De Sao Paulo, nous prenons un vol en direction de Bélèm avec la compagnie aérienne Suriname airways.
Suite au retard de 4 heures pris par notre avion à Sao Paulo, conséquence de l’apparition d’un brouillard opaque, nous arrivons à Bélèm aux limites temporelles de l’enregistrement de notre vol vers la Guyane française. De ce fait, la compagnie Suriname airways nous refuse l’enregistrement ; la compagnie brésilienne responsable décale notre départ au lendemain et nous prend en charge jusqu’à là en nous offrant l’hôtel, les repas ainsi que le taxi.
Nous récupérons nos bagages.
Un chauffeur nous attend. Nous nous dirigeons vers le centre de la ville.
Nous arrivons dans notre hôtel et avons le temps de prendre un petit-déjeuner.
Nous choisissons ensuite un chauffeur qui nous servira de guide le reste de la journée pour découvrir la région et la ville. Il s’appelle Julio Castro et pour 40 euros par jour, peut conduire les touristes où bon leur semble. Il est joignable au (91)992068434 ou au (91)982539087 ou au (91)984845810.
Nous nous arrêtons sur le chemin pour visiter un quartier populaire.
Nous nous dirigeons vers le centre ville ensuite.
Nous sommes pris dans les embouteillages.
Nous nous dirigeons vers la Basilique de Nazaré.
Contrairement à ce qu’on avait pu entendre, la ville ne nous semble pas dangereuse.
Nous nous arrêtons aux abords de l’édifice religieux.
Le bâtiment se trouve aux abords d’un parc dans lequel les brésiliens aiment s’y promener.
Nous pénétrons à l’intérieur.
De nombreux pèlerins prient.
A l’extérieur, en signe de foi, des rubans sont accrochés sur les grilles.
Nous nous dirigeons ensuite vers le théâtre national.
Nous nous arrêtons aux abords du bâtiment.
Nous contournons le bâtiment.
La responsable nous octroie une visite privative.
Nous pouvons à notre guise prendre notre temps pour en admirer les apparats.
Nous assistons à un concert privatif.
Les nombreuses dorures du site mettent en valeur un savoir-faire de construction.
Nous reprenons notre route en direction du centre historique.
Nous nous garons aux abords du Malecon.
Il s’agit d’un front aménagé sur le fleuve Rio.
Les anciens appareils du port ont été restaurés. Ils servent d’objets de décoration.
A l’intérieur des anciens hangars, de nombreux restaurants et boutiques.
Des bateaux de tourisme proposent des excursions sur le fleuve.
A l’intérieur, des alambics traditionnels sont utilisés pour la fabrication d’alcool local.
Nous reprenons notre route ne direction du marché municipal.
Les odeurs de poissons séchés sont assez fortes.
Les produits locaux se vendent pour pas cher.
Des vendeurs se reposent à la brésilienne.
Nous assistons à d’innombrables scènes de vie.
Nous prenons grand plaisir à découvrir les lieux.
Un peu plus en amont, nous visitons le port de pêche.
Les odeurs de poissons pourris sont très fortes et désagréables.
Les charognards se régalent de ce repas gargantuesque, les pêcheurs triant le fruit de leur travail sur place.
Nous nous dirigeons ensuite vers le fort de la ville, qui se trouve aux abords de la cathédrale.
La cathédrale se trouve face à nous.
Nous nous rendons en traversant le petit parc qui jouxte la cathédrale, au fort de Présépio.
L’entrée coûte quelques euros.
Il se trouve sur les berges du Rio Parà.
Les canons ont été rénovés.
Le fort est vraiment intéressant ; en outre, son entrée coûte aux alentours de 4 euros.
Nous nous rendons ensuite à l’intérieur du fort.
De nombreux objets nous en apprennent un peu plus sur son histoire.
La visite libre est agréable.
En outre, avec une température extérieure de près de 40 degrés, la climatisation du musée nous fait du bien.
Nous reprenons ensuite notre route vers le coeur du vieux Bélèm.
Les maisons sont dans un triste état.
Nous nous dirigeons vers le 4 èm district, afin de découvrir les berges du Rio Parà.
Nous arrivons aux abords d’un parc bien entretenu qui comporte un restaurant gastronomique.
L’endroit est agréable.
Un ponton nous donne accès aux berges naturelles du fleuve.
Nous mangeons un morceau dans le restaurant.
En toute fin d’après midi, nous retournons à l’hôtel.
Nous saluons notre chauffeur. Il fut tout au long de cette journée, professionnel et agréable.
Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, un autre chauffeur programmé par l’aéroport vient nous chercher.
Nous sommes à nouveau piégés dans les embouteillages.
Cependant, nous parvenons à temps à l’aéroport afin de procéder à l’enregistrement de nos bagages.
Nous en profitons pour nous restaurer en attendant notre embarquement.
Nous grimpons dans notre avion.
Nous quittons enfin le Brésil.
Sous nos pieds, l’Amazonie se dévoile.
Nous ne louperons pas une miette du spectacle.