Attention, ce récit photographique n’est pas un article, mais une photothèque qui reprend de manière chronologique l’intégralité de notre voyage sur l’île d’Anjouan, dans l’archipel des Comores, un pays qui se situe en Afrique en plein coeur de l’Océan Indien.
Pour ce voyage, nous avons été aidé grandement par l’Office national du tourisme, qui nous a accompagnés dans cette découverte. Nous tenons ainsi à remercier le président de la République Azali Assoumani, le ministre en charge du tourisme : Houmed Msaidié, le directeur de l’Office du tourisme Rachid Mohamed et la directrice nationale du tourisme Marie Attoumane pour leur aide, leur amitié et leur confiance.
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Vol vers Anjouan
Avec la société Air Komor, un avion nous emmène sur l’île d’Anjouan en provenance de Mohéli. Le vol dure moins d’une heure.
Nous atterrissons sans encombre.
L’aéroport d’Anjouan
Nous descendons de l’avion.
Nous sommes conduits dans le salon VIP.
A notre sortie, un collier de fleurs nous est remis.
Le spectacle de danse
Nous sommes également accueillis avec des danseuses, qui nous offrent un beau spectacle de danse.
Nous sommes galvanisés par cette attention.
Route vers la cuvette de Tsembéhou
Il est temps pour nous de prendre une navette et de rejoindre la cuvette de Tsembéhou.
Nous traversons quelques villages.
L’ambiance dans le bus en compagnie de nos amis reporters en provenance du monde entier est excellente.
Nous entrons à l’intérieur de l’île.
Nous montons en altitude.
Nous apprenons que les villageois de Tsembéhou fleurissent eux-mêmes les allées des routes.
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Nous dépassons la ville de Tsembéhou.
La cuvette de Tsembéhou
Nous faisons un arrêt sur le bord de la route.
Nous sommes abreuvés d’explications des guides présents.
Nous reprenons ensuite la route.
Nous faisons un autre arrêt.
La vue du paysage environnant est magnifique. Nous passons un beau moment avec Naduff, le chargé de la planification touristique sur l’île.
Une dernière photo souvenir du groupe.
Route vers Mutsamudu
Nous reprenons la route vers la ville de Mutsamudu, la capitale d’Anjouan.
Sur la route, nous perdons une valise que le chauffeur s’empresse de remettre sur le toit du véhicule.
Nous entrons dans la ville.
Nous rejoignons notre hôtel.
L’hôtel Le Papillon
Le papillon est un hôtel 3 étoiles ; il se trouve en plein coeur de la ville de Mutsamudu. Il est joignable au 00269 771 17 06.
Nous mangeons en groupe.
Mutsamudu
Il est temps pour nous de rejoindre la médina de la ville.
La médina
Nous entrons dans la médina.
Nous visitons tout d’abord une boulangerie.
Puis une mosquée.
Les habitants sont chaleureux.
La ville est riche historiquement parlant.
Nous découvrons la vie locale.
Les habitants nous accueillent avec le sourire.
De nombreux locaux s’adonnent à des jeux.
Nous découvrons un beau bâtiment séculaire.
Puis, nous visitons le palais Ujumbe.
Nous continuons notre visite de la médina.
De nombreux habitants rénovent leur maison.
Nous rejoignons à pied la citadelle.
Nous faisons la connaissance avec des locaux.
Les hauteurs de la ville
Il nous faut grimper plusieurs marches.
La vue sur la ville est splendide.
Nous entrons dans la citadelle.
Un spectacle de danse nous est donné.
Nous partageons un verre tous ensemble.
La citadelle
Nous en profitons également pour visiter la citadelle.
Nous assistons également à un petit concert donné par un chanteur talentueux.
Une soirée tranquille
Dans la soirée, nous prenons la route pour l’hôtel : « Le Bleché », dans lequel une réception est donné.
L’hôtel est le plus beau de l’île ; L’hôtel se trouve à Barakani. Les réservations se font au 00269 771 66 07.
Nous pouvons visiter les chambres qui offrent tout le confort requis.
Nous nous installons ensuite à table. Un bon buffet est dressé.
Nous avons l’immense honneur de recevoir à notre table, le secrétaire du gouvernement : Afredan, avec lequel nous passons un agréable moment.
Notre table devient ainsi la table officielle de la soirée.
Nous terminons la soirée en compagnie de nos amis à notre hôtel, jusque tard dans la nuit.
Le départ de nos amis
Le lendemain matin, nos amis retournent à Moroni, alors que nous restons sur l’île afin de la découvrir plus en profondeur.
Route vers la cascade de Tratengua
De bonnes heures, notre chauffeur vient nous chercher.
Nous avons la chance incroyable d’être accompagnés par Naduff, le chargé de mission de l’office de tourisme ainsi que de Saindou Combo, un guide exceptionnel, joignable au 00269 331 53 23.
En bonne compagnie, nous nous dirigeons vers le centre de l’île.
La cascade de Tratengua
Notre première halte s’effectue à la cascade de Tratengua.
La cascade qui début d’un côté de la route se prolonge de l’autre.
En contrebas, des travailleurs s’évertuent à récupérer du sable.
Nous reprenons la route.
La plantation de Ylang Ylang
Nous découvrons une petite plantation de Ylang Ylang.
La patriarche nous emmène avec lui afin de découvrir son travail.
Nous passons un peu de temps en compagnie de la famille.
Sur le chemin, nous retrouvons les travailleurs qui prenaient du sable du contrebas de la cascade de Tratengua.
Nous reprenons la route.
La cascade de Wongoni
Nous arrivons aux abords de la cascade de Wongoni.
Nous passons un bon moment en compagnie de jeunes habitants dans le secteur.
La cascade est magnifique.
Nous nous dirigeons vers une distillerie.
La distillerie
La distillerie est déserte, ce qui ne nous empêche pas de la visiter.
Nous prenons la route vers la ville de Domoni.
La rivière
Sur le bord de la route, nous faisons une halte pour découvrir une scène intéressante de vie locale.
Domoni
Nous nous dirigeons vers la ville de Domoni dans laquelle nous entrons.
Le centre-ville
Nous découvrons tout d’abord le centre.
Nous visitons tout d’abord, le mausolée qui comprend la tombe d’un ancien président du pays.
Nous effectuons quelques achats.
Les locaux sont fiers de leur ville.
Nous découvrons une porte intéressante de la ville.
Sur les murs, les portraits de l’ancien président Ahmed Abdallah Abderemane.
La médina
Nous entrons dans la médina.
Des artisanes partagent avec nous leur art.
Nous achetons quelques piments.
Nous continuons notre découverte du site.
Nous faisons connaissance avec ce que les habitants considèrent comme une météorite.
Nous sommes appelés par une jolie jeune fille qui souhaite qu’on l’immortalise en photos.
Dans une rue sous-jacente, une femme prépare du jus de fruit.
Nous reprenons notre visite.
Nous visitons la mosquée Chirazienne.
Le front de mer
Nous rejoignons le front de mer.
Nous rencontrons des pêcheurs qui vendent leur prise au plus offrant.
Les gens nous accueillent avec le sourire.
Nous nous rendons à la plage.
La quiétude règne en maître.
De nombreuses personnes profitent de la plage pour leurs besoins de la vie quotidienne.
Des enfants pêchent.
Tandis que plusieurs hommes se lavent.
Nous passons un long moment à contempler l’Océan.
Il est temps pour nous de continuer notre découverte de l’île.
Nous nous rendons à la gendarmerie pour récupérer les papiers du chauffeur, verbalisé car il s’était mal stationné.
Route vers le lac Dzialandzé
Nous reprenons la route.
Nous circulons dans le coeur du pays.
Nous traversons à nouveau la ville de Tsembéhou.
Nous circulons vers l’Ouest sur une route nouvellement construite.
Le lac Dzialandzé
Nous nous arrêtons aux abords du lac Dzialandzé.
Nous faisons connaissance avec un homme qui porte de lourdes charges sur sa tête.
Il nous faut 20 minutes de montée pour rejoindre le lac.
Les paysages qui nous entourent sont sublimes.
Le gardien des lieux nous demande quelques euros en tant que droits d’entrée.
Nous parvenons jusqu’au lac.
Nous en faisons le tour.
Le guide en profite pour acheter quelques légumes.
Route vers la plage de Moya
Nous prenons la route vers la plage de Moya.
Une légère pluie fine commence à tomber.
Une perte d’eau importante
Un jet d’eau attire notre attention.
La réparation est sommaire.
Nous repartons.
La cascade Lingoni
Nous décidons de découvrir la cascade Lingoni.
Nous arrivons aux abords de la ville de Moya.
La bataille rangée
C’est alors qu’en traversant une petite ville, nous sommes accostés par près d’une centaine de jeunes, qui viennent d’affronter pour une sombre histoire de football entre deux communes, leurs voisins…à coups de pierres.
Tous les habitants nous saluent. Mais sur le sol, nous pouvons voir encore les pierres, stigmates de cette rivalité.
Nous continuons notre route.
Moya
Nous entrons dans Moya.
Nous nous rendons aux abords de la plage.
Plusieurs petits établissements accueillent des visiteurs.
Nous sommes conviés à découvrir une cuisine traditionnelle, dans un décor…un peu surprenant. Néanmoins, la propriétaire nous explique qu’elle est en pleine réhabilitation de ses chambres pour pouvoir accueillir des touristes dans de très bonnes conditions.
Le décor qui nous entoure est sublime.
La nourriture que nous mangeons est excellente.
La plage de Moya
Nous nous rendons ensuite à la plage de Moya.
La plage est splendide.
Nous avons une irrésistible envie de nous baigner.
De nombreux locaux l’apprécient.
De nombreux jeunes se regroupent pour jouer au football.
Nous restons bien une heure sur place.
C’est alors qu’une grosse averse écourte notre découverte. Un artisan local nous abrite dans son magasin.
Mais nous nous débrouillons pour rejoindre la voiture alors que la pluie redouble d’intensité.
Dans la rue, la pluie amène l’effervescence.
Nous prenons la route du retour.
Dans le Nord de l’île, les magnifiques plages s’enchaînent.
La plage de Sima
Nous décidons après l’arrêt de la pluie, de découvrir la plage de Sima.
Retour à Mutsamudu
Nous retournons à Mutsamudu.
Nous entrons dans la ville de Sima.
Après Sima, la route devient un peu compliquée.
Mais nous prenons quand même le temps de découvrir les côtes escarpées de l’île.
Et c’est accompagnés d’un beau coucher de soleil que nous terminons la visite de l’île.
Soirée au Jasmin
Le soir, nous nous rendons dans notre hôtel : « Le Jasmin », un hôtel qui possède une belle architecture.
Nous saluons nos amis.
Nous pouvons enfin manger.
Nous retrouvons ensuite notre chambre.
Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner.
Nous retrouvons ensuite notre chauffeur qui nous emmène non loin de Mutsamudu, afin de prendre un Kwasa Kwasa, une embarcation traditionnelle pour rejoindre l’île de Grande Comore.
Le port des Kwasa Kwasa
Nous arrivons sur place.
Nous achetons nos billets.
La police contrôle nos passeports.
Nous effectuons un test PCR.
Nous devons ensuite patienter.
Des gilets de sauvetage nous sont donnés.
La vie est frénétique sur place. Le transport en ces moyens de transport permet de transporter de nombreuses affaires entre les îles.
Le trajet en Kwasa Kwasa
Nous sommes appelés à embarquer.
Nous nous éloignons de la côte.
Le trajet est sécurisé.
Néanmoins, nous sommes éclaboussés à plusieurs reprises.
Puis mouillés fortement.
Le trajet dure presque 4 heures.
De nombreuses personnes sont malades et vomissent.
Le bateau, grâce à ses deux moteurs avance tout de même rapidement.
Nous apercevons les côtes de Mohéli que nous dépassons.
Nous parvenons finalement jusqu’à Grande Comore.
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