Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 1500 photos montre intégralement notre voyage Cap Vert, un archipel qui se trouve dans le Nord de l’Afrique, un voyage qui nous a permis de découvrir l’île la plus magique de l’archipel : l’île de Fogo.

Ainsi, nous avons passé un long moment à arpenter ce territoire  pour en découvrir toutes les merveilles, en particulier, pour cet article, sur l’île de Fogo que nous présentons de manière complète.

Pour découvrir notre article complet sur l’île de Fogo, n’hésitez pas à parcourir le lien suivant.

Pour découvrir la première partie de notre périple au Cap Vert avec l’île de Santiago, consultez notre récit de voyage complet.

Pour découvrir la troisième partie de notre périple, rendez-vous sur le lien suivant et vous prendrez connaissance avec l’île de Sao Vicente.

Pour la quatrième partie et l’île de Santo Antao, rendez-vous ici.

Et enfin, pour terminer avec l’île de Sal, consultez notre dernier récit de voyage ici

L’arrivée en avion

En provenance de Santiago, nous nous rendons en avion avec la compagnie Binter sur l’île de Fogo.

Le vol dure 30 minutes et coûte près de 100 euros l’aller et le retour. Pour partir au Cap-Vert, nous avons fait appel à l’agence de voyage sur mesure Bynativ, qui nous a organisé notre séjour grâce aux partenariats avec des agences locales qu’elle possède dans de nombreux pays du monde. Un voyage sur-mesure hautement qualitatif.

Après trente minutes de vol, les côtes de l’île de Fogo apparaissent.

L’architecture de l’île de Fogo étant complexe, les pilotes doivent effectuer plusieurs manoeuvres afin de nous permettre de nous placer dans le bon sens de la piste d’atterrissage.

Nous atterrissons sans encombre.

L’aéroport de l’île de Fogo

Nous récupérons nos bagages.

Route vers Sao Filipe

Nous rejoignons notre chauffeur pour la journée, accompagné d’Alcindo, le gérant de la pension dans laquelle nous dormirons le soir au coeur de la caldeiras, en contrebas du volcan Fogo qui a donné son nom à l’île.

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Nous nous rendons dans la ville de Sao Filipe, la capitale de l’île de Fogo.

Sao Filipe

La majorité de l’île de Fogo, tout comme la ville est construite avec des pavés qui ont été posés à la main ; un travail titanesque.

Le chauffeur nous arrête au centre-ville ; il nous récupèrera deux heures plus tard. Nous pouvons en profiter pour découvrir les rues colorées de cette ville magnifique.

La place centrale

Nous découvrons la place centrale, le seul endroit de la ville qui ne se trouve pas en pente.

Nous rejoignons à pied le marché municipal. Sur les murs, du street art.

La vie foisonne dans toute la ville.

Le marché municipal

Nous entrons dans le marché municipal. Une bonne odeur de fruits et de légumes frais emplit nos narines.

Nous arpentons les allées.

Les produits sont frais.

Nous rejoignons le second étage.

Un petit restaurant propose des petits plats.

Une vendeuse écaille les poissons qu’elle propose à la vente.

Nous rejoignons le centre-ville.

Un parc agréable

Nous nous dirigeons vers un petit parc.

Il permet d’avoir une belle vue sur l’océan.

Il est temps pour nous de rejoindre notre chauffeur.

Route vers parc naturel de Fogo

Nous prenons la route en direction du parc naturel de Fogo.

Nous quittons la ville.

Il faut près de deux heures de route pour rejoindre la caldeira qui est le cratère qui se trouve en contrebas du volcan Fogo. Le trajet peut s’effectuer en collectivo, les bus collectifs de l’île pour la somme de 10 euros. Un trajet en taxi coûte 60 euros.

Nous traversons nombre de petits villages.

Nous prenons la direction de la Cha da Caldeiras.

Un paysage magnifique

Nous faisons une petite halte pour découvrir un paysage splendide.

Nous reprenons la route.

L’entrée du parc

Le volcan apparaît enfin.

L’entrée dans la caldeira

Nous entrons dans la caldeira.

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Nous faisons une halte pour découvrir le paysage.

Un déjeuner au coeur de la caldeira

Les deux amis qui nous accompagnent ont réservé une nuit à la pension de l’oasis qui se trouve à l’entrée de la caldeira. Nous y faisons une halte pour y manger un morceau. Etant donné qu’il nous faut encore une heure de conduite pour rejoindre le village de Portela dans lequel nous avons réservé notre nuit.

La pension se trouve juste à côté de la coopérative de vin du secteur.

Nous commandons notre repas.

La vue sur le volcan est édifiante.

La coopérative de la caldeira

Nous sommes autorisés à visiter la coopérative.

La reprise de la route vers le volcan

Il est temps pour nous de reprendre notre route.

Rencontre avec des agriculteurs

Sur la route, nous faisons connaissance avec de jeunes agriculteurs, la terre de la caldeira étant fertile, les produits pouvant y pousser sont nombreux.

La fin du trajet

Après trente minutes de route, le paysage semble plus boisé.

A notre droite, un nouveau complexe hôtelier qui est sorti de terre depuis 2015, date de la dernière éruption volcanique qui avait tout détruit sur son passage.

Le village de Portela

Nous entrons dans le village de Portela pour rejoindre la pension Alcindo, une des pensions les plus qualitatives de la ville.

Les réservations peuvent se faire sur le 992 14 09 ou sur le 929 94 87. Les réservations peuvent également être effectuées par mail.

La pension est tenue par la femme de Alcindo, une française expatriée dans la caldeira depuis 5 ans.

Nous buvons un café et découvrons l’ambiance de travail des cuisinières de la pension qui proposent une cuisine traditionnelle. Le coût d’une nuit équivaut à 40 euros, petit-déjeuner compris. Le rapport qualité prix est imbattable, tant les prestations proposées sont qualitatives.

La découverte du village

Alcindo qui est également guide nous propose de le suivre afin de visiter son village.

Nous faisons connaissance avec un de ses nombreux frères. Il faut savoir que le village appartient à sa famille ; il n’est ainsi pas rare de rencontrer des proches de l’homme dans le village. Alcindo est également guide de l’ascension du volcan. Deux circuits sont possibles : le petit Fogo, responsable de la dernière éruption de 2015 qui s’effectue en deux heures et le grand Fogo, en sommeil depuis plusieurs milliers d’années dont la montée s’effectue en quatre heures.

Face à nous, quelques maisons qui ont été entièrement recouvertes de lave lors de la dernière éruption volcanique. Il faut également savoir que dans le village, tout a été entièrement détruit. Alcindo possédait une pension qu’il venait de terminer de payer. L’éruption l’a entièrement engloutie ; il a du refaire un crédit de 150 000 euros pour construire sa nouvelle pension. Tout en sachant que les assurances refusent de l’assurer. une nouvelle éruption serait synonyme de faillite. L’homme est d’un courage à toute épreuve. L’épée de Damocles est toujours présente, mais l’homme qui respecte la terre de ses ancêtres ne se voit pas habiter ailleurs.

Alcindo nous présente un autre de ses frères, également guide dans la caldeira.

Nous arrivons à l’entrée du village. Un magasin est présent.

Le village comporte deux églises.

Nous continuons notre découverte des lieux.

Derrière une colline, un autre village.

Nous visitons une maisons traditionnelle.

Un diner tranquille

Nous dînons en compagnie d’un groupe d’amis que nous venons de rencontrer. Christophe, Annie, Carine, Inge et Mike.

Nous terminons par un petit film de la dernière éruption volcanique  filmée par Alcindo.

Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner copieux.

Le départ de la caldeira

Nous faisons également connaissance avec Théo, un autre guide de la région. Il propose des tours dans toute l’île et est joignable au 2389767589 ou sur son email.

Nous décidons d’emmener avec nous Annie et Christophe pour les déposer dans la ville de Sao Filipe.

Nous faisons également connaissance avec Jorge, un des meilleurs chauffeurs que nous rencontrerons dans le pays ; il est joignable au 9943078.

Nous prenons le chemin vers la sortie de la caldeira.

Nous faisons une petite halte pour récupérer quelques morceaux de lave.

Rencontre avec des ouvriers

Nous découvrons alors, stupéfaits des dizaines d’ouvriers qui sont en train de reconstruire à la main, la route qui mène au village. La route est construite pierre après pierre.

Route vers Cova Figueira

Nous quittons la caldeira et prenons la direction de Cova Figueira.

Cova Figueira

Nous entrons dans la ville.

Nous visitons une école.

Route en direction de Mosteiros

Nous reprenons la route en direction de Mosteiros.

Nous faisons une halte pour effectuer quelques achats.

Nous en profitons pour visiter une petite partie du village de Cova Figueira.

Nous reprenons la route ; une tempête de sable en provenance de Mauritanie empêche d’avoir une vue dégagée sur le paysage de l’île.

Sur la route, le chauffeur nous arrête dans une carrière où les ouvriers en plein soleil travaillent difficilement.

Il s’agit de véritables forçats de la terre.

Nous reprenons la route.

En arrivant vers Mosteiros, le chauffeur décide de faire un petit détour pour nous présenter les plantations de l’île.

Le grenier de l’île

Après une quinzaine de minutes de montée, nous arrivons dans le grenier de l’île : café, coing, bananes, les plantations sont nombreuses.

Il est temps pour nous de repartir. Juste un petit arrêt pour découvrir une vue générale des côtes…ainsi qu’une araignée géante qui nous fait face.

Mosteiros

Nous entrons dans le centre-ville de Mosteiros.

Un petit restaurant authentique

Face à la station service de la ville, un petit restaurant.

Le marché municipal

Une fois le repas terminé, repas que nous payons 8 euros, nous partons à la découverte de la ville. Premier arrêt, le marché municipal.

Un peu comme à Sao Filipe, nous découvrons des rues colorées.

Place centrale

Sur la place centrale, nous visitons l’église.

L’église se trouve au coeur de la place centrale.

Waterfront

Le waterfront est magnifique.

En contrebas, un pêcheur propose en vente directe les poissons qu’il vient de pêcher.

Nous visitons un atelier de travail du bois.

Nous longeons le waterfront.

Nous achetons quelques boissons dans la station service.

Le tour de l’île

Nous reprenons la route pour continuer notre tour de l’île.

Une fête de village

Sur le chemin, de la musique forte attire notre attention. Nous nous arrêtons et sommes invités à participer à la fête d’un village.

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Route vers Salinas

Nous reprenons la route en direction de Salinas.

Le nuage de sable en provenance de Mauritanie est tel que l’absence de visibilité se fait sentir fortement.

Salinas

Fort heureusement, un coup de vent plus tard, la visibilité revient.

Nous découvrons les paysages fabriqués par la rencontre entre l’eau et la lave.

Des ouvriers travaillent pour embellir le site.

Nous en profitons pour effectuer une belle découverte des lieux.

Des pêcheurs arrivent dans leur petite embarcation.

La pêche a été bonne.

Sao Filipe

Nous prenons à présent la route de notre hôtel à Sao Filipe.

L’hôtel Savana

Notre hôtel se nomme : l’hôtel Savana. il se trouve juste à côté de l’hôtel de Christophe et Annie, nos amis : le Pipi’s.

Nous saluons notre guide qui fut formidable.

Nous découvrons notre hôtel.

Les chambres sont confortables.

Une soirée festive

Nous nous donnons rendez-vous au bar du Pipi’s.

De la terrasse du Pipi’s, nous avons une vue sur toute la ville.

Nous nous retrouvons tous ensemble pour déguster la bière locale.

Nous finissons par manger au restaurant du Pipi’s.

Le lendemain matin, après une courte nuit, nous découvrons la vue sur la ville de notre terrasse.

Nous prenons un bon petit-déjeuner.

Le changement de plan de dernière minute

Alors que nous nous apprêtons à prendre notre vol, nous apprenons qu’il est annulé ainsi que tous les suivants pour les trois prochains jours. La tempête de sable en provenance de Mauritanie empêchant tout décollage. Nous sommes invités à nous rendre dans l’agence de voyage la plus proche qui se trouve à The colonial guest house afin d’acheter un ticket pour le dernier bateau en partance de Fogo pour Santiago.

Mon chauffeur travaillant pour l’agence de voyage qui l’emploie s’occupe des formalités ; le ticket coûte près de 40 euros et la traversée, une des plus difficiles du pays dure quatre heures.

Nous nous dépêchons de nous rendre au port.

Le trajet en bateau

Nos tickets sont contrôlés.

Nous devons grimper dans un bus pour effectuer les quelques mètres qui nous séparent de l’embarcation.

La traversée est difficile ; le personnel de la compagnie fast ferry est peu sympathique ; en outre, les passagers ne peuvent pas sortir à l’extérieur du ferry pour prendre l’air.

Nous quittons les eaux de l’île de Fogo, secoués par une mer agitée.