Nous nous rendons dans la ville de Metz afin de rejoindre la gare TGV.

Nous nous apprêtons à rejoindre l’île de Djerba en Tunisie. Pour plus de facilité de tournage sur l’île de Djerba ainsi que dans le Sud tunisien, nous avons noué un partenariat avec l’office de tourisme, qui nous a aidé dans l’organisation de ce voyage. En particulier Adel Mhenni, de l’office de Paris. Nous nous sommes également beaucoup aidé du site officiel de l’office du tourisme, joignable à l’adresse suivante : https://www.discovertunisia.com/

Nous arrivons à la gare de Metz ; en cette heure matinale, elle est déserte.

Nous commandons un café pour patienter.

Notre train arrive à l’heure.

Après un trajet d’une heure trente, et un arrêt impromptu de 15 minutes, dû à une panne de courant, nous posons le pied sur le sol parisien. Avant notre arrivée, nous en avons profité pour réserver un Uber pour nous conduire jusqu’à l’aéroport d’Orly.

Notre chauffeur, Nemy conduit pour plusieurs sociétés de transport ; il est professionnel et accessible. Il est joignable au 0033 6 66 13 99 13.

Nous arrivons à l’aéroport d’Orly.

Nous retirons nos billets et procédons à l’enregistrement de nos bagages aux comptoirs de la compagnie Tunis air.

Nous passons les contrôles de sécurité.

Notre avion n’étant pas encore arrivé, nous en profitons pour manger un menu rapide chez Paul. Pour la somme de 10 euros.

Un bus nous conduit jusqu’à notre avion.

Nous embarquons.

C’est alors que nous souhaitons prendre une photo de l’avion. Une hôtesse de l’aéroport nous l’interdit. Un des responsables de Tunis air qui patientait sur le tarmac le remarque et vient à notre rencontre devant elle. Prenez-toutes les photos que vous voulez ! Elle n’a pas voulu que vous preniez une photo. D’accord, je vais faire mieux. Nous allons vous ouvrir le cockpit.

Nous avons la chance de  découvrir cet endroit normalement clos pour les passagers. En outre, nous pouvons sympathiser avec les pilotes qui découvrent notre périple dans le Sud tunisien.

Nous nous dirigeons ensuite à nos places.

Mais alors que nous sommes ne vol, les pilotes qui ont découvert notre blog nous font appeler. Ils nous octroient la chance d’assister au vol depuis le cockpit.

Nous vivons un grand moment du voyage.

Nous assistons même à l’atterrissage depuis le cockpit.

Nous saluons nos nouveaux amis et nous descendons de l’avion afin de rejoindre un bus pour nous conduire jusqu’au terminal.

Nous récupérons nos bagages.

Nous effectuons le change de notre monnaie. Alors qu’il y a quelques années, un euro valait deux dinars, aujourd’hui, un euro vaut presque quatre dinars, soit un prix plus avantageux pour les européens, mais qui rend difficile la vie pour tout un peuple lors de l’importation des matières premières nécessaires.

Nous rejoignons le commissaire adjoint au tourisme Kamel El Haj Brahim qui nous accompagnera durant les trois jours que nous resterons à Djerba, ainsi que Chokri Kmel, qui sera notre chauffeur durant notre séjour à Djerba et dans le sud tunisien. Il s’avèrera être un des meilleurs chauffeurs que nous aurons eu, toujours prévenant, toujours attentif et disponible intégralement pour notre bien-être. Il organise les meilleurs séjours pouvant être effectués en Tunisie et il est à recommander sans restriction. Il est joignable au 0021 69 55 08 419 ou sur le kmelyossra28@gmail.com

Nous prenons immédiatement la route vers la capitale de l’île : Houmt souk.

Nous entrons dans la ville après 15 minutes de route.

Nous nous dirigeons vers le centre.

Nous nous garons aux abords du souk.

La ville est très belle.

Nous entrons dans le souk.

Un homme nous invite à boire le thé.

Nous pouvons reprendre notre balade.

Les vendeurs proposent de beaux produits.

Nous entrons dans le souk.

L’ambiance est agréable.

Nous passons une heure sur place.

Nous quittons le souk.

Nous visitons un grand magasin de produits artisanaux. Le magasin se nomme le palais des arcades. Il possède des objets parmi les plus beaux de la ville.

Nous reprenons notre route.

Nous visitons ensuite un magasin qui propose des épices et autres produits divers.

A côté du magasin, se trouve un écrivain public, une fonction qui a presque disparu avec l’avènement d’Internet.

Nous faisons quelques pas pour découvrir un magasin d’abattages de volailles. Les poules sont achetées vivantes et tuées immédiatement après l’achat.

Nous nous rendons ensuite au petit marché local de la ville.

Dans un restaurant, nous dégustons une des spécialités du pays : la brick ; il s’agit d’une pate feuilletée qui recouvre un mélange de pommes de terre, de piments rouges e tde salades. Certaines peuvent être agrémentées avec du thon ou du poulet.

Dans le restaurant, est diffusé en direct un match de football européen qui suscite l’engouement des spectateurs présents.

Nous prenons à présent la direction de l’île aux flamands rose. L’île peut être rejointe par un bateau, mais en fonction de la période des marées, l’île qui est en réalité une presqu’île peut être rejointe avec un véhicule 4/4.

Nous entrons sur l’île aux flamands, étant donné que la mer n’en recouvre pas les accès terrestres.

Nous assistons à un magnifique coucher de soleil.

Nous continuons notre exploration de l’île.

Nous arrivons à la fin des terres pour pouvoir observer plusieurs colonies de flamands rose.

Il est temps pour nous de quitter l’île pour rejoindre notre hôtel : le Radisson blue palace.

L’hôtel, un des plus beaux de l’île se trouve dans la zone touristique de Houmt Souk. Les réservations peuvent se faire sur le site Internet de l’hôtel.

Nous visitons l’hôtel dont les chambres coûtent aux alentours de 80 euros la nuit en basse saison.

Nous rejoignons ensuite notre chambre.

L’hôtel regorge de surprises, dont plusieurs cafés et bars à chicha.

Nous nous rendons ensuite au restaurant de l’hôtel.

La nourriture est succulente.

Le lendemain matin, nous nous réveillons dans un décor de rêve.

Nous prenons un petit-déjeuner copieux.

Kamel, le commissaire adjoint du tourisme nous attend de bonne heure devant notre hôtel.

En sa compagnie et de celle de notre chauffeur, nous prenons la direction du centre de l’île.

Sur le bord de mer, nous nous arrêtons afin de faire connaissance avec des pêcheurs traditionnels. Malheureusement, nous nous embourbons.

Le temps que le chauffeur parvienne à sortir le véhicule de la boue dans laquelle il se trouve prisonnier, nous nous dirigeons vers les pêcheurs que nous avons aperçus.

Le site est typique de la pêche djerbienne.

D’autres pêcheurs viennent à notre rencontre.

Gentiment, les pêcheurs se proposent de nous aider à nous désembourber.

Nous repartons ensuite vers la ville de Mellita.

La ville est connue sur l’île du fait de son marché coloré.

Nous découvrons une ambiance populaire agréable.

Nous visitons ensuite une salle associative où des éducateurs effectuent une prévention contre la drogue.

Il est temps pour nous de rejoindre la ville d’Eriadh.

La ville comprend une des plus grandes synagogues du pays.

Dans la synagogue La Ghriba, trois hommes prient.

La synagogue est magnifique.

Nous découvrons ensuite la ville avec ses petites ruelles et son street art.

De nombreux artistes ont effectué sur les murs des maisons, de nombreux graffitis aux consonances orientales.

Nous nous arrêtons en périphérie de la ville afin de visiter une usine qui fabrique de l’huile d’olive.

Nous assistons à l’intégralité du processus de fabrication.

Nous reprenons la route.

Nous faisons une halte pour découvrir des cueilleuses d’olive dans un champ qui se trouve aux abords de la route.

Nous reprenons la route pour nous rendre à Fatou, afin de rejoindre les ateliers de Dar Jilani, une des figures les plus intéressantes de l’île de Djerba.

L’homme est un artiste. Sa demeure est l’antre des artistes de l’île.Il s’agit d’un des endroits phares à visiter sur l’île de Djerba. Son téléphone est le 00 216 97 28 96 12 ; son adresse se trouve sur la route de la zone touristique de Houmt souk au kilomètre 3, à côté de la résidence Hekma. Les réservations peuvent se faire sur le : jilani.zerria@gmail.com

Les touristes peuvent assister à plusieurs représentations artistiques, boire le thé ainsi que manger des plats typiquement locaux.

Nous visitons ensuite une propriété sublime dans laquelle des chambres d’hôte sont proposées.

L’endroit est stupéfiant.

Dar Jilani nous présente son cocon.

L’intégralité de la maison des arts et des métiers a été conçu avec des matériaux de récupération.

L’homme, devant nous nous représente sur une peinture qu’il peint en quelques minutes en fonction de nos demandes et désidératas.

Nous sommes invités ensuite à découvrir la conception du plat typique de l’île : le riz à la djerbienne.

Nous quittons Dar Jilani pour rejoindre la ville de Houmt souk, du moins son port.

Nous entrons sur le port de plaisance.

Face à nous, les amphores traditionnelles qui servent à la pêche au poulpe.

Nous nous arrêtons pour partager un petit moment avec des pêcheurs.

Nous arpentons le port à pied.

Vers 13 h, nous prenons le déjeuner au restaurant Haroun qui se trouve non loin du port. Le restaurant es tun des plus fameux de l’île.

Nous faisons connaissance également avec le commissaire au tourisme qui est venu pour nous saluer.

Nous mangeons de nombreux plats tunisiens, d’une qualité exceptionnelle.

Après avoir mangé, nous nous rendons au fort Ghazi Mustapha. L’entrée coûte moins de deux euros.

Nous rencontrons également des scouts qui nous accueillent en chanson.

Nous prenons la route vers le centre de Houmt souk afin de visiter une fabrique traditionnelle de tapis. La fabrique se trouve avenue Bourguiba, près de la poste. Son téléphone est le 05 50 875.

Les femmes nous accueillent avec le sourire.

Avec grâce, les femmes qui travaillent dans la conception de tapis maîtrisent un art séculaire.

Nous visitons ensuite le magasin.

Nous nous rendons ensuite vers la ville de Guellala.

La ville est connue pour être le siège de fabrique des poteries traditionnelles.

Nous visitons un magasin de poteries.

Nous prenons ensuite la direction de la ville de Midoun pour visiter un des hauts lieux touristiques de l’île : le site de Djerba explore.

Le site de Djerba explore comprend trois activités principales : le musée des arts islamiques, le village ancien et la ferme aux crocodiles.

Nous visitons tout d’abord le musée des arts islamiques.

Le musée comporte treize salles et présente une collection unique d’arts tunisiens et arabes.

Nous quittons le musée pour rejoindre la ferme aux crocodiles.

Dans plusieurs bassins, les visiteurs découvrent des crocodiles par dizaines.

Les crocodiles viennent de Madagascar.

Un soigneur descend dans l’enclos aux animaux afin de les faire bouger un petit peu. Il est courageux et vaillant, car l’exercice est risqué.

Nous rejoignons ensuite un enclos dans lequel nous pouvons caresser des petits crocodiles dont la gueule est maintenue avec du fil afin de ne pas faire de blessés.

Nous buvons ensuite un thé dans le café du site.

Avant de retourner à l’hôtel, nous faisons une halte pour acheter quelques produits de beauté et habits divers dont les prix sont bien moins élevés qu’en France.

De retour à l’hôtel, nous pouvons enfin nous détendre.

Le lendemain, nous profitons d’une journée de farniente. Le surlendemain, très tôt, vers 05 h du matin, nous quittons l’hôtel pour rejoindre le sud tunisien.

Notre chauffeur nous attend devant l’hôtel.

Nous quittons l’île de Djerba en empruntant la chaussée des romains, une route qui permet de rejoindre le continent.