Au travers de cet article, nous vous présentons les incontournables de l’île d’Anjouan, dans l’archipel des Comores.  Alors que nous exprimions le fort sentiment de nous rendre dans ce petit paradis de l’Océan Indien qui se situe à proximité  de Madagascar et de l’île de la Réunion, possibilité nous a été donnée d’assister aux huitièmes assises du tourisme internationales qui ont marqué l’émergence médiatique de cet archipel, sur la scène internationale. Ainsi, durant plusieurs semaines, nous avons pu en visiter les trois îles, leurs nombreux trésors et découvrir la véritable quintessence de ce que l’Afrique avait de mieux à offrir.

Pour rejoindre l’île d’Anjouan, la liaison aérienne avec Mohéli reste le meilleur moyen accessible d’un point de vue pécuniaire et qui amène un confort permettant de découvrir les côtes escarpées de cette île.

A l’aéroport, après un contrôle rapide de nos bagages à main, nous sommes autorisés à monter dans le même avion qui nous avait conduit à Mohéli. Le décollage se passe sans encombre et après quelques minutes, l’hôtesse nous indique, au travers de sa voix sensuelle qui se propage dans les haut-parleurs, que la descente est engagée.

 Sous nos pieds, l’île volcanique d’Anjouan, qui dévoile ses reliefs marqués, île que nous rejoignons par l’intermédiaire du tarmac que nous foulons. Un test PCR plus tard, nous sommes accueillis en chansons et en musique par un groupe de chanteuses locales, qui nous place dans les meilleures conditions pour commencer notre découverte.

Pour découvrir de manière complète, l’intégralité de notre séjour à Mohéli, grâce à notre photothèque complète, n’hésitez pas à vous rendre sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/les-comores-ile-de-moheli-recit-de-voyage/

Pour découvrir de manière complète, l’intégralité de notre séjour à Anjouan, grâce à notre photothèque complète, n’hésitez pas à vous rendre sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/les-comores-ile-de-anjouan-recit-de-voyage/

Pour découvrir de manière complète, l’intégralité de notre séjour à Grande Comore, grâce à notre photothèque complète, n’hésitez pas à vous rendre sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/comores-ile-de-grande-comore-recit-de-voyage/

Pour découvrir notre article sur l’île de Grande Comore, rendez-vous sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/les-comores-les-incontournables-de-grande-comore/

Pour découvrir notre article sur l’île de Mohéli, rendez-vous sur le lien suivant : https://hors-frontieres.fr/les-comores-les-incontournables-de-lile-de-moheli/

 

Mutsamudu (Anjouan)

Capitale de l’île d’Anjouan en remplacement de Domoni, Mutsamudu fondée en 1482, est la deuxième ville la plus importante des Comores, peuplée de 30 000 habitants. La ville possède le seul port en eau profonde du pays et comprend l’aéroport situé à Ouani.

Après avoir déposé nos affaires dans l’hôtel Papillon, nous pouvons rejoindre la médina de la ville, constitué constituée de ruelles étroites et parfois couvertes qui serpentent autour des dix-sept mosquées.

Réserver une chambre à l’hôtel Papillon : il vous suffit de contacter le 00269 771 17 06.

En arpentant les rues de la médina, nous croisons nombre de petits artisans qui nous accueillent avec le sourire. Nous faisons également connaissance avec la population locale, dont nombre d’enfants qui nous abreuvent de questions.

Le portail Foukoujou et le palais d’Ujumbé, en pleine rénovation dévoilent un peu plus les qualités architecturales de la ville, parfaitement intégréesdans un décor urbain plongeant le visiteur dans les fastes d’antan.

A chaque croisement de rue, des regroupements d’hommes qui jouent ensemble à la pétanque ou à des jeux de société ; dans une ambiance bon enfant, ils tentent de gagner et n’hésitent pas à donner de la voix pour faire valoir leurs droits. Mais comme toujours en Afrique, il n’y a aucune animosité lors de ces montées de ton.

Nous rejoignons ensuite la citadelle, après avoir dépassé le marché couvert de la ville, dans lequel des dizaines de vendeurs et de vendeuses proposent des produits divers et variés.

Lorsque nous arrivons aux abords de la citadelle, avec la tour carrée du vieux donjon qui domine les murs en basalte, construite en pierres dures, nous bénéficions sur la ville d’un panorama à couper le souffle. En entrant dans la citadelle après avoir payé un ticket de l’ordre de quelques euros, nous sommes surpris de découvrir un spectacle de danses traditionnelles. Grâce aux percussions endiablées de musiciens talentueux, la troupe composée d’hommes et de femmes se dandinent avec la puissance pour maître mot de leur représentation.

Nous assistons ensuite au concert solo d’un jeune homme véritablement charmant.

Nous finissons la visite en assistant à un magnifique coucher de soleil, dont les derniers rayons parviennent à pénétrer les lucarnes derrière lesquelles sont placés des canons, objectifs pointés vers l’horizon.

Un autre hôtel dans la ville permet d’accueillir les visiteurs : l’hôtel le Jasmin, qui possède une magnifique devanture intégrée dans un petit jardin verdoyant.

Réserver une chambre à l’hôtel Le Jasmin : il vous suffit de contacter le 00269 771 00 79.

La cuvette de Tsembéhou (Anjouan)

Au cœur de l’île, les paysages montagneux se succèdent au fur et à mesure que nous longeons de hauts ravins, qui accentuent leur profondeur aux abords de la ville de Tsembéhou. Nous ne résistons pas à l’appel du vide qui se trouve sous nos pieds et parvenons sur le bord de la route, à trouver une petite place d’arrêt factuelle. Face à nous, sur une route récente, dont les abords sont entretenus et fleuris par les villageois de la ville, une arche naturelle constituée par des végétaux qui se rejoignent en une sorte de pont.

Nous nous rendons ensuite à l’hôtel :  » Le Bleché  » afin que nos compagnons de route qui y séjournent puissent y poser leurs affaires.

Réserver une chambre à l’hôtel Le Bleché, un des plus beaux de l’île : il vous suffit de contacter le 00269 771 66 07 ; le prix d’une chambre est d’environ 40 euros par nuitée.

Au milieu de la végétation fournie, une montagne émerge au travers de sa grandeur et semble toucher le ciel. Au loin, il est possible, au milieu des forêts verdoyantes, de découvrir plusieurs champs dans lesquels s’affairent des agriculteurs, qui de notre emplacement grouillent à la manière de fourmis.

En continuant sur la route, un autre point de vue nous permet concomitamment de découvrir les limites de l’île marquées par la présence du bleu azur de l’Océan qui l’entoure et de la forêt primaire impénétrable recouverte par de larges nuages.

La cascade de Tratengua (Anjouan)

Aux abords d’une rivière dans laquelle s’affairent des dizaines de femmes dans leurs habits colorés, à nettoyer les vêtements de la famille, un petit pont nous permet de découvrir un paysage semblant tout droit sorti de la jungle : une petite rivière s’écoule, calmement, entourée par des bananiers dont la récolte proche en a dénudé les socles.

Nous avons la chance d’être accompagnés de Saindou Combo, un guide exceptionnel, qui possède un savoir étendu. Ancien professeur, son visage toujours souriant est un véritable appel à la découverte.

Pour contacter Saindou Combo, le guide, n’hésitez pas à appeler le : 00269 331 53 23.

Nous sommes également accompagnés de Nadhuf, l’ancien directeur de l’office de tourisme de l’île, qui peut organiser des voyages uniques hors des sentiers battus.

Pour contacter Nadhuf, n’hésitez pas à composer le : 00269 436 10 15.

De l’autre côté du pont, le paysage change radicalement. Les tréfonds du sol provoquent en nous un léger vrombissement vertigineux, surtout lorsqu’un point noir émerge au milieu de l’écume provoquée par la chute abrupte de l’eau de la rivière aperçue auparavant qui dévoile un côté insoupçonné.

Après le point, un autre apparaît et en concentrant nos regards, nous parvenons à distinguer des ramasseurs de sable qui toute la journée, plongent afin de récupérer le précieux matériel qui servira à construire les routes de l’île.

 

La cascade de Wongoni (Anjouan)

Dans le Sud Est de l’île d’Anjouan, la cascade de Wongoni s’aperçoit de la route ; l’eau d’une force puissante s’écoule dans un rideau que l’on soupçonne infini. Mais la particularité du site est un petit canal construit par les habitants, qui permet de scinder l’eau de la rivière en deux et de lui donner au travers de ce passage étroit, un calme permettant à tous d’en exploiter la richesse.

Ainsi, deux femmes lavent leur linge en le frottant avec une savonnette, tandis qu’une troisième profite des bienfaits de son écoulement pour l’utiliser comme un spa naturel.

Sur les rebords qui donnent sur le vide, nous faisons connaissance avec un rappeur qui s’adonne à son art. Avec en arrière-plan, la cascade de Wongoni, la scène irréelle semble tout droit sortie d’un clip musical, le son en moins, le pauvre chanteur ne possédant pas la voix permettant de rivaliser en intensité avec la force de la nature qui s’évertue à faire cracher sa mélodie bruyante sans interruption.

La cascade se prolonge vers la mer et crée une deuxième chute d’eau tout aussi impressionnante que la première.

Les plantations d’Ylang Ylang (Anjouan)

Arbre de la famille des Annonacées, originaire d’Asie du Sud-Est, l’Ylang-Ylang est cultivé pour ses fleurs dont on extrait par distillation une huile essentielle très utilisée en parfumerie. L’arbre au feuillage persistant peut atteindre dans son milieu naturel près de 25 mètres.

Premier pays exportateur au monde, les Comores ont fait de cette culture, l’apanage de leur savoir-faire ; ainsi, les plantations sur les différentes îles ne manquent pas et c’est tout naturellement, que sur le bord de la route, nous faisons un arrêt lorsque nous apercevons une petite cabane en bois dans laquelle, deux femmes proposent à la vente, des feuilles de cet or vert.

Nous sommes accueillis par un vieil homme, petit couvre-chef local sur la tête, qui nous fait visiter sa petite plantation, dans laquelle, il cultive nombre de fruits, dont la fameuse Ylang Ylang.

En arrivant sur le site, verdoyant, nous dépassons plusieurs petites maisons qui accueillent des membres de sa famille, dont une toute petite fille au visage angélique. L’homme nous enjoint à pénétrer dans la plantation et après avoir dépassés plusieurs bananiers et manguiers, nous parvenons jusqu’à des centaines de petits arbustes de l’ordre de quelques centimètres, semblant construire sur le sol un tapis végétal. L’homme s’agenouille et extrait des petits plans de pots en plastique noir et les plante dans le sol, avant de les arroser. Malheureusement, en effectuant un mouvement brusque, il commence à manquer d’air. Nous apprenons à ce moment, qu’il est asthmatique. Sa crise s’intensifie, jusqu’à ce qu’il inhale son médicament. Nous lui portons assistance et passons quelques instants en sa compagnie, jusqu’à ce qu’il aille mieux. Sa crise passant, il nous accompagne à notre véhicule. Pour le remercier de sa gentillesse, nous nous cotisons pour lui donner un peu d’argent afin d’acquérir un autre inhalateur, celui qu’il utilisait étant presque vide.

Domoni (Anjouan)

Au Sud-Est, la ville de Domoni peuplée de 19 000 habitants se dévoile au travers de sa porte royale, dont il ne subsiste qu’un pan de mur. Nous garons notre véhicule devant le mausolée d’Ahmed Abdallah Abderemane, que nous avons la chance de pouvoir visiter.

Ce bâtiment accueille l’ancien président du pays, qui a contribué grandement à son indépendance, comprend plusieurs salles de prières, protégées par des portes en bois massif ; pour rejoindre le mausolée, tout de marbre constitué, il est nécessaire de se rendre à l’étage supérieur, afin de pouvoir bénéficier d’une vue étendue sur sa dernière demeure dans laquelle il repose avec son épouse.

En rejoignant l’extérieur, nous nous rendons à la mosquée de Chiraz, construite entre le XIVe et XVIe siècle, qui a la particularité de posséder deux mihrabs, bâtis sur le plan des mosquées iraniennes, l’un de 38,5 mètres de hauteur, le second de 25 mètres. La ville comprend également plusieurs tombeaux chiraziens.

Après avoir sympathisé avec plusieurs hommes, dont un érudit âgé d’une soixantaine d’années, nous nous rendons dans la médina et pouvons découvrir les remparts de la ville, Domoni ayant la particularité d’avoir été dès le XVe siècle, un centre d’échanges avec l’Afrique et l’Orient, et plus tard un mouillage des navires à voile européens allant aux Indes. De fait, en tant qu’ancienne capitale de l’île avant le transfert de cette compétence administrative à Mutsamudu en 1792, les remparts dont il reste des parties entières utilisées en réhabilitation de l’infrastructure urbaine, étaient nécessaires pour assurer la fonction protectrice de la municipalité, riche de palais royaux du XIIIe siècle, dispersés dans la ville : Darini-mwa-dari, U’jumbé, Singani, Toyifa.

La vieille ville est ainsi divisée en trois quartiers historiques : « Maweni », « Momoni » et « Haryamouji », ce dernier secteur englobant la médina dans laquelle nous entrons. Nous faisons ainsi la connaissance de deux artisanes qui s’évertuent à coudre des habits traditionnels.

Un peu plus loin, après la rencontre avec plusieurs enfants, dont une jeune fille à la beauté future évidente, un gros rocher attise notre curiosité, curiosité renforcée lorsque les guides qui nous accompagnent nous en vantent les origines météoritiques.

En arrivant sur le front de mer, nous sommes accueillis par des pêcheurs qui tentent d’écouler leur prise de la journée, dans une ambiance bon enfant.

Sur la plage qui se situe en contrebas, plusieurs personnes profitent d’un panorama somptueux en effectuant des tâches du quotidien. Un homme assis dans l’eau arrose le peu de cheveux qu’il lui reste, alors que deux autres tentent de frotter leurs chemises. Dans l’eau, plusieurs enfants lancent ce qui semble être un fil de canne à pêche, en parvenant à attraper devant nous, un poisson.

La randonnée au lac Dzialandzé (Anjouan)

Dans le cœur de l’île, le chauffeur après avoir emprunté une route nouvellement construite, nous arrête sur le bas-côté. Un petit chemin nous permet d’accéder au lac Dzialandzé, qui se rejoint après une marche de 20 minutes.

Dès notre entrée sur le site, nous croisons un agriculteur qui revient des champs, avec sur la tête un gros fagot de feuilles ; il nous salue et nous le laissons passer avant de continuer notre avancée sur la piste qui se présente devant nous et qui nous permet de découvrir un paysage exceptionnellement sauvage et verdoyant, avec au loin, les contrées vallonnées de l’île.

Lorsque nous parvenons jusqu’au sommet, nous payons un droit d’entrée de quelques euros, droit d’entrée utilisé par les villageois qui se sont érigés en collectif de défense du site, afin de l’entretenir.

Une descente plus loin, nous parvenons jusqu’à un lac magnifique dont le reflet des arbres prolonge son côté majestueux.

Alors que nous prenons grand plaisir à nous plonger dans les abimes de notre propre image renvoyée par l’eau à la manière d’un miroir, quelques canards viennent troubler la quiétude des lieux, pour notre plus grand plaisir.

La cascade Lingoni (Anjouan)

Avant d’arriver sur la plage de Moya, nous effectuons un petit arrêt sur le site de la cascade Lingoni qui se situe dans un secteur fleuri, agrémenté de nombreux arbres. Sur le bas-côté de la route, une sorte de petit parc dans lequel nous prenons notre temps pour découvrir une végétation surprenante. Une petite route nous conduit jusqu’à un portail fermé, mais sur les côtés, une ouverture nous permet d’admirer au loin cette cascade unique, dont la puissance de la chute est utilisée pour produire de l’électricité.

Avec sa dizaine de mètres de hauteur, la cascade est une des plus hautes de l’île et subséquemment, de l’archipel. A ses pieds, une centrale hydroélectrique, qui démontre à quel point, le pays utilise ses richesses pour améliorer la vie de ses habitants qui profite ainsi d’une électricité locale sans pollution. Si la cascade n’est pas ouverte au public, il est cependant facile de la découvrir et d’en bénéficier d’une vue étendue sur son entièreté.

La plage de Moya (Anjouan)

Lorsque nous arrivons sur Moya, nous mangeons un plat local composé de poulpes et de coco, avec une vue splendide sur la mer, que nous rejoignons après avoir pris le temps de souffler un peu.

En descendant un petit escalier, la plage de Moya, plus belle plage de l’île se dévoile. A nos pieds, un gros rocher semblant perdu au milieu de cette plage de sable ocre, dont les vagues composent une mélodie symphonique nous berçant.

La plage entourée par de hautes falaises sur lesquelles trônent des cocotiers donnent au site un côté crique, intéressant. Dans une sorte de caverne, plusieurs jeunes écoutent de la musique ; ils sont rejoints par des amis et ensemble, ils se lancent dans une partie de foot endiablée. Sur des bateaux traditionnels posés dans le renfoncement de la plage, des locaux les regardent jouer.

C’est alors qu’une averse s’abat sur la plage qui se vide en quelques instants. Armés d’un morceau de carton perforés par les grosses gouttes de pluie qui s’abattent sur nous, nous rejoignons notre véhicule et assistons à un spectacle magnifique ; dans les rues, à la manière des processions indiennes, tous les enfants se rejoignent et profitent d’une douche naturelle, afin de partager un moment d’insouciance en totale fraternité.

La plage de Sima (Anjouan)

Dans le Nord sauvage de l’île, la plage de Sima, brille par son côté authentique. Au travers de son sable rouge, elle s’étend, placide dans un cadre enchanteur. La forêt sombre qui l’entoure accentue son ambiance sauvage, à la limite du mystérieux. Un léger vent parcourt nos corps, ce qui nous fait un bien fou.

Nous longeons le bord de plage jusqu’à arriver à une côte escarpée sur laquelle, les vagues se projettent violemment contre les rochers, laissant derrière elles une légère écume moussante. Il faut dire qu’après l’averse subie, l’Océan tente de recouvrer un calme apparent, tout en semblant ne pas parvenir à lutter contre un chaos indescriptible qui sommeille en ses profondeurs, un peu comme si l’accalmie naissante n’était qu’illusion.

Conclusion

L’île d’Anjouan, qui de l’avis de tous les habitants ressemble à Mayotte, est une île préservée et sauvage qui apporte chaque jour son lot de découvertes exceptionnelles. Durant plusieurs jours, nous avons été accueillis par des habitants généreux qui nous ont permis de vivre des moments magiques en leur compagnie.

L’île est ainsi réservée aux amateurs de randonnées et de nature luxuriante afin de se plonger en immersion dans les tréfonds d’une île qui saura apporter à tout visiteur, une adrénaline sans restriction.