J’ai visité Nausicaá, le plus grand aquarium d’Europe
Situé à Boulogne-sur-mer, Nausicaá est le plus grand aquarium d’Europe. Mais, le parc aquatique n’est pas seulement une attraction pour visiteurs, il est également un sanctuaire de préservation des espèces marines. Nous l’avons visité durant une journée et vous en présentons de manière détaillée toutes ses spécificités.
Nous avons entendu parler de Nausicaá lors du salon des blogueurs de voyage auquel nous participions en avril 2019. D’abord partenaire de l’événement qui s’est déroulé dans le Nord, l’aquarium Nausicaá a dû annuler sa présence suite à la contestation illégitime de quelques blogueurs à la fibre écologique douteuse qui ont menacé les organisateurs d’annuler leur venue en cas de présence du parc.
Finalement, le blogueur responsable de cette annulation, peu enclin à respecter ses engagements n’est quand même pas venu et Nausicaá n’a pas eu la chance de pouvoir bénéficier d’un auditoire pour exposer le travail effectué durant ses presque trente ans d’existence.
Face à cette injustice et à l’abus de ces blogueurs qui tentent de manière extrémiste d’imposer leur vision du monde, nous avons cherché à en savoir plus sur cet aquarium et avons décidé de le découvrir de manière approfondie.
Quand bien même, depuis des années, nous sommes fortement intéressés au bien-être animal et ne sommes pas enclins à accepter l’exploitation de la faune, nous ne nous permettons pas de juger sans savoir et c’est pour cette raison que nous n’avons pas crié avec les loups. Fort heureusement, car nous avons découvert un parc aquatique unique, qui depuis son ouverture tentait de sensibiliser les populations à la préservation du monde maritime. Des soigneurs attentionnés, un parc didactique et des actions de préservation du monde maritime effectués un peu partout sur la planète…sont quelques des attraits de ce Centre aquatique.
Pour découvrir la photothèque complète de notre visite, n’hésitez pas à vous rendre sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/france-pas-de-calais-boulogne-sur-mer-cote-dopale/
Nous avons effectué ce voyage grâce à Antoine Louis, responsable communication de l’Office de Tourisme Intercommunal Boulogne Côte d’Opale ; l’office se trouve 48 Rue de Folkestone, 62200 Boulogne-sur-Mer ; il est joignable au 03 21 10 88 10 ou sur le site Internet : https://www.boulonnaisautop.com/
Nous avons également été aidés par Marion, du département du Pas-de-Calais tourisme, dont le siège se situe route de la Trésorerie – 62126 Wimille ; différentes informations peuvent être trouvées sur le site Internet : https://www.pas-de-calais-tourisme.com/fr/homepage/
Nous avons également pour ce voyage, travaillé en collaboration avec la Sanef, qui souhaite développer le tourisme local, dans des territoires authentiques. Plus d’informations sont disponibles sur le site de l’entreprise. Vous pouvez retrouver le résultat de cette démarche sur le profil Instagram de la société.
Un peu d’histoire
Au début des années 80, alors que les SJW n’existaient pas encore, plusieurs passionnés de l’océan dont le maire de l’époque : Guy Lengagne décident de se regrouper pour créer un aquarium d’un genre nouveau conçu comme un centre de recherche, un centre pédagogique de sensibilisation à l’environnement marin et en même temps un pôle de loisirs ; les bases de ce que deviendra Nausicaa sont posées.
Dix ans plus tard, en 1991, La Société d’Exploitation du Centre National de la Mer est créée. Le Centre National de la Mer est baptisé Nausicaá, qui ouvre ses portes au public le 18 mai de cette année.
En 1994, les premières méduses sont présentées au public alors qu’un an plus tard : « La mer et l’enfant » devient la première exposition temporaire.
En 1998, Nausicaá double sa surface et passe à 4500 m² d’exposition. Dix mille nouveaux animaux marins intègrent les aquariums. E, 1999, Nausicaá reçoit le titre de Centre d’Excellence pour l’Éducation à l’Environnement marin par la Commission Océanographique Intergouvernementale de l’UNESCO après sa participation active à l’année Internationale des Océans en 1998.
En 2002 : Nausicaá devient le cofondateur du Réseau Océan Mondial – World Ocean Network, une association internationale qui réunit des musées, des aquariums, des centres scientifiques, des organismes éducatifs, des institutions et des organisations non-gouvernementales ayant pour but de sensibiliser le public à l’importance de l’océan pour l’avenir de l’humanité.
Un an plus tard, Nausicaá communique sur le changement climatique avec son exposition : « Sale temps sur la planète ! »
En 2007, Nausicaá accueille son dix-millionième visiteur. Trois ans plus tard, Nausicaá reçoit le 1er prix pour l’entraînement médical des lions de mer à la conférence annuelle d’IMATA (International Marine Animal Trainers Association) à Cancun au Mexique.
Agé de 20 ans, en 2011, Nausicaá propose au public une nouvelle exposition : « Histoires d’îles » Durant les années qui suivent, le centre aquatique accueille de nouveaux pensionnaires et au travers de nouvelles scénographies, accentue un peu plus sa présence dans le ludique didactique maritime. Sans oublier les nombreuses actions menées un peu partout sur la planète pour préserver la vie animale.
Le 19 mai 2018, Nausicaá change de dimension pour devenir l’un des plus grands aquariums d’Europe en visant le million de visiteurs par an.
Nausicaá et les chiffres
Plus grand aquarium d’Europe, un des plus grands au monde, Nausicaá également appelé Centre national de la Mer se trouve au Boulevard Sainte-Beuve, 62200 Boulogne-sur-Mer ; plus de renseignements peuvent être demandés au 03 21 30 99 99 ou sur le site Internet de l’entreprise : https://www.nausicaa.fr/
Le Centre Aquatique est facilement accessible. En voiture, il se trouve à 2 h 30 de Paris, Londres et de Bruxelles. Il est nécessaire après être arrivé à Boulogne-sur-mer, de prendre la sortie 29 (Boulogne-Port) ou la sortie 32 (Boulogne-Nord – Nausicaá). Pour les véhicules, un parking est disponible au 86 rue de Folkestone.
En train, depuis les gares de Paris Nord, Lille, Bruxelles Midi, et même en Eurostar via Calais Frethun, la gare SNCF Boulogne Ville se situe à 30 minutes à pied et 10 minutes en bus de l’Aquarium par la ligne F.
En bus, depuis le centre-ville de Boulogne–Sur–Mer ou la gare SNCF il convient de prendre la ligne F direction « Baston », puis sortir à l’arrêt Nausicaá.
Les chiffres concernant ce centre hors norme sont absolument édifiants :
- 10 000 m2 de surface d’exposition principale
- 60 000 animaux différents
- 1 600 espèces différentes
- 17 000 m3 en volume d’eau totale
- 10 000 m3 en volume d’eau du bassin principal
- 7 km de tuyauterie pour le traitement d’eau
- 100 m2 de surface de la grande baie (20 m de long / 5 m de haut)
- 6 semaines nécessaires pour remplir le bassin principal
- 31 ans pour l’âge du plus vieux pensionnaire du centre (lion de mer Speedy)
- 17 millions de visiteurs depuis l’ouverture
- 12 espèces de requins
L’entrée coûte 25 euros par adulte et 19 euros par enfant. L’entrée est gratuite pour les moins de trois ans. La visite des coulisses est un billet additionnel qui coûte 12 euros par personne.
Le parc est ouvert en juillet et en août de 9 h 30 à 20 h 00 et le reste de l’année de 09 h 30 à 18 h 30.
L’aquarium emploie 250 salariés qui fournissent chaque près de 25 tonnes de nourriture à l’ensemble des espèces marines.
La conception du site
Imaginé par les architectes Jacques et Sophie Rougerie, lauréats avec SOGEA CARONI, filiale de Vinci Construction, en 2014 du concours international lancé pour la création du nouveau Nausicaá, le bâtiment principal à l’architecture bionique qui nous accueille dénote un côté futuriste en totale adéquation avec le monde marin. Perlant comme une gouttelette, ses lignes épurées conçues en toute simplicité rendent uniques ses coques protectrices légères et enveloppantes aux textures tantôt nacrées tantôt striées aux couleurs volontairement réduites, le blanc et le bleu dominant et symbolisant la fusion entre la terre et la mer.
Véritable vaisseau qui ne prendra le large qu’au travers de la métaphore de son émancipation, le bâtiment concilie l’océan à la civilisation au travers de sa forme facilement identifiable. Capable de se nourrir de mondes marins et terrestres parfaitement conciliables, le site se veut un Atlantide de la découverte et sert d’intermédiaire de voyage dans l’univers des mers et des océans.
Deux expositions accueillent ainsi les visiteurs dans un espace dédié à la découverte de plus de 10 000 m2.
Sur la gauche, dès l’entrée, l’exposition Voyage en haute mer est le fer de lance du Centre aquatique. Englobant le plus grand aquarium d’Europe, il permet de découvrir un territoire immense et pourtant si méconnu. L’exposition se parcourt comme un jeu de piste où le sens fléché du chemin permet de ne rien louper du spectacle.
Découpée en plusieurs panneaux directionnels, l’exposition permet de bénéficier d’une relative liberté tout en gardant le cap.
Océan puissant
Océan vivant
Le royaume des requins
Plongée en Haute Mer
L’Océan la nuit
Les voyageurs du grand large
La grande Faille
Sous l’Océan
La Grotte sous-marine
Le monde des Abysses
Des Abysses à la pleine eau
Le grand spectacle de l’Océan
Le forum des Hautes Mers
Remontée à la surface
Naissance et vie du grand bassin
La seconde exposition : “Des rivages et des hommes” permet quant à elle d’embarquer pour un grand tour du monde des mers et des océans avec pour fil directeur, l’impact du monde Humain et son lien avec le domaine maritime.
L’Océan mondial
Histoire d’îles
Le diamant
Escales en Méditerranée
Voyages en Mer du Nord
Le bassin californien
Mer des Hommes
La mangrove
Le récif
L’aquarium des requins – Observatoires sous-marins
La jungle de Corail
Le Forum des Rivages et des Hommes
Le Tunnel des lions de mer
Réserve des lions de mer
Les Pinnipèdes
Le Bassin tactile
En mer à bord de la Thalassa
La forêt immergée
Océan et Climat
Le site comprend également 3 restaurants (Le Calypso café, le lagon restaurant et le bistrot côté plage) ainsi qu’une boutique souvenirs. Le lieu est accessible aux personnes à mobilité réduite.
Voyage en haute mer
En entrant à l’intérieur du Centre de la mer, nous sommes immédiatement plongés…dans le bain, métaphore judicieuse, tant les lignes directrices de l’édifice harmonisent l’espace.
Au cœur de l’ensemble, la disposition des expositions dénote le côté très arrondi du bâtiment, rassurant dans cet univers aquatique renforcé par une scénographie inspirée par l’eau de l’agence Arscenes.
Nous entrons dans l’exposition : « Voyage en haute mer » En réalité, et sans prendre en compte l’analyse sémantique du terme, il s’agit de l’aquarium en lui-même, puisqu’il est conçu autour du bassin principal de 10 000 mètres carrés et chaque partie de ce thème est amené par des sections portant un numéro et un nom différent.
Avançant dans un univers volontairement sombre, afin de mettre en perspective le bleu de l’eau aussi bien présent dans les aquariums ou sur les écrans qui projettent des images de faunes aquatiques, nous sommes entourés par cet élément nécessaire à la vie et si nous l’oublions, tout autour de nous est fait pour nous le rappeler. Ce qui se traduit dans la scénographie par un choix judicieux d’une charte graphique laissant la part belle à une ambiance tamisée.
Afin de souligner l’apesanteur, le sonore laisse cliqueter un bruitage de gouttes semblant exploser au passage dans une sorte d’onomatopée imprononçable mais au combien efficace. Grâce à cet effet sonore, la scénographie dirige le public dans le circuit de visite qui se dessine en miroir des aquariums. Au total, une haute technologie électroacoustique utilise près de 130 enceintes de toutes tailles diffusant 60 pistes sonores.
Baigné dans cette atmosphère à la limite de l’impalpable, le visiteur vit une sensation unique de plongée parmi la faune aquatique depuis la surface jusqu’aux abysses. Avec tout du long du parcours, un contenu qui se découvre, riche en didactique.
Virevoltant furtivement ainsi parmi les premières animations d’un océan accessible, des méduses présentes en nombre sont le premier contact avec un monde dans lequel, chaque avancée est une descente effrénée vers les profondeurs.
Puis, vient rapidement la découverte du grand bassin, dont les premiers contacts s’effectuent au travers d’une grande vitre de laquelle s’approchent les poissons. A la vue d’une grande raie Manta, pléonasme, tant les plongeurs connaissant l’espèce ne peuvent douter de la superficie de ses membres.
Relativité oblige, au cœur de l’aquarium, comparé aux autres poissons, la raie semble voler ; ses ailes déployées en sont autant de propulseurs que ceux à plein régime d’un avion qui donne l’impression de perdre de l’altitude mais qui en réalité pique pour mieux se relever.
Et après ce premier contact, la vue de plusieurs murènes, placides et déconcertantes d’immobilisme extirpe quelques bouffées d’air.
Au numéro 7, le bassin est à nouveau mis en valeur au travers d’une grande faille qui place chaque visiteur dans le rôle d’un indiscret voyeur mais au sens noble du genre. Cette taillade en V, à la symétrie presque parfaite est une ouverture sur un monde dont nous nous délectons sans restriction.
Et alors que nous continuons de suivre un chemin balisé, nous entrons dans le domaine du merveilleux : un pont de verre nous place au cœur du bassin ; les points cardinaux semblent fusionner en un seul point et chaque plan de l’espace offre son lot de surprise : sur le dessus, la raie Manta nous octroie un magnifique ballet aérien, sur les côtés, des poissons colorés s’écartent au passage d’un requin pointe noire. Et face à nous, des humains qui traversent ce tunnel dont l’entrée et la sortie se mélangent.
L’attention des visiteurs est ainsi attirée par le spectacle grandiose de la faune dans des décors recréant naturellement sans ambages leurs écosystèmes.
Après un passage anxiogène dans le monde des Abysses, un écran de verre géant vient clore la découverte de ce grand bassin aux dimensions dantesques.
Un peu à la manière d’un plongeur, le passage obligé par un ascenseur semble nous indiquer que nous remontons à la surface. Le bruitage aidant, nous y croyons sans savoir si réellement nous avons bougé d’un pouce.
Merveille des effets spéciaux oblige, lorsque nous découvrons le bassin dans son ensemble, nous avons réellement l’impression d’avoir quitté les profondeurs de l’océan.
Des rivages et des hommes
L’exposition : « Des rivages et des hommes » se délecte au travers de plusieurs supports pédagogiques, qui permettent aux visiteurs de découvrir le lien qui unit l’Homme et la mer. Les connaissances apportées par ces indications mettent en appétit l’intellect et donne envie d’atteindre la satiété.
Dans une ambiance volontairement plus claire que l’exposition : « Voyage en haute mer », cette partie du Centre amène le spectateur dans un circuit moins dirigé, plus libre.
Les matériaux utilisés, essentiellement le bois et le métal donne un côté plus aéré, un peu caractérisé par l’ouverture de l’homme omniprésent sur les bords maritimes de la planète.
Chaque tableau est ouvert sur les scènes du vivant. Tout en étant légèrement cosy, comme une volonté marquée par les organisateurs de privilégier les vues panoramiques sur les écosystèmes.
Au travers de ce réel, l’émotion de la scénographie proposée montre qu’il semble possible de toucher la conscience des visiteurs avec des espaces lieux dédiés aux familles.
En arrivant vers un escalator qui ouvre sur le reste des espaces supérieurs, le visiteur reprend sa position terrestre et découvre un espace boisé dans lequel des animateurs exposent leur talent oratoire.
Lorsque le visiteur peut lui-même faire partie du décor en caressant des raies dont le visage semble humain, ce parcours didactique et tactile revêt tout son sens.
La découverte des coulisses
Mais l’expérience la plus profonde à vivre au sein du Centre reste la découverte de ses coulisses. Accompagnés d’une guide, nous entrons dans les tréfonds de ce monstre d’acier et de verre.
Le bassin principal que nous avons circonscrit de notre attention se trouve à présent face à nous. Nous ne nous lassons pas d’imaginer la perspective de sa construction en observant son étendue aquatique.
En avançant dans ce décor industriel, nous faisons la connaissance d’une jeune soigneuse qui tente de nourrir les requins. Mais ces derniers rechignent à attraper les beaux poissons pêchés du matin, encore fourbus par les précédents repas…et ce quand bien même, afin de garder un rythme naturel, ils sont nourris quelques fois par semaine.
Nous découvrons également une partie des 7 kilomètres de tuyauterie qui servent à alimenter l’eau du bassin principal.
Pas à pas, notre guide nous explique les différentes interventions du Centre dans la préservation des espèces marines sur la planète. Plusieurs fois lauréat de prix prestigieux décernés par des organismes écologiques reconnus, le Centre aide financièrement de nombreux programmes travaillant dans le domaine du développement durable maritime, ainsi que des associations accompagnant les espèces en danger.
Nous continuons cette visite par la découverte des cuisines…où un peu comme un symbole, les soigneurs à la manière de grands chefs culinaires concoctent des repas équilibrés. Près de 25 tonnes de nourriture sont ainsi distribuées chaque année.
La rencontre des soigneurs nettoyant les aquariums des bébés méduses termine de nous émouvoir ; avec une patience et des gestes méticuleux, les animaux sont dorlotés.
Le déjeuner au restaurant Le Calypso
Si plusieurs restaurants sont accessibles dans le Centre, le restaurant Le Calypso en est un des plus intéressants. Constitué comme un self, il permet aux visiteurs pour des prix compétitifs de manger sainement, le centre ayant mis dans sa gastronomie la même attention qu’il attribue pour le fonctionnement de son aquarium. Les produits sont locaux et achetés au travers de circuits courts. Le plastique a été banni des tables, remplacé par des couverts recyclables.
Nous nous saisissons d’un plateau et commençons à sélectionner nos boissons. Des softs pour les enfants et un verre de vin pour nous. Nous récupérons ensuite quelques petites salades que nous sélectionnons en format d’entrée, puis nos desserts.
C’est en passant aux caisses que nous commandons les plats principaux. Des moules ainsi qu’une spécialité du Nord : La carbonade (ou carbonnade) flamande, un plat cuisiné à partir de morceaux de viande de boeuf, et ayant mijoté quelques heures dans une savoureuse sauce à la bière.
Et c’est ainsi assis, en compagnie de Marion de l’office de tourisme du Pas-de-Calais que nous savourons nos plats et que nous nous remémorons les souvenirs de cette visite gratifiante et si didactique.
Le Bilan
Le Centre est un incontournable du pays de Boulogne-sur-mer. Le personnel est attentionné et la disposition des expositions est judicieuse.
L’impact du visuel et du sonore plonge le visiteur dans les méandres du monde océanique et les émerveillements se trouvent à chaque coin d’un chemin qui parvient à marier le ludique et l’acquisition didactique.
Le beau est également omniprésent. Les couleurs de l’eau, élément principal du décor sont sublimées par une atmosphère volontairement tamisée et petits et grands prendront plaisirs à découvrir ou redécouvrir des informations utiles pour la sensibilisation au monde aquatique.
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