En provenance de Bali nous nous dirigeons vers le Timor Leste.
Le vol dure 2 heures et coûte 150 euros avec la compagnie Air Garuda. Une possibilité existe aussi en partance de l’Australie.
Nous décollons de l’aéroport de Denpasar.
Nous survolons les côtes de l’Indonésie.
Les volcans du Pacifique apparaissent.
Le spectacle est grandiose.
Nous approchons des côtes de l’île possédée pour moitié par le Timor Leste.
Nous arrivons au-dessus du territoire du Timor Leste, le dernier pays d’Asie du Sud.
Nous atterrissons.
Nous posons un pied sur le sol.
Nous passons les contrôles de l’immigration ; en tant que Français, un visa d’un mois nous est offert dés notre arrivée.
Nous quittons l’intérieur de l’aéroport de Dili, la capitale du pays.
Nous faisons la connaissance de notre chauffeur privé : Natalino Da Silva, joignable au 77 33 96 22. Il s’agit d’un chauffeur de taxi qui conduit les voyageurs à la journée ; nous le réservons pour trois jours. Il est agréable et demande 30 euros par jour tout compris.
Nous accompagnons notre chauffeur à son véhicule.
Nous nous dirigeons vers le centre ville de Dili, la capitale et ville la plus peuplée de l’île.
Le Timor Leste est un petit pays, très peu touristique. Les infrastructures qui accueillent les voyageurs ne sont pas développées.
Néanmoins, la route semble bien entretenue. Des maisons en tôles ondulées côtoient les immeubles d’un meilleur standing.
Un attroupement se forme devant nous ; il s’agit d’un accident sans gravité.
Nous continuons notre route.
Nous pénétrons dans le quartier des ambassades. La langue officielle au Timor est le Portugais.
Un poste de police flambant neuf émerge de la route ; il a été construit grâce à l »Australie, premier financier du pays. Nous faisons une halte au parc Jardim 5 de Maio.
A l’entrée du parc, une belle et grande statue.
Nous reprenons la route.
Nous nous arrêtons ensuite sur le front de la mer de Banda.
Nous faisons connaissance avec quelques petits vendeurs à la sauvette.
La vue est magnifique.
En contrebas, un homme pêche avec un simple fil.
Le palais du gouvernement se trouve de l’autre côté de la rue.
Nous reprenons notre route.
Quelques universités sont présentes dans le pays.
Une femme marche en portant une lourde charge. Nous nous arrêtons ensuite face au cimetière de la ville.
Nous visitons ce lieu.
Une femme nous arrête et nous questionne ; nous passons un long moment à discuter avec elle.
Nous nous dirigeons ensuite vers le marché de la ville. Nous stationnons notre véhicule.
Les gens sont très accueillant.
Dans un petit parc, alors que nous rejoignons le marché couvert, des dizaines d’enfants viennent à notre rencontre.
Nous flânons dans les allées du marché.
Les stands proposent toutes sortes de produits.
Ils importent beaucoup de Chine.
Nous quittons le marché en saluant un vendeur avec qui nous avons discuté.
Nous reprenons la route en direction de la cathédrale.
Sur la route, nous faisons une halte devant un ancien char.
Nous entendons des chants religieux. Nous nous arrêtons devant une église.
Nous assistons à une messe catholique.
Nous nous dirigeons vers le coeur de la place.
Les croyants se recueillent et attendent l’ostie.
Pas un des enfants ne bouge, respectant les consignes de leur maîtresse.
Nous quittons l’église après une heure passée en son sein.
Près d’un ministère, un monument commémoratif religieux.
Nous continuons notre découverte de la ville.
Nous arrivons aux abords de l’hôtel de ville.
Nous garons notre véhicule. La cathédrale du pays est magnifique.
Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, nous reprenons la route en direction du Cristo Rei, le symbole du pays.
Il nous faut nous diriger vers l’Est de la ville, à une demi-heure de route.
La vue sur la mer est magnifique. Quelques carcasses de voitures jonchent le bas côté.
Nous apercevons au loin, la statue du Christ.
Nous faisons une halte pour découvrir une femme cherchant des coquillages à l’ancienne.
Le tout dans une petite crique splendide.
Nous reprenons notre route.
Nous garons notre véhicule sur le parking prévu à cet effet.
Nous grimpons sur la colline ; à chaque avancée, une scène de la vie du christ est racontée en image.
La température extérieure est de 35 degrés.
Nous continuons notre avancée et notre découverte du chemin de croix de Jésus Christ.
La vue devient de plus en plus belle.
Notre chauffeur nous accompagne. Nous nous approchons du sommet.
Un dernier effort.
Nous contournons le dernier autel.
Un dernier escalier.
Nous arrivons au sommet ; la vue est magnifique.
La statue est immense.
Nous restons ébahis par tant de grâce. Notre regard porte jusque Dili.
Nous nous reposons quelques instants et nous nous abreuvons. Le seigneur Jésus Christ est situé sur un globe représentant la terre. En avançant quelques pas, notre vision s’étend à 180 degrés. Le socle est en marbre.
Pendant plus d’une heure, nous admirons ce monument religieux unique.
L’horizon se dresse face à nous.
Il est à présent temps de redescendre. Un dernier regard.
Nous rejoignons notre véhicule ; sur le chemin, nous faisons connaissance avec une ouvrière communale en plein repos.
Nous retournons sur Dili. Il nous faut nous arrêter afin de manger.
Le restaurant dans lequel nous nous arrêtons est situé face à l’océan.
Nous arpentons la plage.
Le repas nous coûte une dizaine d’euros.
Nous nous dirigeons à présent vers Tasitolu.
Nous dépassons le palais présidentiel.
Nous nous arrêtons ensuite dans un petit magasin.
Nous reprenons la route. Nous tournons à gauche. Nous devons grimper sur les hauteurs de la colline.
Nous garons notre véhicule.
Une statue de Jean Paul 2 orne la place.
La vue est dégagée sur la côte Est de l’île.
A gauche de l’océan, un magnifique lac.
Le pape Jean Paul II est éminemment respecté.
Le pays est très pieux. Après une heure de visite, nous retournons à notre véhicule. Nous retournons à notre hôtel.
Notre hôtel se nomme Malinamoc paradise ; il s’agit d’un 4 étoiles et le prix de la nuit est de 60 euros, petit déjeuner inclus. Il possède une piscine et représente le meilleur rapport qualité prix du pays.
Nous passons une agréable nuit de sommeil.
Une des directrices fait tout pour nous agrémenter notre séjour. Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers le centre ville de Dili.
Nous assistons à un spectacle mené par des enfants.
La musique est traditionnelle.
Nous reprenons la route vers la côte Ouest.
Nous circulons en direction d’Ermera.
La route devient plus sinistrée. Elle est en pleine construction.
Sur le bas côté, un terrain de football.
Nous nous engouffrons dans le coeur de l’île.
Nous nous arrêtons dans un petit village.
Les maisons sont faîtes en tôles et en bambous.
Un homme lave son linge.
Nous arpentons les rues du village en nous méfiant des chiens errants.
Les villageois vivent dans un certain dénuement.
Les cochons sauvages côtoient les chèvres domestiquées.
Les habitants viennent à notre rencontre.
Un homme nous invite chez lui.
Nous le suivons.
Après avoir bu un thé offert de bon coeur, nous retournons sur nos pas.
Des enfants viennent à notre rencontre.
Nous retournons ensuite sur le bord de mer.
Nous nous incrustons dans une réunion de pêcheurs.
La vue est splendide. Nous restons à la plage jusqu’au soir.
Les pêcheurs sont eux aussi surpris de tomber sur des visiteurs étrangers.
Nous effectuons pendant plus de deux heures, de la découverte sous-marine avec masque et tuba.
Les pêcheurs laissent leur place à des adolescents qui plaisantent.
Il est temps pour nous de rentrer.
Nous retournons à notre hôtel. Le lendemain matin, nous sommes conduits par le directeur de l’hôtel à l’aéroport.
A cette heure matinale, l’aéroport est désert.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages pour la ville de Darwin, en Australie.
Nous patientons dans le hall.
Nous arpentons les allées du seul duty free de l’aéroport. Le prix de certains jeux vidéos anciens est de plus de 100 dollars.
Une vieille pièce sert de fumoir.
Il est l’heure pour nous d’embarquer.
Nous voyageons avec la compagnie Airnorth.
L’avion n’est pas plein.
Nous survolons les paysages escarpés du Timor.