En provenance d’Arménie, plus précisément de la ville de Goris, nous nous arrêtons à la frontière avec le Haut-Karabagh.

Nous venons de franchir une sorte de No man’s land de plusieurs kilomètres. Nous nous arrêtons à un poste frontière où des militaires ne font que prendre notre identité. Ils nous remettent également une feuille sur laquelle se trouve l’adresse de la section du ministère des affaires étrangères à Stepanakert la capitale, dans laquelle nous devrons récupérer notre visa au prix d’une dizaine d’euros pas personne, les enfants en étant exemptés.

Nous entrons sur le territoire du Haut-Karabagh, un état qui n’est pas reconnu par la communauté internationale depuis qu’il a fait sécession à l’Azerbaïdjan voisin. Néanmoins, étant peuplé principalement d’arméniens, il s’en accommode grâce au soutien de l’Arménie voisine qui lui fournit une grande partie des liquidités nécessaires à son fonctionnement.

Nous prenons la route en direction de la ville de Souchi, distante d’une trentaine de kilomètres.

Nous traversons une petite ville.

A la sortie de la ville, nous faisons une halte pour faire connaissance avec un cueilleur de mûres.

Nous en profitons pour découvrir également un beau paysage montagneux.

Nous reprenons notre route et traversons la ville de Larçin.

Le paysage devient à nouveau montagnard.

Arrivés à une intersection, nous prenons la bifurcation qui se situe à notre droite.

Nous entrons dans la ville de Souchi.

Nous nous dirigeons vers la cathédrale, le centre de la ville ne présentant que peu d’intérêts.

Nous entrons dans l’église.

Nous avons la chance d’assister à un baptême orthodoxe de deux jeunes adultes.

Nous quittons ensuite la ville de Souchi.

Nous prenons la direction de la capitale Stepanakert appelée également Xankendi.

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous nous dirigeons vers le centre-ville.

Avant de rejoindre le centre, nous découvrons une partie de la ville qui n’est pas touristique.

Nous reprenons notre chemin.

Après nous être garés aux abords de la place centrale, nous décidons de prendre un chauffeur de taxi afin de rejoindre le ministère des affaires étrangères pour effectuer notre visa ; le chauffeur nous demande trois euros pour nous y emmener et nous attendre.

Nous entrons dans le ministère.

On nous demande de patienter quelques instants.

Sur les murs, de nombreux cadres mettant le pays en avant au travers de ses attractions touristiques.

Après avoir récupéré notre visa, le chauffeur de taxi souhaite nous emmener au monument le plus représentatif du pays : les statues des grands-parents. Les statues se trouvent en sortie de ville. Nous continuons tout droit.

Après moins de trois minutes de route, nous arrivons sur place.

De nombreux commerçants proposent de l’artisanat local.

L’entrée du site est gratuit.

Le chauffeur, très compétent et très compétitif nous remet son numéro de téléphone ; il est joignable au 097 322 668.

Le chauffeur nous emmène à notre voiture.

Nous rejoignons la place centrale.

Après avoir salué notre chauffeur, nous nous rendons dans un bar afin de manger un morceau.

Nous visitons le centre de la ville. Le rond-point en est l’attraction touristique majeure.

Autour d’une belle fontaine, les locaux aiment se reposer.

Nous continuons notre découverte de la ville.

Nous découvrons le parlement du pays.

La ville reste agréable.

Nous décidons de rejoindre notre hôtel, un établissement trois étoiles à 50 euros la nuit sans prétention.

Le lendemain matin, nous décidons de quitter la capitale pour rejoindre la ville d’Askeran.

Après 20 minutes de route, nous rejoignons la ville d’Askeran.

La forteresse dont il ne reste que les vestiges se trouve à l’entrée de la ville ; son entrée est gratuite.

La ville d’Askeran ne présentant pas d’intérêt particulier, nous rejoignons le monastère de Gandzasar à 40 kilomètres de là.

Pour ce faire, il convient de traverser le pays du Sud vers le Nord.

A certains moments, la route est vraiment en mauvais état.

Nous faisons une halte dans une station service afin d’effectuer quelques achats.

Nous repartons ensuite.

Nous entrons finalement dans la ville de Gandzasar.

Pour rejoindre le monastère, il convient de continuer tout droit.

Nous nous garons aux abords du monastère.

Le monastère se trouve au sommet d’une montagne ; il nous donne ainsi la possibilité de bénéficier d’une vue superbe.

Nous entrons dans le jardin du monastère.

Nous visitons ensuite l’intérieur du monastère.

Nous profitons un peu d’un autre point de vue sur la vallée qui se trouve en contrebas.

Il est temps pour nous de repartir.

Nous prenons la route vers l’Arménie en prenant une autre route que celle utilisée pour entrer dans le pays la veille.

Nous prenons la route en direction de la ville de Vardenis en Arménie.

Nous traversons de nombreux canyons.

Nous arrivons au poste-frontière appartenant au Haut-Karabagh dans lequel nous présentons notre visa d’entrée ; un contrôle de quelques minutes suffit.

Nous quittons le territoire sans avoir besoin de passer à un contrôle d’un quelconque poste arménien.