amazonie.
Nous attendons notre chauffeur.
Nous retournons à notre point de départ.
Nous reprenons une navette rapide.
Le pilote s’arrête afin de faire le plein.
Nous repassons par la rencontre des eaux, qui se situe à quelques minutes de bateau du port de Manaus.
La rencontre des eaux est toujours aussi impressionnante.
Nous attendons le frère de la responsable de l’agence avec laquelle nous sommes partis en expédition.
Nous prenons un taxi pour nous rendre chez le garagiste à qui elle a confié la voiture.
La voiture n’étant pas terminée, nous devons revenir le surlendemain.
Nous retournons à l’hôtel.
Nous passons une nuit sur place.
Le lendemain, assez tôt, nous sommes récupérés par une autre agence pour la deuxième expédition d’une journée sur les berges du Rio Negro.
Nous retraversons la ville.
Nous nous rendons à présent à un autre embarcadère.
Mais avant tout, nous devons tourner dans le centre ville pour récupérer d’autres membres de l’expédition.
Nous pouvons en profiter pour découvrir un peu plus la ville de Manaus.
Nous arrivons au port.
Il s’agit de l’embarcadère qui permet de naviguer sur le fleuve avec des ferrys qui emmènent les passagers pour plusieurs jours de bateau aux confins du pays.
Nous prenons un bateau rapide à grande contenance.
Nous découvrons de gros tankers.
Nous assistons une nouvelle fois à la rencontre des eaux.
Nous nous rendons ensuite dans un village flottant.
Nous partons ensuite vers le Nord.
Les berges sont habitées par de nombreux locaux.
Nous traversons une sorte de canal.
Nous nous arrêtons dans une ferme aux animaux et pouvons toucher de près des anacondas et des paresseux.
Soudain, l’anaconda s’échappe ; il est tout de même impressionnant.
Nous faisons une nouvelle halte après 15 minutes de bateau.
Nous pouvons découvrir une espèce de parc botanique.
Un singe malicieux s’amuse avec nous.
D’autres de ses congénères arrivent et nous rejoignent.
Nous leur donnons des morceaux de banane remis par les guides.
Nous continuons sur un ponton en bois.
Nous découvrons un paysage typique.
De gros nénuphars ont été regroupés.
Nous découvrons également d’énormes fourmilières.
Nous sommes appelés pour manger.
Les plats sont copieux.
Nous repartons ensuite.
Nous traversons à nouveau le canal emprunté auparavant.
Nous apercevons les côtes de la ville de Manaus.
Nous arrivons à la ferme aux dauphins rose.
Les dauphins rose font parties des espèces protégées ; il est rare de les apercevoir.
Et encore plus rare de pouvoir nager avec eux.
Les touristes sortent ensuite de l’eau.
Nous sommes autorisés à nager seuls avec les dauphins.
Nous remontons sur le bateau pour rejoindre une communauté indienne.
Nous arrivons chez les Indiens.
Le village est aménagé pour les touristes, la communauté vivant un peu plus au coeur de la forêt.
D’ailleurs, en nous éloignant du groupe, on peut apercevoir les Indiens dans leur habit quotidien.
Néanmoins, nous passons un agréable moment en leur compagnie.
En réalité, il y a très peu de communautés indiennes vraiment en reclus de la société ; pour les rencontrer, un guide nous explique qu’il faut faire près de 2 semaines de pirogue et s’enfoncer dans la partie peu explorée de la forêt amazonienne, inaccessible par la route.
Nous partons ensuite.
Nous nous éloignons de la communauté.
Nous retournons sur la ville de Manaus.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel : le Blue tree premium, un hôtel de luxe situé en périphérie de la ville ; notre amie vient nous chercher.
Nous nous rendons chez le garagiste ; notre voiture sera prête le lendemain.
Nous visitons de la famille de notre amie brésilienne.
Nous mangeons ensuite dans la rue, une spécialité locale.
Nous rejoignons notre hôtel tard dans la nuit.
Le lendemain matin, nous profitons d’une vue magnifique sur le fleuve Rio Negro.
Nous prenons ensuite un solide petit-déjeuner.
Nous arpentons les bords de la grande piscine de l’hôtel.
Nous prenons un chauffeur pour nous rendre chez le garagiste.
Mais avant tout, nous faisons une halte au département de la police fédérale afin d’obtenir une rallonge de jours permis sur le territoire, étant donné qu’à la frontière vénézuélienne l’officier nous a octroyé seulement 10 jours, alors qu’il nous faudra 3 fois plus.
Mais, nous apprenons que le coût d’une telle opération est de 100 euros ; l’officier nous explique qu’il est plus judicieux de rester un peu plus longtemps et de payer une petite amende, qui sera bien moins inférieure au coût de cet allongement.
Nous arrivons chez le garagiste, qui nous explique qu’il a encore besoin de 3 heures pour terminer de changer les pièces sur le véhicule.
En attendant, nous en profitons pour découvrir le secteur.
Nous nous rendons chez le coiffeur.
Puis, nous mangeons un morceau rapidement en découvrant les alentours.
Le garagiste nous explique que plusieurs pièces étaient défectueuses.
Nous nous rendons dans un restaurant proche en l’attente de la fin des réparations.
Le garagiste nous envoie ensuite chez un autre professionnel, afin qu’il détecte le problème subsistant avec son ordinateur, mais la machine ne détecte aucune panne.
Pourtant, de retour chez le garagiste, la voiture s’arrête à nouveau ; le garagiste ne peut rien faire ; il ne comprend pas d’où vient la panne ; il ne nous fait pas payer son long et fastidieux travail. Nous le saluons et repartons au centre ville.
Nous arrivons au port.
Après avoir visité le marché artisanal, nous visitons le marché local.
Nous nous rendons aux abords du port afin d’acheter nos tickets pour rejoindre avec notre voiture la ville de santarém.
Nous faisons une petite halte chez un vendeur de tabac naturel en provenance de l’Amazonie.
Nous achetons ensuite nos tickets pour rejoindre la ville de Santarém.
Nous arpentons les abords du port.
Nous visitons le coeur commercial de la ville.
Nous découvrons un beau parc.
En plein coeur de la ville, aux abords du théâtre, des retraités jouent aux échecs avec des capsules de bouteilles.
Nous découvrons cette place, une des plus belles de la ville.
Nous parcourons ensuite le centre ville.
Nous retournons au port ; nous plaçons la voiture afin qu’elle soit embarquée par les matelots du ferry.
Nous sommes autorisés à visiter le ferry qui nous servira d’embarcation durant les 2 prochains jours.
Des dizaines de dockers remplissent les bateaux de nombreuses victuailles.
Nous sommes autorisés à rester en leur compagnie.
Les palettes de fruits sont envoyées dans tout le pays.
Nous découvrons notre chambre.
Ainsi que l’emplacement où seront placés les hamacs.
Nous rejoignons notre ami brésilien, accompagné du patron de l’agence avec laquelle nous sommes partis en expédition dans la jungle. Il nous a aidé également à trouver nos tickets de ferry.
Le départ se faisant le lendemain, nous avons le temps de parfaire notre visite de la ville.
Nous retournons à la place centrale.
Des SDF, amusés de voir notre camera nous demande de les photographier.
La nuit tombée, notre amie brésilienne nous rejoint pour découvrir une facette de la ville que nous ne connaissons pas.
Nous avions la possibilité de dormir sur le bateau, mais nous préférons nous rendre dans le premier hôtel : le park hotel, afin de profiter d’une bonne nuit.
Nous admirons les hauteurs de la ville.
Le lendemain matin, nous nous réveillons en pleine forme.
Nous embrassons chaleureusement nos amis, qui nous ont beaucoup aidé lors de ce séjour riche en découverte.
Nous nous rendons ensuite à pied au carrefour local afin d’acheter les courses que nous utiliserons sur le bateau.
Un chauffeur de taxi nous conduit au port.
Nous arrivons sur place.
Nous rejoignons notre bateau.
Nous embarquons.
Les hamacs ont été déjà dressés par les voyageurs qui ont choisi les places les moins chères.
Le bateau démarrant dans 2 heures, nous en profitons pour arpenter les berges du port.
Nous plaçons ensuite nos affaires dans notre chambre ; nous pouvons également utiliser un hamac que nous venons d’acheter ; nous le plaçons à un crochet près de notre chambre.
Le bateau démarre, mais s’arrête : deux voitures doivent être embarquées à la dernière minute.
Nous quittons ensuite la ville de Manaus.
Nous rejoignons l’Amazone.
Nous circulons encore sur le Rio Négro.
La rencontre des eaux se dresse devant nous. Manaus s’éloigne.