Italie Récit de voyage Sicile. Attention, ce récit photographique n’est pas un article, mais une photothèque qui reprend de manière chronologique l’intégralité de notre voyage  en Italie, dans la région des Pouilles.

En provenance de Naples, nous rejoignons la Sicile, plus précisément la ville de Palerme. Nous embarquons avec la compagnie GNV, dont les membres du  personnel à quai sont très rapidement dépassés par le nombre de voitures important, se présentant à l’embarquement. Pour quatre personnes et une voiture, le coût de la traversée d’une durée de 10 heures est de 203 euros.

Le lendemain matin, nous sommes appelés à rejoindre nos véhicules pour procéder à la descente.

Nous quittons le port de Palerme et nous nous rendons dans le centre-ville.

Nous découvrons un beau bâtiment.

Après avoir garé notre véhicule, nous prenons un bon café italien.

Nous arpentons le centre-ville.

Des vendeurs indépendants proposent du raisin frais.

Nous nous engouffrons dans le marché central.

L’ambiance est bonne.

De nombreux habitants nous arrêtent dans la rue pour nous saluer.

Les produits vendus sont locaux.

Nous rejoignons le centre historique de la ville en flânant dans les petites ruelles.

Nous découvrons de nombreux graffitis sociétaux.

Il faut bien une heure de promenade pour se plonger dans les nombreuses petites ruelles et en découvrir le centre.

Nous arrivons devant la cathédrale de la ville.

Alors qu’une musique religieuse est diffusée, un baptême se déroule sous nos yeux.

Nous découvrons les abords de la cathédrale.

Avec près de 40 degrés en température extérieure, nous prenons le temps de boire un bon café.

Nous rejoignons ensuite la place royale.

Avant de prendre un taxi qui nous conduit jusqu’à notre véhicule.

Nous ne manquons pas cependant au passage, l’occasion de découvrir le marché aux puces de la ville.

Nous quittons la ville pour rejoindre la réserve de Zingaro, qui se trouve sur la côte Nord Ouest. Pour ce faire, nous prenons la direction de la ville de Scopello.

Après une attente de près d’une heure dans les bouchons de la banlieue de la ville, une autoroute dégagée et gratuite nous permet de circuler plus rapidement.

Nous quittons l’autoroute.

Sur un parking, nous faisons une halte pour manger un sandwich rapide.

Le point de vue est splendide.

Un vieil homme souhaite nous vendre des épices locales.

Nous reprenons la route.

Si la réserve de Zingaro est payante, nombre de sites qui l’entourent sont gratuits. Nous les découvrons.

Nous continuons notre route vers la réserve.

L’entrée coûte 5 euros et donne la possibilité de profiter d’une longue balade sous un soleil de plomb.

Nous prenons la route en direction de Trapani.

Sur la route, nous faisons un arrêt à une plage gratuite, suffisamment rare pour être soulignée.

Il s’agit d’une plage mêlant galets et sable.

L’eau est agréable et doit se trouver aux alentours de trente degrés.

Nous reprenons la route en direction de la ville de Trapani.

Nous souhaitons visiter la ville médiévale d’Erice ; malheureusement, nous prenons la route vers la nouvelle ville du même nom et devons faire un détour de 20 kilomètres pour en rejoindre la ville historique qui se trouve dans les hauteurs. Elle peut néanmoins être rejointe par un téléphérique dans la nouvelle ville.

Il nous faut en voiture bien 20 minutes pour la rejoindre.

Ce qui nous donne sur le chemin, la possibilité de découvrir un point de vue splendide.

Nous entrons dans la ville.

Nous la visitons à pied.

Face à nous, une belle église.

Les ruelles sont pavées.

Nous prenons une petite collation.

Nous quittons la ville

Sur le chemin du retour, nous faisons une petite halte sur le bord de la route pour découvrir un autre point de vue sur l’île.

Nous contournons la ville de Trapani et rejoignons les marais salants de Marsala ; les marais se trouvent à une dizaine de kilomètres avant la ville.

Plusieurs marais salants accueillent du public ; ils proposent des visites guidées payantes, mais laissent la possibilité aux visiteurs d’acheter du sel et donc de découvrir les sites gratuitement. C’est l’option que nous choisissons.

Plusieurs moulins sont présents sur les sites.

Un musée conte aux visiteurs l’histoire du sel sur l’île.

Nous profitons d’un beau spectacle.

De nombreuses vignes entourent le site.

Nous contournons la lagune de Marsala pour rejoindre notre guest house.

Nous arrivons au relais Los Stagnone, une des plus belles guest house de l’île. La nuit, petit-déjeuner compris est à 86 euros pour 4 personnes. Le relais comporte une piscine et l’accueil du propriétaire est exceptionnel. Les réservations sont possibles sur le 0039 393 803 7503. La guest house se trouve au Contrada Spagnola 89, Marsala, 91025.

Avant que le soleil ne se couche, nous rejoignons la lagune.

Le spectacle est grandiose.

Aux abords de la lagune, nous décidons de manger à la sicilienne, un bon casse-croûte à la saucisse locale.

Le lendemain matin, nous prenons un solide petit-déjeuner et pouvons prendre le départ en oubliant pas de saluer les propriétaires qui furent en tous points, formidables, une des meilleures adresses de l’île.

Nous en profitons pour découvrir d’autres marais salants.

Une heure de route est nécessaire pour nous permettre de rejoindre la nouvelle ville de Gibellina, dans le coeur de l’île.

La ville a la particularité d’avoir été entièrement reconstruite après le tremblement de terre de 1968 qui l’a entièrement détruite. Elle fut reconstruite à un autre emplacement, mais sa disposition actuelle ne plaît pas à la population qui la déserte et lui donne un côté fantomatique.

Il faut dire que l’ambiance dans la ville est particulière.

Pour voir l’exact emplacement de l’ancienne ville, il faut rejoindre le monument de la crête de Burri, à une vingtaine de minutes de route.

Nous arrivons sur le site.

Il est entouré par la campagne environnante.

Nous  entrons dans un immense et étendu labyrinthe de pierre, dont l’entrée est gratuite.

Le site est un hommage à l’ancienne ville.

Il nous faut bien trente minutes pour en faire le tour.

En faisant attention, nous pouvons monter sur les pierres et avoir une vue bien dégagée sur le site.

Nous prenons ensuite la route pour les ruines de Poggioreale, une véritable ville fantôme, à ne pas confondre avec la nouvelle ville qui porte le même nom et qui ressemble à Gibellina nueva.

Après vingt minutes de route au coeur d’une campagne qui semble à l’abandon, nous arrivons devant la grille fermée des ruines de la ville, abandonnée également durant le tremblement de terre de 1968.

Nous garons notre véhicule et escaladons la grille en passant par une petite ouverture en pierre se trouvant sur le côté.

Nous découvrons une véritable ville fantôme, unique en son genre.

Les maisons sont délabrées.

La ville est grande, très grande. Il nous faut bien 3 heures pour en faire le tour.

Nous découvrons la bibliothèque communale ainsi que l’église.

Nous arrivons sur la place centrale.

Nous entrons ensuite dans l’ancien hôpital de la ville.

Nous grimpons à l’étage en passant par un escalier de bois qui ne tient à l’édifice qu’à un fil.

Du haut de l’immeuble, la vue sur la ville est surprenante.

Il est temps pour nous de quitter la ville.

Sur la route, nous faisons une halte.

De notre point de vue, la ville fantôme semble encore plus impressionnante.

Nous prenons la direction de la ville d’Agrigente.

Nous arrivons sur le site de  Scala dei Turchi, un des plus beaux sites de l’île.

Nous mangeons un plat de pâtes chez Kiross, un stand de restauration rapide.

Nous pouvons admirer les falaises blanches de Scala dei Turchi.

Nous descendons en voiture et nous nous garons.

Après une longue descente à pied, nous rejoignons la plage du site.

Nous nous rapprochons des falaises blanches pour profiter du plus bel emplacement du site.

Nous profitons d’un cadre enchanteur.

La baignade est agréable.

Nous prenons ensuite la route vers Agrigente.

La ville comporte un site archéologique majestueux, dont l’entrée coûte une dizaine d’euros. Mais, nous faisons la rencontre d’un chauffeur de tuk tuk qui connaît l’endroit comme sa poche et nous propose de le suivre pour nous montrer les plus belles vues de ce site majeur. Et gratuitement. Nous le suivons.

Visiter le site normalement prend près de 3 heures et nécessite une longue marche.

Face à nous, le premier temple.

Le chauffeur nous emmène ensuite vers  le point de vue majeur de la ville. Pour info, le chauffeur propose des découvertes guidées de tout le secteur ; il est joignable au 0039 391 49 00 241.

Ses trois passagères sont heureuses de ses prestations.

Il es ttemps pour nous de prendre la route vers l’extrême Est de l’île.

Dans le Sud de l’île, nous découvrons un spectacle édifiant. Les routes sont sales, voire très sales. Les ordures jonchent les bas-côtés sur plusieurs dizaines de kilomètres, le problème des ordures étant un problème récurrent dans le pays, continent et île compris, surtout dans son secteur Sud.

Nous continuons vers la ville de Raguse.

Nous arrivons à notre guest house, avec un peu à l’instar de la veille, une des plus belles de tout notre séjour en Italie et surtout sur l’île de Sicile. La guest house Dependance in villa con piscina est située dans un havre de paix avec une propriétaire d’une gentillesse exceptionnelle.  La nuit pour une maison indépendante avec piscine coûte 80 euros pour 4 personnes. Les réservations peuvent se faire au 0039 34 89 77 17 16 ; l’adresse du site est le cnd buttino, Raguse, 97100, Italie.

Nous profitons de la piscine.

Gentiment, la propriétaire nous offre une petite collation.

Le soir, nous commandons par son intermédiaire, pizzas et sushis, pour la somme d’une trentaine d’euros pour 4, soit un rapport qualité prix imbattable.

Le lendemain matin, après une nuit merveilleuse, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous prenons la route vers l’Etna et devons faire le choix de ne pas visiter Syracuse, une ville magnifique de l’île, le temps nous manquant.

Sur le trajet, nous prenons un petit café, dont une crème de café que nous apprécions tant dans le pays.

Nous prenons ensuite la route vers la ville de Vilino Platania, qui permet d’accéder au téléphérique donnant la possibilité de rejoindre son sommet.

Après la traversée du village, nous entrons dans le parc du volcan.

Nous parvenons au bout de la route. De nombreux commerces sont présents.

Nous rejoignons à pied le téléphérique. Le ticket aller retour pour la montée en télécabine, puis en bus coûte 65  euros par personne. Cependant, contrairement à ce qui est dit dans les guides, il est possible de le faire à pied.

Nous grimpons dans la cabine.

Après 10 minutes de montée, nous parvenons au sommet.  Nous buvons un bon café.

La vue est bien dégagée.

Nos tickets nous donnent droit à monter dans un bus pour rejoindre un peu plus le sommet de ce qu’il est possible de visiter sans guide et sans effort.

Nous sommes enfin au sommet de l’Etna, du moins, sur un de ses sommets, nombre d’entre eux sont secondaires.

Un léger vent frais souffle, mais pas plus froid que ça. Si un guide nous enjoint de le suivre en groupe, aucune tyrannie n’oblige à l’écouter spécifiquement.

Nous parcourons les paysages lunaires du sommet.

Nous passons bien une heure sur place.

Il est temps pour nous de redescendre et de faire un arrêt au stand souvenir.

Nous redescendons.

Nous nous rendons dans la ville de Catane que nous visitons rapidement.

Nous rejoignons un des joyaux de la Sicile : la ville de Taormine.

Nous entrons dans la ville.

Nous nous garons dans le centre.

Nous rejoignons la place centrale.

Une belle église nous accueille.

Nous continuons de flâner dans les rues du centre.

Nous passons une porte séculaire.

Une autre église se laisse visiter.

Le point de vue sur la côte est intéressant.

Nous retournons sur la place centrale afin de nous restaurer.

Il est temps pour nous de rejoindre la ville de Messine.

Nous quittons l’autoroute pour rejoindre une petite plage dans laquelle nous nous baignons.

En début de soirée, nous reprenons notre route.

Nous entrons dans la ville de Messine.

Nous rejoignons le port afin de prendre un ferry pour rejoindre la Calabre. Notre ticket pour une traversée de 30 minutes coûte 40 euros pour une voiture et quatre personnes. La traversée est prévue pour 20 heures, mais à 19 heures, on nous donne la possibilité d’embarquer.

Nous entrons sur le bateau.

Nous quittons la Sicile.