Nous quittons le poste frontière du Monténégro en direction de la ville de Morinë au Kosovo.

Quelques minutes d’attente sont suffisantes pour effectuer les formalités d’usage.

Nous empruntons une sorte de No man’s land qui dure quelques kilomètres de long.

Nous arrivons au poste-frontière du pays. Le Kosovo n’étant pas reconnu par la communauté internationale, la carte verte française ne permet pas de circuler dans le pays. Nous sommes dans l’obligation de prendre une assurance d’une quinzaine d’euros pour notre véhicule.

Une fois l’assurance de la voiture effectuée, nous nous rendons au poste-frontière. Les douaniers et les policiers qui nous accueillent sont sympathiques et fiers que des Français visitent leur pays. Nous discutons ensemble ; le contrôle dure quelques secondes et la discussion plusieurs minutes.

Nous saluons les fonctionnaires et prenons la route vers la ville de Peja, ou appelée également Pec.

Sur la route, nous faisons une halte afin de découvrir un splendide paysage.

Nous reprenons notre route.

Nous traversons un village.

Sur la route qui nous mène à Pec, nous suivons une bifurcation pour nous rendre à Radacit, un parc qui comporte une chute d’eau et une belle grotte.

Nous garons notre voiture à l’entrée du parc face à un restaurant et rejoignons la chute d’eau à pied.

Nous apercevons la chute d’eau.

Nous continuons notre avancée sur le sentier balisé.

Nous croisons plusieurs locaux.

La chute d’eau est magnifique.

Les locaux viennent se balader dans le parc en famille.

De l’eau potable est mise à disposition des visiteurs.

Nous rejoignons la grotte.

Le sentier nous donne l’occasion de découvrir une nature intéressante.

Nous longeons le cours de la rivière.

Il nous faut monter pour rejoindre l’entrée de la grotte.

L’entrée de la grotte est de deux euros par personne.

La grotte est bien entretenue.

Nous croisons de nombreuses chauve-souris.

Des lumières éclairent certaines parois.

Il est temps pour nous de quitter le parc.

Nous reprenons la route vers Peja.

Nous entrons dans la ville.

Il nous faut continuer tout droit pour rejoindre le centre historique.

Après un énième rond-point, nous garons notre véhicule dans un parking privé qui coûte 0,20 centimes de l’heure.

Les cigarettes coûtent moins de trois euros le paquet.

Nous rejoignons le centre historique.

Nous entrons dans le centre, accompagné d’un habitant qui se propose d’être notre guide.

Le centre historique est vraiment intéressant.

Nous prenons la pause avec notre ami, qui nous accompagne dans cette visite approfondie de la ville.

Une femme nous fait visiter son magasin.

Nous reprenons notre route.

Une autre femme voyant que nous sommes étrangers, se propose de nous expliquer son métier de couturière, nous expliquant même avoir travaillé pour le GIGN français, il y a quelques années.

Nous nous arrêtons ensuite chez un cordonnier traditionnel.

Nous quittons le centre historique pour rejoindre une partie plus moderne de la ville.

Pour ce faire, il nous faut traverser un petit parc.

Nous rejoignons le seul hôtel 5 étoiles de la ville, qui se trouve sur une place animée et dynamique.

Nous faisons une halte dans un bar.

Puis nous retournons dans le centre historique afin de manger un morceau.

Le repas est vraiment bon et pas cher.

C’est sous la pluie que nous rejoignons notre hôtel : l’hôtel camp Karagaq, un hôtel 4 étoiles qui se trouve dans un grand complexe verdoyant. La chambre coûte 30 euros par nuit. Les réservations peuvent se faire sur le site de l’hôtel

Nous garons notre véhicule sur le parking de l’hôtel.

Nous découvrons notre chambre.

Nous sommes invités à partager un moment de convivialité dans un baptême traditionnel.

Puis, nous rejoignons le parc qui se trouve aux abords de l’hôtel.

Nous faisons la connaissance avec un moniteur de tir professionnel qui pour trois euros, nous emmène dans le stand de tir qui se trouve dans le complexe de l’hôtel.

Pour la première fois de notre vie, nous nous essayons au tir avec une arme automatique.

L’expèrience est unique pour nous ; nous nous en sortons bien pour une première fois. Mais, tirer avec une arme réelle nous prouve l’exagération de l’utilisation des armes dans les films. Primo, chaque tir fait un boucan terrible. Secondo, le recul est important, ce qui rend impossible tout tir, l’arme tenue en biais, un peu comme le font les caïds dans la fiction. La réalité est ainsi tout autre.

Le lendemain matin, après un bon petit-déjeuner, nous reprenons la route vers le monastère Visoki Decani qui se trouve à 15 kilomètres..

Nous entrons dans la ville de Decani.

Le monastère est bien indiqué sur les panneaux directionnels.

Nous arrivons à une route qui est surveillée par les soldats de l’Otan ; de gros blocs de ciment sont disposés le long de la route menant vers le monastère.

Nous arrivons sur place.

L’entrée du monastère est gratuite ; il ouvre généralement au public à partir de 9 h 00. Mais pour entrer dans le monastère, il faut passer par les gardes italiens qui travaillent à l’OTAN et qui en surveillent le site. Nous laissons notre carte d’identité à l’accueil contre la remise d’un badge d’accès.

Nous entrons dans le monastère.

Nous faisons connaissance avec le responsable du site qui nous autorise exceptionnellement à prendre des photographies, normalement interdites.

Nous assistons à une prière orthodoxe.

Le monastère est splendide.

Les gravures présentes ont plusieurs siècles d’ancienneté.

Nous rejoignons l’extérieur du monastère.

Nous reprenons la route.

Nous prenons la direction de la ville de Prizren.

Sur la route, nous faisons une halte dans un restaurant.

Nous recevons un accueil formidable des kosovars.

Le restaurant fonctionne depuis 6 heures du matin ; en outre, la carte intégrale peut être commandée ; nous nous faisons plaisir en prenant un autre petit-déjeuner composé d’une pizza géante.

Le personnel décide de nous faire visiter les cuisines te les nombreux plats traditionnels proposés.

Nous reprenons la route.

Nous faisons une halte dans un magasin qui propose des produits de beauté de grande marque pour la somme d’un euro la pièce. Les membres féminins de notre groupe se font plaisir. Une vingtaine d’objets pour la somme ronde de vingt euros. En France, l’ensemble de ces produits aurait coûté près de 400 euros.

Nous reprenons la route.

Il nous faut près de deux heures pour rejoindre la ville distante de Prizren, une des plus belles villes du pays.

Nous nous garons dans le centre moderne de la ville. Nous en profitons pour rejoindre notre hôtel, un trois étoiles sans prétention. Nous dînons dans un restaurant de la ville.

Le lendemain matin, après une journée de repos, nous commençons notre découverte de la ville.

Nous arpentons les allées d’un marché.

L’ambiance est agréable.

Nous rejoignons le centre ville.

Dans la rue principale qui mène à la vieille ville, de nombreuses boutiques proposent des habits traditionnels.

Nous arrivons aux abords de la vieille ville.

La vieille ville se dresse devant nous.

La ville comporte de nombreux ponts.

Nous arpentons les allées de la vieille ville.

Nous découvrons de nombreuses mosquées et églises.

Nous nous faisons plaisir en dégustant des produits originaux dont un kebab chocolat.

Nous quittons la vieille ville en retraversant un pont.

Un chauffeur de taxi nous emmène à notre voiture pour deux euros.

Nous quittons la ville pour nous rendre dans la capitale Pristina, distante de 90 kilomètres.

Nous faisons le plein d’essence.

Une autoroute nous emmène jusqu’à la ville.

Nous entrons dans la ville sous une pluie battante.

La pluie s’arrête fort heureusement quelques instants plus tard.

Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, Pristina est une capitale moderne.

Les routes sont propres et en bon état.

Il n’y a pas de centre ville à proprement parler, mais une rue principale qui traverse la ville. nous nous garons à une de ses extrémités.

Nous entrons dans la rue qui se parcourt à pied.

La rue comporte en son centre un jeu d’eau.

Nous dépassons le théâtre.

Nous nous engouffrons dans la rue.

Face à nous, un petit square représentant Mère Theresa.

Les commerces sont nombreux.

Nous décidons de manger une glace.

Nous photographions une plaque minéralogique afin de compléter notre galerie de plaques étrangères.

Il est temps pour nous de quitter la ville.

Une autoroute moderne nous emmène jusqu’à la frontière avec la Macédoine en direction de la ville de Deneral au Kosovo.

Malheureusement après quelques minutes ,une bifurcation nous indique que la route est en travaux. Nous sommes obligés d’emprunter une autre route.

Nous arrivons finalement au poste-frontière.

Nous quittons le Kosovo, un pays formidable avec un peuple chaleureux et bienveillant.