En provenance de Riyad, nous embarquons avec la compagnie Saoudia airlines.

Avant le décollage, une prière musulmane est donnée aux passagers.

Nous décollons.

Le vol dure près de 5 heures et coûte 300 euros.

Nous atterrissons à Dhaka, la capitale du Bangladesh.

Nous quittons l’avion.

En tant que Français, nous avons la possibilité de faire un visa à l’arrivée pour un prix de 50 dollars US.

Nous passons rapidement les contrôles de sécurité.

Nous effectuons un peu de change.

Nous rejoignons l’extérieur de l’aéroport.

Nous retrouvons notre guide qui nous attend avec un panneau à la main : il s’agit de Russel, joignable au 0088 01718604347 ; nous avons pris un forfait tout compris, avec les hôtels, le transport, les entrées dans les sites, le chauffeur, le guide, les frais quotidiens pour le chauffeur et le guide ; nous payons près de 120 euros par jour, ce qui est un prix tout à fait abordable, étant donné qu’une simple location de voiture coûte près de 80 euros par jour.

 

Plusieurs chauffeurs de taxi nous abordent, mais nous ne donnons pas suite.

Notre chauffeur arrive en moins de 5 minutes.

 

Nous nous dirigeons vers le vieux Dhaka.

Il nous faut près de 3 heures pour rejoindre le vieux Dhaka, là où se trouve la vie frénétique de la ville.

La circulation est dense.

Nous circulons dans le nouveau Dhaka.

Les rues sont propres, mais on sent un poids important de la foule.

Nous entrons dans le vieux Dhaka.

Les tuk tuk sont de plus en plus présents.

Les immeubles ont des façades décrépies.

Les rues sont anciennes.

 

La circulation commence à devenir pesante.

Nous grignotons quelques mètres en plus d’une heure d’attente.

La circulation se libère enfin.

Nous reprenons notre route.

Nous entrons dans le coeur du vieux Dhaka.

Une ambiance particulière se ressent : une véritable ambiance populaire.

Nous descendons, accompagnés de notre guide.

 

Les systèmes électriques sont rudimentaires.

Nous reprenons notre voiture pour nous enfoncer dans le vieux Dhaka.

Le chauffeur nous arrête ; il nous récupèrera en fin d’après-midi.

 

Nous découvrons de véritables scènes de vie.

  

On sent une grande pauvreté, mais aucune souffrance de la part des habitants.

Nous arpentons les rues de la ville.

Des centaines de vendeurs proposent leurs produits.

Tous les habitants nous arrêtent pour parler avec nous ou nous prendre en photo ; depuis quelques temps, les selfies sont à la mode.

La plupart des bangladais possèdent un smartphone, même les plus pauvres.

 

Nous nous frayons un chemin au travers d’une circulation épaisse.

Des dizaines de tuk tuk nous entourent.

Nous longeons les trottoirs.

 

Les gens se laissent photographier très facilement.

Les gens insistent même pour se faire prendre en photo, un signe de considération selon eux.

En outre, les habitants sont fiers de découvrir que des touristes visitent leur pays.

En nous enfonçons dans le vieux Dhaka, les rues fourmillent de monde.

Nous visitons une école.

De nombreuses échoppes sont présentes dans les immeubles.

Nous pénétrons dans le quartier de Sagharkat, le quartier le plus célèbre de la ville.

Les restaurants de rue accueillent de nombreux convives.

Le quartier de Sagharkat est en réalité constitué de nombreuses échoppes qui se trouvent le long de la rivière Bhuriganga.

Les légumes se vendent à la volée.

Dans un coin du quartier, une femme trie des oignons.

Nous rejoignons les berges de la rivière Bhuriganga.

 

Les légumes qui proviennent de tout le pays y sont déchargés.

 

Des femmes jouent à un jeu de société pour faire passer le temps.

 

Le décor est magnifique.

  

Un peu plus au Nord sur les berges, se trouve un autre marché aux légumes ; il s’agit en réalité d’un lieu de déchargement dans lequel les meilleures pièces sont achetées dés leur sortie du bateau.

Pour quelques sous, nous prenons un petit bateau.

Nous rejoignons l’autre rive de la rivière Bhuriganga.

 

L’eau est très polluée, il faut faire attention de ne pas tomber.

 

Il nous faut 20 minutes pour effectuer la traversée.

  

Nous croisons de nombreux gros bateaux.

 

Les bateaux à moteur en circulant laissent une grosse trainée de vague sur laquelle, le bateau qui nous transporte vient se fracasser en tanguant.

Nous approchons des berges opposées.

 

Il s’agit d’un chantier naval.

Les gros bateaux en pleine réfection côtoient les barques plus petites.

   

Nous nous enfonçons dans le chantier naval.

Des barques traditionnelles sont entièrement fabriquées à la main.

 

Nous sommes invités à découvrir le chantier d’un gros bateau.

Les règles de sécurité ne sont pas respectées ; nous devons faire bien attention où nous mettons les pieds.

Nous rejoignons le site du chantier.

Les trous ne sont pas indiqués.

Plusieurs corps de métier se complètent.

Sur le pont inférieur, une cabine entièrement rénovée donne le ton sur ce que sera le futur navire.

 

En quittant le chantier, des enfants nous rejoignent et se baignent dans une eau croupie. Et ce au détriment des règles d’hygiènes élémentaires.

Nous retournons sur l’autre rive.

 

Nous arrivons au marché central.

 

Les gens nous accueillent de grands et larges sourires.

 

Nous prenons grand soin de discuter avec eux.

Nous prenons ensuite un rickshaw.

Sur le chemin, nous nous essayons à la conduite de l’engin.

Nous traversons une partie du centre ville pour rejoindre la star mosquée.

Conduire à Dhaka est difficile.

    

Nous arrivons à la mosquée.

 

Nous assistons à l’apprentissage du Coran au travers d’un groupe d’enfants.

 

Un groupe d’adultes nous appelle ensuite pour nous faire partager leurs croyances.

A l’extérieur de la mosquée, nous rejoignons un parc public.

Nous décidons ensuite de rejoindre notre hôtel.

 

Il nous faut près de 5 heures pour quitter le vieux Dhaka ; les embouteillages sont terribles.

Nous faisons une halte pour remplir de gaz le réservoir de notre voiture.

 

Nous rejoignons ensuite notre hôtel : le Crystal crown ; la nuit y coûte 80 euros.

 

Le lendemain matin, après une courte nuit de sommeil, nous reprenons la route dans le nouveau Dhaka.

Nous rejoignons notre voiture.

   

Le matin, les routes sont peu chargées.

Le nouveau Dhaka est une ville moderne.

 

Nous rejoignons une des attractions principales de la ville : la gare de trains.

 

Les quais sont bondés ; il faut dire que se déplacer dans le pays peut se faire par les routes, les rails ou par voie fluviale ; le trajet en train est un des meilleurs choix : peu cher et efficace ; néanmoins, les places sont rares et il faut souvent s’y prendre plusieurs semaines à l’avance pour réserver.

Les guichets sont pris d’assaut dés l’ouverture.

A l’extérieur, nous prenons un petit déjeuner traditionnel.

Nous reprenons ensuite la route vers le monastère de Shalban Vihara.

  

Le monastère se trouve à 100 kilomètres, mais avec le jeu des embouteillages, il faut bien la journée pour s’y rendre.

Nous nous enfonçons dans le pays.

 

Nous croisons de nombreuses fabriques de briques. Les briques sont fabriquées avec de la terre mélangée à de l’argile.

 

En parcourant à peine 30 kilomètres sur la route principale menant à la ville de Chittatong, nous sommes pris pendant plus de 5 heures dans les embouteillages. Pour se faire une place, le chauffeur doit à plusieurs reprises emprunter l’autoroute à contresens.

Nous dépassons enfin les embouteillages.

   

Tout au long du chemin, les fabriques de ciments que nous croisons sont gardées par des hommes armés, un peu comme si ces derniers protégeaient un trésor d’état.

Nous faisons une halte dans une petite ville.

 

Nous faisons quelques rencontres sympathiques.

Nous reprenons ensuite la route.

 

Nous entrons dans une ville de taille moyenne.

Sur la route, nous découvrons un camion couché sur le côté.

 

Nous reprenons notre route.

Quelques kilomètres plus tard, nous nous arrêtons dans une campagne, afin de faire connaissance avec des agriculteurs à l’ancienne.

Les femmes portent de lourds fagots de paille.

   

Nous passons plus d’une heure en leur compagnie.

Nous leur présentons ensuite nos différents voyages ; ils découvrent attentivement ce monde qu’ils ne connaissent pas et dévorent les images présentées.

 

Nous reprenons ensuite la route.

   

Nous entrons dans la ville de Shalban Vihar.

Nous rejoignons le monastère de la ville.

   

Il nous faut conduire moins de 5 kilomètres.

Nous nous garons aux abords de l’entrée du monastère.

Il s’agit d’un site archéologique important pour le pays.

De nombreuses personnes se pressent aux guichets.

Notre guide s’occupe de nos tickets.

Nous entrons dans le monastère.

Le site comporte un grand parc verdoyant.

Les habitants aiment s’y promener.

 

Le site est bien conservé.

Nous rejoignons ensuite un temple qui se trouve non loin de là.

 

Ce dernier est en pleine rénovation.

Dans un grand terrain, les Bangladais se retrouvent pour festoyer en ce jour de repos. Nous sommes invités à plusieurs reprises.

Nous passons le reste de la journée à nous lier d’amitié avec les habitants. Nous nous dirigeons ensuite vers notre hôtel.

Le lendemain matin, nous repartons en direction de Chittatong.

 

Nous prenons notre petit déjeuner dans une ville que nous traversons.

  

Nous continuons notre route.

 

Les arbres sur le chemin présentent les stigmates d’un déplacement constant de poussières.

 

Quelques jours plus tard, après avoir visité le Sud et le Nord du Bangladesh, nous retournons au centre du pays. Nous provenons de Srimongol.

 

Sur le chemin, nous découvrons de nombreuses usines de tri du riz.

Nous nous arrêtons dans l’une d’entre elles.

Le riz est séché et ensuite stocké dans de grands entrepôts.

Les populations locales sont d’une gentillesse indescriptible.

Nous arrivons à Dhaka, tard dans la nuit.

Nous traversons le New Dhaka.

Nous rejoignons notre hôtel : le Northern Ltd, un hôtel à 50 euros la nuit. Nous prenons le diner dans le restaurant de l’hôtel : la nourriture ne semble pas fraîche ; elle s’avérera au final être avariée ; fort heureusement, je ne mangerai pas de plats, seulement du pain ; mais mon associé n’aura pas cette chance ; il dégustera un poulet Tandorii, qui entraînera pour lui la contamination par une bactérie, qui le poursuivra durant plusieurs jours ; des antibiotiques apportés de France permettront de stopper cette contamination.

Le lendemain matin, nous prenons la navette de l’hôtel pour rejoindre l’aéroport.

Le trajet dure moins de 20 minutes.

Nous descendons et rejoignons le comptoir de la compagnie Air Druk, afin de partir vers le Bhoutan.

 

Une première fouille à lieu à l’entrée de l’aéroport.

 

Nous récupérons nos tickets.

 

Nous rejoignons notre porte d’embarquement, avant laquelle, nous subissons un contrôle poussé ; nos briquets sont confisqués et finissent dans les poches des douaniers qui se livrent ainsi à une fructification qui arrondit les fins de mois.

Nous faisons la connaissance avec un habitant du Bhoutan.

Nous rejoignons notre avion.

Nous embarquons sur le tarmac.

Nous saluons notre hôtesse.

Nous quittons le Bangladesh, un pays formidable à la population unique.