En France, en Moselle, nous nous apprêtons à rejoindre notre train afin de nous rendre à Paris pour prendre un vol nous menant à Madère, une île semi-autonome du Portugal qui se trouve à proximité des Canaries.

Nous avons organisé notre voyage grâce à l’aide de l’office du tourisme du Portugal, de l’office du tourisme de Madère et à leur représentant en France : la société AVIAREPS.

Nous nous rendons à la gare de Metz.

Nous grimpons dans le train OuiGo, un train lowcost pour lequel nous avons payé seulement 15 euros l’aller. Néanmoins, les billets doivent se réserver en avance.

Nous arrivons à la gare de l’Est.

Pour rejoindre l’aéroport d’Orly, nous prenons un taxi dont le coût est fixé à 35 euros.

Nous arrivons à Orly ; étant donné que notre vol décolle le lendemain matin à 06 h 00, nous ne pouvions pas prendre un train plus tard ; nous sommes donc obligés de dormir sur place.

Nous rejoignons l’hôtel Ibis qui se trouve juste face à nous ; le coût de la chambre est de 95 euros sans petit-déjeuner.

Nous dînons dans l’hôtel pour une quinzaine d’euros par personne.

Le lendemain matin, nous rejoignons notre Terminal ; nous partons avec la compagnie Transavia. Nous avons payé le billet aller une centaine d’euros. Nous devons faire une escale à Porto. Le trajet jusqu’à Porto dure 02 h 30 et le trajet de Porto à Madère, une durée presque similaire. Pour gagner du temps, nous avons procédé depuis notre maison à l’impression de nos billets électroniques.

Nous passons facilement les contrôles de sécurité ; étant donné que Madère fait partie de l’Union Européenne, le contrôle des passeports n’est pas obligatoire.

Transavia, filiale d’Air France étant une compagnie Low Cost, l’embarquement doit se faire assez loin des portes principales. Pour rejoindre notre avion, nous devons emprunter un bus.

Nous embarquons ; au sein de cette compagnie Low Cost, les bagages en soute sont payants ; seul un bagage cabine est autorisé, mais sa taille est scrutée attentivement ; un simple dépassement peut lui valoir de rejoindre la soute avec un forfait à payer immédiatement. en outre, seules les 100 premiers bagages cabines sont autorisés ; à partir de ce seuil, les bagages sont placés en soute sans supplément.

Nous embarquons.

L’avion décolle avec trente minutes de retard.

Alors que nous devons atterri à Porto, nous remarquons que notre avion effectue des ronds dans les airs ; le pilote nous informe alors qu’il a peur de se poser étant donné qu’il y a du brouillard sur la piste. Nous devons donc être détourné à Lisbonne afin de refaire le plein.

Nous atterrissons à Lisbonne et patientons près de deux heures. Durant ce laps de temps, deux des stewards font des efforts pour expliquer la situation aux gens ; ils proposent même de servir aux passagers un verre d’eau. Malheureusement, le chef de cabine, une sorte de hispster stupide refuse toute aide aux passagers qui ne bénéficieront même pas d’un soutien : dans sa bouche : l’eau est payante, faisant fi de la réglementation européenne sur le sujet.

Après trois heures de retard, l’avion redécolle.

Après un atterrissage rapide à Porto, l’avion prend la direction de l’île de Madère. Le chef de cabine n’apparaîtra plus dans l’avion, restant au devant de l’appareil. Un des stewards offrira à quelques personnes une boisson en toute discrétion.

Le pilote parvient à gagner trente minutes sur le vol amenant le retard à deux heures trente.

Les côtes de l’île de Madère apparaissent.

Atterrir sur l’île est difficile ; le pilote, malgré des vents contraires parvient à poser l’avion sans encombre sur la piste.

Un bus nous conduit dans le Terminal.

Nous récupérons nos bagages.

Nous rejoignons le hall central de l’aéroport Christiano Ronaldo.

Nous quittons l’aéroport.

Malgré notre retard, nous sommes attendus par les responsables de l’agence Epic Madeira, une des sociétés les plus renommés de l’île qui s’occupe des activités sportives et de nature. Nous avons réservé une activité de canyoning. L’activité coûte 60 euros et dure en fonction de la difficulté une demi-journée. La société Epic Madeira est joignable au 00 351 965 108 967.

En leur compagnie, nous nous rendons dans le Nord de la capitale Funchal.

Nous quittons la route principale de l’île.

Nous arrivons dans les bureaux de la société.

Nous devons nous préparer en enfilant une combinaison qui nous protègera du froid, l’eau dans le coeur de l’île étant assez froide.

Il nous faut marcher une vingtaine de minutes en plein coeur de la campagne pour rejoindre le site de Canyoning.

Nous avançons sur un petit chemin de terre.

Nous franchissons un terrain privé.

Nous descendons pour rejoindre une rivière.

Nous nous apprêtons à descendre notre première cascade.

La sensation est extraordinaire. Nous continuons à suivre la rivière.

Nous descendons une deuxième cascade.

Après deux heures sur place, il est temps de rentrer.

De retour au bureau, nous faisons la connaissance d’une famille locale sympathique.

En compagnie de nos accompagnateurs, nous nous rendons dans un restaurant proche.

Nous faisons ainsi connaissance de notre guide : Celia Mendonca, qui nous accompagnera la semaine de notre visite de l’île. Célia est une guide francophone, la plus érudit de l’île ; elle deviendra également une amie, car elle es td’une douceur, d’une compréhension et d’une générosité sans borne. Elle est à recommander sans hésiter pour découvrir de manière plus approfondie cette île. Elle est joignable au 00 351 969 083 424 ou sur le celiamendonca3@gmail.com

Notre chauffeur, quant à lui : Andrea s’avèrera être un des chauffeurs les plus professionnels et gentils que nous ayons rencontré. Il travaille pour la société Alexgo travel. Les réservations peuvent se faire sur le 00 351 291 602 340 ou sur le 00351 391 601 242 ou sur le marco.alexgo@gmail.com ou sur le alexgo.geral@gmail.com ; le site Internet de la société est le www.alexgotravel.com 

Andrea, le chauffeur peut être joint directement au numéro : 00 351 963338748 ou sur le andrespinola20@gmail.com 

Etant donné que nous n’avons pas mangé depuis notre arrivée, nous sommes morts de faim. Nous rejoignons immédiatement le restaurant qui se trouve face à nous.

Nous goûtons un plat traditionnel.

Ainsi que des côtelettes de porc, une véritable spécialité dans le pays.

En compagnie de Celia et de André, notre chauffeur, nous prenons la route pour nous rendre à Funchal, la capitale afin d’assister à la dernière journée de la fête du vin, un véritable évènement sur l’île.

La ville de Funchal se trouve face à nous.

Nous entrons dans la ville.

C’est à pied que nous rejoignons le centre-ville.

Nous arpentons quelques mètres le Waterfront.

Une rue nous permet de rejoindre le centre.

La majeure partie de la ville est piétonne.

Nous découvrons une belle église.

Assis aux pieds de l’église, un chanteur talentueux.

Nous nous dirigeons vers l’avenue principale.

La fête du vin regroupe de nombreux stands disséminés le long de l’avenue.

Sous une première tente, de nombreux artisans présentent leur création.

Sur les bancs, les locaux aiment se retrouver au calme afin de discuter de la pluie et du beau temps. Sur Madère, surtout du beau temps, il faut le préciser.

Nous rejoignons plusieurs agriculteurs qui effectuent une battue du blé, devant des spectateurs attentifs, reproduisant ainsi les gestes de leurs aînés.

Puis, la battue est remplacée par une danse locale traditionnelle.

Nous continuons notre chemin.

De nombreux badauds sont regroupés autour d’une chanteuse de jazz.

En l’instant, nous préférons continuer notre découverte de la ville.

Vers la fin de l’avenue, nous nous asseyons afin de prendre un rafraîchissement.

Puis nous nous rendons au jardin botanique qui se trouve juste en face de nous.

Le jardin n’est pas le plus grand de la ville, mais il est agréable et possède de nombreuses espèces de plantes différentes.

Nous retournons sur nos pas afin de profiter du concert de jazz qui est offert.

Il est temps pour nous de rejoindre notre hôtel : l’Hotel Four Views Monumental, un hôtel quatre étoiles en plein coeur de la ville. Les réservations peuvent être faîtes sur le site Internet de l’hôtel.

Nous procédons aux formalités administratives.

Nous rejoignons notre chambre, qui est en réalité une sorte de petit appartement. La chambre est de bonne qualité et elle possède en outre un petit balcon, ce qui s’avèrera agréable pour déguster un bon vin de Madère après nos visites chargées des jours qui suivront.

Nous nous rendons dans un petit supermarché ; sur le chemin, nous découvrons que de nombreuses structures proposent des visites guidées pour une trentaine d’euros par jour.

Nous effectuons quelques achats.

Le soir, nous profitons d’un moment de détente bien mérité.

Le lendemain matin, nous rejoignons le quatrième étage afin de prendre notre petit-déjeuner. Face à nous, la piscine de l’hôtel.

Nous rejoignons notre guide Celia qui nous attend avec Andrea, notre chauffeur.

Nous rejoignons le centre historique de la ville.

Le Waterfront est encore désert.

Par contre aux abords du mercado, l’endroit regroupant le marché municipal, les rues sont bondées de monde.

Nous arpentons tout d’abord le centre historique.

De nombreuses façades sont peintes.

La station de téléphérique qui permet de rejoindre les hauteurs de la ville se trouve sur notre droite.

Nous entrons dans une des rues perpendiculaires.

Nous buvons un café dans un bar.

Nous reprenons notre route en direction du mercado.

Nous achetons une bouteille d’eau dans une boutique qui se trouve juste aux abords du marché municipal.

Nous traversons tout d’abord la route afin de rejoindre l’usine de broderie qui se trouve juste en face.

L’entreprise Bordal Broderie est une entreprise qui fabrique de la broderie depuis plusieurs dizaines d’années ; elle est une véritable référence puisque tout son travail est effectué à la main. Les visites peuvent être réservées au 00 351 291 222 965, sur le 00351 291 227 754 ou sur le bordal@bordal.pt Le site Internet de l’entreprise est le : www.bordal.pt

Dans le couloir, des couturières qui livrent leur création mais en travaillant de chez elles afin d’arrondir leur fin de mois effectuent quelques retouches depuis le couloir.

Nous avons l’autorisation de pouvoir visiter la broderie. Nous commençons par l’atelier de création.

Puis, vient l’atelier de représentation des dessins sur le tissu.

Nous trouver dans cette entreprise est pour nous un véritable bond dans le passé.

Nous visitons ensuite l’atelier de séchage et de repassage.

Puis vient le dernier atelier de découpe et de finition.

Nous saluons les salariés de l’entreprise et retrouvons Celia, notre guide.

Sur le chemin, nous nous arrêtons dans une épicerie qui propose des produits traditionnels.

Nous retrouvons le marché municipal.

Nous grimpons par les escaliers pour retrouver l’étage.

Nous faisons connaissance avec un marchand de fruits sympathique qui nous propose de goûter des fruits dont nous n’avions jamais entendu parlé : fruit de la passion orange, fruit de la passion mangue, fruit de la passion citron, banane orange et tant d’autres qui selon les dires des vendeurs sont d’origine naturelle. Une véritable surprise et une véritable explosion de saveur dans la bouche.

Puis vient le tour de goûter une mangue.

Les piments sont également une spécialité de l’île.

Chaque fruit donne l’envie d’être mangé.

Nous continuons notre visite des lieux.

Nous rejoignons à proximité le marché aux poissons.

Tous les produits de la mer sont frais et proviennent des nombreuses pêches quotidiennes.

Nous rejoignons à présent à pied la station de téléphérique afin de découvrir les hauteurs de la ville.

En moins de cinq minutes, nous rejoignons la station.

Le ticket coûte une dizaine d’euros l’aller. Il ne faut surtout pas prendre un aller et retour, car quasiment pour le même prix, la descente peut être faîte en traineau.

Le trajet nous permet de bénéficier d’une vue exceptionnelle.

Nous en prenons plein la vue.

Le trajet en téléphérique est une activité en soi.

La trajet est agréable.

Après dix minutes, nous parvenons au sommet.

Nous dépassons le jardin tropical.

Nous prenons quelques minutes pour l’admirer, sans toutefois le visiter, le temps nous manquant.

Nous passons une vingtaine de minutes sur place avant de rejoindre sur le chemin, une société de traineaux.

L’activité qui coûte 25 euros pour une personne et 30 euros pour deux est unique au monde ; elle permet de descendre dans le centre-ville dans des traineaux en osier, le moyen de locomotion étant dirigé par deux hommes vêtus de costume traditionnel. Le site Internet de la société Carreirodosmonte permet de glaner de bonnes informations et renseignements.

La descente commence. Les paniers accueillent deux personnes, certains étant prévus pour trois.

La descente est surprenante, une véritable joie partagée par tous les membres du traineau.

Nous arrivons sur place en moins de dix minutes.

A l’arrivée, nous n’échappons pas à la photo souvenir.

Nous reprenons la route pour nous rendre au Waterfront.

Nous effectuons une promenade agréable et découvrons des talentueux artistes de rue.

Nous rejoignons le port.

Nous avons rendez-vous avec la société Rota dos Cetáceos pour une sortie en mer afin d’observer les baleines et les dauphins. Le tarif adulte est de 49,50 euros par personne.

Nous avons la chance d’avoir choisi une horaire entre midi qui nous donne la possibilité d’être seulement à deux sur le bateau. Une véritable chance car normalement les bateaux sont bondés.

A toute allure, le bateau file.

Arrivés sur place, notre guide en lien direct avec un observateur terrestre nous emmène au bon endroit. La compagnie est vraiment sérieuse et respectueuse des animaux ; elle ne s’approche pas trop près des animaux. Le diplôme de biologiste de notre guide l’aide à avoir une connaissance parfaite de l’océan.

Après une vingtaine de minutes à observer de nombreux dauphins et plusieurs baleines, nous laissons notre place à un autre bateau.

Notre bateau nous emmène au restaurant Fajã dos Padres, un restaurant situé sur une sorte de presqu’île et qu’on ne peut atteindre que par la mer ou par un téléphérique.  Le restaurant est situé également au coeur d’un site magnifique, qui permet de se baigner et de découvrir un véritable jardin biologique naturel. En outre, le domaine comprend un hôtel avec quelques chambres qui peuvent être réservées et coûtent aux alentours des 80 euros la nuitée.

Sur le chemin, nous croisons un pêcheur traditionnel.

Nous ne dérangeons pas plus longtemps le pêcheur et reprenons le chemin vers le restaurant.

Le restaurant se trouve face à nous.

Nous débarquons.

Nous rejoignons notre table.

Face à nous, une plage de galets qui nous donne envie de nous baigner.

Nous visitons notre restaurant ; il s’agit d’un restaurant traditionnel tenu par quatre soeurs et leurs maris depuis plus de 50 ans ; il s’agit d’une des adresses incontournables de l’île.

Nous sommes autorisés à visiter les lieux et à assister au travail du chef dans la cuisine.

Les plats s’enchaînent ; un véritable régal, une osmose parfaite de bon goût.

Nous terminons par un bon dessert.

Nous décidons de visiter le jardin biologique après avoir bien digéré notre repas.

Les senteurs sont exceptionnels.

Le jardin se trouve face à une des plus belles plages de l’île.

Les fruits poussent de manière naturelle à profusion.

Nous apercevons également l’ancien téléphérique, toujours en fonctionnement.

Nous pouvons goûter les fruits.

Nous découvrons la fleur du fruit de la passion ; certains lui admettent une origine chrétienne au travers de l’organisation et du nombre de ses pétales.

Nous arrivons au fond du jardin.

Nous faisons connaissance avec un jardinier.

La propriétaire des lieux qui nous a rejoint décide de nous faire visiter les caves de la propriété.

Nous avons l’immense honneur de déguster un vin qui a près de 50 ans d’âge ; un véritable nectar.

Nous jetons un dernier regard sur cette propriété et ce territoire.

Un téléphérique de quelques euros nous emmène au sommet afin que nous puissions retrouver notre chauffeur et retourner à Funchal.

Au sommet, nous prenons quelques instants afin de découvrir la vue sublime sur les côtes de Madère.

La route qui nous emmène à Funchal nous permet de bénéficier d’une belle vue sur les côtes.

A Funchal, nous nous arrêtons sur le Waterfront afin de visiter le musée Christiano Ronaldo, un musée dédié à la carrière du footballeur natif de l’île.

Nous buvons un café dans le bar Ronaldo qui jouxte le musée.

Le musée se trouve à côté du bar.

Nous découvrons les extérieurs du musée.

Face à nous, la statue un peu loupée du footballeur.

L’entrée coûte 5 euros par personne.

Le musée comprend une grande salle dans laquelle tous ses trophées originaux sont exposés, mis à part les coupes gagnées en équipe qui appartiennent aux clubs qui les ont gagnées.

Une application permet de bénéficier d’une photo virtuel avec la star.

Nous voyons des trophées que nous n’aurions jamais vus autrement.

La visite permet également d’en apprendre un peu plus sur le joueur.

Nous terminons notre visite par la lecture de lettres de fans.

Après une halte rapide à notre hôtel, nous rejoignons Sandra Gouveia, notre contact de l’office du tourisme avec qui nous devons manger au restaurant : Adega da Quinta, un restaurant unique sur l’île qui propose les meilleurs Espetada, des brochettes de viande cuites au feu de bois.

Nous faisons connaissance avec Sandra.

Nous visitons le restaurant.

Le chef compose son art à la vue de tous les clients.

Moins de dix minutes plus tard, la brochette nous est servie.

Nous finissons avec un bon dessert.

Tard dans la nuit, nous rejoignons notre hôtel.

Le lendemain matin, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous retrouvons comme prévu de bonne heure notre guide te notre chauffeur.

En vingt minutes de route, nous arrivons dans le village de Camacha, un village qui comprend un centre d’art.

Le site regroupe de nombreux travailleurs artisans.

Nous prenons la route vers l’extrême Est de l’île. Nous nous rendons à la pointe de Sao Lourenço.

Nous quittons la route nationale.

Nous garons notre véhicule sur un parking ; à présent, nous ne pouvons pas continuer en conduisant ; il est possible d’effectuer une randonnée sur un sentier ; par manque de temps, nous admirerons la pointe de Sao Lourenço de là où nous nous trouvons.

Nous reprenons la route pour retourner sur nos pas et découvrir un autre point de vue sur les côtes escarpées de l’île.

Nous prenons à présent la route vers la ville de Porto da Cruz.

Nous nous rendons sur une des plus belles plages de l’île.

Nous buvons un café.

Nous assistons à une séance de yoga aérien.

Nous avançons sur un sentier afin d’avoir une belle vue dégagée sur la plage.

Nous rejoignons ensuite le bord de mer.

Les surfeurs sont nombreux.

Face à nous, une usine de canne à sucre.

Nous reprenons la route en direction de la ville de Santana dans laquelle se trouve notre restaurant.

La ville est reconnaissable grâce à ses maisons typiques.

Les maisons traditionnelles cohabitent avec les maisons plus modernes.

Le restaurant Quinta do Furão se trouve un peu à l’extérieur de la ville.

Le restaurant Quinta do Furão est un des plus intéressants de l’île ; il propose une cuisine traditionnelle gastronomique. Le restaurant se trouve à l’Estrada da Quinta do Furao, au numéro 6. Les réservations peuvent se faire par téléphone au 00351 291 570 100.

De la terrasse, nous avons une vue unique.

Les serveurs sont tous professionnels.

Nous sommes autorisés à visiter les cuisines.

Nous pouvons nous asseoir et profiter d’un bon moment de détente.

Les plats s’enchaînent.

Pour le dessert, nous prenons un petit digestif du pays.

Nous digérons en effectuant une petite balade autour du restaurant.

Il est temps pour nous de reprendre la route pour nous diriger vers la ville de Seixal.

Nous traversons l’île de l’Est vers l’Ouest.

Nous avons rendez-vous avec un cultivateur de vignes qui fabrique son propre vin. Nous nous arrêtons au miradouro Véu da Noiva.

Face à ce paysage magnifique, même Andrea, notre chauffeur en reste stupéfait.

Le cultivateur arrive.

En sa compagnie, nous allons faire le tour de ses vignes.

En leur compagnie, nous nous rendons à Seixal afin de découvrir leur cave.

La vue sur les côtes de l’île nous attire irrémédiablement. L’adresse de la cave est au 7 Caminho do Farrobo, Seixal. Le numéro de téléphone est le 00351 963 817 928 ou le 00351 926 911 432. Les dégustations peuvent se faire après demande sur le seical@sapo.pt 

Nous entrons dans la cave des producteurs qui porte le nom de Vinho Tinto.

Il s’agit d’un des vins les plus fins de l’île.

Autour de la cave, nous découvrons les piscines naturelles de la ville.

Nous prenons à présent la route vers la ville de Porto Moniz qui comporte les plus belles piscines naturelles de l’île.

Nous arrivons en moins de dix minutes sur place.

Le site est incroyable.

Les roches volcaniques ont façonnées l’endroit durant millions d’années.

Alors que les plus courageux se baignent dans une eau peu chaude, certains s’adonnent à la lecture et à la farniente.

Nous faisons connaissance avec un pêcheur.

Nous avons une vue dégagée sur un paysage sublime.

Il est temps pour nous de reprendre la route en revenant sur nos pas pour découvrir les tubes de lave de Sao Vicente.

 

Nous nous garons sur le parking du site.

L’entrée coûte quelques euros par personne.

Nous entrons dans les tubes de lave en compagnie de notre guide.

Des bouteilles de vin vieillissent dans des conditions optimales.

Le site est fort intéressant.

De la mousse pousse à proximité des lumières, processus de la photosynthèse.

Les salles s’enchaînent.

Nous ne perdons pas une miette de ce spectacle.

De nombreux tunnels sont présents.

A présent, nous traversons l’île pour rejoindre le Sud ; fort heureusement, une route nationale avec tunnel nous permet de faire la route en moins de trente minutes, contre plusieurs heures avant la construction de cette route.

Nous arrivons à Cabo Girao, une sorte de mirador.

Le site est gratuit.

Sur une plaque en verre, nous observons un des plus beaux point de vue de l’île.

Nous nous rendons maintenant au restaurant : Vila do Peixe afin de déguster des spécialités culinaires à base de produits de la mer.  Le restaurant se trouve dans la ville de Camara de Lobos à l’adresse :  Rua Dr. João Abel de Freitas.

Nous arrivons au restaurant.

Nous pouvons commander.

Le chef travaille à la vue de tous les clients.

Nous commandons. Les plats qui s’enchaînent sont un véritable régal.

En outre, le transport est gratuit depuis la ville de Funchal.

Nous nous détendons ensuite dans notre chambre.

Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner rapide car nous devons rejoindre le port de Funchal afin de prendre un ferry pour nous mener vers la ville de Porto Santo.

Nous arrivons au port.

Les tickets coûtent 25 euros l’aller. Nous découvrons le ferry.

Le soleil se lève sur le port de la ville.

Nous quittons l’île de madère.

Après une journée à Porto Santo, nous revenons au port de Madère.

Notre chauffeur qui nous attendait nous dépose à notre hôtel ; nous profitons de ce dernier soir pour découvrir les alentours de l’hôtel.

Epuisés, nous commandons un plat rapide.

Le lendemain matin, nous nous réveillons et préparons notre départ. Nous nous rendons tout d’abord au quatrième étage de l’hôtel afin de prendre un bon petit-déjeuner.

Nous décidons ensuite pour tuer le temps de découvrir un peu plus en profondeur notre hôtel.

L’hôtel comporte de nombreuses chambres avec vue sur mer.

L’établissement comporte également un beau spa.

Avant de rejoindre l’aéroport, nous nous arrêtons dans le centre commercial le plus couru de l’île ; il se trouve non loin de notre hôtel.

Nous prenons à présent la route vers l’aéroport de l’île.

Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages pour rejoindre les Açores avec la compagnie SATA Azores.

Nous passons les contrôles de sécurité.

Nous en profitons pour manger un morceau.

Un bus nous conduit à notre avion.

Nous quittons Madère.