Attention, ce récit de voyage est une photothèque qui reprend intégralement notre séjour sur l’île de Grenade. Constituée de près de 400 photos, ce récit vous présente le vrai visage de la Grenade en vous dévoilant de manière complète et réelle, le pays et ses trésors.
Alors que nous sommes en croisière, nous approchons des côtes de Saint Georges, la capitale de la Grenade.
Le bateau de croisière Costa s’approche doucement des côtes du pays.
Les manoeuvres d’entrée au port sont délicates.
A l’heure prévue : 7 heures du matin, nous débarquons.
Accompagnés d’un couple de retraité qui a souhaité venir avec nous et de Diana, notre amie Allemande, nous rejoignons le hall du port ; nous dépassons les responsables des excursions, qui proposent pour des sommes astronomiques, un tour dans l’île de quelques heures et à la va vite.
Nous cherchons en indépendant un taxi, qui nous conduira pour la journée dans le pays.
Nous trouvons un chauffeur qui accepte de nous conduire pour 35 euros par personne, soit moitié moins que la moins chère des excursions proposées par le bateau.
Le chauffeur se nomme Simmons ; il peut être joint au 001 473 457 1704 ou sur le 001 473 414 1043
Nous quittons le port.
Nous traversons la capitale dans laquelle nous reviendrons plus tardivement dans la journée.
Nous longeons la mer en nous dirigeant vers les chutes Concord.
Le pays est agréable.
Les maisons sont typiques des Caraïbes.
Nous nous dirigeons vers la ville de Gouyave.
Nous prenons la première bifurcation à gauche, vers les chutes Concord.
Il nous faut pénétrer dans le coeur de l’île, au travers d’une route qui se trouve en plein coeur de la végétation.
La végétation est dense.
Nous arrivons à la chute Concord ; nous sommes les premiers sur le site.
L’entrée coûte quelques euros seulement pour les touristes qui ont l’intention de s’y baigner. Pour les autres, l’entrée est gratuite. La chute est agréable. Elle est entourée d’une flore dense.
Nous descendons aux pieds de la chute.
Nous faisons ensuite la connaissance d’un artisan qui fabrique de beaux produits traditionnels. L’artisan peut exporter ses produits ; il est joignable au 4141568 ; il s’appelle Albert.
Il travaille avec pour vue l’écoulement de la chute.
Nous reprenons ensuite la route.
Sur le bas côté, des fèves de cacao sont séchées.
Nous reprenons la route principale en direction de Dougalston estate.
Certaines maisons sont peintes de manière multicolore.
Nous faisons une halte aux abords d’un site historique.
Nous continuons notre route.
Nous nous approchons de la ville de Gouyave.
Nous faisons une halte pour découvrir sur le chemin, une plage de sable noir.
Nous reprenons la route.
En approchant de la ville de Gouyave, nous prenons à nouveau une bifurcation à droite.
Nous arrivons aux abords du site Dougalston estate, une ancienne usine de traitement de la noix de muscade et des fèves de cacao.
L’usine relativement bien conservée est gratuite.
Des guides nous abreuvent de leur savoir.
Nous reprenons ensuite la route en direction de la ville de Gouyave.
Nous entrons dans la ville.
Nous nous garons dans le centre ville ; Gouyave est une petite ville ; elle ne présente pas grand intérêt, mis à part l’usine de noix de muscade, une des usines les plus importantes du pays ; il faut dire que l’exportation des noix par la Grenade représente une grande partie des exportations mondiales de cette noix qui sert généralement à cuisiner.
Nous nous dirigeons à pied vers l’usine.
Nous entrons dans l’usine.
Normalement, l’entrée coûte près de 2 dollars par personne, mais nous avons la chance d’entrer gratuitement, invités par le vigile qui nous fait passer avec un groupe de croisiéristes.
L’odeur de muscade est très forte ; étant donné que nous sommes un jour férié, aucun ouvrier ne travaille. En outre, nous avons la chance de pouvoir prendre des photos et des vidéos de l’usine, alors que normalement, les prises de vue sont interdites.
A la différence des croisiéristes, nous sommes libres de nos mouvements ; nous pouvons découvrir l’usine à notre guise.
Nous visitons les parties de l’usine interdites au public.
Un ouvrier qui surveille l’usine nous donne une poignée de noix à chacun ; nous les glissons dans nos sacs.
Nous grimpons ensuite dans les étages.
Les noix sont séchées durant plusieurs semaines.
Plusieurs tonnes de noix se trouvent dans l’usine. Nous rejoignons ensuite l’entrée de l’usine.
Les gens sont très agréables, fiers de leur produit national ; le drapeau du pays comporte par ailleurs une noix.
Le chauffeur nous indique sur une carte où nous nous trouvons ; il nous faut rejoindre maintenant la côte Est de l’île. Mais, avant tout, il se renseigne pour nous permettre de rencontrer des locaux.
Nous faisons en nous dirigeant à pied vers les gangs, d’un homme rasta qui lave son linge dans la rivière.
Nous le rejoignons et partageons une discussion sur le taux important de chômage de l’île.
Nous entrons dans un quartier sensible de la ville.
Un membre d’un gang arrive vers nous ; nous lui expliquons ce que nous faisons ; il accepte de nous conduire dans les quartiers chauds de la ville. Nous le suivons.
Nous croisons un marchand de poissons. Une forte odeur de poissons séchés mélangée avec une odeur encore plus forte de cannabis emplie nos narines.
Nous arrivons jusqu’à la plage.
Le quartier est pauvre ; les maisons sont fabriquées avec les moyens du bord.
Nous retournons au centre ville que nous parcourons à pied durant trente minutes ; nous reprenons ensuite notre voiture.
Nous quittons la ville.
Il nous faut une heure pour traverser l’île de part en part.
Le chauffeur nous apprend que nous allons nous arrêter au belvidere estate, afin de rencontrer des paysans de noix de muscade, qu’ils récoltent à l’ancienne.
Nous traversons quelques petits villages.
La culture de la banane est également importante sur l’île.
Nous arrivons aux abords des champs de muscade. Un cultivateur ramasse les noix tombées sur le sol.
Les noix se ramassent à une certaine maturité, lorsque leurs coques s’ouvrent.
Nous saluons ces fermiers courageux, pour continuer notre route vers Grenville.
La route traverse une épaisse forêt.
Sur le chemin, nous faisons une halte aux abords d’une rivière ; une enseigne propose de la descendre sur des bouées ; le prix est prohibitif : 40 dollars US pour quelques mètres de descente ; nous ne faisons pas cette excursion qui est un attrape touristes.
Nous reprenons la route.
Nous entrons dans la ville.
Nous traversons sa petite banlieue.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
La ville est agréable.
Pas grand monde dans les rues.
Nous nous rendons au KFC. nous sommes surpris de voir que les claquettes sont beaucoup utilisées par les habitants, même sous des chaussettes. Aux côtés du KFC, nous mangeons les produits que nous venons d’acheter.
Les bords de mer sont pollués.
Nous arpentons les rues de la ville.
Les maisons sont colorées.
Nous découvrons une belle église.
Nous rejoignons ensuite des joueurs de dominos.
Nous quittons la ville.
Nous nous dirigeons vers Saint Georges, la capitale.
Nous dépassons un beau lac, ainsi qu’un parc dans lequel on peut avec chance apercevoir des singes ; nous faisons une halte au point de vue le plus haut de l’île.
Sur le route, nous admirons un arbre arc en ciel, une espèce spécifique à l’île. Nous reprenons la route.
Le chauffeur souhaite nous arrêter à la chute Annandale, la chute faisant partie des plus belles de l’île.
Nous arrivons aux abords de la chute ; nous nous garons.
L’entrée coûte quelques euros par personne.
Nous voyons la chute du chemin qui mène à elle.
Sur place, un homme nous propose de lui donner 1 dollar afin qu’il saute du haut de la chute. L’homme intrépide parvient à sauter sans se blesser, devant la stupéfaction des touristes présents.
Nous nous détendons dans ce cadre agréable.
Nous repartons ensuite vers la capitale.
Nous traversons des petites villes.
Plus nous nous rapprochons de la capitale, meilleure est la route.
Les maisons sont omniprésentes sur la route.
Nous nous dirigeons vers la plage de Grand Anse, une des plus belles plages de l’île.
Nous entrons dans la banlieue de Saint Georges.
Nous empruntons une bifurcation à gauche.
Nous faisons une halte dans un distributeur pour retirer un peu d’argent.
Nous entrons sur le site de la plage de Grand Anse.
Il fait trente degrés à l’ombre.
De nombreux habitants viennent s’y baigner.
Nous nous jetons à l’eau. Une famille nous invite ensuite à manger de la cuisine locale.
Nous reprenons la route vers la capitale.
Nous pénétrons à nouveau dans la banlieue de Saint George’s.
Face à nous, le fort George.
L’endroit le plus intéressant de la ville est son port.
Nous nous y rendons pour bénéficier d’une belle vue.
Soudainement, une averse s’abat sur nous.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
Nous traversons des ruelles étroites.
Nous nous garons aux abords d’une belle église.
Nous arpentons à pied les rues de la ville.
Nous nous dirigeons vers une autre église.
Nous devons retourner au port, sous peine de voir le bateau de croisière partir sans nous.
Il nous faut 5 minutes pour rejoindre le port.
Nous saluons notre chauffeur, puis nous nous dépêchons.
Nous sommes accueillis en musique par les membres de la croisière.
Nous quittons le pays.