Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 300 photos montre intégralement notre voyage en Transnistrie, un pays qui se trouve entre la Moldavie et la Roumanie. Ainsi, nous avons pu découvrir ce territoire  pour en relater le vrai visage.

Pour ceux qui le souhaitent, vous pouvez découvrir notre enquête complète sur le pays en cliquant ici

Toujours en Moldavie, en provenance de Orhei, nous nous dirigeons vers la Transnistrie.

Nous longeons une longue ligne droite.

La Transnistrie est un état fantôme, non reconnu par la communauté internationale. Mais, la Transnistrie qui a fait sécession à la Moldavie possède une frontière terrestre que nous sommes obligés de franchir.

L’entrée en Transnistrie

Nous devons subir une légère fouille du véhicule et payer une somme de 35 euros de frais de dossier ; normalement, le visa est gratuit, mais ces frais sont justifiés pour la présence du véhicule. Nous ne pouvons pas passer outre. En plus, le visa accordé est normalement d’une journée, mais en négociant nous parvenons à la faire passer à trois jours.

Nous sommes autorisés à entrer dans le pays. Nous prenons la direction de la ville de Bender.

La Transnistrie étant aidée par la Russie, les routes sont en bon état.

A premières vues, la Transnistrie semble rurale.

Nous traversons quelques petites villes.

Nous nous arrêtons dans un grand magasin afin de faire le change de notre monnaie.

Nous ressortons avec des billets transnistriens.

Nous visitons cette petite ville peu intéressante.

Nous reprenons la route en direction de Bender, une grande ville de Transnistrie.

La route vers Bender est directe.

Peu de monde sur les routes.

Les petites villes s’enchaînent.

La campagne transnistrienne

Nous croisons alors une femme qui se trouve sur le bord de la route ; elle vend des fruits. Nous nous arrêtons à sa hauteur.

Non loin d’elle, une de ses amies.

Nous achetons à la femme le seau complet d’abricots pour la somme de 1 euros.

Nous reprenons notre route.

Nous traversons de longues portions rectilignes.

Nous faisons une halte sur le bas-côté.

Un agriculteur nous invite à passer un moment en sa compagnie.

Nous assistons au travail de l’agriculteur et de son frère.

L’agriculteur nous invite ensuite à grimper dans son tracteur.

Nous reprenons ensuite la route vers la ville de Bender.

Bender

Bender est située non loin de Tiraspol, la capital du pays, mais dans les faits, elles sont séparées par la ville de Parcani.

Nous rejoignons la route qui sépare Bender de Tiraspol.

Nous circulons en direction du centre de Bender. Quelques monuments rappellent l’ère soviétique.

Nous nous garons dans le centre ville.

Nous nous rendons au marché de la ville.

Les rayons sont bien fournis.

Nous arpentons ensuite les allées du centre ville.

Nous découvrons quelques commerces.

Nous nous rendons sur la route principale, dans un restaurant.

La place est moderne, mais les prix sont très bas, à peu près 50% moins chers qu’en France.

Nous nous faisons plaisir.

Nous dormons dans un petit hôtel et le lendemain, nous prenons la route vers Tiraspol.

Nous traversons la banlieue de la ville de Bender.

Nous rejoignons la ville de Tiraspol en quelques minutes. Sur la route, quelques barrages militaires.

Tiraspol

Nous entrons dans la périphérie de la ville de Tiraspol.

La circulation est presque inexistante.

Les habitations sont modernes.

Nous entrons dans le centre ville.

Les rues sont vides.

Nous découvrons une grande ville déserte.

Nous en profitons pour admirer une architecture typique, constituée de grands bâtiments.

Nous nous garons dans le centre ville.

Nous faisons la connaissance d’un joueur d’accordéon.

Le centre-ville n’est pas touristique ; il y a peu de monuments.

Mais, l’intérêt de la ville réside en ses grandes avenues désertes.

Nous entrons dans une épicerie faire quelques achats.

Nous décidons de rejoindre ensuite le parlement de la ville.

Face à nous, un char sur lequel s’amusent des enfants.

L’endroit est une place stratégique administrativement parlant ; mais la place regroupe également l’ensemble des monuments à découvrir de la ville.

Il nous suffit de traverser la route pour rejoindre une belle statue.

Nous retournons du côté du char et nous nous engouffrons dans un beau parc public.

Nous payons quelques centimes d’euros pour monter dans un train touristique, qui en mettant des airs soviétiques  dans un petit poste radio nous fait replonger dans le passé.

Nous longeons après notre ballade, la rivière.

Nous retournons sur nos pas et découvrons les monuments dédiés aux soldats du pays qui ont perdu la vie lors du conflit avec la Moldavie voisine.

Nous reprenons notre voiture pour rejoindre notre hôtel.

Nous arrivons sur place ; il s’agit d’un hôtel 4 étoiles pour la somme de 50 euros ; il possède une piscine et n’a rien à envier aux hôtels internationaux.

Le soir, nous prenons un dîner bien mérité.

Le départ

Le lendemain matin, nous reprenons la route en direction de la frontière avec l’Ukraine.

Nous devons dépenser le reste de notre argent, étant donné que nous ne pourrons plus le changer à l’étranger ; nous en profitons pour faire le plein, mais nous prenons conscience que le coût de la vie est si peu cher, qu’il nous reste près de 40 euros.

Nous nous arrêtons à la frontière. L’endroit regroupe de nombreux commerces ; il faut dire que les prix pratiqués sont si bas, que de nombreux ukrainiens font le déplacement depuis leurs pays tous les jours pour faire le plein de denrées de premières nécessités.

Nous entrons dans un magasin.

Nous nous faisons plaisir.

Le poste frontière avec l’Ukraine se trouve face à nous. Nous avons quelques minutes à patienter pour quitter ce pays fort intéressant.