Afin de rejoindre l’aéroport Charles De Gaulle, nous prenons le TGV.

Pour une fois, le train n’est pas en retard.

Nous récupérons nos billets au comptoir d’enregistrement de notre compagnie : Wow air, une compagnie pas chère à destination de Keflavik pour un tarif accessible et à la qualité indéniable. L’avion décolle à 22 h 00. Après trois heures trente de vol et deux heures de décollage, nous arrivons à l’aéroport précité. Nous louons une voiture chez Europcar, en prenant bien soin de prendre une assurance tous risques, nombre de voyageurs n’ayant pas bénéficié d’une telle assurance l’ont regretté, les conditions climatiques en Islande étant extrêmement changeantes, ces voyageurs ont été victimes de tempêtes de sable qui ont éraflé les véhicules loués, des sommes de plusieurs milliers d’euros ont été intégralement débitées de leur compte bancaire. Nous rejoignons la ville de Reykjavik, située à une quarantaine kilomètres de l’aéroport, sans trop de mal, les routes étant désertes et de bonne facture. Le lendemain matin, après une courte nuit passée à l’auberge blue House, nous nous levons.

Nous découvrons la baie de Reykjavik. Nous nous dirigeons ensuite vers la mer du Groenland, située non loin de là, ou plutôt vers l’Atlantique nord, dont la mer du Groenland, borde ses extrémités.

Nous nous rendons dans le centre-ville.

Nous nous dirigeons ensuite vers le centre ville de la capitale, découvrir l’église luthérienne.

Nous arpentons les rues du centre.

L’architecture urbaine est typique des grandes villes nordiques.

Nous nous dirigeons ensuite vers la cathédrale catholique, la seule du pays.

La salle est située face à un fjord, dans lequel se trouve la ville.

Nous découvrons ensuite  la sculpture : le voyageur du soleil.

Nous nous rendons dans le port.

Nous quittons la ville de Reykjavik en direction du parc de Thingvellir, située à quarante kilomètres de la ville, au centre du pays.

Nous entrons dans le parc.

Le décor est digne des plus grandes fresques réalistes.

Nous continuons notre route.

Nous arrivons à l’emplacement du plus vieux parlement d’Islande.

Nous garons notre véhicule à quelques kilomètres de ce lieu de commémoration.

La vue est à couper le souffle.

Nous continuons notre trajet.

Nous accompagnons le rythme lent de la nature.

Nous arrivons finalement à Geysir, un lieu dans lequel, ce calme latent des rivières est mis en opposition, par la violence des sources d’eau chaude présentes.

Nous nous approchons de Strokkur, le seul geyser en activité.

Il se trouve aux côtés de Geysir, un geyser inactif.

Nous traversons d’autres sources chaudes.

Le lendemain matin, après une nuit dans notre guest house de la veille, alors que nous sommes toujours dans le cercle d’or, appellation regroupant les trois merveilles de l’île : le parc de Thingevellir, Strokkur et les chutes de Gullfoss que nous rejoignons, nous circulons sur une route de petite tenue.

Nous nous garons sur un parking mal indiqué et entendons un vrombissement titanesque.

Nous n’avons pas besoin de beaucoup marcher pour rejoindre les chutes de Gullfoss.

Nous retrouvons le calme de notre véhicule.

Nous découvrons après une cinquantaine de kilomètres, le volcan Kerid.

Nous reprenons notre véhicule en direction de la ville de Borgarnes, à un peu plus de 150 kilomètres de distance.

Le paysage est sublime.

Nous reprenons la route.

Nous dormons dans une guest house locale.

Le lendemain matin, nous nous réveillons avec une vue d’ensemble sur la baie que nous surplombons.

Nous reprenons la route en traversant des plaines enneigées.

Nous arrivons après une cinquantaine de kilomètres aux chutes de Hraunfossar.

Nous marchons quelques mètres pour rejoindre les chutes de Barnafoss.

Nous reprenons la route en direction de Deildartunguhver.

Nous découvrons le site.

Une odeur forte de souffre chaud nous pénètre les pores de la peau.

Nous reprenons la route vers l’extrême Ouest du pays.

La route semble interminable.

Lorsque nous arrivons à la péninsule de Snaefellsnes, la neige a complètement disparu.

Nous nous dirigeons vers le mont Kirkjufell.

Ce n’est qu’après une énième montagne que nous retrouvons la neige.

Et après une vingtaine de kilomètres, nous retrouvons la mer.

Nous arrivons au mont Kirkjufell.

Nous continuons notre découverte de la péninsule.

Nous parvenons jusqu’au volcan Snaefellsjökull, le volcan qui a inspiré Jules Verne pour son célèbre Voyage au centre de la terre.

Nous passons la nuit dans un petit village sans grand intérêt. Nous reprenons la route le lendemain matin.

En redescendant vers le Sud, nous parvenons jusqu’à un de ces villages côtiers omniprésents sur l’île.

Nous nous dirigeons encore plus vers le sud de l’Islande.

Une sorte de mousse congelée entoure la route.

Nous découvrons des falaises dans le Sud Ouest de l’île.

Une fois cette escapade terminée, nous nous dirigeons vers la soufrière de Krysuvik.

Le relief escarpé donne néanmoins à l’ensemble, une vue plongeante qui le rend moins dangereux ; il n’est qu’un passage. De l’autre côté de la route, le lac dans lequel s’écoule les sources d’eau chaude tempête, du à la violence des vents qui le balaient.

Il est l’heure ainsi de découvrir non loin de là, les restes d’une ancienne église. Qui porte le nom compliqué de Krysuvikurkirkja.

Nous nous dirigeons vers le phare de Reykjanesviti.

Nous arrivons à proximité d’autres sources chaudes.

Nous sommes ensuite dans l’obligation d’emprunter une route sinueuse.

Jusqu’à atteindre le phare, le plus vieux de l’île.

La côte est escarpée.

Du phare, nous apercevons les sources chaudes que nous venions auparavant de visiter.

Nous nous arrêtons sur le chemin, afin d’admirer ces nombreuses cheminées, que le gouvernement a mis en place afin d’évacuer le trop plein de pression contenue dans le sol.

Après quarante kilomètres, nous atteignons le Blue lagon, une sorte de domaine aquatique particulier et connu dans le monde entier.

L’eau d’une température de 37 degrés contient des silices, ce qui lui donne une couleur turquoise unique.

Nous nous rendons ensuite à l’aéroport de Reykjavik, pour nous entendre dire que suite à une tempête impromptue, notre vol est annulé ; nous sommes pris en charge par la compagnie Air Icelandair et pouvons dormir dans un hôtel de la capitale. Le lendemain matin, nous prenons la route numéro 1, la route principale du pays.

A quelques endroits, nous traversons des étendues verglacées.

Nous apercevons au loin, la chute de Seljalandsfoss.

La brume créée par la force de la projection de l’eau arrose nos visages. Nous l’admirons sous toutes les coutures.

Nous arrivons au volcan Eyjafjallajökull, volcan entré en éruption il y a quelques années et qui a paralysé le trafic aérien de toute l’Europe durant plusieurs semaines.

La route en mauvais état qui pénètre à l’intérieur des terres, passe par plusieurs gués, des sortes de dénivellation comportant de l’eau plus ou moins profonde, que nous traversons avec une simple voiture de tourisme.

Nous arrivons jusqu’au glacier Solheimajökull, long de dix kilomètres.

Le décor est irréel.

Et après une tempête de neige et une marche de plusieurs centaines de mètres, nous parvenons jusqu’aux pieds du glacier.

Nous grimpons dessus. Et durant plus d’une heure, nous parcourons cette terre absente, mais que nous pouvons deviner sous nos pieds, à plusieurs centaines de mètres de profondeur.

Nous reprenons la route en direction de la ville côtière de Vik.

Et nous nous arrêtons face à une centrale électrique, qui utilise les sources d’eau chaude de l’île, afin de produire une des électricités les moins polluantes du monde.

Nous arrivons après quelques dizaines de kilomètres, aux chutes de Skogafoss, célèbres pour la légende qu’elles diffusent.

Après une centaine de kilomètres sur une route quasi déserte, et après avoir doublé les quelques voitures rencontrées, qui avançaient à basse vitesse, les Islandais étant un peuple enclin à respecter toutes les limitations imposées sans tergiverser, nous arrivons à l’aéroport de la capitale.