Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 2000 photos montre intégralement notre voyage en Australie, un pays qui se trouve en Océanie. Ainsi, nous avons passé un long moment à arpenter ce territoire pour en découvrir toutes les merveilles.
Dans ce récit, nous vous présentons le vrai visage de ce pays ainsi que les incontournables que nous avons découverts de l’Australie du centre.
Pour les lecteurs intéressés pour découvrir notre récit de voyage du Nord du pays, rendez-vous sur le lien suivant.
Pour les lecteurs qui désirent lire notre récit sur l’Australie de l’Est, rendez-vous ici.
Et pour ceux qui désirent découvrir notre récit sur le Sud de l’Australie, rendez-vous sur le lien suivant.
Le vol vers Alice Springs
En provenance de Darwin, nous prenons un vol pour Alice Springs, dans le coeur du pays.
Nous survolons le centre australien.
Le décor ocre s’étend à perte de vue.
La ville d’Alice Springs apparaît sous nos pieds.
L’arrivée à Alice Springs
Après avoir atterri, nous descendons de l’avion. Nous traversons l’aéroport sans contrôle.
La température extérieure est de 25 degrés.
Nous nous rendons au comptoir de la compagnie Hertz afin de réserver notre véhicule. Nous payons la somme de 70 euros par jour ; par contre, nous n’avons que le droit de parcourir 300 kilomètres par jour, sous peine de nous voir imputer un dépassement.
Route vers le sud
Nous prenons la route immédiatement en direction du Sud du pays.
La direction d’Uluru est bien indiquée.
La route est en ligne droite.
Sur les bas-côté, de nombreux buissons.
Les premiers panneaux indiquant la présence de kangourous font leur apparition.
Le Cannonball memorial
Nous tournons après quelques centaines de kilomètres à droite en direction d’Uluru.
Nous pouvons à présent rouler à 130 km/h.
Nous faisons une halte pour découvrir le Cannonball mémorial.
Un paysage surprenant
Le décor autour de nous commence à changer.
Le bush australien commence à apparaître.
Et avec lui, les couleurs rouges de son sable.
Une longue route vers Uluru
La route est longue et ennuyeuse.
Nous faisons une halte dans une station service, peu nombreuses dans ce secteur.
Le prix de l’essence est doublé par rapport à celui en ville ; tout comme le prix des produits alimentaires.
La reprise de la route
A plusieurs reprises, nous nous arrêtons sur le bas côté. Nous admirons ces couleurs chatoyantes qui nous entourent.
Le mont Conner
Le lendemain, après une nuit dans un petit hôtel hors de prix, nous reprenons la route ; après une centaine de kilomètres, nous nous arrêtons afin de découvrir le mont Conner.
La ville d’Ayers Rock
Nous pénétrons dans la ville d’Ayers Rock, voisine du parc national d’Uluru.
La ville est peu vivante ; elle ne contient que des habitations et un hôtel excessivement cher : prés de 250 euros la nuit.
L’entrée dans le parc national Uluru-Kata-Tjuta
Nous prenons la direction du parc national qui comporte le monument naturel Uluru, ainsi que les montagnes Kata Uja. Une mince queue de véhicules nous ralentit. Nous apercevons le poste d’entrée dans le parc.
Après avoir payé 25 dollars par personne, nous pénétrons sur le site.
Uluru (Ayers Rock)
Nous nous stationnons sur le bas côté afin d’apercevoir ce monument que nous avons tant désiré.
Il s’agit d’un rocher mythique qui est l’emblème du pays.
Une fine pluie tombe soudainement.
Nous avons la chance de vivre ce moment de pluie, même si ce temps n’est pas idéalement conseillé pour la prise de photographies. Nous décidons de nous positionner à un autre endroit.
Nous nous garons au Nord du monument.
Les couleurs de ce rocher sacré sont vives. Le rocher est vénéré par les aborigènes.
Il est possible de grimper sur le rocher, mais cette ascension est déconseillée par les populations locales.
Tout comme il est interdit de recueillir une pierre du rocher ; la légende raconte que celui qui vole un morceau du rocher sera maudit ; la petite anecdote raconte que chaque année, des kilos de pierre sont envoyées par la poste, pierres ayant été récupérées sur le site par les visiteurs.
Nous nous contentons d’admirer ce monument que nous avions fantasmé durant tant d’années.
Il se trouve enfin devant nous.
Le centre culturel
Après l’avoir touché respectueusement, nous nous dirigeons vers le centre culturel qui se trouve non loin de là.
Nous parcourons le site à pied.
Le centre est tenu par des Australiens blancs, et ce quand bien même le parc est géré par des aborigènes, le gouvernement leur ayant attribué une concession pour plusieurs années.
Le centre n’est pas très intéressant et nous préférons écourter notre visite pour nous diriger vers les Kata Tjuta, les montagnes sacrées qui se trouvent à une trentaine de kilomètres dans le parc.
Nous reprenons la route.
Nous pouvons les apercevoir.
Les Kata Tjuta
Elles sont majestueuses.
Nous pouvons effectuer une excursion à l’intérieur, mais nous lui préférons une visite avec une plus belle vue.
Nous garons notre voiture et marchons quelques mètres.
Nous avons une vue splendide sur le site.
Et après quelques heures, nous avons la chance d’assister à un coucher de soleil.
Les couleurs sont les plus belles que nous avons découvert jusqu’à présent.
Le site semble s’envelopper d’une enveloppe de lumière.
Des visiteurs organisent un pique nique géant autour des montagnes.
Le coucher de soleil à Uluru
Nous ne nous attardons pas et nous nous dépêchons afin de pouvoir assister au coucher de soleil sur le mont Uluru.
Nous arrivons juste à temps. Un spectacle édifiant se dresse devant nous.
Jusqu’à la tombée de la nuit, nous assistons le soleil qui se couche. Un décor qui restera gravé dans notre mémoire.
Un peu plus loin, le spectacle se prolonge.
Le ciel semble se déchirer.
Route de nuit vers Kings Canyon
Nous prenons ensuite la route vers le Kings Canyon.
Sur le route, nous nous arrêtons afin de manger un morceau dans un restaurant faisant également office de station service.
Les prix sont relativement excessifs. Nous continuons notre route en direction du Kings Canyon.
Tard dans la nuit, nous arrivons à l’hôtel Kings canyon frontier lodge ; nous prenons un lit dans un dortoir pour la somme de 40 euros la nuit par personne ; cependant, nous aurons la chance de bénéficier du dortoir intégral.
Le lendemain matin, nous avons une vue magnifique.
Nous achetons quelques victuailles à la station service proche de l’hôtel. Nous prenons ensuite la route du Kings canyon.
Le Kings canyon
L’entrée du parc est gratuite ; nous garons notre voiture.
Nous nous dirigeons vers le site de la montée.
Nous découvrons le décor qui nous entoure.
Le site est majestueux.
Nous commençons la montée.
La vue est magnifique.
Nous faisons attention de ne pas tomber.
Les parois sont abruptes.
Arrivés en hauteur, nous continuons à longer les parois sur un chemin praticable.
Nous rencontrons deux Australiens qui ont l’habitude de venir sur le site afin de faire de belles promenades.
Le départ
Nous continuons ensuite notre route ; sur le bas côté, nous trouvons des melons que nous ne mangerons pas, par peur d’être intoxiqué.
Nous croisons plusieurs dromadaires sauvages.
La végétation est peu variée.
Certains véhicules accidentés sont abandonnés sur le bas côté.
Le chemin nous semble long.
La rencontre avec des aborigènes
En nous arrêtant à une station service, nous croisons la route d’un aborigène : Eric, qui nous invite dans son village un peu plus loin.
Nous faisons la connaissance de sa famille qui nous explique comment tailler le bois et en faire des objets décoratifs.
Nous passons un agréable moment.
Le meteorite craters
Nous reprenons ensuite la route. Nous faisons une halte au Meteorite craters.
L’entrée est également gratuite.
Le site comprend plusieurs cratères résultant d’impacts météoritiques.
Nous en faisons rapidement le tour.
La découverte du site reste tout de même agréable.
Nous reprenons la route en direction d’Alice Springs. Nous arrivons en périphérie de la ville.
Alice Springs
Une soirée tranquille
Nous prenons la direction du centre.
Contrairement à ce que nous avions pu penser, la ville est assez grande. Nous dépassons sa banlieue.
Il nous faut bien vingt minutes pour rejoindre le centre ville. Nous mangeons un morceau ; nous croisons de nombreux aborigènes ; un Australien blanc nous explique que malgré les dissensions qu’ils ont pu avoir avec les aborigènes, aujourd’hui, la mixité aidant, ils sont de mieux en mieux intégrés, quand bien même une grande partie de cette population est encore marginalisée, empêtrée dans des addictions d’alcool ou de drogues ou refusant de travailler, vivant à minima avec les allocations versées par le gouvernement qui achète de cette manière la paix sociale.
Le soleil commence à se coucher ; les rues se vident.
Nous effectuons quelques courses.
Nous quittons le centre commercial.
Nous reprenons notre voiture et nous nous dirigeons vers notre hôtel : une auberge de jeunesse à une cinquantaine d’euros la chambre.
Le lendemain matin, nous nous réveillons et nous nous dirigeons vers le centre ville.
L’église de la ville
Nous découvrons un musée, puis une église.
Les hauteurs de la ville
Nous décidons de grimper dans les hauteurs de la ville.
L’entrée du site est gratuite.
Nous pouvons apercevoir toute l’étendue de la ville.
De nombreux panneaux indicatifs nous permettent d’aiguiser nos connaissances sur la faune et la flore locale.
Le Desert parc
Nous nous dirigeons ensuite vers le Desert parc ; nous payons 20 euros par personne pour entrer dans le parc, qui présente les animaux du centre australien.
Avant de commencer notre visite, nous buvons un café. Nous entrons ensuite dans le parc.
Le parc donne au visiteur un sentiment de liberté ; les animaux sont en quasi liberté et les interactions avec les visiteurs sont grandes.
Nous découvrons en premier lieu les dingos.
Nous nous dirigeons ensuite vers les émeus.
Les animaux sont assez craintifs.
Cependant, nous parvenons à les admirer de près.
Une petite volière nous donne l’occasion d’admirer les oiseaux locaux.
Contrairement aux émeus, les oiseaux ne sont pas craintifs.
Mais le meilleur moment de la visite reste la rencontre avec les kangourous.
Les animaux sont magnifiques.
Ils se déplacent avec nonchalance.
Nous passons un agréable moment.
Nous faisons la rencontre avec un employé du parc, un ancien Belge avec lequel nous plaisantons. Nous découvrons ensuite les reptiles du désert.
Dont le célèbre diable du désert.
Nous quittons ensuite le parc.
Le coeur d’Alice Springs
Nous retournons dans le coeur d’Alice Springs.
Nous découvrons une ville agréable.
Les populations blanches et aborigènes se mélangent.
La mixité est omniprésente.
C’est alors qu’une scène amusante se produit devant nous ; un homme blanc joue de la musique ; un aborigène lui remet une pièce ; mais l’aborigène veut jouer avec l’homme blanc qui refuse de prêter son instrument ; l’aborigène se baisse et récupère sa pièce.
Nous nous détendons dans le parc qui se trouve aux abords de la mairie.
Les oeuvres aborigènes
Plusieurs magasins comprennent de l’art aborigène.
Les peintures se vendent plusieurs milliers d’euros. En discutant avec un des galeristes, nous sommes invités à découvrir des aborigènes peignant.
On nous remet une adresse.
L’artist studio
Nous nous dirigeons vers l’artist studio.
Nous assistons au travail de plusieurs aborigènes.
Nous sommes épatés par le travail accompli.
Route vers l’aéroport
Nous nous dirigeons ensuite vers l’aéroport.
L’aéroport d’Alice Springs
Nous rendons notre véhicule.
Nous patientons dans le hall du Terminal. Notre vol en direction de Cairns est appelé.
Le départ
Nous grimpons dans l’avion.