En provenance de Sint Maarten, nous nous rendons à Saint Martin.
Ou du moins, nous quittons la partie hollandaise de l’île pour rejoindre la partie française. Nous arrivons à la frontière, symbole de l’amitié entre les deux pays. Notre bateau, quant à lui a jeté l’ancre en baie de Philipsburg, la capitale de la partie hollandaise de l’île que nous venons de quitter. Saint-Martin est une collectivité française ; de ce fait, il n’y a pas de poste frontière et encore moins de visa à demander.
Les drapeaux de la France et des Pays Bas flottent au vent.
Nous quittons le poste frontière.
Nous prenons la route en direction de la capitale : Marigot, toujours en compagnie de notre chauffeur : Tony.
Le chauffeur nous a été réservé par Olivier de l’office du tourisme de Saint Martin basée à Paris ; Olivier est un être formidable, empli d’amour pour cet île qu’il sait si bien défendre ; l’office du tourisme peut se découvrir sur son site : http://www.iledesaintmartin.org
Tony est chauffeur depuis de longues années ; il connaît par coeur l’île de Saint Martin ; son bus est exceptionnel ; il comprend la Wifi et la télévision ; en outre, bien agréable, Tony n’hésite pas à pousser la chanson avec sa voix magnifique. Il peut être joint au 0059 690562831 ou sur le tonys_taxi@outlook.com
De nombreux contrôles de gendarmes sont présents sur la route.
Nous arrivons dans la ville de Marigot.
Nous traversons un quartier résidentiel.
Les maisons sont traditionnelles, certaines plus délabrées que d’autres.
Nous arrivons dans le centre ville.
Marigot n’est pas une grande ville.
Il y a peu de monde dans les rues.
Nous nous garons aux abords du marché.
Le marché frais étant fermé, seuls sont présents, les vendeurs d’habits et de souvenirs.
Au coeur du marché, une ombrelle accueille les visiteurs fatigués qui désirent se reposer.
Nous arpentons les allées du marché.
Nous en profitons pour admirer le port.
Quelques plaisanciers ont jeté leur dévolu sur la ville.
Néanmoins, il semble désert comparé à celui de Philipsburg, sur la partie hollandaise de l’île.
Nous en profitons pour le découvrir à notre rythme.
Les habitants sont très chaleureux.
Nous découvrons une multitude de bar à l’ancienne.
Les prix ne sont pas excessifs pour une capitale, qui plus est située sur une île.
Dans un autre bar, plusieurs hommes jouent aux cartes ; nous nous asseyons à leur table et les regardons jouer.
Nous prenons ensuite la route en direction de l’église de la ville.
L’église se situe non loin de là, en direction du fort Louis.
Nous en profitons pour découvrir plus en profondeur la ville.
Nous nous arrêtons face à l’église.
Il s’agit d’un beau monument.
Mais en ce début d’après-midi, elle est déserte.
Un peu plus loin, nous arrivons au fort Louis, un site touristique majeur du pays.
Nous grimpons quelques escaliers.
La vue commence à se dégager.
Quelques mètres avant d’atteindre le sommet.
Nous faisons une halte pour découvrir la baie de Saint-Martin.
Nous entrons dans le fort.
La vue est encore plus belle d’en haut.
Nous ne nous lassons pas d’admirer la ville de marigot qui révèle tout son potentiel.
La vue est à 180 degrés.
nous en profitons également pour découvrir le fort.
A son sommet, trône fièrement le drapeau de la France.
Des panneaux indicatifs nous renseignent sur l’histoire des lieux.
Nous nous dirigeons à présent vers le coeur de l’île, vers le pic paradis.
Nous roulons une bonne vingtaine de minutes.
La route commence à présenter une pente ardue.
L’île présente de nombreux reliefs.
Nous entrons avant de rejoindre les hauteurs du pic paradis, à la lotterie farm, un bar qui présente l’intérêt de se trouver dans un écrin de verdure.
Nous garons notre véhicule.
Nous pénétrons sur le site.
Nous grimpons un escalier, ce qui nous conduit à un bar.
L’ambiance est sereine ; nous lions connaissance avec plusieurs jeunes qui nous montrent leurs tatouages.
Nous continuons après avoir bu une bière, notre chemin.
Nous arrivons sur les hauteurs du pic.
La vue que nous avons sur l’île est la plus dégagée possible.
La baie complète de Saint Martin s’offre à nous.
Nous nous promenons un peu dans les environs.
Nous en profitons au maximum ; nous avons l’impression d’être seuls au monde. Nous redescendons ensuite dans la vallée.
Nous nous dirigeons vers la ville de Grand case.
Nous entrons dans la ville, capitale de la gastronomie des Antilles.
La ville comporte une cinquantaine de restaurants.
La ville en elle même n’est pas grande.
Nous nous garons aux abords d’une crêpière célèbre dans tout le pays.
Nous découvrons l’architecture locale. Ainsi que les habitants.
Nous arpentons la rue principale de la ville ; un bon fumet nous emplit les narines.
Des boutiques proposent pour une centaine d’euros, des sorties en bateau dans les îles voisines.
Il faut dire que les Antilles possèdent un archipel d’îles proches, dont l’inénarrable Saint Barth.
La ville de Grand Case est clairsemée de plages de sable blanc.
L’ambiance sur place est magique.
Les barbecues côtoient les restaurants traditionnels.
Nos nez et nos yeux sont en éveil.
Un chef nous aperçoit et nous invite à déguster sa cuisine.
Nous en profitons ensuite pour nous promener le long d’une plage.
Nous retournons voir le chef qui nous a invités afin de le saluer.
Nous buvons un dernier verre, attablés à la terrasse d’un restaurant.
Il est déjà l’heure de retourner au bateau qui a jeté l’ancre dans le port de Philipsburg sur la partie hollandaise de l’île.
Mais avant de partir, Tony, notre guide veut nous faire découvrir une plage magnifique.
La plage se situe dans le parc de la baie orientale.
Quelques locaux s’adonnent à leur sport favori.
Nous ne les imitons pas et nous préférons les regarder, assis sur le sable.
Il est à présent l’heure de rentrer. Nous franchissons une barrière invisible et quittons Saint Martin.