En provenance de Alice Springs, nous nous dirigeons vers Cairns.
Nous embarquons à bord d’un vol avec la compagnie Quantas ; le vol dure 2 heures et coûte 150 euros.
Nous survolons le coeur de l’Australie.
Nous nous posons dans la nuit à l’aéroport de Cairns.
Nous récupérons nos bagages ; aucun contrôle de sécurité ne nous ralentit.
Nous prenons un taxi pour atteindre le centre ville ; le prix de la course est de 10 euros.
Le chauffeur nous arrête en plein centre ville, aux abords du lagon artificiel de la ville.
Nous posons nos affaires dans l’auberge que nous avons réservé ; pour un prix de 50 euros, nous avons une chambre miteuse. Nous rejoignons ensuite l’extérieur.
La baie de Cairns est splendide.
Le jeu des couleurs des arbres illuminés donne un côté festif à l’endroit.
Les couleurs varient par intermittence.
Nous découvrons ensuite le centre ville.
Nous mangeons un morceau.
Nous rejoignons notre auberge de jeunesse dans laquelle se trouvent essentiellement des jeunes adultes qui voyagent en mode backpackers.
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers la marina. Nous allons effectuer une expédition dans la grande barrière de Corail.
Nous suivons les indications.
Nous nous présentons au port.
Nous avons réservé avec la compagnie Sea star cruises, qui peut être contacté sur le site www.seastarcruises.com.au
Le prix de l’expédition durant la journée coûte prés de 150 euros par personne ; à ce prix, il convient de rajouter prés de 50 euros par plongée.
Le départ étant prévu à 8 h 00, nous avons le temps de prendre un petit déjeuner ; il ne faut pas beaucoup manger car le trajet jusqu’à la grande barrière de corail dure prés de 2 heures en bateau et les conditions de navigation ne sont pas bonnes, ce qui entraîne l’apparition de nombreux tangages.
Nous faisons connaissance avec l’équipe ; la grande barrière peut s’atteindre également de Port Douglas, une ville proche.
Le port de Cairns est vaste.
Il mélange les bateaux de plaisanciers et les bateaux de pêcheurs.
Une fois quelques salutations d’usage effectuées, nous partons.
L’océan est déchaînée.
Nous faisons connaissance avec la grande barrière de corail.
Au bout de quelques minutes, quelques personnes commencent à tomber malades.
Les sacs de vomi s’enchaînent bientôt.
Nous sommes secoués ; je supporte le trajet malgré quelques nausées.
Nous arrivons dans la grande barrière, sur le secteur de Mickaelmas Cay.
Face à nous, un îlot de sable.
Nous apercevons les coraux.
Nous enfilons nos combinaisons afin de ne pas avoir froid.
D’autres expéditions sont déjà sur place.
Nous rejoignons une petite embarcation.
Nous accostons sur l’îlot.
Nous effectuons du snorkelling.
Le corail apparaît.
Le fond marin est riche.
Il est également préservé.
Nous n’en perdons pas une miette.
Le corail est important pour la faune marine.
Les poissons s’en servent pour se protéger et se nourrir.
Nous sommes appelés sur le bateau.
Nous en profitons au maximum.
Nous sommes les derniers à monter à bord.
Le temps est assez gris ; il fait froid malgré nos combinaisons.
Sur l’îlot, des milliers d’oiseaux.
Ainsi que des plaisanciers privés.
Malgré le temps, l’eau est d’un bleu à faire pâlir les îles paradisiaques.
Nous en profitons pour boire un peu afin de nous hydrater.
Le bateau tangue.
Ce qui n’empêche pas certaines personnes de manger.
On nous prévient que nous allons pouvoir commencer à plonger.
Etant donné que nous n’avons pas notre Padi, nous serons accompagnés par un instructeur.
Plonger est un véritable bonheur ; les réflexes s’acquièrent rapidement.
Nous descendons vers 12 mètres de profondeur.
Nous côtoyons de prés ces fonds marins.
L’eau et l’air semblent fusionner.
Après une demi-heure de plongée, nous remontons à la surface.
Le bateau rejoint à présent une autre partie de la barrière : Hasting reef.
Nous arrivons sur le site.
A nouveau, une légère embarcation se dirige afin de voir la praticabilité du site.
Nous retrouvons nos combinaisons.
Nous effectuons notre deuxième plongée.
Les récifs sont bien marqués.
Nous descendons à 15 mètres.
Le silence de l’océan est troublé par les bulles d’air de notre masque.
Nous resterions des heures dans cet infini aquatique.
Après une demi-heure, nous rentrons.
Le trajet est encore plus violent que l’aller.
Une tempête s’abat sur nous.
Le temps se calme subitement.
Après avoir salué nos hôtes d’une journée, nous retournons au centre ville.
Nous profitons d’une accalmie pour nous promener sur le bord de mer.
Le lagon est désert.
Les habitants lui ont préféré les barbecues mis gratuitement à leur disposition pour se faire quelques grillades.
De nombreux artistes chantent dans la rue.
Nous en profitons pour manger un morceau.
Nous arpentons les rues de la ville.
Deux jours plus tard, dans la nuit, nous nous réveillons à 4 heures du matin ; nous appelons un taxi afin qu’il nous conduise à l’aéroport.
L’aéroport est encore désert.
Un employé arrive ; nous enregistrons nos bagages en direction de Brisbane.
Notre vol est appelé.
Nous embarquons dans un avion de la compagnie national Quantas airways ; le vol dure 2 heures te coûte 200 euros.
Nous assistons à un lever de soleil magnifique.
Nous survolons la côte Est.
La ville de apparaît sous nos pieds.
Nous atterrissons.
Etant donné que nous nous trouvons en zone domestique, nous ne subissons aucun contrôle.
Nous quittons l’aéroport.
Nous devons rejoindre le bâtiment qui se trouve face à nous.
Nous louons notre véhicule au sein de la compagnie Budget : une centaine d’euros par jour. Pour 300 kilomètres par jour.
Nous prenons sans attendre la direction de la Gold coast.
Pour l’atteindre, une centaine de kilomètres est nécessaire.
Nous quittons l’autoroute en direction de la ville de Surfer paradise.
Nous longeons une série d’habitations.
Nous arrivons à une plage intéressante.
Le sable est très fin.
Nous avons une vue à couper le souffle.
L’eau est un peu froide pour s’y baigner.
Quelques promeneurs s’adonnent à leur petit plaisir.
Nous reprenons la route en direction de la ville.
Surfer paradise est une ville qui comporte nombre d’habitations.
De grands buildings austères font face à l’océan.
Nous arpentons un petit parc.
Des retraités y passent leur journée.
Un maître nageur surveille les badauds.
Nous retournons à notre voiture.
Nous nous garons et découvrons à pied cette ville.
Mais, il faut dire qu’elle ne présente pas un grand intérêt.
Nous reprenons notre voiture.
Nous décidons de retourner à Brisbane après avoir passé la nuit sur place dans une petite auberge.
Nous suivons le GPS.
Nous parvenons à retourner sur l’autoroute.
Après une heure de route, nous nous dirigeons en direction du parc Lone Pine.
Le parc est une véritable attraction touristique.
Il présente la spécificité de côtoyer de prés nombre d’espèces endémiques du pays.
Quelques chauve-souris…
Mais surtout des koalas.
L’animal semble paresseux.
Nous nous dirigeons vers l’enclos des kangourous. Nous y croisons des émeus.
Ainsi qu’un wallabi.
Mais surtout des kangourous.
L’animal est situé dans un grand enclos.
Il vit au milieu de ses congénères.
Une scène attendrissante se déroule devant nous.
Un bébé kangourou se fait chasser par le mâle de la troupe. Il va chercher du réconfort auprès de sa mère.
Nous pouvons caresser les animaux.
Ils ne sont pas farouches.
Nous nous dirigeons ensuite vers l’enclos aux koalas.
Pour une vingtaine d’euros, nous avons droit à une photo souvenir.
Le photographe, un Italien nous amuse ; son Anglais avec une pointe de Méditerranée ainsi que son intonation de voix laisse à penser à un shooting de mode.
Nous reposons le koalas qui après quelques efforts est remis sur son arbre.
L’animal est un gros mangeur.
Nous continuons notre découverte du parc : les dingos.
Ainsi que les diables de Tasmanie.
Un dernier regard sur les animaux.
Nous nous dirigeons vers la sortie.
Nous traversons la boutique cadeau.
Nous nous dirigeons vers le centre ville de Brisbane afin de gagner notre auberge.
Le lendemain, après avoir passé la nuit dans une petite chambre, nous nous dirigeons vers le centre ville.
La ville est intéressante.
Et ce, contrairement à nombre de voyageurs qui la trouvent surfaite.
Nous arpentons le quartier économique de la ville.
Nous passons ainsi la journée en plein coeur de cette ville.
En milieu d’après midi, après nous être reposé quelques instants dans un café, nous continuons notre découverte.
Nous visitons une petite église.
Ainsi qu’un petit parc.
Nous retournons à notre auberge afin de nous changer ; à pied, nous retournons au centre ville.
Le soleil commence à tomber.
En fin d’après midi, des bouchons se forment.
Les couleurs sont plaisantes.
Nous continuons notre route.
Nous achetons un paquet de cigarettes ; au prix de 25 euros le paquet, les cigarettes sont rangées et fermées à double tour ; aucun paquet n’est visible ; le pays se livre depuis plusieurs années à une bataille totale contre le fait de fumer.
Nous mangeons de bons sushis.
Nous nous dirigeons vers l’hôtel de ville.
Le soir, la ville change de visage.
Les jeunes se rejoignent à l’extérieur.
Le town hall s’illumine.
Des dizaines de jeux de société sont mis gratuitement à disposition des habitants.
La jeunesse se laisse aller à la fête.
La ville est agréable.
Le lendemain matin, après une courte nuit, nous nous dirigeons vers l’aéroport.
Nous rendons notre véhicule.
Nous déposons les clefs au guichet de la société Budget.
Nous embarquons pour les îles Salomon.
Nous procédons au contrôle des passeports.
Nous patientons dans un aéroport immense.
Nous sommes appelés à embarquer.
Brisbane et l’Australie s’éloignent.
Nous en profitons pour nous reposer.