En provenance des Fidji, nous embarquons en direction des Samoa.
Nous prenons un vol avec la compagnie Air Fiji ; le vol décolle de Suva et dure 3 heures ; il coûte 300 euros.
Nous remplissons notre carte de débarquement.
Nous survolons les Samoa.
Nous nous apprêtons à atterrir.
L’avion entame sa descente.
Les roues se posent sur le sol.
Nous pénétrons dans l’aéroport et sommes accueillis par un musicien traditionnel.
Nous passons les contrôles de l’immigration ; en tant que Français, un visa nous est délivré gratuitement. Nous ne sommes pas contrôlés par les douaniers.
Nous faisons connaissance avec un chauffeur privé, un homme exceptionnel, marrant et généreux ; il s’appelle Elekosi Evagelia et il est joignable au 685 778 4522.
Il demande 70 euros par jour, voiture et essence compris pour se déplacer dans toute l’île ; il est un chauffeur inoubliable qui est responsable en grande partie de la réussite de ce voyage.
Notre chauffeur nous conduit jusqu’à son véhicule, un grand van.
Nous prenons la route en direction de l’Est de l’île.
Les maisons défilent.
Nous arrivons dans un beau village.
L’île est fleurie.
Chaque village comprend une église, une école et des tombes qui se trouvent devant les habitations, le gouvernement dans le pays n’étant pas propriétaire des terres.
Nous nous arrêtons sur la route afin de découvrir une école.
Le personnel enseignant nous accueille avec le sourire.
Non loin de l’école représentant une sorte de collège, une école primaire.
Nous reprenons la route.
Nous traversons nombre de petits villages.
Chaque maison comprend une sorte de hall traditionnel dans lequel les membres de la famille se regroupent en cas d’évènements exceptionnels.
Les enfants sur le bord du chemin nous accueillent avec de beaux sourires.
Nous nous arrêtons dans une épicerie afin de faire quelques achats ; les prix sont approximativement équivalents à ceux de la France.
Nous arrivons à proximité de la première chute.
La chute s’appelle Togitogiga.
Nous payons quelques euros l’entrée.
Nous continuons de rouler sur un petit chemin de terre.
Nous garons notre véhicule.
Nous continuons à pied.
La chute s’étend sur plusieurs niveaux.
Les arbres qui l’entourent donnent une touche de fraîcheur à l’endroit.
Nous reprenons notre route.
Nous nous dirigeons vers un des sites les plus touristiques de l’île.
Nous découvrons nombre de belles églises.
Nous arrivons sur le site de To Sua, un trou d’eau géant, ce qui est appelé ici : un giant hole.
L’entrée est de 20 euros.
Nous rejoignons en quelques minutes le trou géant.
Il est très profond.
A l’intérieur, des visiteurs se baignent.
Nous lisons quelques consignes de sécurité.
Nous découvrons les alentours.
Nous descendons. D’abord par des escaliers.
Puis par une échelle horizontale.
Nous nous empressons de plonger.
L’eau située dans cette sorte de cuvette est chaude.
Nous ne perdons pas une miette du site.
Nous nous lançons à l’eau.
Le site est unique.
Le soleil parvient à éclairer le trou en pénétrant par tous les chemins possibles.
Nous plongeons.
A certains endroits, nous pouvons apercevoir de gros poissons.
Nous remontons et découvrons les alentours du trou géant.
Nous reprenons la route ; nous nous dirigeons vers le Sud Ouest.
Nous traversons l’île en son centre ; nous arrivons aux chutes Sopoaga.
Trois euros par personne sont nécessaires pour entrer sur le site.
L’endroit est joliment fleuri.
Les chutes sont magnifiques.
Nous ne pouvons malheureusement pas descendre en contrebas.
Nous devons les admirer en hauteur.
Ce qui n’est pas plus mal pour les photographies.
Notre chauffeur nous explique ensuite la vie dans son pays ; il nous montre comment fabriquer de la crème de noix de coco.
Nous faisons connaissance avec une famille que l’on rencontre sur le site.
Nous continuons notre route en direction du Nord de l’île.
Le paysage est forestier et montagnard.
La route est en bon état.
Nous faisons une halte aux chutes Falefa.
Il s’agit de petites chutes entourées par de hauts arbres.
L’endroit n’a rien d’exceptionnel, mais il reste agréable.
Les chutes tombent dans un fleuve qui se jette dans la mer.
Nous reprenons la route ; sur le côté, les poubelles sont placées sur des supports où elles sont récupérées un jour par semaine.
Nous continuons notre route.
Nous traversons la ville de Piula.
Nous nous arrêtons aux abords de la Piula cave.
Nous payons 5 euros pour l’entrée.
Nous avons le site juste pour nous.
Nous n’hésitons pas à la parcourir.
L’intérieur de la cave est magnifique.
Des reflets ocres ornent les murs.
Nous nous enfonçons dans les profondeurs du site.
L’eau reste fraîche.
Nous nous dirigeons ensuite vers Apia.
Apia est une ville agréable.
Nous longeons le bord de mer.
La ville comporte de belles églises.
Nous nous dirigeons vers notre hôtel.
L’hôtel est situé non loin du centre.
Nous avons réservé une chambre au Samoan outrigger ; la chambre coûte 40 euros.
A l’intérieur de l’hôtel, nous louons une chambre dans une habitation traditionnelle.
La nuit tombe.
Nous nous rendons au Scalinis restaurant, un restaurant haut de gamme.
Nous dormons ensuite à l’extérieur.
Nous nous rendons demander conseil pour la visite de l’île de Savai’i à la réceptionniste.
Il fait nuit noire.
Après une journée de farniente, deux jours plus tard, nous retrouvons notre chauffeur qui nous conduit en plein coeur de la ville d’Apia.
Tôt le matin, nous visitons le marché aux poissons.
Ainsi que le port.
Nous nous rendons non loin de l’aéroport, plus précisément au port de l’île.
Nous devons circuler vers l’Ouest.
Nous arrivons au port.
Plusieurs jours après, nous retrouvons notre chauffeur pour continuer notre visite de l’île principale d’Upulu.
Nous faisons quelques emplettes dans un magasin.
Nous nous dirigeons vers le centre ville d’Apia.
Nous découvrons la ville en profondeur.
Nous visitons les abords du Parlement.
Puis nous longeons le bord de mer.
La température extérieure est de 35 degrés.
Etant donné que nous sommes dimanche, les rues sont désertes.
Mis à part quelques commerces, la plupart des magasins sont fermés.
Le centre semble fantôme.
Nous nous dirigeons vers la cathédrale.
Nous faisons connaissance avec le village traditionnel du pays.
Face à nous la cathédrale.
A sa gauche, le port.
Nous visitons les alentours.
Et découvrons ces constructions artisanales qui font la renommé du pays.
Nous entrons ensuite dans la cathédrale.
Nous nous arrêtons au Mac Donald’s.
Nous découvrons le marché aux légumes, fermé en ce jour béni pour les habitants.
Nous prenons la route vers un site très touristique.
Il s’agit du Papaseea sliding rock.
Nous payons 2 euros ; la propriétaire des lieux ne souhaite pas que l’on prenne de photos de l’endroit ; nous prendrons le gauche.
Il eut été dommage de se priver d’un tel endroit.
Il s’agit de rochers sur lesquels les habitants glissent.
En remontant, nous croisons la police ; sur le moment, nous croyons qu’ils sont là pour nous, suite à la prise de photos, mais nous apprenons qu’ils ont arrêté un conducteur qui a renversé peu avant un jeune garçon ; situation ubuesque, le conducteur en s’est pas arrêté pour se rendre sur le site et s’amuser en descendant les rochers ; le jeune garçon entre la vie et la mort s’en sortira ; le conducteur finira sa journée en prison.
Nous nous dirigeons à présent vers le coeur de l’île.
Nous faisons une halte à l’église des trois coeurs.
L’église surplombe le paysage.
Le chauffeur rencontre un de ses cousins.
Nous continuons notre route.
Nous faisons une halte à un temple.
L’endroit est très propre.
Il est fermé en ce dimanche, tout comme un musée située non loin de là et qui comprend la tombe de l’écrivain Stevenson.
Nous nous arrêtons ensuite à la chute Papapapaitai.
La chute est intéressante, quand bien même on ne peut pas descendre en contrebas.
La vue reste agréable.
Nous nous dirigeons à présent vers le côté Sud de l’île. Nous dormons dans une petite auberge.
Le lendemain, nous nous arrêtons sur un bord de plage.
Nous décidons de pratiquer du snorkelling.
Nous passons la matinée à découvrir les fonds marins.
Il y a un peu de corail.
Nous faisons connaissance avec un pêcheur.
Le chauffeur décide ensuite de nous emmener dans son village et partager un moment au sein de sa famille.
Nous en profitons pour découvrir une partie de l’île que nous n’avions pas visitée.
Nous arrivons chez le chauffeur.
Dehors, les cochons semblent domestiqués.
Des enfants sont enjoués de faire notre connaissance.
Des cochons mangent en faisant un bruit tonitruant.
La journée se déroule, partagée entre les moments d’émotion et les apprentissages de la culture locale.
La nuit commence à tomber.
Elikasi nous emmène à l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages et nous en profitons pour visiter l’aéroport après avoir embrassé chaleureusement notre chauffeur, un des meilleurs que nous ayons connu.
Nous faisons quelques achats.
Notre avion en direction de la Nouvelle Zélande arrive sans retard ; nous quittons les Samoa, un pays splendide en tous points de vue.