Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 1500 photos montre intégralement notre découverte du Brésil afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. Plus précisément, nous vous présentons au sein de cet article, le Brésil du Sud.
Nous avons ainsi découvert le pays et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Vous pouvez également découvrir la troisième partie de notre voyage avec notre récit sur le Brésil du Sud.
Découvrez la deuxième partie de notre voyage avec le Brésil de l’Est.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez la quatrième partie de notre voyage au Brésil, grâce à notre récit sur le Brésil du centre.
Le lien suivant vous permet de découvrir la cinquième partie de notre voyage avec le Brésil de l’Ouest.
Route vers l’aéroport de Francfort
Nous nous dirigeons vers l’aéroport de Francfort, en Allemagne pour prendre un vol vers le Brésil.
Sur l’autoroute, une averse nous oblige à ralentir.
L’aéroport de Francfort
Nous arrivons après 2 heures de route à l’aéroport, un des plus grands du pays.
Nous récupérons nos tickets auprès de la compagnie Condor, une des compagnies les moins chères pour l’Amérique du Sud ; il faut dire que le ticket pour Rio est à moins de 300 euros. A l’enregistrement, on nous demande un ticket de retour ; nous présentons une réservation d’un billet pour lequel, nous demanderons une annulation ultérieurement. Le personnel de la compagnie est agréable.
Nous passons les sécurités et rejoignons le hall international.
Nous patientons 3 heures en faisant le tour des boutiques et avons la chance de trouver un coussin maintien des cervicals de voyage, oublié certainement par un voyageur pressé.
Nous mangeons rapidement dans un des nombreux restaurants rapides du hall.
Nous rejoignons ensuite notre porte d’embarquement.
Nous embarquons vers 20 heures.
Vol vers Rio de Janeiro
L’avion est vraiment très confortable ; la compagnie Condor est une des meilleures compagnies aériennes allemandes ; paradoxalement, elle propose les prix les plus bas du marché ; la nourriture est agréable et les sièges bien espacés. Le personnel naviguant est très cordial et le vol est un plaisir.
L’aéroport de Rio de Janeiro
Après 13 heures de vol, nous nous posons à l’aéroport international de Rio de Janeiro. En tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa ; trois mois nous sont octroyés dans le pays.
L’aéroport est immense.
Nous faisons le change de notre monnaie.
Nous passons les contrôles de sécurité et rejoignons l’extérieur de l’aéroport.
Premiers pas dans Rio
Nous avons réservé pour deux jours une voiture au sein de la marque AVIS. Un voyageur brésilien appelle le numéro indiqué au comptoir étant donné qu’à 5 heures du matin, le guichet est encore fermé. Un employé de la société vient nous chercher afin de rejoindre la société de location qui se trouve à une dizaine de minutes de route de l’aéroport.
Nous prenons, après les démarches administratives effectuées, la route vers le centre ville de Rio. Dés le matin, les embouteillages sont nombreux. Il nous faut 1 heure pour rejoindre le centre.
Le soleil se lève enfin ; nous suivons la direction du Corcovado, le christ rédempteur. Pour nous y rendre, nous devons rejoindre la montagne sur laquelle il se trouve.
Cette montagne doit se faire exclusivement en voiture, en taxi ou en bus, étant donné qu’un nombre important d’agressions s’y commet quotidiennement.
L’héliport de la ville
Nous décidons de faire une halte à l’héliport pour bénéficier d’une belle vue ; en outre, nous avons un peu de temps à tuer étant donné que le site n’ouvre que vers 8 h.
L’entrée de l’héliport est gratuit.
Nous pouvons bénéficier d’une vue à 360 degrés.
Le Christ Rédempteur
Nous continuons ensuite notre route avec notre voiture. Néanmoins, en arrivant sur le site du Christ rédempteur, nous prenons conscience que nous ne pouvons pas nous garer. Nous sommes obligés de faire marche arrière et nous garer le long de la route, en contrebas du site.
Pour faire le chemin vers le site, nous arrêtons un véhicule, qui gentiment nous emmène vers le site.
Nous payons 7 euros l’entrée au site.
Nous devons patienter un peu en contrebas et attendre un bus qui passe par intermittence toutes les 15 minutes.
Nous faisons les derniers mètres dans ce bus.
Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivons aux abords de l’accès principal au Corcovado.
En cette heure matinale, nous n’avons pas besoin de patienter ; nous sommes les premiers sur le site ; aux heures de pointe, il faut préciser qu’il n’est pas rare d’attendre près de 2 heures.
Nous prenons un ascenseur, puis un escalator.
Nous découvrons enfin ce site majestueux qui fait parti des nouvelles merveilles du monde.
La vue qui se dégage face à nous est une des plus belles de la ville.
Le Christ est majestueux.
Nous avons la chance d’en profiter pleinement. Nous ne nous lassons pas de cette vue sur la baie de Rio.
Nous admirons l’oeuvre sous toutes les coutures.
Pendant près d’une heure, nous ne croisons personne sur le site. En contrebas, les favelas de la ville se dessinent.
Une longue vue permet de se rapprocher des bâtiments. En réalité, les abords de la statue ne sont pas bien espacés. Nous imaginons la cohue qui doit s’emparer du site en pleine période de pointe.
Le Christ surplombe la baie.
Nous faisons le tour de la place. Nous avons pu emmener avec nous notre trépied, ce qui nous facilite la tâche pour les photographies.
Nous rejoignons ensuite l’arrière du Christ.
Une petite chapelle nous accueille, malgré la fermeture de son accès.
Après quelques heures passées sur place, nous quittons le site.
Un dernier regard sur le stade de Rio.
Route vers le Pain de Sucre
Nous reprenons notre véhicule garé le long de la montée.
Nous nous dirigeons à présent vers le pain de sucre.
Il nous faut bien 30 minutes pour rejoindre le site.
Nous devons emprunter le périphérique.
Il nous faut suivre le panneau Pao de Acucar.
Nous avons la chance d’éviter les embouteillages.
Le téléphérique
Nous nous garons sur le parking qui se situe non loin de l’accès au téléphérique.
L’entrée se trouve dans un grand bâtiment à proximité d’un parc verdoyant.
Les trépieds sont interdits, mais en négociant avec le service communication du site, nous pouvons le garder ; l’entrée coûte aux alentours d’une dizaine d’euros par personne ; du moins pour la première montagne ; il faut payer un supplément pour rejoindre la deuxième partie du site.
Nous empruntons le téléphérique pour quelques minutes de montée.
Le pain de Sucre
Nous arrivons au sommet.
La vue est splendide, car elle nous donne la possibilité de voir les avions qui atterrissent dans l’aéroport situé en contrebas.
Sur le pain de Sucre, possibilité est également offerte de faire quelques achats ainsi que de se restaurer.
Mais ce qui nous intéresse le plus est cette vue splendide.
Pour rejoindre la deuxième partie du site reliée également par un téléphérique, il faut traverser la place. Mais la plupart des voyageurs ne l’empruntent pas, se satisfaisant du décor offert par cette première montagne.
Nous passons le reste de la journée à profiter du spectacle.
En fin d’après midi, nous décidons de manger un morceau au restaurant du site.
Avec face à nous toujours cette vue magnifique.
Nous décidons de redescendre.
Une plage magnifique : la plage de Vermelha
Nous profitons ensuite de notre temps libre à profiter d’une petite plage intéressante.
Nous assistons à une séance photo.
Nous rejoignons ensuite notre petit hôtel situé à proximité et nous nous reposons de cette journée harassante.
Nous prenons ensuite notre véhicule pour rejoindre la plage de Copacabana.
La ville de Rio comporte de beaux bâtiments culturels.
La plage de Copacabana
Nous nous garons aux abords de la plage qui s’étend sur plusieurs kilomètres.
Nous apercevons la plage ; en arrivant à ses abords, nous surveillons une petite fille qui se rapprochait dangereusement de nous ; comme nous la surprenons, elle décampe ; il s’agissait certainement d’une petite voleuse, comme il y en a plein le long de la plage.
Aux abords de la plage, près de la route, de nombreux restaurants proposent à des prix prohibitifs des produits culinaires.
Mais en l’instant, nous souhaitons profiter de la plage.
L’endroit est mythique.
De nombreux stands proposent des sports aquatiques.
Il faut néanmoins constamment faire attention à nos affaires et ne jamais les laisser sans surveillance ; la plage a mauvaise réputation et de nombreux vols y sont commis.
Nous décidons ensuite de prendre notre repas dans un des petits restaurants du coin.
Avec, il faut le dire, une vue paradisiaque.
Arrêt rapide dans les favelas de la ville
En début d’après midi, nous reprenons notre voiture afin de faire le tour de la ville et de traverser les favelas qui se trouvent le long de la route, derrière la plage d’Ipanema.
Nous sommes pris à plusieurs reprises dans les embouteillages.
Les favelas sont des quartiers pauvres qui peuvent être visitées avec le maximum de précaution prises ; certaines agences en proposent une visite pour une soixantaine d’euros. Mais ces agences contrairement à ce que les guides mentionnent sont difficiles à trouver et la meilleure manière reste de s’adresser à son hôtel.
Nous retournons dans le centre de Rio.
La plage d’Ipanema
Nous rejoignons la plage de Copacabana et la dépassons pour nous rendre sur la plage d’Ipanema que nous avions dépassée auparavant.
La plage est plus intimiste que celle de Copacabana.
Des travaux gênent les voyageurs qui la désertent.
Route vers le centre-ville
Nous reprenons notre véhicule et nous nous dirigeons vers le centre-ville de Rio.
Nous nous méfions de la route, surtout après avoir appris que de nombreux vols y sont commis, mais nous ne subirons en réalité aucun problème.
Nous traversons néanmoins quelques quartiers pauvres.
Le centre-ville de Rio
Nous prenons la direction de la cathédrale.
Nous nous garons aux abords du quartier d’affaire.
La cathédrale
De grands immeubles surplombent la cathédrale.
La cathédrale se rejoint en traversant la rue.
Elle fait face aux immeubles d’affaire.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Les murs de l’édifice se reflètent sur les vitres des immeubles.
Le centre historique
Nous marchons ensuite à pied jusqu’au centre ville.
Nous nous arrêtons aux pieds d’une église.
Elle se marie agréablement, nichée au coeur des gratte-ciels. Nous en admirons les statues qui ornent la place.
Nous continuons notre route.
Le centre ville possède de nombreux bâtiments intéressants d’un point de vue architectural.
Les rues et les façades des immeubles sont propres.
Le théâtre de la ville
Nous découvrons le théâtre de la ville.
Le sol est pavé d’ornements.
Tout autour de nous, des structures coloniales blanches mettent en valeur les dorures des structures.
Nous décidons de manger un morceau dans un des nombreux restaurants de la place.
Le marché artisanal
En revenant vers notre véhicule, nous découvrons un petit marché artisanal.
La ville est bien desservie en transports en commun.
Route vers l’aéroport
Nous reprenons notre véhicule et faisons le plein.
L’aéroport Santos Dumont
Nous nous rendons à l’aéroport Santos Dumont, afin de prendre notre vol pour la ville de Belèm. Nous rendons notre véhicule.
Alors que notre vol est dans trois heures, nous apprenons qu’un changement de dernière minute nous oblige à rejoindre l’aéroport international de la ville.
Route vers l’aéroport international
Nous payons 40 euros de taxi et nous embarquons en urgence dans le véhicule.
Malheureusement, le chauffeur nous apprend qu’en cette heure de pointe, il faudra bien 1 h 30 pour rejoindre notre aéroport.
L’aéroport international
Nous croisons les doigts durant tout le trajet et par miracle, nous parvenons à l’aéroport international en moins d’une heure. Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages.
Nous prenons notre vol qui fait une escale à Sao Paulo. Le vol dure moins de deux heures.
L’escale à Sao Paulo
Arrivés à Sao Paulo, nous avons juste le temps de rejoindre la porte d’embarquement de notre prochain vol vers la ville de Belèm.
Nous patientons.
Nous embarquons.
Vol vers Belém
Alors que nous avons embarqué à temps, nous serons dans l’obligation de patienter près de 4 heures dans l’avion, car une apparition de brouillard empêche tout décollage ; les pilotes brésiliens ne souhaitant pas prendre de risque.