Attention, ce récit photographique n’est pas un article, mais une photothèque qui reprend de manière chronologique l’intégralité de notre voyage  sur l’île de Mohéli, dans l’archipel des Comores, un pays qui se situe en Afrique en plein coeur de l’Océan Indien.

Pour ce voyage, nous avons  été aidé grandement par l’Office national du tourisme, qui nous a accompagnés dans cette découverte. Nous tenons ainsi à remercier le président de la République Azali Assoumani, le ministre en charge du tourisme :  Houmed Msaidié, le directeur de l’Office du tourisme Rachid Mohamed et la directrice nationale du tourisme Marie Attoumane pour leur aide, leur amitié et leur confiance.

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Vol vers Mohéli

Avec la société Air Komor, un avion nous emmène sur l’île de Mohéli. Le vol dure moins d’une heure.

L’île de Mohéli apparaît.

Atterrissage à Fomboni

Nous atterrissons à l’aéroport domestique de l’île : l’aéroport Bandar Es Eslam, qui se trouve non loin de la capitale : Fomboni.

L’aéroport de Fomboni

Nous descendons de l’avion.

A notre descente de l’avion, nous sommes emmenés dans un bâtiment afin d’effectuer un test antigénique pour déceler une éventuelle infection au Covid 19.

Une fois les tests effectués, nous sommes invités à rejoindre l’extérieur de l’aéroport.

La petite fête de bienvenue

De l’extérieur de l’aéroport, nous sommes conduits dans une salle proche afin d’assister à une petite fête de bienvenue.

Le Maire de Fomboni, la capitale inaugure notre arrivée.

Le secrétaire d’état chargé du tourisme qui nous a accompagnés fait de même.

Route vers Fomboni

Nous prenons à présent la route vers la ville de Fomboni.

Fomboni

Nous entrons dans la ville.

Nous nous rendons au marché local.

Les produits proposés sont de belles qualités.

Il faut dire que l’île de Mohéli est connue pour ses terres fertiles.

Un bel accueil nous est réservé. Les habitants sont souriants.

Nous nous rendons jusqu’à la plage.

Nous en profitons pour effectuer quelques achats de piments.

Nous continuons notre découverte de la ville.

La côte nord

Il est temps pour nous de prendre la route vers la ville de Niamoucha, qui se trouve à deux heures de route.

Les ordures de l’île sont regroupées et brûlées.

Nous continuons de longer la côte Nord.

La plage de Mbaisé

Nous faisons un arrêt pour découvrir la plage de Mbaisé.

De nombreuses noix de coco sont échouées sur le sable.

Les enfants du village nous rejoignent et passent un bon moment à nos côtés.

Nous profitons pleinement de cet échange avec les locaux.

Route vers le sud

Nous reprenons la route.

Visite d’une distillerie

Nous visitons sur le chemin, un site de distillation et une plantation.

Le paysage qui nous entoure est verdoyant.

Nous effectuons un arrêt pour découvrir les paysages marins.

La route se rétrécit à plusieurs endroits.

Nous traversons nombre de petits villages.

Une côte magnifique

Certaines parties de la côte sont escarpées.

Nous reprenons la route.

Nous faisons un arrêt aux abords d’un petit ruisseau.

La randonnée dans la forêt

Nous effectuons également une petite randonnée dans la forêt.

En retournant à notre voiture, nous faisons connaissance avec un agriculteur.

Nous roulons quelques minutes avant d’être arrêtés par des villageois du petit village de Ouallah 2, qui nous invite à découvrir leur territoire. Mais par manque de temps, nous devons repousser cette visite que nous effectuerons un peu plus tard dans le voyage.

De nombreuses petites rivières alimentent les villageois en eau.

Les habitants sont fiers de nous présenter les spécificités de leur forêt : une cascade ainsi que les chauve-souris les plus grandes du monde : les Livingstones.

La reprise de la route

Nous reprenons la route.

Nous traversons encore un village.

Les habitants vivent majoritairement de la pêche et de l’agriculture.

Un beau site constitué de nombreux palmiers attire notre attention.

La portion de route que nous empruntons comporte des nids de poule qui nous ralentissent.

Un déjeuner sur le fil

A midi, nous sommes invités à manger au Vanilla Lodge, qui propose également des hébergements. L’hôtel qui se situe dans la localité de Niamoucha est joignable au 00269 356 34 88 ; le prix d’une chambre est d’environ 25 euros par nuitée.

Un buffet nous est proposé.

Nous décidons de visiter un peu le site de l’hôtel.

Avec un morceau de clef en moins, le chauffeur parvient à allumer sa voiture ; nous reprenons la route.

La ville de Niamoucha

Nous entrons dans la ville de Niamoucha.

Chaque fois que nous croisons quelqu’un, il nous salue avec générosité.

Le Laka Lodge

Nous entrons dans le site du plus bel hôtel de l’île : le Laka Lodge, qui se trouve également dans la ville de Niamoucha. L’hôtel est joignable au 00269  772 60 38 ; la nuitée coûte entre 80 et 169 euros, en fonction du type de chambre.

Nous nous rendons dans notre chambre : la suite panoramique qui se trouve face à la mer.

La plage qui borde l’hôtel est paradisiaque.

Le parc marin de Mohéli

Nous sommes invités à rejoindre le groupe avec lequel nous sommes arrivés pour découvrir le parc marin qui nous entoure et qui comporte des dizaines de petites îles.

Les deux bateaux démarrent.

L’île paradisiaque

Nous nous rendons sur une des îles.

Nous avons la chance de pouvoir la découvrir.

Nous faisons une petite balade dans l’île ; de tous les côtés où nous nous trouvons, des îles paradisiaques se mettent à notre portée.

Alors qu’un groupe part à la découverte d’une partie sauvage de l’île, nous faisons connaissance avec des locaux.

Nous en profitons également pour nous détendre.

Le retour à l’hôtel

Il est temps pour nous de repartir.

Nous arrivons à la limite de la haute mer.

Le soleil se couchant, nous effectuons un demi-tour pour retourner au Laka Lodge.

Sur une plage proche, nous assistons à quelques moments de vie locale.

Nous longeons le front de mer.

Nous débarquons.

Sur la plage, nous assistons à un magnifique coucher de soleil.

Le spectacle nocturne

Nous sommes appelés pour assister à un spectacle magnifique. Plusieurs chanteuses, vêtues de leur costume traditionnel se regroupent sur la plage.

Elles entonnent plusieurs chants locaux.

Les spectateurs sont enchantés.

Durant près de trente minutes, les chants résonnent sur cette plage généralement déserte à cette heure de la journée.

Après ce premier spectacle, nous assistons à des danses tribales qui s’enchaînent les unes après les autres.

De la musique séculaire emplie nos oreilles.

Chaque danseur est imprégné.

Après le spectacle, nous mangeons un morceau ; un buffet a été préparé avec de bons produits locaux.

Tard dans la nuit, nous nous rendons à notre suite panoramique pour profiter tranquillement de la fin de soirée.

Mais avant de nous coucher, nous prenons le temps de profiter de la beauté des lieux.

Un réveil en douceur

Le lendemain matin, nous nous réveillons dans un décor paradisiaque.

Nous nous rendons au restaurant afin de prendre un bon petit-déjeuner.

Route vers Fomboni

Il est temps de partir pour rejoindre Fomboni.

Nous faisons un arrêt sur la côte Nord afin de découvrir le site duquel partent les Kwasa-Kwasa qui rejoignent les îles d’Anjouan et de Grande Comore.

Les bateaux arrivent des deux côtés de la plage.

Nous sympathisons avec les locaux qui nous expliquent que rejoindre chacune des îles dure en moyenne moins de 2 heures.

Nous reprenons la route.

L’aéroport de Fomboni

Nous arrivons à l’aéroport.

L’avion ayant un retard d’une heure, nous patientons.

Vol vers Grande Comore

Nous embarquons enfin.

Le décollage se passe sans encombre.

La barque de pêcheur pour retourner à Mohéli

Une semaine plus tard, nous retournons sur l’île de Mohéli, alors que tous nos amis reporters et journalistes ont déjà quitté le pays. Pour rejoindre Mohéli, nous empruntons une barque de pêcheur. Malheureusement, après une heure de traversée, le vent se lève ; une petite tempête nous frappe. Les vagues de  près de 3 mètres manquent à plusieurs reprises de nous faire chavirer. Et cerise sur le gâteau, nous n’avons pas de gilets de sauvetage. Le stress apparaît, mais nous tentons de contrôler notre peur.

A chaque vague, nos dos frappent contre les parois du bateau.

Fort heureusement, en nous rapprochant des côtes, les vagues s’estompent.

Nous pouvons profiter de notre croisière.

Nous entrons dans le lagon peu profond de l’île.

Il nous faut encore naviguer trente minutes pour rejoindre la plage de Niamoucha, plaque aux abords de laquelle se trouve le Laka lodge dans lequel nous avions séjourné au début de notre périple sur l’île de Mohéli.

Nous nous approchons de la plage.

Nous pouvons enfin accoster.

L’arrivée à Niamoucha

Nous retrouvons l’hôtel tel que nous l’avions laissé il y a près d’une semaine.

Nous mangeons un morceau.

La découverte complète de l’hôtel

Nous pouvons enfin prendre le temps de découvrir ce véritable Eden.

Nous en profitons pour nous baigner.

La plongée sous-marine

Nous rejoignons notre bungalow et sommes appelés pour effectuer une plongée avec le centre nautique d’Ibou, un jeune garçon très professionnel.  Il est joignable au 00269 373 73 37.

Nous préparons notre matériel.

Nous nous enfonçons dans les profondeurs de l’Océan.

Malgré le courant qui nous éloigne du site de plongée, nous découvrons des fonds d’une beauté incroyable.

Il est temps pour nous de remonter sur le bateau.

En retournant aux abords du rivage, nous assistons au spectacle incroyable de centaines d’oiseaux qui pêchent en même temps.

Bateau vers Itsamia

Nous prenons à présent le chemin vers la ville d’Itsamia, afin d’observer la ponte des tortues. Normalement, cette ponte arrive en pleine nuit, mais étant donné que la pleine mer débute à 19 heures, il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir ce site unique au monde.

Il nous faut 1 heure de bateau pour rejoindre le site.

Nous profitons d’un beau coucher de soleil.

Nous pouvons enfin accoster.

L’arrivée à Itsamia

Sur le sol, des traces de passage de tortues venues pondre la veille.

La plage est déserte.

Le bateau est montée afin d’éviter la haute mer.

La nuit noire englobe le site.

Le village d’Itsamia

Nous en profitons pour rejoindre le village d’Itsamia.

Nous rejoignons un autre touriste croisé en amont sur l’île d’Anjouan.

La ponte des tortues

Nous faisons connaissance avec les membres de l’Association qui s’occupe des tortues et les protègent afin d’éviter le braconnage. En outre, ces membres ont construit des bungalows communautaires qui accueillent des touristes. Pour les joindre, il convient de contacter La Force, le surnom d’un des membres, joignable sur le 00269 358 77 49.

En arrivant sur la plage, éclairé exceptionnellement pour nous, nous apercevons une tortue qui se dirige  vers un des trous déjà présents afin de pondre.

La Force nous appelle afin d’assister au spectacle de ponte.

Les tortues pondent approximativement 120 oeufs en un seul coup.

La nuit étoilée nous accompagne.

Nous ne perdons pas une miette de ce spectacle unique.

Pendant près d’une heure, les oeufs sortent individuellement.

La tortue semble placide.

Le dernier oeuf rejoint les autres.

La tortue que nous suivons recouvre ensuite les oeufs grâce à ses nageoires.

La tortue essaye ensuite de sortir du trou.

Difficilement, elle se hisse hors du trou.

Nous souhaiterions bien l’aider, mais nous devons laisser faire la nature.

Elle pousse des râles d’effort.

Après plusieurs essais, elle parvient à s’extirper du trou.

Alors que la nuit noire nous entraîne dans une pénombre totale, nous nous apprêtons à prendre le bateau du retour.

Le chavirage

Malheureusement, sans crier gare, plusieurs vagues s’engouffrent dans le bateau qui s’échoue sur la plage. Le capitaine est écrasé par le bateau et parvient à extraire ses jambes blessés, alors que nos affaires sont sauvées in extremis des vagues puissantes  qui nous projettent au sol.

Pendant ce temps, au milieu du chaos ambiant, les tortues continuent de se masser sur la plage pour pondre.

Notre bateau est inutilisable.

Et toujours au milieu du chaos, des bébés tortues sortent du sol. La vie continue sans sa soucier de nos petits problèmes logistiques.

Trempés, nous retournons au bungalow.

Le retour à Niamoucha en voiture

Un chauffeur accepte de nous conduire à Niamoucha en effectuant le tour complet de l’île, d’une durée de 3 heures.

Un réveil difficile

Le lendemain matin, un peu fatigués par les accidents de la veille, nous reprenons du poil de la bête en profitant du décor paradisiaque qui nous entoure.

Route vers la cascade de Ouallah 2

Nous partons à la découverte de la cascade de Ouallah 2.

Nous nous garons aux abords d’une distillerie.

La cascade de Ouallah 2

Il nous faut marcher 30 minutes pour rejoindre la cascade.

Nous sommes attaqués par de nombreux moustiques.

Mais le spectacle vaut le détour.

Il est possible de grimper un peu pour rejoindre une autre partie de la cascade, mais le temps nous manquant, nous retournons à l’hôtel.

Le village de Ouallah 2

Sur le chemin, les habitants du village de Ouallah 2 souhaitent nous présenter leurs bungalows communautaires qu’ils louent 20 euros par nuit.

Pour les réserver, il suffit de les joindre sur le 00269 327 09 97.

Les bungalows se trouvent aux abords d’une plage paradisiaque.

Départ définitif de l’île en bateau

Nous retournons à l’hôtel Laka Lodge.

Il est temps pour nous de quitter l’île en repartant vers Grande Comore, l’île principale du pays.

Par chance, pour le retour, l’Océan est d’un calme olympien.