En provenance de Dhaka, nous survolons le Bhoutan.

  

Les hautes montagnes de l’Himalaya pointent le bout de leur nez.

Nous nous approchons des cols élevés ; l’atterrissage à Paro, ville dans laquelle se situe l’aéroport international du pays est compliqué : les pilotes qui travaillent pour la compagnie nationale Druk air sont les mieux formés au monde.

Après deux heures de vol en provenance du Bangladesh pour un coût de 400 euros, nous atterrissons à Paro.

 

Du tarmac, nous rejoignons le hall de l’aéroport ; entrer au Bhoutan est particulier. Le voyage doit s’effectuer uniquement en partenariat avec une compagnie agréée par le gouvernement. En France, la maison du Bhoutan organise cette découverte du pays : il en coûtera 250 dollars par jour par personne ; ce tarif comprend la nourriture, le transport, le guide, l’hébergement et les visites, mais le planning et le nombre de jours doit être validé en avance avec l’agence. Les prix sont les mêmes pour toutes les agences, mais néanmoins, la qualité du séjour va différer en fonction des guides. Tous les guides ne se valent pas et en fonction de leur travail, les touristes découvriront soit le vrai visage du pays, soit un visage factice. Nous avons eu la chance de travailler avec le meilleur guide du pays. Il peut organiser tout le périple, du visa jusqu’au billets d’avion. Pour le contacter, adressez vos coordonnées et vos dates de séjour dans la partie Contact de ce site. Je vous mettrai en relation.

Nous entrons dans l’aéroport. Notre visa a été payé directement à l’agence ; il en a coûté 40 euros. Il couvre toute la durée de notre séjour. Il faut préciser que les hôtels correspondent aux normes standards de qualité. cependant, les voyageurs qui le souhaitent peuvent se rendre dans des hôtels différents, mais ils devront en assumer le coût.

Nous récupérons nos bagages.

Nous croisons un moine d’un certain âge.

Nous passons les contrôles des douanes. Les douaniers nous demandent si nous avons du tabac ; nous leur répondons par la négative ; ils nous laissent passer sans nous fouiller ; il faut savoir que le tabac est interdit dans tout le pays, sous peine d’une amende de près de 200 euros. Mais, la plupart des touristes fument dans les campagnes, dans les voitures des chauffeurs ou dans leurs chambres d’hôtel.

Quand bien même tout notre séjour est déjà réglé, nous effectuons le change de 100 euros pour avoir toujours de la monnaie locale sur nous.

Nous sortons de l’aéroport.

Notre guide Thinley nous attend ; il s’agit d’un jeune homme dynamique, toujours enclin à nous aider et qui se détourne du chemin officiel pour nous présenter le vrai Bhoutan, celui que les touristes ne voient généralement pas. Pour le contacter, passer par la partie Contact du site www.hors-frontieres.fr

Il nous est offert dés notre arrivée, une écharpe traditionnelle de bienvenue. Nous prenons la route en direction de la ville de Paro.

Notre chauffeur avec lequel travaille généralement Tiley est également d’une grande gentillesse et d’un grand professionnalisme.

  

Immédiatement, Tiley souhaite nous présenter la vue de la vallée de Paro, avec l’aéroport en plan d’ensemble, niché au coeur des montagnes.

Nous reprenons notre route.

Nous nous trouvons à près de 2000 mètres d’altitude.

Nous entrons dans la ville de Paro.

Nous nous garons.

  

Nous découvrons la place centrale, qui comprend des jeux, utilisés par les habitants pour faire un peu d’exercices.

 

Des oranges poussent en plein centre ville.

Nous traversons un quartier d’HLM.

 

Nous rejoignons notre restaurant afin de pouvoir manger.

Nous continuons ensuite notre découverte de la ville.

  

Nous quittons la ville pour nous rendre dans la vallée de Paro, à quelques minutes de route.

Nous nous arrêtons dans un champ. Un agriculteur pousse à la main une sorte de tracteur portatif.

 

Un groupe de paysans nous interpelle ; l’homme nous invite à boire du lait de Yak.

       

Nous repartons ensuite.

  

Nous rejoignons le tiger monastery.

 

Nous traversons un pont suspendu.

  

La vallée est agréable à parcourir.

Nous faisons une halte pour faire la rencontre d’un agriculteur traditionnel.

 

Nous continuons notre route.

Nous arrivons à l’entrée du monastère du tigre ; le monastère se trouve en hauteur ; il faut près de 2 heures pour y monter ; mais, l’altitude ne facilite pas la tâche ; nous choisissons de le découvrir du sol, afin de garder nos précieuses heures pour visiter la ville de Paro.

De nombreux marchands proposent leurs souvenirs.

Les voyageurs peuvent prendre un cheval pour rejoindre le monastère ou du moins, effectuer un petit bout de chemin, le reste se faisant à pied.

    

Le monastère ayant brûlé il y a quelques années, il a été reconstruit dans son intégralité.

 

Nous retournons dans la ville de Paro.

 

Le guide nous arrête sur la route afin de découvrir un autre vue du monastère.

Les couleurs jaunes des champs défraîchis donnent au pays un coté nature morte intéressante.

Nous faisons une halte sur le bord de la route afin de découvrir des travailleurs indiens, qui toute la journée cassent des cailloux, comme les forçats du bagne Français ; mais eux oeuvrent pour quelques centimes de l’heure afin de reconstruire les routes. Tout travail se fait de manière manuelle.

  

Nous rejoignons ensuite une boutique d’arts manuels.

 

Il nous faut quelques minutes pour rejoindre la boutique.

Nous nous garons et entrons dans la boutique.

 

Au sous-sol, nous découvrons deux artisans travailler à l’ancienne.

 

Nous nous dirigeons ensuite vers le dzong de la ville.

Nous nous y rendons à pied depuis le parking à une dizaine de minutes du site.

Les dzong sont des lieux fantastiques du pays ; chaque grande ville en comporte un.

 

Les prises de vidéos sont interdites à l’intérieur des Dzong et les photos sont interdites à l’intérieur des temples, mais il est facile d’en faire. Par contre à l’intérieur des temples, il convient d’être prudent en faisant des photographies, car les appareils peuvent être confisqués.

Nous continuons notre découverte des lieux.

  

A l’intérieur du dzong se trouve une cour de justice.

Nous entrons dans le temple et suivons un moine qui se recueille face à la vallée qui se trouve en contrebas.

La vue est magnifique et invite au recueillement.

Nous retournons à l’intérieur du site.

  

Nous quittons le dzong en le contournant par l’extérieur.

Nous pouvons ainsi le découvrir dans son ensemble.

     

Le décor qui l’entoure est somptueux.

 

Nous retournons dans la ville de Paro afin de chercher les affaires des accompagnateurs.

  

Nous prenons la route en direction de la vallée de Haa, au Sud de la ville à une soixantaine de kilomètres.

Nous faisons plusieurs haltes pour découvrir la vallée de Paro d’une hauteur satisfaisante.

Nous reprenons la route.

Nous grimpons dans les hauteurs du pays.

  

La route est dangereuse et sinueuse.

Sur la route à de nombreuses reprises, nous croisons des drapeaux contenant des prières.

  

Nous devons nous arrêter à plusieurs reprises, car un membre de notre groupe est malade ; en effet, il a été contaminé au Bangladesh par une bactérie présente dans la nourriture. Cette bactérie résistante nécessitera un traitement long avec des antibiotiques pour disparaître. Mais en l’attente, la route sinueuse, l’altitude et la maladie font un cocktail explosif difficile à supporter.

Nous arrivons au col de Chele La à la tombée de la nuit.

Nous arrivons dans la ville de Haa en pleine nuit.

Nous rejoignons l’hôtel qui nous a été réservé.

 

Nous prenons un bon repas.

  

Le lendemain matin, après une bonne douche, nous admirons la vue que nous avons de la fenêtre.

Face à nous, les montagnes de l’Himalaya.

Nous découvrons la vallée de Haa.

Nous nous rendons ensuite dans la ville de Haa.

La ville est agréable.

La promenade permet d’avoir de belles vues sur la vallée, et ce à différents endroits de la ville.

 

Nous rejoignons le temple de la ville.

Pour s’y rendre, nous devons emprunter plusieurs ponts.

Nous entrons dans le temple.

 

De l’encens parfume l’endroit.

Nous rejoignons ensuite une scierie qui se trouve non loin du temple.

Nous avons une belle vue sur la rivière.

Nous faisons connaissance avec une famille de Népalais, qui nous invite à découvrir la maison familiale.

 

En rejoignant la capitale : Thimphou, nous décidons de prendre deux autostoppeuses qui avançaient avec difficulté, la faute à une lourde charge qu’elles devaient transporter sur plusieurs kilomètres.

Nous déposons les filles dans leur village.

Nous faisons une halte pour faire la rencontre d’une jeune fille qui prie à l’intérieur d’un regroupement de poteaux. La scène est très belle.

La jeune fille part ensuite, nous laissant seuls avec ces témoignages religieux.

Nous reprenons notre route.

   

Nous traversons de nombreux petits hameaux.

Nous nous enfonçons dans les montagnes.

 

Nous buvons un café dans un petit village.

La route est de plus en plus sinueuse.

 

Les maisons se ressemblent toutes.

Les façades des maisons sont travaillées.

 

Dans un petit village, nous découvrons plusieurs hommes jouer au Khuru, une sorte de jeu de fléchettes. Les hommes s’affrontent en deux équipes. A chaque fois que la cible adverse est touchée, les vaincus, en gage de respect organise une danse improvisée.

 

L’ambiance est bon enfant.

 

Le tout, face à une vallée superbe.

 

En continuant notre route, nous acceptons une autre femme qui fait du stop ; nous ne pouvons pas laisser ces gens marcher alors que nous avons un véhicule.

Quelques kilomètres après, nous nous arrêtons dans un bidonville. Vivent là des Indiens, qui sont entrés dans le pays pour essayer de changer leur vie.

 

Les habitants nous accueillent les bras ouverts ; nous leur remettons quelques affaires, surtout pour les enfants.

Nous reprenons la route.

 

Nous ne nous lassons pas d’admirer le paysage.

Nous saluons notre autostoppeuse.  Une voiture la conduira à Paro.

Nous continuons en direction de Thimphou.

 

Nous nous arrêtons à nouveau sur la route afin de découvrir un paysage intéressant non loin de la frontière avec l’Inde.

 

Plusieurs édifices religieux ont été construits en contrebas.

   

Nous assistons à un contrôle routier de la police.

Nous reprenons la route.

Il nous faut encore une heure pour rejoindre la capitale.

Nous entrons dans la ville.

La ville n’est pas grande, mais il nous faut tout de même traverser sa banlieue.

 

De grands immeubles parsèment la route.

  

De nombreuses marques automobiles ouvrent à tour de bras des enseignes le long de la route.

Nous entrons dans le centre.

   

Les constructions s’enchaînent. La ville se développe à grande vitesse.

 

Au coeur de la ville, la circulation est plus dense.

Nous arrivons en son centre ; nous nous rendons au restaurant réservé par notre guide.

L’endroit est propre ; sur la carte, nous pouvons choisir ce que nous voulons.

Une fois le repas terminé, nous reprenons notre voiture pour nous rendre à l’archery, assister à un entraînement de tir à l’arc, le sport national.

 

Il nous faut moins de 5 minutes pour rejoindre le site.

   

Deux sortes de tireurs cohabitent : les tireurs à l’ancienne avec leur arc traditionnel et les tireurs plus modernes, avec un arc homologué pour les compétitions. Dans tous les cas, tous parviennent à viser en plein centre, une cible située à 150 mètres, cible que nous ne parvenons pas à voir. Lorsque nous les questionnons sur leur place aux Jeux Olympiques, ils nous répondent que leurs mauvais résultats s’expliquent par un éloignement pas assez grand des cibles lors des compétitions internationales.

Nous rejoignons notre hôtel ; le lendemain, nous restons sur Thimphou.

Nous nous rendons à un festival de Hip Hop, un genre de musique importé des Etats Unis, que les jeunes connaissent essentiellement grâce à Internet.

 

Nous rejoignons ensuite le centre de la ville.

Nous nous rendons dans le marché municipal.

L’odeur de fruits frais qui y règne est agréable.

Les légumes sont produits localement.

Nous faisons quelques emplettes dans la section production locale.

Nous visitons ensuite le marché à la viande qui se résume à quelques petits stands. Il faut dire que la religion bouddhiste interdit le meurtre des animaux ; la viande consommée dans le pays est principalement importée d’Inde ou de Thaïlande.

Après un repas rapide, notre guide nous conduit jusqu’au Bouddha d’or, un des monuments les plus importants du pays.

 

Il nous faut conduire près de trente minutes pour rejoindre les hauteurs de la ville.

 

Nous montons en altitude.

  

Nous arrivons finalement.

L’entrée du site est gratuite.

  

Le Bouddha d’or mesure plusieurs mètres de haut.

Après avoir visité l’intérieur du Bouddha d’or, nous reprenons la route ne direction du centre ville. Nous faisons cependant une halte afin d’admirer la ville avec un bon angle de vue.

   

Les photos d’usage s’imposent devant un tel décor.

Nous nous rendons ensuite au national mémorial Choeten, une stupa célèbre.

  

Un groupe de personnes récite des prières.

Des bougies sont allumées alors que les croyants à l’extérieur tournent autour d’un édifice religieux dans le sens des aiguilles d’une montre.

Nous rejoignons pour la deuxième nuit consécutive, notre hôtel qui se trouve en centre ville.

Nous nous reposons quelques instants dans notre chambre.

Nous partons ensuite en découverte de Thimphou la nuit.

Nous parcourons les échoppes.

A notre demande, nous nous rendons ensuite dans un restaurant japonais.

Une fois le repas terminé, notre guide nous emmène dans une sorte de karaoké, dans lequel, les photos sont interdites.

Le but est de payer une fille quelques euros afin qu’elle danse pour nous ; mais la danse est traditionnelle et elle se fait avec pour accompagnement une musique bouthanaise. Les clients peuvent même s’il le souhaite rejoindre leur danseuse sur la piste.

Le lendemain matin, après un solide petit déjeuner, nous rejoignons notre chauffeur en vue de partir pour la ville de Punakha.

 

Nous faisons une première halte au Dochula pass, un site religieux.

Le site se remplit progressivement de monde.

Nous discutons avec des croyants qui ont fait le chemin pour passer sur place la journée.

   

Le site comporte plusieurs temples.

Nous reprenons la route.

 

Nous arrivons aux abords de Punakha.

Il nous faut rejoindre le centre ville.

 

Le trajet dure un peu moins de trente minutes.

 

Nous subissons un contrôle routier à l’entrée de la ville.

Punakha est une ville agréable.

 

Mais nous la traversons pour rejoindre la vallée de Punakha.

Nous apercevons de la route, le dzong que nous visiterons après.

Le guide a marché dans des excréments de chiens ; il essaye tant bien que mal de les retirer en frottant son pied sur le sol.

Nous reprenons notre route.

C’est alors que nous avons la chance au loin d’apercevoir un spectacle de danse.

Il s’agit d’une préparation de danse pour la cérémonie royale ; nous avons l’honneur de pouvoir y assister, tout en sachant normalement que ces entraînement sont interdits aux étrangers.

D’un côté, les femmes s’entraînent.

     

Une femme vêtue de vert gère la chorégraphie.

De l’autre côté, les hommes effectuent une danse plus mouvementée.

L’ensemble son est rudimentaire.

 

Le spectacle est magique.

 

Nous reprenons la route pour rejoindre la vallée de Punakha.

 

C’est alors que nous apercevons sur la route, une cérémonie ; nous apprenons qu’il s’agit de l’ouverture d’un temple en présence de la reine. Nous ne pouvons pas nous approcher, mais nous demandons à voir le responsable du protocole, qui gentiment nous reçoit ; nous lui expliquons notre voyage et il nous autorise d’assister à la cérémonie.

Nous avons une chance inouïe ; les objects sacrés sont portés à bout de bras pour être placé dans le temps, par une sorte d’ouverture qui se trouve au-dessus de l’édifice principal.

 

De l’encens est utilisé à grande échelle.

 

Nous nous promenons ensuite dans la vallée.

 

Des enfants jouent dans la rivière.

Nous profitons du paysage.

Nous rejoignons ensuite le dzong.

 

Nous empruntons un pont.

 

Les gens sont tous souriants.

Notre camera est normalement interdite, mais nous parvenons à la faire entrer.

 

Les dzong se ressemblent tous, mais pourtant ils parviennent encore à nous époustoufler.

   

Nous visitons la cour intérieure.

Puis l’intérieur du temple.

 

Il est enfin temps de reprendre la route en direction de Paro, à trois heures de Punakha.

 

Mais avant cela, nous nous arrêtons pour manger dans un restaurant.

En ressortant, nous découvrons un énorme pénis en sculpture ; dans le pays, il s’agit d’un symbole de fécondité très prisé.

Nous reprenons la route.

 

Nous traversons nombre de petits hameaux.

 

A plusieurs reprises, nous devons nous arrêter pour céder le passage aux convois royaux qui circulent à grande vitesse sur la route.

  

Nous entrons à nouveau dans Thimphou, que nous traversons.

Il nous faut 20 minutes pour traverser la ville.

 

Nous arrivons finalement à Paro.

 

Nous rejoignons le centre ville.

Nous en profitons pour effectuer quelques achats.

 

Le guide souhaite ensuite nous emmener dans une famille traditionnelle.

 

Nous entrons dans une grande maison.

Nous découvrons les lieux.

Nous dégustons un bon thé.

La jeune fille qui nous accompagne nous demande de lui faire de la publicité, car elle propose depuis peu des chambres à la location.

La mère de famille nous cuisine quelques petits plats pour nous faire goûter la cuisine locale.

 

Mais le meilleur reste à venir ; derrière la maison, se trouve un petit atelier dans lequel des pierres sont chauffées à haute température.

Ces pierres sont ensuite placées dans des sortes de baignoires en bois qui contiennent l’eau sacrée de la rivière en contrebas ; les pierres chaudes chauffent l’eau qui permet de purifier le corps ; la séance coûte 10 dollars ; nous nous laissons tenter, mais étant donné le nombre de personnes qui en font la demande, nous devons revenir un peu plus tard.

En attendant, nous rejoignons notre hôtel à quelques minutes de là.

Nous retournons une heure plus tard aux thermes.

  

En attendant, la femme nous concocte à nouveau quelques petits plats.

Le ban est merveilleux ; nous y passerons près de trente minutes.

Nous retournons à notre hôtel dans lequel, nous mangerons un bon repas.

Le lendemain matin, nous partons de bonne heure pour rejoindre l’aéroport de Paro.

Nous embrassons nos guides et n’oublions pas de les remercier chaleureusement.

Nous nous rendons au comptoir de la compagnie Druk Air pour récupérer nos billets en direction de la Thaïlande.

 

Nous passons les contrôles de sécurité et patientons.

Nous visitons un peu l’aéroport.

Nous effectuons nos derniers achats.

Notre vol est appelé.

Nous rejoignons le tarmac.

Nous grimpons dans notre avion.

Le décollage se passe sans encombre.

   

Nous survolons l’Himalaya ; nous apercevons l’Everest, le toit du monde.

 

Nous quittons définitivement le Bhoutan.